Une Lycéenne Qui Ne Demande Qu'À Apprendre
Récemment divorcé à trente trois ans, je viens demménager dans un petit appart, au cinquième étage dun immeuble sans problèmes majeurs
Je ne connais pas encore bien mes voisins, a droite ce sont de gentils retraités a gauche une famille avec trois , deux garçons et une fille ainée, étudiante ou lycéenne, donc dix huit ou dix neuf ans, très charmante mais dune apparence timide, elle baisse les yeux lorsque nous nous croisons dans lascenseur
Jusquau jour ou ses parents sont partis au ski, la laissant seule pour des raisons que jignore
Ce qui ma mis le feu cest produit ce matin à la porte de lascenseur, elle ( je ne connais pas son prénom) était courbée en deux pour refaire son lacet, a cet âge on est souple
. Je me suis arrêté net, la jeune fille ne ma apparemment pas entendu venir, alors que je lavait toujours vue en jean, qui lui épousait le derrière a merveille, je me suis délecté de la superbe vue que sa jupe relevée sur ses reins moffrait, deux cuisses pleines laissaient voir le triangle blanc et bombé dun slip sage de collégienne, certes, mais il lui moulait parfaitement la vulve
Quelques poils frisés passaient de chaque cotés, combien de temps cela a-t-il duré ? Pas assez longtemps à mon goût !dés quelle sest relevée jai toussé comme si je venais darriver, après un échange de sourire nous avons pris laccenseur ensemble, bon prétexte pour la questionner habilement
- Je crois que tu es ma petite voisine, nest-ce pas ?
- Oui
- Tes parents sont partis au ski ?
- Oui, avec mes frères, je suis obligée de rester pour mes études
mais comment savez-vous quils sont partis ?
- Pas de secret ! hier matin jai simplement vu le matériel dans le couloir
- Ha !
- Tu nas pas peur de rester seule ?
- Cet immeuble est calme, et puis en cas de besoin les petits vieux de létage sont toujours prêts à rendre service !
- Cest vrai quils sont sympas, mais si tu as des problèmes je suis là, nhésite surtout pas.
- Clotilde ! bon, voilà, nous somme au rez-de-chaussée au revoir monsieur Armand
- A plus Clotilde
Ce bout de tissus blanc ma hanté toute la journée que cest beau la jeunesse
. Le soir jai eu une deuxième surprise, coïncidence ou préméditation ? Toujours est-il que Clotilde faisait les cents pas devant limmeuble
- Bonsoir monsieur Armand !
- Bonsoir jolie jeune fille
- Je peux vous parler cinq minutes ?
- Bien sûr, tu as besoin de quelque chose ?
- Rentrons dans le bâtiment sil vous plait
- Vient chez moi je ne suis pas un pervers
- Je vous fais confiance
En marchant Clotilde se comporte comme si nous étions de vieux copains, ça me fais drôle dêtre a son coté sachant que sous cette jupette se cache un ptit cul splendide, sitôt la porte refermée elle se met à parler librement
- Monsieur Armand, ce matin vous mavez vue ?
- Bien sûr puisque nous avons pris lascenseur ensemble !
- Je ne veux pas parler de ça, vous mavez vue courbée ?
- Oui, javoue, jai aperçu ton charmant petit derrière
- Cétait fait exprès
.
- Quoi ?
- Mon père ne veut pas me voir en jupe ou robe, il dit que cest trop provoquant, cest parce que quand jétais petite cétait plus fort que moi, je montrais toujours mes fesses a nimporte qui, alors jai profité de leur absence pour emprunter une jupe à maman, mais jai mis un slip qui ne dévoile rien
ou pas grand-chose
- Cétait quand même très subjectif !
- Mon lacet était vraiment défait, mais quand je vous ai entendu fermer votre porte jai fait exprès de garder la position, ça fait drôle dêtre en jupe, je me croie nue !
- En tout cas merci pour la vue, je lai encore en mémoire
- Vous allez me faire rougir, sinon, vous préférez les femmes en jupes ou en jeans ?
