Pari Perdu 5

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Le reste du weekend s’est passé sans grandes choses d’important. C’était la première fois que je partageais mon lit avec 2 femmes, pas désagréable mais un petit manque de place et un peu trop de chaleur. Elles se sont surpassées pour m’apporte du plaisir, à celle qui me suce pendant que l’autre me présente son cul, le petit dej servi au lit (j’ai horreur, je n’ai jamais réussi à avaler quoique ce soit couché).
Et enfin, alors que j’imaginais ma prochaine vengeance, elles ont ouvert leur bouche en chœur : « C’est Virginie qui a tout imaginé, tout mené. C’est elle qui voulait t’humilier et qui a tout manigancé. Nous allons te la livrer, pour que tu puisses t’occuper de cette grognasse. Nous lui proposerons de t’humilier, nous sommes sûres qu’elle ne dira pas non. Elle est très intelligente, mais ne résistera pas à se mettre en valeur. Tu verras, tu pourras en faire tout ce que tu veux, nous allons nous occuper d’elle »
Cela me mit de bonne humeur et de voir ces 2 pouffiasses essayer de me faire plaisir m’excitait au plus haut point.
« Penchez-vous sur la table que je puisse vous enculer »
Elles ont poussé ce qui se trouvait sur la table et m’ont présenté leurs 2 culs, écartant au maximum leurs 2 fesses pour me donner un libre accès.
En m’introduisant dans le cul de ma femme, je leur dit « ramenez-moi cette salope de Virginie, je rêve depuis si longtemps de la bourrer, de la voir tordre son cul devant moi comme elle l’a fait tant de fois devant d’autres mecs au bureau. Je la veux soumise, je veux l’entendre couiner »
J’ai changé de trou, c’était superbe. Mais le weekend se terminait et Caroline dut rentrer chez elle et je me suis retrouvé seul avec ma femme. Elle semblait avoir perdue sa place, ne savait pas comment agir. Les s sont rentrés, nous avons partagé le repas et quand il fut l’heure d’aller se coucher, je suis allé me doucher, me suis étendu sur le lit.

Quand elle s’est présentée dans la chambre, juste sortie de la douche, avec de grands yeux « je te demande de me pardonner », je lui ai dit :
« tu dors sur la carpette, tu retrouveras le lit lorsque j’aurai pu me venger de ce que vous m’avez fait subir ».
J’ai éteint la lumière, fermé les yeux et me suis endormi rapidement.
Elles m’avaient demandé d’attendre dans la chambre et de ne pas intervenir avant qu’elles ne me le demandent. J’avais laissé la porte de la chambre entrouverte ce qui me permettrait de suivre ce qu’elles avaient manigancé.
Elles sont arrivées toutes les 3, discutant et plaisantant. Sylvie leur a servi l’apéro mais j’entendais surtout Virginie minauder. « On l’a quand même bien eu, ta petite lopette de mari, tu as vu, Sylvie, comme il est bien docile. Tu devrais en profiter, en faire ta bonniche »
« Tu sais, Virginie, il a un petit peu changé, cette expérience l’a un peu transformé. Tu reprends un verre ? Je voudrais te montrer un petit film, qui je pense va beaucoup t’intéresser. Tu vas pouvoir admirer ma lopette et ainsi tu seras fine prête quand il arrivera »
« Oh oui, un petit coup même si je commence à être un pompette, j’ai hâte de voir ce film ».
Sylvie a rempli les verres de porto, a appuyé sur la télécommande et a lancé une compilation de nos derniers weekend. Je voyais le visage de Virginie se décomposer, , tout ce qu’elle avait pu imaginer pendant cette soirée commençait à se troubler.
« Regarde bien, Virginie, tu as voulu te venger de mon mari parce qu’il est meilleur que toi. Tu as su nous entraîner dans tes délires, tu as cru être au-dessus de tout. Les mecs sont tous à tes pieds, tu tords du cul comme une salope à chaque fois qu’un mec te plait. Et ils te tournent autour comme des mouches. Nous avons du par ta faute subir sa vengeance. Aujourd’hui, c’est à toi de payer ta dette »
Caroline reprit : « Des années que tu fais la maligne au bureau, que tu joues la super gonzesse irrésistible, on va voir aujourd’hui ce que tu es capable de faire.
Fous-toi à poil qu’on puisse voir ce que les mecs désirent »
Je voyais Virginie s’enfoncer dans son fauteuil, elle venait de perdre celles qui étaient leurs alliées.
