Secretaire Très Particulière !
Avec mon amie Marion, un soir, nous trompions notre ennui en regardant un DVD porno de Mandingo. Nous nous caressions chacune de notre côté. Marion était de mon âge, blonde comme moi, la poitrine un peu plus grosse et des jambes aussi jolies que les miennes. Tous les hommes de la boîte où nous travaillons auraient bien voulu faire l'amour avec l'une de nous deux ou avec toutes les deux ensembles.
« Dis donc, me dit Marion, la queue de cet acteur dépasse l'entendement, elle est énorme ! Je crois que j'aimerai être à la place de la fille...
- Tu sais, les noirs ont souvent un sexe aussi important. Tu connais Gérald le magasinier des fournitures diverses, il a presque le même...
- Eh comment tu sais ça toi, tu l'as vu ? »
Je réalisais que j'en avais peut-être trop dit, mais il fallait maintenant donner une explication, c'était une bonne copine ça resterait entre nous. Je bus un verre pour me donner du courage et lui racontais les épisodes des inventaires. Elle écouta attentivement.
« Confidence pour confidence, moi aussi, je vais te raconter quelque chose, ainsi, on sera quitte. Nous connaîtrons les petits secrets de l'autre. »
Elle commença son récit :
J'avais été mutée à l'entrepôt en tant que secrétaire. Tu te rappelles qu'a cette époque le personnel commençait à être réduit. Là, il y avait Mikael qui gérait les deux étages, Bertrand le magasinier conducteur du chariot automoteur et un intérim qui s'occupait des charrois, Ludo, je crois.
J'avais des vues sur Mikael, cela faisait pas mal de temps que je lui faisais du rentre-dedans, mais jusqu'à présent sans trop de résultats. Souvent en sa présence lorsqu'on était seul, ma jupe remontait et découvrait largement mes cuisses. Je lui laissais apercevoir mon string voilé par mes collants... Eh oui, c'était la mode !!
Mais dès que j'ai pu être en permanence avec lui dans le bureau, j'ai vraiment testé mon pouvoir de séduction.
Un jour où je lui demandais certaines explications sur le boulot, il déplaça son siège et vint s'asseoir à côté. Mon cur se mit à battre plus vite. J'avais déjà commencé à laisser glisser le pan de la jupe. La moitié de ma cuisse était découverte. Ses yeux s'y portèrent aussitôt, un léger mouvement et elle s'écarta encore. Il commença ses explications, je me tournais légèrement vers lui ce qui découvrit entièrement ma cuisse. Je sentis alors sa main droite se poser sur mon genou, et commencer une lente progression vers le haut de ma jambe, au plus sa main montait, au plus j'écartais les jambes.
Mais l'ouverture de la porte des escaliers et des bruits de pas stoppèrent notre petit jeu.
Pour déjeuner, je ne quittais pas l'usine. Je prenais mon repas dans le petit vestiaire attenant au bureau. Mikael rentrait vers les 13 heures, nous étions seuls pendant une grande demi-heure.
Lorsque je l'entendis rentrer dans le magasin, je l'appelais du fond de celui-ci. J'avais choisi un endroit où l'on ne pouvait pas nous apercevoir, cachés par les palettes remplies de gros cartons. Je faisais semblant de compter de la marchandise penchée en avant. Il s'approcha doucement, posa ses mains sur ma taille, les descendit sur mes cuisses, écarta ma jupe. Je me tournais vers lui, et l'embrassais avec passion. Ses mains remontèrent enserrèrent mes seins, il souleva mon pull, baissa les bonnets du soutien-gorge et il suça mes tétons qui se dressèrent aussitôt.
Écartant à nouveau la jupe, il s'attaqua à quitter le collant et le string, ce qui ne fut pas une mince affaire ! La position ne s'y prêtait vraiment pas.
« Putain, tu mouilles fort me dit-il
- Mets-moi vite ta queue, répondis-je en rigolant, c'est bientôt l'heure »
Il attrapa mes hanches, et d'un seul coup enfila son sexe. J'eus un hoquet de plaisir. Au bout d'une dizaine de va et vient, il me dit qu'il valait mieux cesser car c'était bientôt l'heure, mais que nous remettrions ça en s'organisant mieux.
L'après-midi au bureau face à face, je ne le quittais pas des yeux pour voir si j'avais réussi à atteindre mon objectif. Il se leva, passa derrière moi, comme pour regarder mon travail. Je sentis ses mains se poser dans mon dos sur l'attache de mon soutien-gorge. Il le dégrafa, cela me fit frissonner.
Sur mon épaule, il prit la bretelle gauche et lentement la fit descendre le long de mon bras jusqu'à ma main, il la sortit de la bretelle. Il fit subir le même traitement à la bretelle droite, je mouillais comme une petite folle. Passant une main dans mon pull sur le devant il attrapa le soutien-gorge et me l'enleva, je gémis de plaisir, j'étais trempée.
Il me releva et m'embrassa avec tendresse. Pour le porte-jarretelles, je ne voulais pas avoir l'air de céder trop vite à ses désirs, mais j'en avais acheté deux un noir et un blanc ainsi que des bas noirs. Le lundi suivant, je portais une robe droite, bariolée d'anneaux noir et blanc, je la portais sans ceinture, elle était assez ample. Après qu'il m'eut ôté mon soutien-gorge, ce qui me faisait toujours autant d'effet et me laissait pantelante, il s'était assis à sa place, je me positionnais à côté de lui, à sa droite, me penchait les coudes appuyés sur le bureau.
« Je t'ai écouté... vérifie... »
Sa main droite se posa dans le creux derrière mon genou et commença une lente ascension, mes jambes s'ouvraient.
