Une Commentatrice
Quelle suite donner à un commentaire suite à une publication ? Une commentatrice anonyme avouait prendre du plaisir à lire mon récit où je me faisais humilier suite à un pari perdu. Peut être sidentifiait-elle-même à mes dominatrices et aurait-elle voulu y participer pour y apporter sa touche et son expérience personnelle de dominatrice ? Elle me comparait dailleurs à son mari, qui selon elle, avait une ressemblance tout à fait spécifique avec moi.
Puis vint 2 ou 3 autres commentaires, minvitant à poursuivre mes textes, mais toujours aussi anonymes. Je me sentais frustré car jaurais bien aimé lui répondre et commenter ses commentaires. Quoi de mieux que léchange pour favoriser lécriture.
Et puis, au quatrième épisode, la commentatrice se dévoila et laissa une adresse mail. Je me fis un plaisir de la contacter. Sans aller trop dans les détails, je lui expliquai quon ne pouvait être réellement dominateur sans connaître la soumission, au moins une fois. Il est nécessaire davoir ressenti au moins une fois ce qui ce passe dans la tête dun soumis pour en connaître les limites et le plaisir de la domination. Je lui proposai donc un challenge : je téchange un weekend de domination contre un weekend de soumission. Jaccepte tes limites, il suffira de me les énoncer dans ta réponse.
Je fus étonné de la rapidité de la réponse, seulement 2 jours. Elle devait avoir réfléchi et probablement se dire quelle prendrait vite son avantage. Je passe sur les détails. Après avoir échangé nos tel, nous avons décidé quelle arriverait par le train et que je voulais quelle arrive en jupe. Elle ne connaissait de moi que mes récits et mon prénom, je ne savais delle que son prénom, et je lappellerai Julie.
« Comment allons-nous nous reconnaître ? Envoyez-moi une photo » mécrit-elle
« Pas besoin de photo, Julie, une gonzesse en jupe au mois de novembre, il ny en aura pas des centaines. Inutile aussi de prendre trop de fringues, tu seras souvent à poil ».
Je suis arrivé assez tôt à la gare, histoire de trouver le meilleur endroit pour la voir arriver. Jai choisi un endroit assez reculé ou je pourrais lapprocher sans quelle ne me voit.
Comme dhabitude, le train est arrivé en retard. Merci SNCF, cela ma laissé le temps de me préparer. Le train sest arrêté et les passagers ont commencé à descendre et dautres à monter. Jai vu quelques pépètes que jaurais bien voulu que ce soit elle. Allait-elle venir, avait-elle renoncé ?
Les passagers ont vite quitté le quai pour entrer dans la gare. Il ne restait plus quune femme, avec une petite valise, qui jetait des regards dans tous les sens, devant déjà pensé que je lui avais posé un lapin.
Alors, je me suis approché dans son dos et lui ai dit :
« Si tu es Julie, ne te retourne surtout pas. Prends ta valise et suis mes ordres. Elle a ramassé sa valise et à commencé à marcher.
« Prends lescalier sur ta droite »
Javais le regard fixé sur son petit cul qui se dandinait sous sa jupe. Arrivé sur le parking.
« Tu vois, la golf noire, tu vas ouvrir la porte passager, prendre le bandeau sur le siège et le mettre autour de tes yeux »
Elle sest approchée de la voiture, a ouvert la porte, sest posée le bandeau sur les yeux.
« Relève ta jupe pour me montrer ton cul »
Elle a semblé hésiter. Bien sûr, elle navait vu personne, jhabite une petite ville et peut être nétait elle pas habituée aux ordres.
« Tu seras punie de ne pas têtre exécutée de suite. Dépêche-toi si tu ne veux pas le regretter »
De ses 2 mains, elle a soulevé sa jupe, me découvrant son postérieur, son string me laissant apprécier son postérieur. Je me suis approché delle, lui ai claqué un coup les fesses et lai aidée à prendre place dans la voiture.
Quelques minutes après, arrivé à la maison, elle ma demandé la possibilité daller aux toilettes. Le voyage avait été assez long et il était impossible pour elle daller dans les WC du train, trop sales à son goût.
