Amours Autoroutiers
Cest long de conduire sur lautoroute, même si elle nous mène vers le sud: je suis au volant depuis presque 4 heures, la fatigue arrive lentement. Ma jeune copine pourrait me remplacer au volant. Jinsiste tant quà la fin excédée par ma demande elle accepte de conduire. Nous changeons de place: je peu enfin détendre mes jambes: je remonte même ma robe à mi cuisses. Babette me jette un regard amène: quelle idée jai de me découvrir. Le jour se lève lentement, quand nous doublons lentement les poids lourds, on dirait quelle fait exprès pour ralentir, pour laisser les chauffeurs regarder mes cuisses.
Je sais par expérience que la vue de mes jambes lexcite. La dernière fois elle a même posé une main sur elles. Pourtant rien dans son attitude ne laisse présager de la suite.
Nous arrêtons faire le plein dans une station: elle me laisse dans la voiture pour aller acheter dans la boutiques des bricoles: je suis abordé par un type qui me fait directement des propositions indécentes: il a envie dêtre masturbé: il serait heureux que je le branle. Si javais était seule, jaurai accepté: jaime me trouver dans des position plus quéquivoques: être assise tranquillement dans le voiture avec une bite dans la main. Pendant le même temps moi aussi je me serais touchée. Nous aurions joui ensemble.
Pourtant pas question pour moi de réaliser les désirs de cet homme: ma copine arrive.
Nous nallons pas loin: Babette stoppe la voiture sous les arbres du parking, ouvre sa portière, me demande ce que je veux faire, sans attendre ma réponse, elle sort pour aller se délacer sur un banc, juste à coté de cet homme qui avant des envies pas très catholiques.
Je lobserve: elle bavarde avec ce type. Jattends la suite avec impatience: cest bien ce que je pensais, elle ouvre la braguette, sort la bite qui est de bonne dimension, la caresse à peine. De son coté elle lève sa jupe sous laquelle elle ne porte rien, comme souvent. Ses jambes écartées me font voir sa chatte que je connais fort bien.
Il va très fort en la doigtant: elle réagit toujours de la même façon quand elle a des doigts dans la chatte: elle gémit en jouissant. Le sperme séchappe en longs jet. Dommage, je laurai bien dégusté: jadore le sperme dans ma bouche.
Je fais comme si je navais rien vu. Cest mieux ainsi, sinon Babette dirait que je suis jalouse de ses plaisirs. Nous repartons quand elle me parle enfin
- Tu as vu je me suis faite branlée par ce type.
- Jai vue que tu avais joui.
- Oui, même bien, je lai branlé aussi, il a jouît, tu as vu son jet ?
- Oui, il me donnait envie.
- Tu as envie de jouir ?
- Bien sur.
- Tu veux te branler ?
- Maintenant. Pourquoi pas, ralenti pour que je sois vue.
- Tu ne changera pas: tu aime de faire voir dans des positions scabreuses.
- Cest ainsi. Tu as toi aussi non ?
- Cest pas pareil.
Je préfère me taire, ne pas envenimer le débat. Je lève encore un peu plus ma robe: jécarte bien mes cuisses, je passe ma main sur ma chatte directement: je suis comme elle, jai « oublié » de mettre une culotte.
Je ne caresse rien de particulier, je méchauffe simplement. Tant que je ne suis pas entièrement mouillée je préfère rester ainsi. Et puis cette attente avant de menvoyer en lair me permet dêtre excitée et faire durer le plaisir à venir.
Babette fait tout ce quelle peut pour montrer aux véhicules quelle double le sexe de celle qui pourrait être sa mère pendant quelle se donne du plaisir. Elle mexcite un peu plus. Elle aussi regarde mon sexe, je sais quelle voudrait y venir: pas question elle conduit.
Aujourdhui doit être spécial, elle arrête sur un parking, loin des autres véhicules. Elle relève sa jupe pour montrer sa chatte luisante de cyprine. Elle avance sur le siège pour pouvoir bien écarter ses jambes. Elle me regarde toucher mon clitoris et le caresser lentement. Je la regarde aussi: je suis contente quelle me voit pendant mon plaisir, comme elle est satisfaite de savoir que je la regarde aussi.
Elle na pas fini, alors je met ma main à la place de la sienne, je caresse sa chatte. Je la doigte puisquelle aime ça. Je marrange pour que mes doigts réunis aient la même grosseur quune bite: je vais et viens dans son conduit, comme si je la baisais. Je sens son vagin se crisper quand elle jouis. Jaccompagne même dun baiser sur la bouche.
