La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 352)
Suite de l'épisode précédent N°351 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Le Seigneur Bedwyr se redresse, laisse enfin son phallus turgescent et tendue trouver tout seul la porte de sortie dans léchancrure des chausses et il senfonce profondément dans la caverne si humide de son épouse qui pousse un murmure de ravissement qui nest perturbé que par le bruit de la chaine en métal qui pend à son cou et est relié à ses poignets et ses chevilles qui tinte à chaque va-et-vient de son Seigneur et Maître qui prend possession avec délectation de cet endroit soyeux tant il est rempli de cyprine onctueuse. Redoublant alors dintensité, il la martèle de coups, donnés avec force et désir, venant buter chaque fois au maximum, presque comme sil voulait aussi faire entrer ses testicules dans lantre de la femelle quil pilonne tandis quelle ronronne de réels plaisirs. A chaque coup, les deux esclaves attachés ensemble lun sur lautre sur la chaise et le tabouret bougent davant en arrière sous la violence du martèlement ininterrompu du mâle Dominant, obligeant les deux corps à sa merci de venir chaque fois en butée de la chaise dont le dosseret en velours amorti au moins limpact.
Mais si la tête et lavant des corps se trouvent protégés, il nen est pas de même des parties intimes de lesclave qui viennent à chaque battement se cogner contre le rebord du tabouret, provoquant des sensations intenses par ces seuls mouvements de va-et-vient répétés, qui ne peuvent sapparenter à une véritable masturbation, mais nen reste pas moins une sollicitation des zones érogènes mâles, qui bien quencagées sont de plus en plus excitées tout autant que soumises à rude épreuve par des pincements, écrasements et autre tiraillements dans tous les sens lorsque la cage dacier vient heurter le rebord du tabouret. Lesclave a dautant plus de mal à contenir la montée de son propre plaisir quil est intimement lié à lépouse-soumise dont le corps sest échauffé sous londe de chaleur et de plaisirs qui la traverse et quil entend chaque soupir et miaulement de la femelle directement dans ses oreilles stimulées, même si la tête tournée vers le sol, il ne peut quimaginer et fantasmer sur la scène qui se passe sur son dos, mais dont il ressent intensément chaque pénétration comme sil la recevait directement dans son propre fondement, qui est maintenant lubrifié par la cyprine débordante du sexe femelle qui le surplombe et qui a fini par couler goutte à goutte en dessous.
- Attend-moi pour jouir lorsque je te lordonnerai et pas avant.
- Oui, Seigneur, comme toujours.
Le chevalier, redoublant de vitesse et de force dans ses coups de verge possédante et pénétrante, pousse plusieurs violents râles de mâle jouissant tandis quil se déverse par de longs jets abondants de spermes chaud dans la chatte béante de celle qui soffre à lui chaque jour de sa vie et qui se met à jouir poussant des cris de plaisirs qui excitent encore plus le Seigneur ravi de voir sa « captive » débordée par lorgasme quil a lui-même provoqué et attisé. Les derniers coups portés ont été si intenses et si rapides que le malheureux esclave 15 totalement écrasé en dessous et balloté dans tous les sens, sest fait également débordé par cette pénétration, qui nétait pas plurielle en soi, mais à laquelle il a indirectement participé. Malgré la cage de protection, il a également éjaculé, ce qui ne lui était jamais arrivé dans de telles conditions, alors quil était encagé et contraint à la chasteté. Il craint terriblement la colère du Seigneur Bedwyr qui lavait juste installé comme support de présentation et bien plus encore celle du Maître Vénéré, Monsieur le Marquis dEvans, qui sera ment mis au courant de la défaillance extrême de Son esclave encagé coupable de navoir pas su se contenir. Le Seigneur et Maître reste encore quelque temps la queue plantée dans la chatte maculée de sperme profitant de cet instant sublime qui suit lorgasme, lorsque la pression de lexcitation attendue et désirée est en train de retomber, laissant les corps profiter de ce temps dépanouissement sublime où plus rien ne compte. Il se penche à nouveau vers celle qui est son épouse dans la vie et sa « captive » dans leurs jeux D/s, et lui glisse à loreille :
- Tu es si sublime quand tu fais lamour et encore plus quand tu jouis.
