Magasin Pour Le Plaisir Des Femmes
En passant.
Mon chef et moi avons des rapports peu communs entre chef et employée: nous sommes amants depuis que je suis dans la boite. Il est marié, ne ma jamais rien promis, sinon sa bite souvent. Je ne le trompe pas par manque de temps et pour ne pas avoir de problèmes éventuels de jalousie.
Je vais au travail à pieds: je ne suis quà 5 minutes. Je part toujours une peu plus tôt pour musarder en regarder le vitrine. Cet été, je ne me pose pas de problèmes existentiels: aussi curieuse je mintéresse à tout, particulièrement à un magasin fermé qui semble avoir changé de propriétaire.
Qui, pourquoi faire, homme, femme, je suis curieuse et veux savoir. Rien à faire pour le moment. Cest bien bouché et pourtant jai bien vu bouger quelque chose. Jen aurai le cur net. Au retour vers 15 heures 05 (cest précis) je vois enfin une personne sortir de cet immeuble. Je crois que cest une femme. Désormais je me mue en policière amatrice. Je vais attendre sur place, pendant le temps quil faudra, tant pis pour le bureau, je raconterai une belle histoire et mon chef « bien aimé « me comprendra, come toujours.
Je fais le pied de grue jusquà 13 heures quand je vois une jolie fille se dirigeant vers la façade. Je vais vers elle en me dépêchant pour être bien sure de linterroger. Jai juste le temps, enfin je vais savoir, mon rôle de flic sera terminé.
- Excusez moi, je suis indiscrète sans doute, jaimerai savoir quel genre commerce va ouvrir.
- Ne vous excusez pas. Jouvre la semaine prochaine un magasin destiné au plaisir féminin.
- Au plaisir féminin ?
- Cest tendance ces derniers temps.
Jai sans doute lair ahuri.
- Entrez je met en rayon: je ne peux pas laisser à la vue de tous ce que je vend.
Elle me fait entrer dans un caverne dAli Baba: des cartons ouverts en cours de déballage, certaines étagères sont remplis de produits à vendre dans des petits paquets.
Nous revenons dans la salle principale. Enfin elle me montre ce quelle va vendre: des jouets féminins allant du simple godemichet jusquau plus inventif. Elle y a des stimulateurs pour clitoris, pour prostates, des doubles godes pour utiliser seule ou à deux, des boulles de geisha, entre autres. Le principal mérite une attention particulière une machine à baiser accompagnée de plusieurs godes de tailles différentes. Elle prend un double gode:
- Si nous étions amantes, je me servirai de ce gode que je mettrai dans ma chatte avant de vous le mettre dans la votre. Avant jaurai taquiner le clitoris et mis un chapelet dans lanus. Elle me le montre même. Ce discours, la vue de ce quelle tient me donne une envie folle de jouir. Jai mon string totalement mouillé. Elle me fait une confidence:
- Jai envie de toi.
- Moi aussi.
Je répond sans trop savoir ce qui va ce passer. Le début est des plus simple; elle me prend la bouche, sa langue est vite contre la mienne. Je la laisse faire ce quelle veut. Heureusement que la porte est fermée: nous aurions lair fines à nous exhiber ainsi.
Malgré moi je suis attirée par son corps, je me serre contre elle. Mes seins durcissent comme si mon patron était avec moi. Elle soulève ma jupe, passe sa main dessous. Il me tarde quelle arrive en haut pour me caresser la chatte. Je me contente comme je peux en mettant mes mains sur sa poitrine: beaux seins durs comme de la pierre.
Enfin elle engage deux doigts sous mon string. Elle trouve bien vite le clitoris. Je tends mon ventre vers elle. Mon minou est encore plus mouillé que tout à lheure. Je veux embrasser sa poitrine, je trouve la faille: elle porte une chemise dhomme. Je défais les boutons: elle est nue dessous. Ma bouche nattend pas pour aller sucer ses mamelons. Elle en profite pour gémir en disant
- Oui, cest bon,
Et en cherchant comment me mettre toute nue.
Elle se relève pour que nous allions dans la salle dessayage. Elle a prit ce quil fallait pour nous accompagner. A peine dans le pièce, nous nous mettons nues. Je lui pose les questions qui me brulent la langue: --- Tu sais baiser les filles ?
- Pas plus que toi.
- Pour la suite ?
- Ca viendra tout seul.