- Cela dépend de la silhouette, je dois dire que les deux te vont à merveille
- Mais vous préférez la jupe ! cest plus facile dans certains cas
!
- Sinon ? que fais-tu dans la vie ?
- Je vais au bahut cest ma dernière année, une fois par semaine je fais du bénévolat, je vais rejoindre Émile a la bibliothèque
- Cest ton petit copain ?
-
.
- Sois plus claire ?
- Hé bien voilà, un soir jétudiais dans mon coin lorsque je lai entendu souffler sur sa chaise, il était cramoisi, son bras gauche tremblait a toute vitesse, jai cru a un malaise alors je me suis précipitée
- Et alors ?
- Il
.. il se masturbait en lisant un livre cochon
- NON ? !!
- Si, pris en faute il ma expliqué en pleurant que, devenu veuf, de temps en temps, il lui fallait ouvrir la soupape son dada cest de se caresser en lisant des bouquins qui parlent de relations scabreuses entre adultes ou adultes-ados
- Ça ta choquée ?
- Sur le moment oui, mais en réfléchissant je lui ai trouvé des excuses, depuis jy suis moi aussi venue à lire ce genre de littérature
- Tu disais quil était presque ton petit copain ?
- Ha oui
Émile ma avoué que sa main ne lui suffisait plus, sa zigounette était trop habituée à ses gestes !
- Et ?
- Depuis cest moi qui le masturbe sur sa chaise, ce nest pas facile avec son gros ventre !, ho cest vite fait, je ne peux mettre que trois doigts tellement elle est petite, en deux minutes il gicle dans ma main
- Tu a déjà vues dautres verges ?
- Non, mais a en croire les récits que je lis, cest bien plus imposant !
- Il se limite à se faire branler par toi ?
- Non, il me touche, mais par-dessus mon jean, il gratte ma minette avec ses ongles ça résonne dans ma vulve, ça suffit pour me faire mouiller considérablement, si bien que je suis obligée de mettre un mouchoir entre mon slip et ma chatte
- Alors tu es toujours
- Vierge ? non, un jour jétais tellement excitée que jai pelé une belle carotte, je lai planquée dans ma chambre et le soir je
..
- Tu te les enfoncée
- Exactement, jamais ma chatte na été pénétrée par un membre de garçon
- Crois-moi, leffet est complètement différent
- Bon, il se fait tard, je dois rentrer, les petits vieux vont venir voir si je ne manque de rien
- Si tu as encore envie de parler nhésite pas a venir
- Je ne sais pas
merci pour votre écoute, a plus !
- A plus
Cette fille ma mis les sens en alarmes !, je me suis caressé sous la douche avant de diner en peignoir, puis je me suis mis devant la télé, avec devant les yeux ce fameux slip blanc
ainsi elle branle un vieux et sa fait caresser la choune
quelle jeunesse ! Soudain la sonnette dentrée tinte
- Re-bonsoir, excusez moi mais jai oublié de vous poser une question.
- Laquelle ?
- Vous ne minvitez pas à massoir ?
- Si bien sûr, veux-tu boire un jus de fruit ?
- Plus tard
vous êtes seuls depuis longtemps ?
- Huit mois, pourquoi ?
- Comment faites vous pour
la soupape !
- Ha, pour satisfaire mes envies ? hé bien de temps à autre, je paie des pu... prostituées, cest dailleurs ce qui ma couté mon divorce !
- Votre femme a découvert que vous baisiez ailleurs ?
- Hé oui
Depuis quelle est assise, les genoux de Clotilde se sont ouverts, si jétais en face je pourrais voir si elle a changé de culotte
- Elle ne vous donnait pas ce que vous attendiez dune femme ?
- Pas tout
- Quoi par exemple ?
- Ce que tu fais a Émile
- Vous branler ?
- Oui
- Si vous voulez
je peux le faire
- Pas question, parce que moi je ne contenterais pas de gratter ton entrejambe
- Qui vous dit que je refuserais des attouchements plus précis ? moi aussi jaimerais voir ce que ça fais des doigts dhomme dans ma foufoune ! regardez
.