« Tu vas commencer par te mettre à poil, je veux déjà voir ce que tu mamènes. Allez, dépêche-toi, enlève tes fringues »
Elle a commencé par enlever sa jupe, puis son string a suivi. Cela a été pour moi un premier indice, elle avait plus confiance en son postérieur quà ses nichons. Le reste a suivi et quand elle sest retrouvée nue, et que je voyais quelle avait du mal à prendre sa position
« mets les mains sur la tête, ça redressera un peu tes mamelles. Tu disais dans tes commentaires que ton mari avait une petite bite, tu nes quand même pas de première fraîcheur. Tu as les mamelles qui tombent, le ventre rebondi et un début de peau doranges sur les fesses. Heureusement, tu as une belle bouche de suceuse » dis-je ne faisant le tour.
« Pour ce weekend, tu mappelleras Monsieur. Jespère que je naurai pas à supporter de jérémiades. Je veux que tu aies toujours les jambes écartées, pour être disponible à tout moment. Maintenant, je vais moccuper de ton besoin. Je vais aller chercher un seau, tu taccroupiras et pisseras dedans »
Je lai senti blêmir, je venais de trouver un nouveau point sensible. Sous ses airs de dévergondé dominatrice, elle était très pudique. Ce nest pas la nudité qui lui déplait mais le fait de juger son physique et de devoir sexhiber.
Je lui ai fait écarter un peu plus les jambes pour lui placer le seau et lui ai ordonné de sen rapprocher et de commencer à se soulager.
« Fais le calmement, en réglant le jet. Dabord doucement, puis tu pourras te lâcher quand je te lautoriserai. Elle a plié ses genoux pour se rapprocher du seau.
« Tout ce que tu mettras à côté, tu seras obligée de le nettoyer avec ta langue. Allez, commence »
Je regardais son entrejambe et rien ne se passait. Elle qui dominait tout jusquà présent ne dominait plus son envie de pisser, la gêne lempêchait. Je dus lui flatter un peu le cul pour quun petit jet vienne dans le seau.
« Libère-toi, ce nest quun début.
Un nouveau petit jet est sorti puis cela a été un véritable ruisseau. Elle ne mavait pas menti, elle avait réellement envie. Javais néanmoins choisi un réceptacle un peu trop grand, lavait peut être trop bien placé puisquaucune goutte nétait venue tacher le sol. Je lai essuyée avec une lingette et lui ai demandé de se redresser.
Jai posé mes lèvres sur sa bouche tout en défaisant son bandeau. Cest elle qui a cherché ma langue. Elle découvrait ainsi ma langue avant de me voir. Après lavoir longuement embrassée (elle a une bouche très fraîche), je me suis écarté pour quelle puisse me voir. Mais elle na pas baissé les yeux et a cherché à me regarder dans les yeux. Voulait-elle reprendre la main ? Une gifle est partie pour lui rappeler sa place.
« Baisse les yeux et pense plutôt à écarter les jambes »
« Oui, Monsieur »
« Cest bien, tu apprends vite. Un soumis doit être rapide, ne pas avoir le temps de réfléchir. La réflexion est pour plus tard. Après ce weekend, tu auras largement le temps de réfléchir où est ta place. As-tu faim ? »
« Oui, Monsieur »
« Alors, mets-toi à genoux, tu vas sucer ma petite bite, ce sera ton apéritif »
Elle sest mise à genoux, jai ouvert ma braguette, descendu mon pantalon, baisser mon caleçon et lui ai présenté ma bite quelle a immédiatement prise en bouche. Javais raison, cest une bonne suceuse. Mais quand elle a mis ses mains, aussitôt, je lai reprise :
« Pas besoin de tes mains, elle est petite, ta bouche suffira. Je veux sentir tes lèvres sur mon ventre, que tu creuses un maximum ta bouche. Suce, aspire et tu ne tarrêteras que lorsque jaurai joui. Elle sest activée. Pour que cela finisse au plus tôt ou espérait-elle que de me donner du plaisir pourrait lui permettre de reprendre le dessus.
Au bout de quelques minutes, me sentant venir, je bloquai sa tête pour éjaculer dans sa bouche.
« Avale ton apéro, puis nettoie ma bite »
Je ne sais pas si elle avait une grande expérience mais elle avala tout et continua à me sucer encore quelques minutes. Elle semblait satisfaite, devoir accompli et semblait attendre un compliment.
« Lève-toi, bouge ton cul et va dans le placard me chercher un verre. A côté, prends la bouteille de whisky et ramène moi un verre ».
Une minute après, elle me présentait mon verre.
