La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 351)

Suite de l'épisode N°344 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans –

Le Marquis Edouard d’Evans vient de laisser son ami, le Seigneur Bedwyr en compagnie de son épouse-soumise, «captive» de son nom autant que de son état, tout à loisirs de poursuivre leurs jeux D/s tandis que le Noble continue d’arpenter le grand hall de réception transformé en donjon pour la soirée orgiaque organisée en l’honneur de son anniversaire. Le Seigneur Bedwyr a attendu, par politesse, quelques instants que le Maître des Lieux s’éloigne avant de reprendre en mains sa « captive », bien décidé à s’occuper d’elle à partir de cet instant, notamment pour la remercier d’avoir attendu patiemment à ses pieds qu’il s’amuse à longuement fustiger le postérieur de l’esclave 15 mis à sa disposition par le Châtelain pour toute la nuitée. Le chien-mâle du cheptel s’est comporté avec une docilité exemplaire digne du parfait dressage qu’il a reçu au Château où il réside à demeure depuis de nombreuses années, ayant fait don de sa vie au Maître qu’il sert avec loyauté, ayant accepté sans broncher tandis qu’il était mis au pilori de recevoir moult coups de cravache et de fouet sur ses fesses marquées intensément, ce qui n’était pas pour déplaire à ce soumis à tendance masochiste.

Prosterné aux pieds du Seigneur Bedwyr, le chien 15 attend sans bouger de savoir ce qui va dorénavant être exigé de lui, ayant bien entendu les propos échangés entre les deux Dominants, précisant qu’il allait maintenant servir de support de présentation pour la douce et belle esclave « captive », mais il n’en sait pas plus sur ce que cela va impliquer concrètement, ce qui ne fait qu’ajouter à son excitation et au plaisir qu’il ressent d’être ainsi utilisé de toutes les manières possibles.

- esclave 15, redresse-toi maintenant, mais tout en restant à genoux.

Le Seigneur Bedwyr détache l’épée qu’il porte à la ceinture de son costume moyenâgeux et donne à ce moment-là un coup sourd du plat de l’épée sur chacune des deux épaules de l’esclave, coups sans aucun danger car la lame qui est avant tout de parade est émoussée pour éviter tous risques et elle est de toute manière restée bien à plat, juste posée avec force sur le corps dénudé de l’esclave, malgré tout un peu craintif avant de savoir ce à quoi il devait s’attendre, n’ayant jamais eu affaire à cet instrument des temps reculés dans un contexte D/s.

Le Chevalier poursuit alors :

- Te voilà donc marqué par mon épée « Excalibur », un peu comme si j’avais posé mes propres mains, mon emprise et mes marques, sur ta tête ou tes épaules. Ne te méprends pas, cela ne fait surtout pas de toi un chevalier, même si le geste peut s’apparenter à celui de l’adoubement, car seuls les nobles pouvaient entrer en chevalerie et accéder au rang de chevalier après un long apprentissage et un cérémonial qui devait être respecté à la règle. Mais je voulais d’une certaine manière personnelle et à nulle autre pareille, te montrer ma satisfaction pour le plaisir que j’ai pu prendre à te voir entravé longuement dans ce pilori, acceptant tout ce que je pouvais t’imposer de douces et moins douces douleurs en sus de la contrainte de la position inconfortable que tu as enduré à merveille sans bouger d’un pied, sans parler de la satisfaction de te voir venir de surcroît me remercier à mes pieds de tout ce que je t’avais fait subir en bon chien-mâle bien dressé. Je sais que ta condition d’esclave au service de Monsieur le Marquis d’Evans est telle que cela fait partie de tes obligations autant que du plaisir que tu peux prendre à servir et à satisfaire le Maître à qui tu appartiens. Mais je tiens à féliciter cette docilité totale et cette abnégation sans faille que vous portez toi, comme tous les autres ici-même, à Celui qui vous a pris sous son joug. J’ai l’habitude aussi de féliciter ma « captive » à moi lorsque je suis très fier d’elle et de tout ce qu’elle fait pour me faire plaisir et me rendre heureux, ce qui ne m’empêche pas d’être impitoyable quand elle fait une faute inexcusable.