«Tu as aussi quitté ta culotte, petite salope... Putain ce que tu mouilles me dit-il en ajoutant deux autres doigts dans ma vulve...
- Ouiiii !! Hoquetais-je, c'est vrai tu as raison, c'est plus pratique comme ça et dorénavant je porterai des porte-jarretelles et je ne mettrais plus de string !!! Tu aimes que je sois ainsi ? Ça te fait bander ? Ça t'excite de penser que les autres puissent deviner que suis nue dessous ?»
Je ne regrettais jamais la décision que j'avais prise ce jour-là ! Mikael arrivait vers 12 heures 50 de la pause de midi, il me rejoignait dans le petit vestiaire et nous baisions jusqu'à 13 heures 25. Nous faisions plein de jeux érotiques tout au long de la journée. Il me demandait lorsque Bertrand était assis à son bureau, qu'en rangeant les papiers dans les différents casiers qui étaient posés sur son pupitre, de bien me pencher en avant et de lui laisser voir mes seins par l'entrebâillement de mon chemisier ou l'échancrure de mon pull. Prise au jeu, car cela m'excitait, je le faisais volontiers. Souvent je venais m'appuyer sur le bureau à côté de lui, pour qu'il me fasse un bon doigté ou m'enfile un énorme feutre, qui servait à écrire sur les palettes, et qui était bientôt enduit de mon foutre. J'en arrivais presque à jouir, mais avant l'explosion finale, je me dégageais en riant et partais m'asseoir sur ma chaise. Le laissant sur sa faim la queue raide et grosse.
«Demande et je t'obéis...
- Bon d'accord, voilà ce qu'on va faire.
Il s'approcha de moi me fit lever et me demanda de m'asseoir, en faisant bouffer ma robe, les fesses nues posées sur le tissu de la chaise. Il releva le bas de la robe à hauteur des attaches du porte-jarretelles, on voyait ainsi la bande plus foncée des bas... Il avait reculé la chaise et m'avait légèrement tournée vers la place du magasinier. Le bureau possédait de grandes baies vitrées et était inondé de lumière, un rai de soleil m'éclairait.
«Tu restes ainsi, et lorsque Bertrand sera assis à son bureau au moindre mouvement ta jupe remontera et il pourra s'apercevoir que tu as des porte-jarretelles... Et il pourra peut-être entrcevoir ta chatte... si elle remonte assez haut... !
- Ça me convient répondis-je... »
Ce ne fut pas Bertrand, mais le jeune intérim qui fit irruption dans le local et s'assit au bureau, je regardais Mikael. Il avait saisi le gros feutre ruisselant de foutre et le suçait consciencieusement, l'entrant et le ressortant doucement, il me regardait avec des yeux lubriques. Malgré moi, mon bassin ondula deux ou trois fois vers l'avant. Effectivement, ma jupe remonta, découvrant les deux attaches du porte-jarretelles et une bande peau assez conséquente. Je jetais un coup d'il à Ludo, son regard était fixé sur mes jambes. Ma vulve se contractait... je frottais mes cuisses l'une contre l'autre, la robe remontait de plus en plus.
« C'est bon ton truc ? Me demanda Michel, comme s'il me parlait du boulot
- Oui, c'est fait...
- Tu devrais espacer un peu plus les lignes, le client aurait un meilleur aperçu !! »
Je compris ce qu'il voulait dire, en souriant, j'écartais doucement les jambes, me tournais légèrement vers l'intérim, pour lui demander un renseignement, le laissant plonger son regard entre l'entrebâillement de mes cuisses, puis ramenais lentement la chaise et mes jambes entièrement sous le bureau. Ludo ne devait plus savoir quoi penser, se demandant si c'était sciemment ou par hasard qu'il avait entrçu ma chatte. Il sortit précipitamment du bureau et nous l'entendîmes dévaler l'escalier.
« Tu es arrivé à tes fins ! Ma chaise est trempée... Et il a du penser que j'étais une vraie salope de lui laisser voir mon porte-jarretelles et je crois qu'il a vu que je n'avais pas de string »
Mikael me demanda de venir à côté de lui, il passa la main sous ma jupe, insinua son majeur dans mon intimité.
« Eh bien, ça t'a plu, on dirait, ta chatte coule littéralement !!
- Oui, c'est vrai... Masturbe-moi, fais-moi jouir maintenant... !
- À une condition, vu l'état dans lequel tu l'as mis, s'il tente quoi que ce soit avec toi, tu me racontes... Promis !!
- Oui, oui, mais fait moi jouir, je ne tiens plus ! »
Le gros feutre entra en action. Au cours de semaine suivante, je fis mon rapport sur le petit événement qui s'était produit.
« Tu sais, ce matin, j'étais penchée sur une palette, on devait largement apercevoir les lanières et les attaches de mon porte-jarretelles sur l'arrière de mes cuisses, Ludo était derrière moi et en me disant bonjour, il m'a tenu la main et me l'a pressée sur sa bite. Il n'est pas grand, mais je crois que je n'ai jamais tâté une queue aussi grosse et dure. Je l'ai bien senti, elle est énorme, car il a insisté assez longtemps. Cela ne m'a pas déplu, mais je ne lui ai pas montré.
- Bien ça, il prend de l'assurance... mais il va falloir le surveiller le bougre...! »
Mais ce fut lui qui nous surveilla. Il dut percer à jour notre petit manège de la pause déjeuner, car plusieurs fois, nous entendîmes des bruits, derrière la porte quand nous étions enfermés dans le vestiaire.