Le Seigneur Bedwyr détache délicatement les cordages qui enserrent les corps commençant en premier par défaire les pieds de son épouse-soumise qui étaient attachés contre ses jambes afin quelle puisse pendant lacte damour conserver les cuisses entrouvertes.
- Ferme les cuisses maintenant, jai envie que tu gardes en toi le plus longtemps possible ma précieuse semence qui te tiendra chaud au bas-ventre et au cur, jen suis sûr.
- Merci pour ce cadeau et pour tout le plaisir accordé, mon Seigneur et Maître que jadore et respecte plus que tout.
La soumise-femelle sexécute de bonne grâce, mais manquant presque de perdre léquilibre encore perchée sur le dos de lesclave 15. Son époux et Seigneur laide à se relever ce qui libère enfin le chien-mâle du pesant poids quil avait eu peine à endurer mais qui avait provoqué chez lui une excitation si grande que la cage de chasteté sétait avérée insuffisante à lempêcher de jouir. Lesclave ne bouge pas tant quil nen a pas reçu lordre, se demandant même si les deux époux ne vont pas maintenant simplement le délaisser pour profiter de leurs câlins plus vanilles que D/s, après leurs jouissances partagées et simultanées. La voix lourde du Seigneur Bedwyr se fait entendre contrastant avec la voix tendre et douce quil avait lorsquil venait de murmurer des mots délicats à sa douce « captive ».
- Mais quest-ce que je vois par terre ! ? Vu lemplacement de la tâche, cette chute indélicate ne peut être de mon fait, même si jai tant joui que jai rempli allégrement le vagin de ma soumise qui a pu déborder un peu sur tes fesses. Esclave 15, met-toi debout que je tinspecte !
Le chien-mâle se relève aussi sec.
- Je pense que tu ferais mieux sans tarder de lécher tes cochonneries. Moi qui croyais que ce dispositif vous mettait à labri de ce genre de désagrément impromptu. Je constate que ce nest pas efficace à 100% ! Et quest ce qui nous vaut lhonneur du jaillissement de ton plaisir, la proximité dune femelle en chaleur en train de se faire sauter ou la sensation de savoir mon sexe en train de pourfendre un orifice qui se trouvait à quelques centimètres juste au dessus du tien ?
Lesclave 15, de plus en plus rouge de lhumiliation quil éprouve et frissonnant encore plus de peur, sincline profondément avant de se prosterner devant le Dominant qui le toise, pour ensuite venir coller sa langue sur la tâche de sperme quil a malencontreusement laissé séchapper et quil lèche le plus rapidement possible. Le chien-mâle est un peu surpris du goût âpre de ses propres sécrétions quil navait pas eu loccasion de goûter depuis des années. Il est habitué, sur ordre du Maître Vénéré, à avaler le sperme des queues qui profitent de sa bouche comme dun simple orifice à utiliser, tout autant dressé quil est pour savoir aussi sur ordre lécher et donner du plaisir aux sexes auxquels sa langue est offerte, quil sagisse de vulves onctueuses de Dominas ou de phallus dressés de Dominants, sachant quil lui appartient si cela est exigé de lui de pouvoir nettoyer correctement les verges maculées après la jouissance, parfois mêlées de cyprine. Ce nest que très exceptionnellement quil a limmense honneur de pouvoir déguster le divin nectar du Maître en personne qui noffre ce plaisir quavec beaucoup de parcimonie aux esclaves du cheptel pour leur faire encore plus ressentir et apprécier la rareté et la préciosité de ce cadeau, sans compter que comme ils sont nombreux à avoir le statut desclaves-soumis ou soumises, rare sont ceux qui peuvent prétendre bénéficier dattentions particulières régulières.
- Quel est le sort que Monsieur le Marquis dEvans réserve à ses esclaves qui jouissent sans y avoir été autorisé ? Ne réponds surtout pas, ce qui aggraverait ton cas, je me permettrai de lui demander en personne dès quil repassera dans les parages ou au pire avant mon départ lorsque je me débarrasserais définitivement de ta malheureuse carcasse. Pour lheure, espèce de dégoutant chien souillé, qui vient de perturber ce paisible moment que je voulais prendre avec ma « captive », napproche plus ta queue et tes sales pattes de nous. Je tordonne de rester là à lendroit qui marque ton déshonneur et ta souillure, à genoux, prostré et la tête au sol, méditant sur ton offense, avant de savoir le sort qui te sera réservé. Je laisserai au Maître à qui tu appartiens le soin de trouver lui-même le châtiment exemplaire qui Lui conviendra.
