La Peur De Ma Vie...
Petite aventure qui mest arrivée cet été, quelques temps après mon escapade avec « Paulo » ( voir « sexual session »).
Je me promenais en vélo dans la très grande forêt situé pas très loin de chez moi. Je sors du bois et voit alors un couple de motards entrain de garer leur engin sur le parking de lauberge. A peine les casques enlevés, ils sont déjà entrain de se dévorer la bouche. Ils sont jeunes, beaux, très amoureux. Les voilà partis, bras dessus dessous, se promener le long du chemin qui senfonce dans le bois. En les croisant, le gars madresse un sourire lumineux.
Ces deux là, aiment peut-être la nature, mais, à mon avis, ils ne sont pas venus que pour ça
Je décide de faire demi tour et de les suivre dassez loin, en roulant le plus possible au ralenti. Après environ un kilomètre, les voilà qui quittent le chemin goudronné pour senfoncer dans un petit chemin de terre
Je me décide à les suivre, à pieds, en essayant de ne pas me faire repérer. Je cache mon vélo dans un fourré. Il et elle senfoncent de plus en plus dans le bois, sarrêtant de plus en plus souvent pour sembrasser à pleine bouche. A mon avis, ils savent où ils veulent aller car ils ne semblent pas chercher. Après un virage à angle droit, je les perds de vue. M
! Des craquements de branches me font comprendre quils ont quitté le chemin pour senfoncer au cur du bois. Je les aperçois, là, à vingt mètres. Je crois même avoir capté là où ils veulent aller exactement. Une petite tache dherbe, baignée de soleil. Bingo ! Je me trouve un poste dobservation à environ dix mètres, bien dissimulé par les feuillages. Au loin, on entend le vrombissement de tronçonneuses.
Ils sallongent dans lherbe épaisse, sembrassent, se caressent lentement. Très vite, le gars fait passer le tee shirt de sa copine par dessus sa tête, pas de soutien gorge. Elle nen a pas besoin. Deux petits seins fermes que son copain entreprend de malaxer doucement, de titiller les pointes du bout de ses lèvres.
Cest exactement à ce moment là que jai eu la peur de ma vie ! Brusquement, une main sapplique sur ma bouche, un corps se plaque contre le mien et une voix douce me chuchote à loreille :
« - Naie pas peur ! Je ne te veux aucun mal
bien au contraire ! »
Jessaie de me retourner mais impossible. Il me tient fermement. Je vois alors sa main, à la peau mate foncée, de la sciure de bois sur le dos de la main et une manche de salopette verte. Je sens aussi nettement, contre ma raie, son sexe dressé et dur
Probablement un forestier, probablement un Arabe.
« -Ca texcite, hein, de les voir comme ça ? Moi aussi ! Ils viennent presque tous les jours, mais cest la première fois que je ne suis pas tout seul à les mater
-Oui
Je les trouve très beaux !
-Je te demande juste de ne jamais te retourner, OK ?
-
OK ! »
Il a déjà glissé son autre main sous mon tee shirt et me caresse les abdos, jouant avec lélastique de mon short.
« - Je peux enlever ma main, tu ne crieras pas ?
-Non, tinquiète !
-Je sens quà toi aussi, ils font de leffet ! » me chuchote-t-il en me caressant la bosse du short.
Du coup, je glisse mes mains vers larrière et commence à lui caresser la tige, à même la salopette.
« Whalla ! Vas y mec ! Jadore !! ».
Les deux amants viennent de changer de position, pour se mettre en position du missionnaire. La fille enlace la taille de son amant avec ses jambes croisées. On voit ainsi très bien la longue, très longue bite du mec senfoncer lentement et complètement dans le ventre de sa copine.
« -Sacré morceau, hein ?
-Cest clair ! Jamais vu un truc pareil !
- Cest ça qui me plait chez eux
La bite du mec ! »
Tout en chuchotant, il a zippé ses deux fermetures éclair et fait tomber sa salopette à ses pieds.
« -Pas mal non plus ton engin !
-Merci ! »
Il a glissé ses mains sous mon slip et me caresse les couilles, la tige, le gland dégoulinant de mouille. Jadore ! Je prends sa main et accompagne ses caresses. Jen profite pour lui caresser le bout de sa bite de mon autre main. Je lentends souffler. Je le branle lentement du bout des doigts. Son gland dégouline. Jatt alors sa tige et la présente à ma rondelle, en appuyant un peu
Devant nous, les deux amants continuent à se limer lentement. La fille sest mise en levrette et son mec la trombonne de tout son long.
Je me penche un peu vers lavant, écartant mes jambes, attendant mon bel ( ?) inconnu. Visiblement, il nattendait que ça ! Je sens son gland luisant de mouille qui appuie, cherchant le passage. Il se recule un peu et me titille dun doigt quil passe rapidement, puis bientôt deux. Il revient alors avec sa bite et force le passage facilement. Il sarrête. Trop, trop bon. Doucement, sans faire de bruit, je me mets à quatre pattes, en levrette, offert
Il me pénètre aussitôt, presquentièrement mais sans brutalité, langoureusement. Nous voilà dans la même situation que ceux que lon mate. Trop rigolo ! Lentement, puissamment, il commence à me limer. Jadore sentir la chaleur de son membre me labourer doucement le ventre. Les deux autres amants ont passé la vitesse supérieure. Maintenant, le gars pilonne sa copine à fond. Il a probablement décidé de conclure. Sa copine crie carrément .Trop beau ! Mon bel inconnu, lui aussi, accélère la cadence. Ses couilles claquent contre mon cul. Jespère que les deux amants ne lentendent pas. A mon avis, ils sont trop centrés sur leur plaisir qui monte.
Wouaah ! Tous les quatre, on a presque pris notre pied en même temps. Trop bon !
« -Choukran, mon frère ! Sil te plait, ne te retourne pas avant trois minutes
Je file. Tu peux rester si tu veux, dans une demi heure, ils vont remettre ça ! »
Il membrasse dans le cou. Jaurais tant voulu lembrasser, moi aussi. Il a déjà filé.
Je me nettoie comme je peux, me rhabille et méclipse sans bruit. A lentrée du chemin, je retrouve mon vélo. Je reprends la route. Cest alors que jentends à nouveau le bruit des tronçonneuses ; cette fois, ils sont plus près de la route, à environ 80 mètres. Ils sont quatre. Je distingue rapidement mon bel inconnu. Cest le seul Maghrébin. Il a baissé sa salopette jusquà sa taille, il porte des Ray Ban. Je me demande sil se rend bien compte de leffet quil peut faire sur ses copains de travail. Je roule lentement. Je le vois brandir sa tronçonneuse et lancer un coup daccélérateur
comme un remerciement ?
Je nai pu mempêcher den parler à Paulo. Il ma dit quil aurait fait pareil
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