Nous étions persuadés qu'il nous regardait par le trou de serrure, nous l'avions plusieurs fois surpris trainant dans l'allée jouxtant le local, faisant semblant de vérifier une palette. Tout excités, nous décidâmes de lui faire profiter pleinement de nos ébats. J'espérai secrètement pouvoir bénéficier de sa grosse queue. La table sur laquelle nous faisions l'amour se retrouva bien en face du trou de la serrure, nous vérifiâmes que la vue était parfaite. Le lendemain, je nous enfermais et ôtais la clef de la serrure pour qu'aucun obstacle ne gêne la vue. Nous retenions notre respiration espérant de ne pas nous être trompés. Nous entendîmes la porte de communication avec le magasin s'ouvrir tout doucement. Mikael s'approcha de moi, m'embrassa avec tendresse, sa langue écartant mes lèvres, tandis que ses doigts commençaient à défaire lentement les boutons de mon chemisier. Il avait une façon de me déshabiller que j'adorais. Chaque endroit qu'il dénudait était aussitôt couvert de baisers, ou léché tendrement. Il me quitta mon chemisier dénudant délicatement mes seins, et tout en me suçant les mamelons me coucha sur la table.
« Tu aimes qu'on te regarde, hein ? Me dit-il avec un clin d'il, assez fort pour que Ludo l'entende. Regarde tes tétons comme ils pointent, il me les tira vers le haut, cela m'arracha un gémissement. Montre-nous le reste, maintenant...
- Oui, j'aime faire bander les mecs, surtout s'ils ont une grosse queue... »
Il défit la fermeture éclair de ma jupe, et tira lentement celle-ci vers le bas, il la laissa tomber par terre en faisant attention de ne pas se mettre en face du trou de la serrure.
« Putain ce que tu es belle avec tes bas et ton porte-jarretelles... Allez écarte les jambes, pour bien nous montrer ta chatte, petite salope. Imagine qu'il y ait quelqu'un qui te mate par le trou de la serrure... Oui, c'est ça écarte encore plus, montre lui... Attends, j'écarte tes lèvres pour bien lui monter l'intérieur de ta chatte... Putain, on dirait que ce que ça t'excite... Regarde mes doigts, ils sont couverts de ton foutre. Fais voir... Regarde mes trois doigts entrent tout seuls... Je vais bien dégager ton clitoris en lui faire profiter du spectacle...Voila, un coup de langue sur le petit bouton...Salope tu aimes qu'on te le suce, il est gros comme un petit pois. Au fait, si c'était le cas, tu préfèrerais que se soit Bertrand qui regarde ou Ludo ?
- Ludo, répondis-je assez fort, il a une queue énorme...
- Mais tu coules littéralement petite salope... Attends, je vais boire ton jus... »
Il passa entre mes cuisses, je sentis sa langue s'insinuer dans ma fente, ses lèvres enrober mon clitoris, mon bassin se mit à onduler et je poussais de petits cris... Ses mains malaxaient mes seins.
« Tais-toi, pas si fort... Tu vas exciter notre voyeur... »
Il avait quitté son pantalon, il se releva, il me caressa la chatte avec sa bite, n'enfonçant que le gland, titillant le clitoris avec un pouce. Il me sembla que cette douce caresse s'éternisait...
« Baise-moi, maintenant, vas-y enfonce moi ta bite, je n'en peux plus... Je te veux »
Je regardais en direction de la porte avec des yeux de velours. Mikael s'exécuta, j'accueillis avec délice sa queue, d'autant que je savais que Ludo nous regardait, nous avions perçu ses halètements à travers la porte. Cela dut m'émoustiller, car j'atteignis rapidement la jouissance et me libérais avec un cri de plaisir étouffé. Mikael éjacula peu après. Dans le silence qui suivit notre contentement, nous entendîmes la porte se refermer doucement, Ludo était parti. Mikael prit la clef et ouvrit lentement la porte du vestiaire pour s'en assurer, j'étais descendue de la table, nue ramassant mes habits.
« Regarde me dit Mikael, c'est quoi ce liquide sur la porte, il n'y avait rien tout à l'heure ? Du sperme ? Goutte...c'est toi la spécialiste !! »
Je prélevais une goutte sur mon index, et le suçais.
« Oui, c'est bien du sperme ! Ludo a éjaculé contre la porte !
- C'est de ta faute, me dit Mikael, tu es tellement belle et tu l'as tellement excité... Il va falloir nettoyer. Tu veux bien le lécher ?
- Ce que tu ne me fais pas faire, dis-je en m'accroupissant et je commençais à lécher la trainée visqueuse à petits coups de langue, ça y est il n'y en a plus... pas mauvais du tout, dis-je en déglutissant !!
- Rien à dire, tu es une vraie petite salope... »
À genoux, derrière moi les mains posées sur ma taille, caressant mon porte jarretelle, il me léchait le dos à petit coup de langue. La porte du magasin aurait pu s'ouvrir à nouveau, nous n'en avions rien à faire...
« Mais je t'adore. Ludo va surement tenter quelque chose avec toi maintenant... Je ne t'empêche pas si tu en a envie de le laisser faire, mais promets moi de me le raconter... »
Il me pressa contre lui, et nous échangeâmes un baiser passionné plein de sperme de Ludo.
On ne cessait d'inventer d'autres jeux érotiques, j'en étais la pièce maîtresse, mais cela me plaisait...
On essayait toujours que cela ait l'air naturel, comme de me pencher pour ranger les papiers devant Bertrand, qui maintenant savait que je ne portais pas de soutien gorge et devait se douter que j'avais aussi un porte-jarretelles. Je portais en général des jupes noires très moulantes, les attaches et les lanières du porte-jarretelles se dessinaient en relief à travers le tissu. En me penchant dans le magasin sur les palettes ou en m'accroupissant ma jupe remontait sur le derrière de mes cuisses et découvrait les attaches, cela m'excitait de sentir le regard des mâles, qui devaient énormément bander.