Cette fois je reprend le volant. Arrivées à la station service pour refaire le plein, encore un type qui me demande de lemmener plus loin. Il plait à ma Babette: elle doit vouloir se le payer. Après tout pourquoi pas: il est mignon, jeune, plein de sève à mon avis. Nous pourrions jouer avec lui toutes les deux. Il est satisfait de trouver des personnes qui le dépannent. Nous aussi il nous dépannera.
Sans nous consulter, Babette marrête pour prendre une chambre dans un ce ces hôtel autoroutiers formidables pour tirer un coup. Ce jeune avec nous comprend vite ce qui lattend. Babette, pratique sait comment faire, elle va à la réception pour en ressortir deux minutes plus tard: elle nous fait signe de venir.
Il reste étonné ce jeune homme. Je le rassure: nous nallons que baiser en trio. Daccord cest avec une jeune femme: je suis quand même désirable puisque je me paye souvent des extras.
Nous navons aucune pudeur, nous sommes vite nues, nous nous embrassons sur la bouche pour faire monter la pression. Nous nous occupons dYvon, cest son nom, à notre façon: je lembrasse pendant que Babette sort la bite pour lembrasser avant de la prendre dans la bouche. Elle me montre lengin, un beau morceau de bite, bien longue et grosse: le type même de bite que nous aimons.
Mes lèvres dént sur son cou. Il a laudace pour soccuper de mes seins: il les embrassent avant de les sucer. Sa langue est agile.
Babette se régale toujours pendant les fellations: elle lèche la bite de haut en bas, envale le gland, caresse les couilles, passe une main derrière les fesses pour aller chatouiller lillet et y entrer une ou deux phalanges.
Nous comptons sur lui, sur sa bite, sur sa bite surtout, parce que lui, on sen fout totalement.
Jai envie maintenant; Babette me laisse la place: je me couche sur le dos, les jambes ouvertes. Babette en profite pour venir me donner un coup de langue sur le clitoris. Je la retiens un moment pour quelle menvoie au paradis, ce quelle réussi toujours à merveille.
Elle guide la pine vers mon vagin. Je la sens senfoncer lentement dans le ventre: elle écarte toutes mes chairs à cause de sa grosseur. Je me sens défaillir devant le plaisir quelle me donne. Il me semble être dans un monde parallèle. Je ne vois plus rien, même pas mon amie qui pourtant se masturbe en me voyant prendre mon pied. Quelle jouissance qui dure. Je sens le sperme inonder mon val.
Il se retire: je peux lécher le reste de son sperme. Avant que Babette le prenne en main: elle a vite fait de le faire bander. Elle sinstalle en levrette: comme souvent elle le veut dans le cul. Je nai rien à dire, cest moi qui la première lai à se laisser enculer avec un de mes amants.
Elle sait fort bien mouiller lanus avec sa cyprine et de la salive: elle a appris à ouvrir son cul, pas en entier, ce qui est impossible, assez en tout cas pour se faire mettre facilement. Elle a retenu la première leçon: pendant quelle se fait sodomiser, elle se caresse le clito.
Je fais comme elle tout à lheure: je me branle en la regardant se faire mettre.
Jaimerai être sucée encore: je vais au dessus de Babette, je donne ma chatte au Yvon: il comprend vite ce que je veux: sa langue entre dans mon intimité, cherche à peine pour trouver mon clitoris. Javance mon bas ventre, je suis presque déséquilibrée. Je caresse mes seins pendant quil me lèche. Je ne sais sil est conscient du plaisir quil me donne. Je mouille tant quil en a plein la bouche: ça ne le dérange pas dun poil: il continue à limer le cul de ma Babette, cest le principal.
Nous sommes à plat, entre cette séance de baise et ce que nous avons vécu avant.
Il voudrait encore jouir une fois !!!
Nous nous entendons avec pour alterner les vas et viens ainsi que les coups de doigts dans son jeune cul. Nous attendons quil lâche sa dose de sperme: nous la partageons familialement.
Nous le lâchons à une sortie de lautoroute.
- Il baisait bien, hein. Il ta bien faite jouir quand il tenculait.
- Parfait ce jeune, pourvu quon en trouve dautres.
- Pourquoi tu en voudrai deux sur toi ?
- Parce que toi, tu naime pas les doubles pénétrations, cest nouveau, tu brules ce quelle adore.
- Tais toi, tu mexcites.
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