Cest venu tout seul quand avant de nous branler nous nous mettons en 69. Notre première étreinte féminine. Cest excitant, jouissif, à ne pas cesser tellement nous aimons cette position. Nous jouissons ensemble pour cette première. Nous recommençons plusieurs fois en alternant celle sui est dessus. Elle me donne le chapelet: je ne sais pas trop comment men servir, à tout hasard jentre les boules de la plus petite à la plus grande. Je vois louverture de son anus souvrir à chaque passage et se fermer après introduction. Je vois tout, bien sur je suis plus quexcitée: elle me voit mouiller alors elle me lèche encore.
Je sors très lentement les boules. A chaque passage le phénomène inverse à lentrée se produit: plus quexcitant. Pour elle cest le bonheur assuré: elle jouit à chaque sortie. Je fais trainer volontairement la sortie pour que son plaisir dure. Quand jen suis à la dernière boule elle cri quelle jouit, quelle va mourir après ça.
Cest à mon tour de passer à la casserole: elle se sert du stimulateur de clitoris. Cest encore meilleur que ce que je croyais. Ces engins sont réellement fait pour les femmes, surtout maniés par une autre femme.
Nous ne sommes pas rassasiées. Nous prenons un double gode. Nous sommes couchées fesses contre fesses.
Il nous manque le principal: la machine à baiser. La « funck machine« . Nous la montons avec difficultés, toujours nues, ce qui nous permet de nous amuser en pinçant un sein, une fesse. Nous tirons au sort pur savoir que va lutiliser la première. Ca tombe sur elle.
Elle est presque assise sur le siège en face du bras principal. Elle choisit son gode particulier. Je le monte sur la bras: avant je lai mis dans ma chatte. Il est mouillé: elle attend fébrilement:
- Vite, mets moi le, jen meurs denvie.
- Comme moi.
Je lui donne le gode quelle entre à peine dans sa conduite. Je mets la machine en route. Elle commence des allers et venues lents. Elle a les bras sur sa tête tournée vers une épaule, les yeux déjà fermés par le début de plaisir. Jaccélère les mouvements, elle gémit de plus en plus fort.
Je la regarde en me masturbant avec deux doigts dans mon conduit à plaisir, elle prend son pied cest certaine: elle gémit de plus en plus fort pour finalement hurler quand elle jouit. Cette fois elle est flapie:
- Arrêtes un instant. Je vais te baiser avec.
- Oui, tu peux même menculer en même temps.
Cest bizarre que je demande à une autre fille de me sodomiser. Jen profite encore plus en lui demandant une double pénétration, chose que je nai pas pratiqué depuis au moins que je suis entrée là où je travaille.
Pas contrariante, elle arrange deux godes sur les bras, elle prends ma cyprine pour mettre sur mon anus quelle caresse à sa façon, en y entrant doucement deux doigts. La garce, elle va me faire jouir trop tôt. Elle calcule bien son coup pour que mon plaisir soit le plus fort; elle me fait mettre sur le ventre. Mes jambes sont ainsi bien écartées.
Je sursaute quand elle met la machine en route. Je me fait baiser et enculer à la fois: elle a réglé magnifiquement les mouvements alternatifs des godemichés. Je ne sais comment me mettre. Je résiste tant que je peux à ce plaisir qui monte depuis mon entrejambe jusquà ma tête, en descendant le long de la colonne vertébrale pour remonter vers ma poitrine. Je mentends gémir de plus en plus. Je crois avoir crié en jouissant. Pour accompagner mes orgasmes, elle vient me caresser le dos et les fesses, surtout les fesses. Elle passe un main dans ma raie jusquà venir contre le gode.
Je demande à me relever, je nen peux plus de jouir. Elle maide à me relever.
Nous nous serons encore une fois en nous embrassons.
- A propos, je mappelé Jo. Et toi ?
- Moi ? Jacky.
- Tu as bien joui Jack ?
- Je nai pas joui jai survolé le mont des plaisirs. Et toi ?
- Tu ma bien baisée. Jai aimé.
Lheure a rapidement tournée, il est 22 heures. Nous sommes toujours dans la tenue dEve, sans vouloir nous rhabiller. Jai envie de la surprendre.
Je passe un coup de fil à mon patron. Il répond après un long moment. Je crains de lavoir surpris dans une activité normale.
- Bonsoir, excuses moi. Je ne baisais pas ?
- Si jenculais ma femme.
- Comme tu me fais ,
- Bien sur, il ny a pas trente six mille façon de sodomiser son épouse: elle aime comme moi
..comme toi aussi.
- Javais une proposition à te faire: viens chez une copine, nous baiserons en trio. Tu men a déjà parlé une fois. Tu es partant.
- Jaimerai bien, mais ma femme.
- Emmènes là.