Mikael me demanda si je ne possédais pas un pull avec des mailles un peu larges. J'en avais un... il me dit de le mettre pour le jour suivant. Après le rituel du soutien-gorge, mes mamelons gorgés de sang sortaient par les trous, on pouvait même apercevoir mes aréoles pigmentées de chair de poule.
« Non, ça ne va pas... ce n'est pas assez discret... les trous sont trop gros... me dit-il, il faudrait que les interstices ne laissent sortir que les pointes de tes seins...
J'enfilais un gilet par-dessus.
- Je dois avoir cela... »
Le lendemain matin, j'avais opté pour un pull bleu ciel avec des mailles assez larges, il moulait parfaitement mes seins. Après une bonne excitation de mes pointes brunes, Mikael s'arrangea pour que celles-ci érigées au maximum transpercent les mailles assez lâches du pull. La laine était assez serrée pour en comprimer la base et leur faire tenir une érection d'au moins deux centimètres et demi.
« Tu veux que je reste comme ça devant les magasiniers ? C'est vraiment osé, non ? Si je le fais, je reste assise, je ne me balade pas dans le bureau. Et si c'est quelqu'un d'autre qui arrive, je me lève, regarde par la fenêtre et me réajuste.
- Oui, si tu es d'accord... Sinon tant pis... De toute façon, ils se sont aperçus que tu ne mets pas de soutien gorge... Tes tétons sont peut-être sortis tous seuls ... à travers les mailles de ton pull, car il te moule vraiment, c'est vachement érotique !! Tu fais celle qui ne s'en ai pas aperçu...
- Oui, mais quand même, c'est osé, et ils ne tiendront jamais l'érection...
- Ne t'inquiète pas, je m'en occupe... »
Disant cela, il passa derrière moi et commença à me les malaxer entre le pouce et l'index, les griffer en les tirants avec ses ongles, pinçant le bout entre les ongles du pouce et du majeur. J'avais la tête renversée, je sentais mes seins réagir, je sus que je serai prête pour les faire bander.
En trois quarts d'heure, je venais à peine de subir un deuxième massage, plus par plaisir que pour maintenir l'érection des mamelons, que les deux magasiniers entrèrent dans le bureau.
Je ne les avais pas encore vus de la matinée, ils s'approchèrent pour me faire la bise, je vis leurs yeux s'écarquiller lorsqu'ils aperçurent les deux petits dards bruns bien tendus qui dépassaient du pull, leur couleur brune tranchait sur le bleu, on ne pouvait pas, ne pas les apercevoir. Mon ventre se noua, il me sembla que je devenais rouge comme une pivoine. Tout en continuant à les fixer Bertrand en tant que « vieux briscard », bien que surpris n'avait rien laissé paraître, il alla s'asseoir à son bureau. Ludo s'approcha pour me s'approcha pour me faire la bise, je vis sa bouche faire un « OOOOH » de surprise mais aucun son n'en sorti. Je me sentis légèrement gênée...et excitée. Je me dis que nous étions complètement fous de jouer à de tels jeux. Mais maintenant, ils avaient vu, je ne pouvais plus les rentrer. Ils auraient compris que j'avais vraiment fait exprès de les faire sortir par les trous... Je me disais que, comme ils savaient que je ne portais pas de soutien gorge, ils pouvaient penser que c'était « un accident ». Enfin, j'essayais de m'en persuader... ! Et puis s'ils voulaient continuer à profiter de ce que je leur montrais, ils n'avaient pas intérêt à faire des réflexions, ni a en parler à qui que se soit. Mikael scrutait mon visage, cherchant mes émotions. Je savais qu'il lisait en moi comme dans un livre. Je savais aussi que lorsque nous serions seuls, il me demanderait de lui raconter ce que j'avais pensé et ressenti pendant cette expérience et je le ferai sans rien cacher... Le jeune intérim prit une chaise et s'assit près de moi pour ne rien rater du spectacle. J'avais mis une jupe noire assez moulante, à travers le tissu on voyait nettement les attaches de mon porte-jarretelles, mais là dans l'excitation des caresses prodiguées par Mikael, elle était remontée à mi cuisse. Découvrant les fermoirs et une bande de peau, j'en étais consciente et on devait apercevoir ma chatte ou tout au moins la pilosité de mon mont de vénus. Je sentais leurs regards perçants posés à cet endroit, cela me faisait mouiller et accentuait l'érection de mes tétons. Je n'osais pas bouger, faisait semblant de travailler sur l'ordinateur. J'essayais de garder le plus possible mes jambes sous le bureau, mais ce diable de Ludo les matait. Il devait chercher à deviner les attaches du porte-jarretelle et la peau blanche au-dessus des bas et même, essayer d'apercevoir ma toison pubienne. Je croisais puis décroisais mes jambes d'un mouvement assez ample. D'un seul coup, il se leva et partit vers les toilettes. Mikael prit le gros feutre et commença à le sucer...
« Recule un peu, me dit-il très doucement pour ne pas que Bertrand l'entende »
Doucement, je repoussais mon siège vers l'arrière de dix centimètres d'abord, puis encore un peu. Bertrand s'approcha de mon bureau et me faisant face appuya ses fesses sur le rebord. Il tournait le dos à Mikael, qui se leva pour aller ranger un papier dans les casiers, mais surtout pour avoir un aperçu de ma situation. Revenu à sa place, il me fit signe d'écarter un peu les jambes...Je le fis mais pas trop car j'estimais que mon vis-à-vis avait une vue assez complète sur mon intimité qui commençait à vachement ruisseler... La conversation s'éternisait, son regard allait de mes pointes tendues à mon entrejambe. Le téléphone sonna, un camion à charger... Bertrand à regret descendit faire son boulot.