L’esclave comprend la signification du geste qu’il a reçu, et voulant prouver son sincère remerciement sans pour autant enfreindre la loi du silence, s’incline à nouveau jusqu’à la prosternation et dépose un humble baiser servile sur les brodequins de velours qui chaussent les pieds du Seigneur Bedwyr.

- Tu vas aller me chercher une chaise en velours sans accoudoir et un tabouret en bois le plus vite possible ! Ne tarde pas, et si tu ne trouves pas ce qu’il faut prend à la place une deuxième chaise en bois, je ferai avec.
Dépêche-toi, je n’aime pas attendre et perdre de mon précieux temps.

L’esclave 15 se relève aussi sec, s’incline respectueusement avant de partir chercher ce qui lui a été ordonné. Il aperçoit juste à quelques mètres de là, une chaise en velours rouge qu’il rapporte sans tarder et dépose devant le Seigneur Bedwyr avant de repartir aussi sec à la recherche d’un tabouret après s’être respectueusement incliné une fois de plus. Il fait le tour de la pièce, mais n’en voit aucun car la pièce est surtout garnie de sièges moelleux capitonnés, de larges fauteuils, de sofa ou canapés accueillants pour permettre aux Invités de marque du Châtelain de bénéficier de tout le confort possible pour leur repos et tous autres sortes d’ébats sensuels et orgiaques. Il n’aperçoit pas non plus la moindre chaise simple en bois mais distingue au fond de la pièce Monsieur Walter qui a toujours l’œil à l’affut de tout ce qui pourrait se passer pendant la soirée, surveillant le comportement de tous les esclaves mâles et femelles du cheptel présents dans la salle et veillant aussi à ce qu’aucun des Invités de marque de Monsieur le Marquis d’Evans ne manque de rien. Le chien-mâle s’approche et s’agenouille, mais n’ose pas ouvrir la bouche avant d’y avoir été invité. Walter a bien aperçu celui qui est venu s’incliner à ses pieds, mais il ne bronche pas, histoire de corser un peu la situation pour voir ce que l’esclave va faire, sachant très bien qu’il a dû s’approcher avec une raison bien précise et non par pur désœuvrement qui n’a pas cours entre ces murs. Le chien-mâle pense que le Majordome va lui poser une question pour savoir ce qui l’amène là, mais rien ne se passe ….. Un peu désemparé, il se rappelle des propos du Seigneur Bedwyr qui lui a précisé qu’il devait faire vite, n’aimant pas attendre et perdre son temps.

- Monsieur Walter, pardonnez-moi de Vous importuner. Je suis ici sur l’exigence du Seigneur Bedwyr entre les mains de qui j’ai été remis pour la soirée. Ce dernier m’a envoyé quérir un tabouret et je n’en ai pas aperçu dans la salle.
Vous serait-il possible de m’indiquer où je pourrais en trouver un pour répondre favorablement à ce Seigneur que je dois servir pour toute la soirée comme il convient.
- chien d’esclave !!! Cela te donne-t-il le droit d’ouvrir la bouche depuis que tu te prends pour un « pseudo-chevalier » qui se serait fait adouber ? Si tu crois que je n’ai pas vu ce qui s’est passé, il y a peu … Non mais !!! Pour qui est-ce que tu te prends de me parler avant que je te donne la parole ? Tu seras puni demain pour cet affront inadmissible que je ne peux laisser passer sans châtier ton offense à mon égard.
- Mais, Monsieur Walter, le Seigneur Bedwyr a dit qu’il n’aimait pas attendre et que je devais faire vite. Je n’ai donc pas voulu le mécontenter.
- Je ne veux rien savoir à mon niveau. Tu seras puni un point c’est tout !… (en augmentant encore le ton de sa voix ferme et directive)…. Et même doublement puisque tu as osé me répondre qui plus est !… J’ai vu que tu as eu l’air d’apprécier le pilori en bois, je pense que je vais t’y remettre à mijoter demain pendant de longues heures, cela me fera un petit divertissement tandis que je surveillerai les travaux de nettoyage et de remise en état de cette salle. Je vais te punir d’avoir enfreint la règle du silence, mais aussi te punir de faire attendre en ce moment même le Seigneur Bedwyr avec tes palabres inutiles, espérant qu’il se chargera également de te sanctionner dès ton retour tardif. J’apprécie particulièrement ces occasions où quoique tu puisses dire et faire, il n’y a pas d’autre issue pour toi que de te résigner à accepter ton sort lié à ta condition servile que tu as toi-même recherchée. Je te donne cependant l’autorisation de sortir de la pièce et d’aller dans le petit vestibule à côté des vestiaires de l’entrée, tu devrais y trouver ce que tu cherches. Files-vite avant de recevoir un coup de pied aux fesses si je te vois encore traîner à mes pieds.