Clotilde se lève et fait tomber sa jupe, elle ne porte plus ce slip de collégienne mais un string affriolant sans doute emprunté a sa mère
- Clotilde
- Montrez moi votre
quéquette
Cest elle qui dénoue mon peignoir, ma queue raide frémit sous ses yeux émerveillés
- HOOOOOOOOOOOOOOOOO, quelle est grosse et longue ! Les bouquins ne mentent pas, ça existe ! Écartez ma petite culotte Armand
.
A genoux entre ses cuisses javance fébrilement une main, mes doigts crochètent lélastique du string qui porte déjà une large tache humide
. Elle glisse ses fesses au bord du canapé
- Enfoncez un doigt
.
- Cest deux que je vais te mettre, petite effrontée, mais en même temps tu va me caresser la queue, allonge toi je vais me positionner au dessus tête bêche
- Cest super ! je peux y mettre les deux mains ! quelle grosse paire de testicules !
- Suce-moi et je te bouffe la chatte
- Comme dans les livres ! un soixante neuf !
- Exact, maintenant avale et applique toi
Tandis quelle examine mon chibre sous tous les angles, jouvre sa vulve en crochetant les lèvres, de filaments épais obstruent le trou étroit, le clitoris gros comme un grain de maïs émerge de sa cachette, son anus se contracte et se relâche a intervalles réguliers, je choisi de le lécher en premier, lorsque ma langue pointue force le tunnel Clotilde se tend comme un arc
- Vous allez menculer comme jai lus dans une histoire ? un vieux sadique sodomisait une jeune vierge pour ne pas la dépuceler !
- Tu lis trop ! je le ferais que si tu me supplie
- En huit jours je veux que vous me fassiez tout !
- Tais-toi et tète ma bite
Cette fois je ne lui laisse pas le choix, jenfonce ma queue assez loin pour ne pas quelle la recrache, elle gémit et finit par me pomper correctement, son bassin ondule sous mes coups de langue et mon doigtage habille, un grondement étouffé, un jet abondant et un tremblement de tout son corps dénote un orgasme puissant, je peux donc me laisser aller dans sa gorge
.
- Boit toute ma semence petite
haaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaaahooooooooooooooooooo !
- Mmmmmuuuuuuuuummmmm ! cest trop !
- Cest bien pour une première fois, maintenant allons sur le lit, ôte le haut que je vois tes seins
Une poitrine menue mais bien ronde, comme je les aime, Clotilde sallonge dans une position qui dévoile toute sa féminité, je mallonge sur elle pour embrasser les seins et aspirer les tétons, je soulève mon bassin, elle glisse une main entre nous deux, sempare de ma bite et la dirige ver son vagin baigné de salive et de cyprine
- Va-y Armand, enfonce toi dans ta femme, dépucelle moi pour de bon
. Hhhhooooooooooaaaaaaaaaaaaoouuuuuuuiiiiiiiiiiiiii !!!!!!!
- Hoooooooouuuuuuuuaaaaaaaaaaaaaaa, tu es étroite, cest brulant là-dedans
.
- Je te sens mon amour, tu es gros, tu élargis mon ventre, fais moi rouler sur toi, je veux te baiser comme jen ai envie
- Je vais soulever ton cul pour te faire retomber sur ma queue
- OUUUUIII ! OOOOUUUUIIIII ! OOOOOUUUUIIIII !!
Clotilde subit un véritable rodéo, elle maintient ses seins qui sautent en tous sens, je propulse ma bite en elle aussi fort et aussi vite que je peux, jusquà ce quelle jouisse en même temps que moi, assommée par sa jouissance elle saffale sur moi, je continue mes vas et viens lentement jusquà ce quelle se réveille et soit a nouveau excitée
- Emmène-moi dans ton lit
je veux dormir avec toi cette nuit
- Tu veux essayer la sodomie ?
- Je suis ouverte de partout, je veux tout connaitre pendant que mes parents sont absents
le lendemain et les autres jours de la semaine les retraités l'ont vue sortir de chez moi les yeux cernés
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