« Ben dit donc c'est chaud, me dit Mikael... Tu vas les faire exploser !
- Ben oui, Bertrand n'a pas cessé de regarder ma chatte, il bandait comme un âne, j'ai cru un moment qu'il allait me pincer les tétons, viens voir, ma chaise et ma jupe sont toutes mouillées !! Avec ce que tu me fais faire, j'ai vraiment envie qu'ils me baisent... Maintenant.
- Ludo est parti au WC... Surement se branler... Il va falloir nettoyer la porte à nouveau... Dit-il en souriant »
Le bureau était vitré jusqu'à moitié, Mikael me poussa doucement dans le coin, près de la cloison derrière le bureau de Bertrand, si quelqu'un arrivait, il ne voyait que le haut de nos corps. Il passa derrière moi, je me penchais en avant tout en gardant un il sur la grande porte des escaliers. Ma jupe remontait, mes jambes s'écartaient. Cette situation nouvelle, baiser dans le bureau, au risque de se faire surprendre m'excitait follement, je le laissais faire, mais il ne fallait pas que cela s'éternise. Il me pénétra doucement.
« Tu aimes ça, me dit-il, ça t'excite ces situations... »
Je le laissais me pénétrer deux ou trois minutes... Mais nous risquions gros. Je me dégageais rabaissais ma jupe, et rentrais mes mamelons.
« Viens, je vais te sucer dans le vestiaire... Lui dis-je en le prenant par la main. »
Le chef nous informa que l'intérim de Ludo se terminait vendredi prochain. Mikael prenait un jour de congé le jeudi. Lorsqu'il rentra le vendredi, à midi au vestiaire, je décidais de lui raconter comme il me l'avait demandé, ce qui s'était passé lors de son absence. Mon petit chéri, dis-je à Mikael voici ce qui est arrivé hier :
Donc, jeudi à midi, pour la pause déjeuner, je me retrouvais dans le vestiaire, pour manger et bouquiner un peu. La porte était grande ouverte, j'étais seule. Lorsque tout à coup Ludo entra rapidement, surprise, je me levais. Il me plaqua contre le mur, les poignets au-dessus de la tête. Pour la forme, je lui dis de cesser et de me laisser tranquille...
J'aurais pu me défendre, mais je le laissais faire, et c'est de ta faute aussi ! Il me dit qu'il allait partir demain, qu'il savait que je portais un porte-jarretelles, qu'il l'avait nettement vu le jour ou le bout de mes seins sortaient de mon pull. Il me demanda si je faisais cela pour l'exciter. Sa main droite se positionna à hauteur des attaches et commença à me caresser la cuisse. Il me demanda de lui laisser voir mes dessous, il rêvait de moi toutes les nuit. Il se masturbait en pensant à moi, depuis qu'il m'avait vue par le trou de la serrure me faire baiser par toi dans le vestiaire. Il commença à remonter ma jupe, elle arriva vite à hauteur de ma taille. Tu m'avais bien dit que je pouvais le laisser faire, non ?
« Dis donc, tu ne portes pas de culotte non plus, murmura-t-il haletant !! »
Je voulais voir ce qui aller se passer. Voyant que je ne réagissais pas, il lâcha mes poignets, je les gardais toujours au-dessus de ma tête pour faire ressortir mes seins. C'est d'ailleurs sur eux qu'il reporta son attention, en me disant qu'il les avait déjà vus lorsque je me penchais, qu'ils étaient merveilleux et qu'il avait beaucoup aimé lorsque mes tétons sortaient du pull, mais qu'il voulait les voir entièrement et les toucher, les sucer... Il déboutonna à toute vitesse mon chemisier et me l'enleva carrément. Sa bouche suçait à tour de rôle mes mamelons qui s'érigeaient. Il mordillait les pointes, aspirait entièrement les aréoles, mes seins devenaient durs comme du bois. Je commençais à haleter.
Sa main se plaqua sur ma chatte, un doigt pénétra mon vagin.
« Putain, mais tu mouilles vachement salope... Je t'excite ? »
Il avait sorti sa bite qui comme je le pensais été très grosse, beaucoup plus que la tienne, aussi grosse que celle de Rocco Siffrédi ! Je ne m'étais jamais faite baiser par un tel engin. Je voulais savoir quelle sensation cela pouvait donner. Il voulait à tout prix me pénétrer debout contre le mur. Je sentais le gland forcer mon orifice trempé. Je le calmais, lui parlant doucement, le complimentant sur la grosseur et la dureté de sa bite, lui indiquant qu'on avait le temps... Je le fis s'appuyer de dos, les coudes sur la table. Je me mis à genoux et je commençais a sucer se monstrueux rouleau, je le fis lentement en faisant attention de me pas le faire éjaculer, je voulais qu'il me pénètre. Elle était tellement grosse que malgré ma bonne volonté, je ne pus pas l'avaler entièrement, au bout de trois minutes de succions savantes, il se mit à trembler. Je sentis qu'il n'était pas loin de la jouissance, je me levais et me couchant sur la table, je lui demandais de me pénétrer. Heureusement que je mouillais énormément, son énorme gland força l'entrée de mon orifice vaginal, il tenait sa queue fermement d'un main et sa grosse bite me pénétra d'un seul coup, il enfonça au moins vint cinq centimètres. Je sentis ma chatte emplie d'une énorme grosseur, je décontractais mes muscles pour bien la faire pénétrer, puis les contractais pour en apprécier la dureté. Il eut l'air d'adorer cela, il se coucha sur moi pour m'embrasser à pleine bouche, il me martela durement pendant dix minutes... Chaque fois il sortait entièrement sa queue, et d'un seul coup la ré enfonçait entièrement dans mon vagin béant. Je dois te dire que cela ne me laissait pas indifférente, je gémissais, haletait le suppliant de ne pas cesser. Mais, il éjacula avec un cri, en me traitant de petite salope qui l'avait excité pendant trois mois... En sentant les soubresauts de son énorme engin écarter encore plus, mes parois vaginales et son sperme chaud couler en moi... J'ai joui à mon tour... beaucoup... Je te l'avoue. Il m'a ensuite demandé de lui lécher la queue, d'en aspirer le sperme qui restait. Mais rassure toi, je préfère que ce soit toi qui me baise, c'est beaucoup plus doux et tendre. Et au niveau des préliminaires, il n'y a pas photo... Voilà, il va partir aujourd'hui et je ne t'ai rien caché...