Le chien-mâle 15 s’incline à terre pour remercier le Majordome, bien qu’il trouve un peu injuste de s’être fait sanctionner alors même qu’il ne faisait qu’obéir au Seigneur Bedwyr, mais il connaît depuis longtemps l’esprit pervers de Walter qui prend toujours plaisir à malmener les esclaves du cheptel et il prend bien garde de ne pas en rajouter, se disant qu’après tout un petit supplément bonus ne sera pas pour lui déplaire, tant il a apprécié de se sentir ainsi mis au pilori avec la croupe saillante prête à quelques petits plaisirs cinglants dont il raffole, reconnaissant que ladite punition lui semble presque avoir le goût d’un plaisir accordé, même si les coups de cravache du Majordome sont rarement légers sur les couennes endurcies et entrainées des esclaves-mâles.
Ayant récupéré le tabouret dans le vestibule, il s’empresse de rejoindre le Chevalier qui semble fort énervé, tapant du pied sans discontinuer tandis que l’esclave s’approche et qui d’une voix grave qu’il n’avait pas encore fait ressentir ajoute :

- Sais-tu combien de temps, tu m’as fait attendre !!! Cela fait 8 minutes que je poireaute pour une malheureuse chaise et un minuscule tabouret de bois. Pendant ce temps-là, ma belle « captive » a largement eu le temps de récupérer tout le reste dont j’ai besoin et même de laisser refroidir et s’assécher sa chatte que je voulais goûter avec toute son onctuosité. Je vais devoir te châtier tout à l’heure comme tu le mérites. Pour l’instant, tu vas mettre ce tabouret devant la chaise, et t’agenouiller juste devant avant de pencher tout ton corps pour t’allonger sur le ventre à cheval sur les deux assises.

L’esclave s’exécute sans attendre, déjà très attristé de savoir que le Seigneur Bedwyr a trouvé à redire à son retard et qu’il risque de se plaindre directement à Monsieur le Marquis d’Evans, ce qui ne manquera pas de lui valoir cette fois-ci de sévères remontrances du Maître, qui n’aura rien d’une partie de plaisir entravé sur le pilori, et une punition de surcroît à la clef car il n’osera jamais se plaindre auprès du Maître du temps précieux que lui a fait perdre le Majordome au lieu de lui permettre de s’acquitter au plus vite de l’ordre express qu’il avait reçu. Le Châtelain trouverait cette excuse du plus mauvais effet et pourrait fort en être encore plus courroucé. Sans rien dire, le chien-mâle s’est donc allongé sur les deux assises, espérant que par son comportement exemplaire il pourra arriver à faire oublier l’incident au Chevalier qui souffle toujours très fort pour montrer sa désapprobation aussi expressive que ne l’avait été quelques minutes plutôt sa satisfaction par un geste symbolique.