« Allez, dépêche-toi, enlève tes fringues d’allumeuse, montre nous ce que tu peux faire sans tes atours »
Sylvie et Caroline se sont approchées d’elle, le regard menaçant. Voyant qu’elle ne prendrait pas le dessus devant les 2 furies, elle se rattrapa :
« OK, les filles, je vais me mettre à poil et vous verrez ce que les mecs aiment »
Elle s’est levée et a commencé un strip-tease. J’ai lancé la caméra, j’allais bientôt pouvoir la voir à poil, celle dont j’ai si souvent rêvé.
J’ai sorti ma bite et ai commencé à me masturber. Enfin, elle fut nue, quelle beauté ! J’ai failli poser la caméra et me jeter sur elle. Mais la voix de Sylvie m’arrêta :
« Pas mal, tu es bien foutue mais tu vas nous en montrer plus. Il ne suffit pas d’avoir un beau cul et une belle gueule pour rendre heureux un mec. Branle-toi qu’on t’entende couiner »
Sylvie et Caroline se sont installées dans le canapé, le bras sur l’épaule de l’autre, semblant complètement satisfaites de m’offrir ce spectacle.
Virginie a commencé à se caresser, simulant rapidement un gros orgasme. Quelle salope, elle essaie de reprendre le dessus en leur montrant qu’elle est la meilleure.
« Bon, tu es une bonne simulatrice, tu n’es pas du tout impressionnante. Il va falloir faire un peu plus que de continuer à jouer la pétasse. Tu as pris plaisir à humilier mon mari, tu seras notre toutou ce weekend. Mets toi à 4 pattes et écartes tes fesses. C’est comme ça que je veux que mon mari te trouve quand il entrera dans la pièce »
« Mais vous êtes connes, vous ne pensez pas que je vais suivre vos ordres. Vous n’êtes que 2 mal baisées, inassouvies. » dit-elle en se relevant et se dirigeant vers ses vêtements.
J’ai cru un moment que tout allait s’arrêter mais elles se sont levées toutes les 2. Caroline l’a attrapée par les cheveux et Sylvie l’a giflée.

Le visage de Virginie a changé, s’est empli de frayeurs. Elle venait de se rendre compte que personne ne rigolait. Virginie se mit à 4 pattes et a écarté ses fesses.
« Vous pouvez venir, monsieur, la chienne est prête »
J’ai arrêté la caméra et suis entré dans le salon. Virginie avait la tête baissée, soumise. J’ai donné la caméra à Caroline qui aussitôt a repris le film pour filmer Virginie dans cette position et faire ensuite un travelling sur son cul.
« Ton mari et tes collègues vont se faire un réel plaisir de te voir ainsi »
« Non, pas ça, tout ce que vous voulez, mais pas ça »
« Tu seras mon vide couille pendant tout ce weekend, je ne veux aucune résistance, aucun « non » mais que des « oui, monsieur ». J’ai toujours rêvé de te baiser, tu vas être servie. Ma petite bite, comme tu as si bien pu le dire va prendre possession de toi et j’attends de toi que tu y mettes du tien. Compris ? »
« Oui, monsieur »
Je lui ai caressé le dos, lui ai caressé les fesses et je me suis placé derrière elle. J’ai baissé mon pantalon et posé ma bite sur sa rondelle. Bon, je l’avais imaginé pendant des mois, j’avais tellement eu envie de moment. Sa petite rondelle était bien plissée. Si elle avait servi, il devait y avoir pas mal de temps. J’avais envie d’y laisser glisser ma langue mais j’avais tellement plus envie de lui faire mal, de la faire regretter ce qu’elle m’avait imposé. Alors, je me suis approché d’elle. Et puis, je me suis reculé.
« Caroline, prépare- moi ce trou du cul. Mets-y un petit coup de langue »
Elle qui était capable d’un simple balancement de reins de faire tomber tous les mecs, je savais qu’il lui serait plus humiliant d’être préparée par une femme. Comme je la sentais se rebeller, je lui ai pris les 2 mains que j’ai rapprochées dans le dos et me suis empressé de les attacher. Elle a alors commencé à apporter un peu plus de résistances, elle s’est mise à gigoter. Comme je n’avais pas envie d’entendre ses jérémiades, je lui ai enfoncé sa culotte dans la bouche.
Et j’ai commencé à la fesser, pour lui faire rougir son joli petit cul. Elle se tortillait de plus en plus, essayant d’échapper à mes claques qui commençaient à vraiment lui rougir les fesses.