« Tu vas devoir faire quelques efforts. Quand tu te déplaces, tu dois tordre du cul comme une salope pour me donner envie de tenculer et tu nes pas serveuse de café, alors, cest à genoux que tu dois me présenter le verre »
Elle sest agenouillée et a pris aussitôt une nouvelle gifle.
« Je tai dit de tordre du cul pour aller me le chercher, alors tu vas recommencer ».
Des larmes sont venues emplir ses yeux et elle a repris son aller retour en dandinant du popotin. Je me suis dit « elle est bientôt prête pour moffrir son petit trou ».
Je me suis installé dans le fauteuil, le verre à la main.
« Julie, tu vas te présenter, me montrer ton corps. Je veux tout voir et je veux que tu commences par tes mamelles. Elles ne sont plus très jeunes mais peut être pourras-tu donner un peu de vigueur à tes tétons. Puis, tu me montreras ta chatte et tu finiras par me montrer ton trou du cul »
Elle a pris ses 2 seins dans ses mains, les a malaxés, puis a tiré ses tétons pour essayer de les faire bander.
« Tu as tellement lhabitude des petites bites que tu ne sais pas donner un peu de vigueur à tes tétons. Approche les que je men occupe ».
Jai pincé ses tétons, les ai fait rouler dans mes doigts, mais je nai rien réussi de spectaculaire.
« Bon, tes mamelles ne sont pas terribles. Peut être que quelques coups de cravaches pourraient leur faire du bien. Montre moi ta chatte, écarte les jambes et ouvre là avec tes doigts que je te vois bien »
Elle a du faire de gros efforts pour écarter les jambes, s écarter les lèvres pour moffrir ce magnifique spectacle.
« Mais, tu mouilles, salope, tu es trempée. Tu prends plaisir à texhiber ? Tu commences à aimer cette place ? »
« Non, Monsieur »
« Branle-toi, je veux tentendre jouir, je veux tentendre couiner »
Elle sest mise à titiller monsieur clito et a commencé à gémir.
« Mets tes doigts dans ta chatte, trouve ton plaisir. Active toi, montre moi ce que tu sais faire »
Aussitôt dit, aussitôt fait et quelques minutes plus tard, cétaient de grands râles.
« Stop. Maintenant, je veux voir le verso. Retourne toi et écarte bien les fesses ».
Elle sest retournée, sest penchée, a posé ses 2 mains sur ses fesses et les a écartées. Magnifique spectacle. La grande dame dominatrice me montrait son trou du cul, trou du cul qui navait pas du être trop utilisé tant il semblait serré.
« Ton trou du cul est dégueulasse. Il est plein de poils et jimagine lintérieur. Tu aurais pu te préparer. Tu devais bien imaginer quavec ma petite bite, jallais moccuper de préférence de ton petit trou plutôt que ta chatte béante. Reste comme tu es, je vais chercher le nécessaire pour te rendre plus présentable ».
Je suis allé chercher ma mousse à raser et un rasoir, ainsi quune poire à lavement. Jai appuyé sur la bombe et la mousse est venue sétaler sur sa raie. Jimaginais ce qui se pouvait se passer dans sa tête en ce moment. Y prenait-elle plaisir ou pensait-elle déjà à sa vengeance ? Je me suis appliqué à lui enlevé les quelques poils qui salissaient son petit trou. Puis, jai approché la poire du petit trou, posé lembout et lai enfoncé. Jai appuyé sur la poire pour lui injecté le liquide.
« Mets toi un doigt dans le cul pour faire bouchon, tu as besoin dune dose supplémentaire ».
Elle sest contorsionnée pour senfoncer un doigt et je suis allé remplir la poire. Dès quelle a enlevé son doigt, je lai remplacé par la canule et jai injecté une nouvelle dose. Puis, je lui ai demandé une nouvelle fois de remettre son doigt, le temps daller chercher le seau et de le placer derrière ses fesses. Elle a retiré son doigt et sest lâchée.
Une fois vidée, jai sorti mon sexe et je lai enculée, malgré son cri lorsque mon gland la e. Son trou était bon, bien serré. Je lai prise par les cheveux pour lui faire tourner la tête, je voulais voir ses yeux pendant que je la prenais, je voulais voir si cétait plaisir ou haine. Peut être y-avait-il un mélange des 2 car ses yeux montraient les 2.
Le plaisir a du prendre le dessus car jai vu son cul rechercher la pénétration. Nous avons joui ensemble.