- Avance plus sur la chaise, de manière à ce que ta tête touche carrément le dossier de la chaise.

Le Seigneur Bedwyr tire un peu plus sur les bras du chien-mâle qui se trouve alors en butée sur le bord du tabouret avec sa cage de chasteté et ses couilles fortement repoussés sur l’arrière, situation relativement contraignante et qui se révèle vite douloureuse au moment même où il fait s’allonger sur le dos de l’esclave 15 la soumise « captive » qui pèse alors de tout son poids sur le corps écrasé de l’homme pris en sandwich entre la soumise et les deux assises des chaises. Pour éviter que sa femelle ne tombe étant malgré tout dans un équilibre précaire reposant juste sur le dos du chien-mâle, le Seigneur Bedwyr relie les deux corps ensemble par une grosse corde et attache les mains du mâle aux pieds de la chaise et les mains de sa femelle au dosseret de la chaise. Il passe alors la corde au niveau des seins, de la taille et du bassin de son épouse-soumise à plusieurs reprises faisant le tour des deux corps, de la chaise ou du tabouret suivant le cas. Il lie alors les pieds de « captive » repliés sur ses jambes de manière à ce qu’elle soit maintenue en position cuisses écartées et sexe béant. La femelle très excitée par les préparatifs ronronne déjà de plaisirs, allant même jusqu’à de petits crissements de satisfaction lorsque son époux lui titille les seins, jouant à les malaxer fortement dans tous les sens, s’attardant sur ses deux mamelons dressés qu’il étire fortement et fait rouler entre ses doigts, la sachant particulièrement sensible dans toute cette zone érogène.

- Et bien ma femelle, on dirait que tout cela t’excite fortement. Je te sens si prête à recevoir ton Seigneur et Maître. Te saillir ici, en cet Illustre Château et en présence de Monsieur le Marquis d’Evans digne descendant du Fameux Marquis du même nom qui accueillit ici même, jadis, le si Célèbre Marquis de Sade qui a donc foulé ce sol, eh bien te saillir ici est donc un immense honneur, mais aussi sous le regard de tant de Dominants et de Dominas est un vrai plaisir dont je ne vais pas me priver très longtemps…

Le Seigneur Bedwyr détache le lien de cuir qui lui sert de ceinture. Il défait les lacets de la « braye » qu’il porte sur les chausses moulantes qui ne sont pas cousues à l’entrejambe (la braye est l’ancêtre de la braguette. A cette époque moyenâgeuse, il s’agissait d’une petite poche amovible en forme de triangle attachée à la ceinture qui couvrait l’ouverture des chausses qui étaient des pantalons moulants s’arrêtant aux genoux pour les hauts de chausses et aux pieds pour les bas de chausse. Cette pièce de tissu se fermait le plus souvent par des lacets passés dans des œillets permettant de maintenir les parties génitales à l’intérieur et servant également de poche pour y glisser mouchoirs et bourse d’écus). Avant de sortir son sexe déjà bien gonflé par une excitation virile exacerbée par les odeurs de sa femelle en chaleur, il écarte au maximum les jambes de l’esclave 15 afin de pouvoir s’approcher au maximum du sexe béant et trempée de celle qu’il aime profondément tout autant qu’il prend plaisir à la Dominer. Il se penche sur le corps de son esclave « captive » qui mérite bien son nom car elle ne peut pas bouger et il l’embrasse voluptueusement, faisant pénétrer sa langue profondément dans la bouche de celle qu’il va pénétrer sous peu d’une autre manière phallique. Le chien-mâle 15 se trouve encore plus écrasé sous le double poids du couple, et il sent sa croupe rougissante et marquée par les zébrures qu’il a reçu précédemment devenir de plus en plus sensible, en même temps qu’il ressent une violente excitation le gagner et faire se tendre sa queue qui essaye désespérément de gonfler dans la cage rigide qui compresse son sexe et ses couilles.

(A suivre…)

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