« Je n’arrêterai que lorsque tu te seras calmée et que tu m’offriras ton cul ». 2 ou 3 claques ont suffi pour la calmer enfin. Je la sentais abdiquer et accepter ce qui l’attendait. Sylvie s’est replacée derrière elle, lui a de nouveau écarté les fesses et a commencé à lécher à petits coups de langue son petit trou.
« Elle est super bonne, je sens son petit trou bouger à chaque fois que j’y passe ma langue. Vous allez prendre un énorme plaisir, monsieur’ cette petite chienne a besoin d’être saillie. Pousse, petite salope, que je t’enfile 1 doigt »
Et sans attendre, elle lui remit une grande claque sur les fesses, ce qui me permit de faire un gros zoom sur sa rondelle qui s’arrondissait. Je vis 1 doigt s’introduire, puis après avoir craché sur sa rondelle, un deuxième doigt prendre le même chemin.
« Vous allez être bien au chaud, monsieur, ça bouillonne à l’intérieur »
Alors, je me suis approché, ai donné la caméra à Sylvie et j’ai posé mon gland sur cette nouvelle rondelle à prendre. Je commençais vraiment à prendre goût à ma vengeance, j’allais bientôt pouvoir faire quelques va et vient dans ce petit cul que je n’avais pu imaginer que dans son jean.
Tout est allé trop vite, j’en avais tellement envie que je n’ai mis qu’une bonne minute d’allers retours avant d’éjaculer. Je me sentais insatisfait, j’aurais aimé l’entendre couiner. Alors, je suis ressorti de son cul et lui ai présenté ma bite à sucer.
« Nettoie-moi, montre moi que ta bouche est aussi bonne que ton cul ». Je l’ai prise par les cheveux et l’ai approchée de ma bite. Elle a ouvert timidement sa bouche et je m’y suis engouffré. Je lui ai poussé la tête pour qu’elle me prenne entièrement et je lui ai pincé le nez.
Mais je désirais plus avec elle, je la voulais chienne. « Va me chercher la collier et la laisse du chien, je veux promener ma nouvelle chienne » Sylvie s’est empressée, tant elle semblait exciter de la voir humiliée.
J’ai relevé ses cheveux et passer le collier autour de son cou. Décidément, tout lui allait à cette petite pute. J’ai ensuite attaché la laisse et ai tiré un coup sec pour la faire pencher en avant.
« A 4 pattes, chienne, avec ton cul bien en l’air, c’est l’heure de la promenade » et j’ai tiré sur la laisse pour la promener dans l’appartement. Sylvie nous suivait, l’objectif fixant son cul qui se trémoussait.
Régulièrement, je la faisais stopper et lui demandait de faire le beau, la belle, devrais-je dire. Je l’ai emmené jusqu'à la gamelle du chien et lui ai ordonné de laper un peu d’eau pour se rafraîchir. Elle mit un peu trop de temps pour se décider ce qui lui valut un coup de laisse sur les fesses. Son cul bien relevé me donna envie de lui enfoncer un doigt et elle le reçut sans broncher. Je savais, à ce moment que j’en ferais tout ce que je voudrais dorénavant.
Je lui ai caressé la tête et elle m’a prise en bouche sans que je le lui demande. Après quelques instants, comme j’en attendais encore plus d’elle, je lui ai donné l’ordre de se rendre dans la chambre, ce qu’elle fit aussitôt.
« Tu vas faire l’amour avec Sylvie, je veux vous voir vous gnougnouter. Dans cette maison, tu seras la chienne de tous ceux qui y habites, il va donc falloir t »habi à Sylvie. Je veux que tu la lèches de partout, que tu me la prépares parce que je veux la baiser devant toi.
Elles sont montées sur le lit et se sont enlacées. J’ai regardé avec appétit ce magnifique spectacle. Quand j’ai vu Sylvie suffisamment chaude, je lui ai fait l’amour en demandant à Virginie de prendre la caméra. Ma collection de films commençait à prendre de l’importance.
Puis, au repas, je leur ai parlé de Mathilde et Serge, disant que je désirais finaliser ma vengeance et que je comptais sur elles pour y parvenir.
Je n’avais pas terminé ma phrase que Virginie prenait le téléphone pour appeler Mathilde. « Bonsoir, chérie, chérie, je suis avec Sylvie et nous venons de vivre un super bon moment avec sa petite lopette de mari. Je suis sûr que Serge aimerait prendre encore un peu de plaisir. Que diriez-vous qu’on s’organise un petit weekend détente ? … Oui, c’est OK. Super, alors à vendredi 18 heures chez Sylvie ».

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