Je suis allé déboucher une bouteille de champagne, lui ai servi une coupe et lai invitée à se rendre à la salle de bain. Elle sest assise dans la baignoire et je lai lavée. Tout dabord les cheveux puis je lui ai demandé de se lever pour moccuper de son corps. Jai insisté sur les endroits qui mattiraient le plus, lui faisant écarter les jambes et les fesses. Puis, je lai rincée et séchée.
Ensuite, je lai invitée à passer à table. Elle avait besoin de se requinquer. Le dessert englouti, je lui ai ordonné :
« Lève toi, et viens tinstaller en travers de mes genoux, jai envie de te fesser, de rougir ton cul. Il a besoin de reprendre de la fermeté et une petite séance sur ton séant te fera le plus grand bien »
Elle a rougi et est venue sinstaller. Jai commencé par les caresser, malaxant les 2 globes, jaugeant leur fermeté, laissant glisser mes doigts dans sa raie. Son petit trou sétait détendu et semblait plus réactif, je le sentais presque respirer. Puis, jai commencé à claquer ses fesses qui se sont aussitôt resserrées. Jai fait rougir son charnu ainsi que les hauts des cuisses. Je nai pas eu besoin de frapper fort, tant son cul rougissait à chaque frappe. Je ne voulais pas cette première fessée punitive mais je voulais quelle apprenne à me présenter son cul. Je voulais quelle me loffre pour notre plaisir.
Après une dernière caresse sur son joufflu, je lui ai dit :
« Relève toi, je veux immortaliser ce moment. Je vais te prendre en photo et nous aurons un souvenir de ta première fessée. Tourne ton cul vers moi, cambre toi un peu pour le mettre en valeur, regarde lobjectif quon voit aussi ton visage. Si tu le veux, on en enverra un exemplaire à ton mari, je pense quil aimerait te voir ainsi ».
Javais atteint un nouveau point sensible, son visage devint furieux et elle cria un grand « NON ».
« Ne tinquiète pas, il nen saura rien mais pour palier à ton manque de volonté, nous allons aller nous coucher, tu es fatiguée, mais avant de dormir, tu vas me lécher les couilles, me sucer, me caresser. Je veux que tu me montres comment tu es capable de toccuper de ma bite »
Nous sommes allés à la chambre, je me suis étendu sur le lit, jambes écartées, bras en croix et je lai laissée faire. Cest avec une énorme délicatesse quelle sest occupée de moi. Après avoir joui dans sa bouche, je lai prise dans mes bras, je lai embrassée et ma langue a joué avec sa langue. Elle a écarté ses jambes et je lai pénétrée. Nous avons joui ensemble et nous nous sommes endormis.
Je ne sais pas quels ont été ses rêves cette nuit mais ils ont du être calmes puisque le lendemain, lors de notre réveil, nous étions encore enlacés.
« Bonjour, Julie, tu as bien dormi ? »
« Oui, Monsieur, il y a bien longtemps que je nai pas passé une telle nuit »
« Suce-moi pendant que je texplique ce qui va se passer aujourdhui. »
Elle sest précipitée sur ma queue.
« Aujourdhui, je vais te présenter. Jai invité quelques amis qui ont hâte de découvrir ton anatomie. Tu dois apprendre à gérer ta pudeur. En attendant, présente moi ton cul, jai besoin de me vider »
Elle a délaissé ma bite pour me présenter sa rondelle. Quel bonheur davoir un trou du cul pour mouvrir lappétit avant le petit dej. Jai pris le flacon de gel, en ai versé quelques gouttes sur son anneau, ai enfoncé un doigt pour lassouplir puis je me suis enfoncé. Un petit râle ma montré quil y avait eu une petite progression depuis son expérience dhier. Je lai pilonnée puis je me suis lâché.
Et puis, nous avons pris un petit déjeuner tranquille et javais bien trop préparé pour nos 2 bouches.
« Je vais devoir te préparer, jai invité quelques amis et tu vas être mise à lhonneur. Je voudrais que tu ne me déçoives pas, que tu fasses ton meilleur pour que je sois fier de toi. Je vais laisser toute liberté à mes invités, mais je ne souhaite pas quil te fasse mal, sauf si tu le désires. Tu vas accepter pour moi et me montrer ce que tu peux faire pour moi. Tu as toute liberté de refuser, je peux tout annuler mais sache quil me ferait très plaisir que tu te plies à mes désirs. Je te laisse le temps de ta douche pour réfléchir »
Et je me suis approché delle pour lembrasser.
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