Ainsi nous nous retrouvons trois filles et un homme qui nous voyant nues, Jo et moi, commence à bander. Sa femme que je ne connaissais pas me parait bien baisable pour un homme en tout cas, pour une partie avec dautres femmes je ne sais pas, il faut lessayer. Cest Jo qui soccupe delle, pendant que jembrasse le patron. Je passe ma main sur sa bite; il bande déjà, je sort lengin, celui qui me permet de rester avec lui: elle est parfaite pour mon vagin et ma bouche. Mon cul lapprécie. Je ne veux pas le faire jouir maintenant, je ne voudrai pas le faire même, jaimerai le voir baiser sa femme.
Jo en tout cas nest pas de cet avis: elle voudrait se la payer. Guéty, la femme semble daccord:
- Ca me rappelle quand jétais jeune que je baisais une copine.
- Tu es garce, ajoute son marie, quand je te demande den baiser une tu refuses
- Je te le refuse, mais jamais quand une autre femme me le demande.
Je ne participe pas à la discussion: il me la bien demandé aussi deux ou trois fois. Maintenant il a trois femmes à sa disposition. Il peut se les farcir toutes sil me veut.
La femme, Guéty semble du genre sensuelle. Elle est en plus très coquine: elle attaque bille en tête Jo en lui passant une main entre les cuisses. Elle ne trouve aussitôt le bouton quelle branle; Jo se tortille en tous sens en geignant. Elle me donnent envie moï aussi de participer à leurs caresses. Je vais derrière Guéty, caresse ses fesses avant daller sans hésitation sur son anus: je sais quelle a été enculée tout à lheure. Jespère même que du sperme est en elle. Je sens bien quelle est mouillée, ce nest que de la cyprine. Mon doigt suivi de deux autres entre facilement. Pour elle le paradis est proche avec une main dans son cul et une autre dans sa chatte. Je suis obligée de la tenir pour quelle ne tombe pas.
Enfin son mari bouge, je ne sais vers qui il va aller: si cest Jo, elle est occupée par la main de sa femme. Il ne reste plus que moi à venir chatouiller. Cest bien ce quil fait. Il membrasse dans le cou, il me fait frémir. Il passe sa main sur ma poitrine, il la connais déjà aussi il sait quoi me faire. Je sens sa bite contre mes fesses, pile sur la raie. Il me tarde quil descende sa main vers mon abricot. Cest-ce quil fait: il me caresse le clitoris, lentement, trop lentement. Je sens que son corps se détache du mien: il est baissé pour me mettre sa pine dans le cul lentement comme il fait toujours, avant daller totalement au fond et de revenir. Il sort de mon anus pour menculer à nouveau. Il est le seul à mavoir faite jouir ainsi.
Jo est branlée par la femme du patron qui mencule, elle caresse sa femme que je pénètre avec mes doigts dans son anus, pendant que je me fait également enculer par le patron. Drôle de répartition des rôles. Nous sommes tous secoués par le même raz de marée: nous jouissons presque en même temps. Jai une bonne dose de sperme dans le ventre.
Jo a lidée épatante de mettre à lépreuve Guéty avec la machine à baiser. Nous sommes tous en spectateurs: elle se met sur le siège, écarte bien les jambes avant de recevoir un gode spécialement choisi pour elle: une véritable monstruosité. On dirait une bite de cheval. Guety dispose les étriers comme sur une table de gynécologue. Jo les écarte au maximum. Elle met la bite en contact avec le con de cette femme: elle lenfonce par degré dans le ventre Guety hurle de douleur au début: son vagin sécarte fort bien ensuite. Le gode entre finalement facilement. Guety ne se plaint plus, elle gémit de bonheur. Nous restons stupéfaits devant la grosseur « avalée ». Les réactions ne se font pas entendre: elle comment à geindre puis à crier plusieurs fois quand elle reçoit ses orgasmes. Pour être bien dans sa jouissance, elle demande à son mari de lui donner sa bite. Elle la suce en professionnelle, En bonne camarade elle veut le partager le sperme avec nous, ce que nous faisons.
Le jour se lève: nous nous rhabillons tous pour aller déjeuner dans le bistrot du coin.
Si mon patron ne fait jamais allusion à cette nuit là, par contre avec Jo nous nous voyons souvent pour « essayer » les nouveautés. Sa boutique marche du feu de dieu: les femmes sont bien présentent sur ce marché. Quand à Guety, nous la voyons souvent juste pour tirer un coup vite fait, trop vite fait. Elle vient quelques fois pour se branler avec la machine à baiser.
Joubliai: je porte des boules de geisha; je suis toujours prête pour baiser.
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