Je demandais à Mikael s'il était jaloux et s'il avait aimé que je le lui raconte ce qui m'était arrivé. Il me dit que oui, il avait apprécié le récit, non, il n'était pas jaloux, car je n'étais pas sa propriété, mais qu'il me réservait un « petit truc »... Il sortit une mince cordelette, et un espèce de gros câble électrique flexible mais assez rigide d'environ 45 cm de long et d'un centimètre de diamètre. Sans un mot, il me fit passer les bras au dessus de la tête me lia les poignets, et attacha l'extrémité de la cordelette au chauffe-eau fixé au mur. Un nouveau petit jeu ?
« Ah ! Tu t'ai fait baiser par quelqu'un d'autre...Attends ma petite salope !! »
Se saisissant de la cravache improvisée, il commença à me caresser les seins, faisant le tour des aréoles, titillant les tétons qui réagirent aussitôt.
« Tu as aimé baiser avec Ludo ?
- Oui, je te l'ai dit !Il donna un coup sec à chacun des tétons, je gémis sous le léger impact
- Tu as aimé sa grosse bite ?
- Ouuiiii...! Elle est grosse, dure... plus grosse que la tienne...
- Salope...
Il se mit à taper les mamelons, d'un côté puis de l'autre. Ma poitrine se tendait vers les coups... Cela commençait à m'exciter sérieusement... Cela commençait à m'exciter sérieusement... Je sentis le bout de la badine descendre sur mon ventre en une lente caresse.
- Tu as aimé le sucer ?
- Oui, j'ai adoré son sperme... Il est presque meilleur que le tien...dis-je pour le rendre jaloux.
Pan, un nouveau coup. Le bout descendit jusqu'à mon sexe, il l'insinua dans ma fente, pénétrant légèrement mon conduit vaginal.
- Elle mouille, la dame dit-il en suçant le bout luisant. Il te faisait autant mouiller salope ?
- Oui, ma chatte était plus que trempe, heureusement car sa grosse queue a glissé plus facilement.
Il se mit à titiller mon clitoris.
- Tu aimais qu'il te caresse le clitoris ?
- Ouuuuiiii, regarde ce que ça me faisait faire quand il me pénétrait, et je me mis à miner une pénétration. Sa grosse queue, m'a faite jouiirrr... J'ai adoré... me faire défoncer...oui j'ai aimé qu'il me baise... oui je suis une salope !! »
A chaque tortillement de bassin je recevais un léger coup. Il me fit tourner sur le ventre. Se mit à me caresser le dos, avec la badine, puis lorsqu'il voyait que j''avais des frissons m'assenait un coup. Je prenais plaisir à ce traitement, il attaqua mes fesses, il les tapait doucement, mais je les sentais s'échauffer...
« Tape légèrement plus fort, lui demandais je »
Cela me tirait des frissons depuis le bas-ventre, ils remontaient le long de ma colonne vertébrale. Je frottais ma chatte et mes seins sur la table. Une flaque de foutre poissait mes poils et coulait sur le formica du meuble.
« Tu te feras encore baiser par un autre ?
- Oh oui, si c'est pour avoir encore ce que tu me fais... tu vas me faire jouir... »
Lorsqu'il me prit, j'étais tellement excitée qu'il ne me fallut pas longtemps pour exploser d'extase...
Les semaines, les mois, passèrent... à toute vitesse... ponctuées de nouvelle expériences...
Mikael m'initia à la sodomie, j'en redemandais... Cela nous donna l'idée d'une expérience que nous nous étions jurés de mener à bien, mais qui n'a malheureusement jamais abouti. Nous avions décidé d'essayer de faire participer Bertrand à nos jeux érotiques, de faire l'amour à trois !! Je sais que pour en avoir discuté avec Mikael après, il désirait ardemment le faire et moi, je lui avouais que j'aurais bien voulu me faire baiser par mes deux orifices simultanément ! Nous nous sommes donnés du mal, pour le faire tomber dans nos filets. Je vais te donner un exemple. C'était l'été, je ne portais aucun dessous, j'avais une sorte de tee-shirt, largement échancré sous les bras. Je trouvais un prétexte pour que Bertrand vienne se positionner derrière moi, ma main gauche suivait les lignes des listings, tandis qu'innocemment mon coude droit s'écartait de mon corps et dévoilait sous le tee-shirt baillant, un sein bronzé au mamelon érigé, je pouvais sentir son regard me le caresser.
Mikael était passé derrière lui. Il lui toucha le bras désignant du doigt le sein offert à leurs regards.
« Pas mal, murmura-t-il... »
Mais il resta là. Je n'avais pas dit mon dernier mot, j'avais acheté une robe bustier blanche, laissant mes épaules nues, elle n'avait pas bretelle, c'était mes seins qui l'empêchaient de tomber. Mikael me la positionnait au ras de mes aréoles et en la présence du magasinier on attendait qu'un téton surgisse par dessus, beaucoup aidé en cela par un mouvement d'épaule, sans y faire cas je le lui laissais visionner, parfois comme par hasard, c'était les deux qui surgissaient furtivement. Mais rien n'y fit... Jamais il n'eut un geste déplacé...
Puis, il y eut pas mal de changements, un nouveau chef, qui apparemment aurait bien voulu me baiser. J'avais confié à Mikael que chaque fois que nous étions seuls, il faisait tout pour mater mes seins, ou essayer de voir mon porte-jarretelles. Aussi, j'essayais de ne pas trop lui offrir d'occasions, mais poussé en cela par mon collègue, je cédais souvent à la tentation de le faire bander. L'ouverture de mon chemisier baillait laissant apercevoir la pointe d'un sein, mes jambes se croisaient assez haut dévoilant les attaches du porte-jarretelles. Pour m'exciter davantage lorsque nous faisions l'amour, Mikael pour me faire fantasmer, me disant que j'aimerai bien me faire baiser par le chef, que c'était lui qui m'enfilait sa queue, et que j'adorai cela. Le plus fort c'est que cela m'excitait et que dans ma tête, tout en appréciant ce que Mikael me faisait, tant une sodomie qu'un cunnilingus appuyé, je m'imaginais me faire prendre par « l'affreux » comme nous l'appelions, et malgré moi je dois reconnaître que je jouissais plus fort.
« Et si il veut me sauter ?
- Eh bien tu fais ce que bon te semble...Ça a l'air de t'exciter de fantasmer sur cette situation !
- Oui, c'est vrai j'adore lorsque tu me sodomises et que tu me dises que c'est lui qui me baise lorsque tu me pénètre avec le godemiché... Je ne dois pas être normale... Surtout qu'il est vraiment laid.»
Un jour d'été, le grand chef me demanda de rester après l'heure le soir, pour l'aider à terminer un dossier urgent. Je savais pertinemment qu'il ne serait pas question d'un quelconque travail. Il me dit que si j'acceptais, j'aurai surement une revalorisation de salaire... Dans cette perspective, je ne pouvais pas refuser. Je me retrouvais donc avec lui dans son bureau, habillée avec la robe bustier et comme d'habitude complètement nue dessous, le matin je n'avais pas prévu cette demande. Tout le monde était sorti, nous étions seuls. Il me demanda de fermer la porte, et d'attr un classeur sur la plus haute étagère de l'armoire, je ne pus qu'obéir. Mais même en faisant attention en levant les bras, un sein surgit presque entièrement hors de la robe... Effarée, et surprise mon visage s'empourpra. Je faillis lâcher le classeur, et le rattrapais des deux mains. Mes mains étant occupées, je ne pus remettre de suite en place le fautif qui malgré moi dardait son téton brun. Le temps que je pose le classeur sur son bureau, mon supérieur eut tout le loisir de l'admirer. Il s'était levé et approché de moi... juste pour me monter la bosse qui déformait son pantalon...
Pourtant cette fois je ne l'avais pas fait exprès de lui montrer un sein... Je pense, qu'il avait calculé ce qui allait arriver. J'avais enfin réussi à remettre le fugueur en place.
« Très, très joli...Je les avais déjà entre aperçu lorsque tu te penchais, j'avais remarqué que tu ne mettais pas de soutien gorge ! Tu n'en as pas besoin d'ailleurs...»
Il s'était mis à me tutoyer...ça allait surement être chaud !! Il s'approcha les mains tendues vers ma poitrine. Je reculais.
« NON, non, non...
- Allez Marion, laisse moi les toucher. Regarde comme tu me fais bander
- Non...
- Tu sais, si tu me montres tes seins et que tu me laisses les toucher... tu vois ma queue elle a pris du volume....et bien ton salaire pourrait connaître lui aussi une augmentation substantielle.... »
A ces mots le sigle de l'euro et de ses deux barres, se mit à danser devant mes yeux... presque sans réfléchir, je répondis.
« D'accord, mais vous les touchez et on s'en tient là !! »
Mes yeux se portèrent sur son sexe, il me sembla qu'avec ma réponse, la bosse sous son pantalon avait encore grossi. Il se planta devant moi, il me dépassait d'une bonne tête. Ses mains attrapèrent le bord de la robe et descendirent les bonnets englobant mes seins, vers le bas. La caresse du tissu passant sur mes mamelons me fit frissonner. Mes deux globes se dressèrent fièrement semblant le défier. Malgré moi, mes tétons avaient gonflés et durcis de se retrouver exposés à ses regards, mes aréoles gorgées de sang s'étaient pi graillées de chair de poule. Il les engloba les rondeurs de ses grandes mains, les caressa, pinça la pointe de mes mamelons, les faisant rouler entre ses doigts. Il m'attrapa par la taille se pencha, ses lèvres se posèrent sur les miennes et sa langue força ma bouche. Je me remémorai les paroles de Mikael... ce n'était plus un fantasme ; j'étais au cur de l'action... Un boule de chaleur envahit ma chatte, je commençais à mouiller... Une de ses mains se posa sur ma cuisse au bas de ma robe, se glissa dessous et remonta rapidement jusqu'à mes fesses. Elles se cambrèrent, je cédais à son baiser, ça commençait a m'exciter. Son majeur s'insinua entre mes deux globes et ne trouva même pas la ficelle d'un string pour entraver sa progression.
« Petite Salope, tu es complètement nue dessous !! »
Je voulu m'échapper mais de son bras entourant ma taille, il me retînt fortement me plaquant contre lui. Il avait du remarquer que ma robe avait sur un côté une fermeture éclair. En un tour de main, il la descendit.
« Non, non pas ça... »
Je retenais la robe pour qu'elle ne tombe pas, je la tenais sur mes hanches. Me lâchant, il se recula. Je n'arrivai pas à remonter la fermeture qui avait du se coincer.
« Je savais que tu mettais des portes-jarretelles, et que tu mettais pas de soutien gorge, ça m'excitait à un point que presque toutes les nuits je me branlais en pensant à toi. Mais là, ça dépasse toutes mes espérances... Laisse tomber ta robe... petite salope !
- NON, on avait convenu que vous me toucheriez juste les seins !
- Tu sais petite garce, j'ai percé à jour le jeu que tu joues avec ton copain Michel, je vous ai surpris dans les vestiaires en regardant par le trou de la serrure, très excitant.... Alors tu choisis, ou tu laisses tomber ta robe et on continue et tu as une augmentation, ou je prends des sanctions envers toi et ton copain ! »
Cela m'avait émoustillée, je mouillais de plus en plus malgré moi... Il n'était pas beau du tout ! Mais je n'avais guère le choix, la mine déconfite, je laissais tomber la robe à mes pieds. J'étais complètement nue et piégée maintenant, mais ce petit jeu pervers exacerbait mes sens. Comme par défi je cambrais mes seins en avant.
« Merveilleux, ce que tu peux être belle... Cet hiver, je veux te voir nue, en porte jarretelle petite salope ! »
Il s'approcha de moi, me fit reculer et coucher sur le bureau. Il se mit sur le côté.
« Sors mon sexe, défait mon pantalon »
Pendant qu'il me caressait les seins, souriant d'un air triomphal, je m'exécutais. Il avait un pénis tout à fait dans les normes, il bandait énormément, sa queue était tendue en arc de cercle. Ses mains avides parcouraient mon corps ne sachant ou se fixer. Puis il me mit deux doigts dans le vagin. La pensée de ce que me racontait Mikael pour me faire fantasmer avec ce mec, activa à nouveau la boule feu dans mes entrailles... J'y étais, c'était la réalité ! Il me baisait. Je ne pouvais plus me défiler. Ma chatte devenait de plus en plus moite, je me laissais aller, advienne que pourra...
« Ah, ah, je te fais de l'effet, putain ce que tu peux m'exciter... Je ne sais pas si je vais tenir longtemps... Putain ce que tu mouilles... Tu aimes vraiment ça... petite pute ! »
Maintenant au paroxysme de l'excitation, je tendis la main pour me saisir de son sexe et le branler. Je me traitais à mon tour de salope, car j'y prenais un certain plaisir, je me demandais si je n'allais pas le sucer... Mon geste paru le surprendre, il se figea.
« Oui, c'est bien, c'est très bien ça... masturbes moi doucement... ouuuiii comme ça !! »
Je le regardais dans les yeux tout en calottant et décalottant sa verge, pendant mes savants massages, il déboucla la ceinture de son pantalon, s'extirpa de son slip, quitta sa chemise. Il était encore plus laid nu qu'habillé, son corps était anguleux et il avait un léger embonpoint. Ses poils pubiens comme ses cheveux commençaient a devenir blancs, mais je n'en avais cure maintenant... Je ne savais plus qui je masturbais Mikael...Bertrand ou l'intérim à la grosse bite...Saisissant sa verge d'une main il la posa sur mes lèvres.
« Lèche moi le gland, doucement... là, là ooouuuiiii... »
Ma langue s'activait autour du bout congestionné, un liquide s'en échappait... je l'aspirais, il gémit.
Puis il passa entre mes cuisses, s'allongea sur moi et frotta sa queue le long de ma fente, caressant mon clitoris du bout de son gland, sa bouche suçait mes tétons, il les mordillait me tirant des petits cris de plaisir.
Il me fit lever, me tournant, me faisant appuyer les coudes sur le bureau, il écarta mes jambes sans ménagement et enfila à toute vitesse son phallus dans mon vagin.
« Bien, c'est... Putain ce que tu es trempée... ça glisse tout seul... ! »
Il me besogna à grands coups de reins, enfilant sa bite jusqu'à la garde... Je commençais à prendre du plaisir... Je le sentis se crisper, enfoncer son sexe au plus profond de moi et un cri de plaisir sortit de sa gorge, son sperme visqueux coula dans ma chatte avec de grands spasmes...
« Oh putain c'est boooooonnnnn, j'en rêvais depuis des mois, éjaculer dans ta chatte...Tiens salope, tiens... »
J'étais éberluée par la rapidité de son éjaculation. J'éclatais de rire en le regardant, il avait l'air pitoyable tenant son sexe qui commençait déjà à débander d'une main. A cette vue mon rire redoubla et mon excitation retomba.
« Oui, j'en avais tellement envie, que je n'ai pas pu me retenir...
- J'avais entendu dire que vous étiez un chaud lapin, et question rapidité... cela le confirme bien... »
Je ramassais ma robe et me rhabillais, tout en riant toujours...
« Bon d'accord, vous l'aurez votre augmentation. Si vous me promettez que personne ne sera au courant de cet incident...et il n'y aura pas de sanction... à condition bien sûr qu'on remette ça !! »
Tiens donc, le vouvoiement était revenu...
« Voilà mon histoire Trixie, je pense que par incident, il voulait parler de l'éjaculation précoce. Quant aux sanctions il y en a eu. Mikael c'est trouvé muté au poste qu'il occupe aujourd'hui. Ce qui ne nous empêche pas de nous voir de temps en temps. Quant à moi, il m'a donné une promotion... et m'a plus ou moins laissé tranquille... Mais au fait, puisque tu connais bien Gérald, on ne pourrait pas faire l'amour à trois ? Je ne me suis jamais fait baiser par un noir, surtout si tu m'assures qu'il a un sexe aussi gros que celui de Mandingo... »
Je lui répondis que cela pourrait se faire, j'en parlerai au principal intéressé...
A suivre...
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