Lépouse-soumise « captive » nose pas bouger, tête baissée, elle attend ayant serré les jambes, les cuisses et les fesses pour ne pas laisser couler le sperme qui a emplit son vagin et qui dégouline malgré tout sur ses cuisses, car la fermeture est loin dêtre étanche. Elle ressent la colère de son Seigneur et Maître lenvahir à son tour, car les deux époux sadonnent à leurs jeux de plaisirs sans la moindre retenue et sans aucune protection, mais nont pas du tout envie que du sperme étranger puisse se mêler à leurs ébats. Le Seigneur Bedwyr espère bien que son épouse qui ne prend plus de contraceptifs tombera enceinte prochainement et lui donnera un héritier, il protège donc de manière intransigeante la caverne et le nid de celle qui deviendra bientôt la mère de ses s, ce qui explique dailleurs quil fait tout pour quelle garde le plus longtemps possible en elle le fruit de sa jouissance et les milliers de spermatozoïdes qui y sont contenus. Sa colère vient donc à la fois de laffront humiliant quil a ressenti de voir un simple et misérable esclave se permettre de jouir en même temps que lui sans y avoir été invité, mais aussi de la crainte qui a dû lenvahir quand il sest senti à la merci dun rival qui aurait pu dans une autre position risquer densemencer son épouse en ses lieux et place. Lesclave, qui est pris de tremblements car il sait que la colère de Monsieur le Marquis dEvans sera terrible, se recroqueville comme il peut au-dessus de lauréole de son infamie qui est restée marquée sur le parquet de vieux chêne. Le Seigneur Bedwyr enlace son épouse et lentraîne vers un canapé ou il sassoit la faisant sallonger délicatement et la prenant tendrement dans ses bras comme de simples amoureux vanille pourraient vouloir le faire, dautant plus attendrissants lun pour lautre quils espèrent bien que leur projet de voir la famille sagrandir se réalisera bientôt, même sils ont déjà évoqués le fait que cela devra mettre un terme pendant quelques mois à certaines pratiques D/s par respect pour le petit à venir, mais que sur le fond cela ne changera rien, entre eux dans leur double relation, il restera toujours le mari officiel et plus discrètement le Seigneur et Maître Bedwyr et elle son esclave-soumise « captive » et aussi son épouse adorée.
Pendant tout ce temps, le Marquis Edouard dEvans, qui avait repris son tour de ronde de ses Invités de marque, sétait approchée dune amie Domina de longue date qui possède pour lheure trois soumis quelle a traînés à sa suite en meute de « chiens » bien dressés et costumés.
- Bonjour, très chère gente Dame Vanadis, comment allez-vous et votre soirée se passe-t-elle bien ?
- Cher Marquis dEvans, je me sens à merveille. Dailleurs, il serait bien difficile de se plaindre dans de pareilles circonstances si merveilleuses à vivre et au milieu dune, si érotiquement agréable, soirée D/s organisée pour votre anniversaire. Toutes mes félicitations et aussi mes remerciements pour cette cordiale invitation.
- Très Chère, lesclave qui a été mis à votre disposition vous convient-il et vous donne-t-il toute satisfaction ? Vous savez à quel point je prends plaisir à honorer comme il se doit mes Invités et fidèles amis, hommes et femmes.
- Tout à fait, Cher Marquis, jai trouvé un quatrième partenaire pour mes trois compères. Dailleurs laissez-moi si Vous le permettez-vous présenter mes trois singes pas très sages. Jen avais marre davoir un bande de toutous baveux à mes pieds alors je les ai transformés à ma guise, dune manière plus attractive et moins commune. Vous connaissez bien, je suppose, lhistoire des « singes de la sagesse », ce symbole dorigine asiatique constitué de trois singes dont chacun se couvre une partie différente du visage avec les mains : le premier les yeux, le deuxième la bouche et le troisième les oreilles. Ils forment une sorte de maxime picturale « ne rien voir, ne rien entendre, ne rien dire » dont il est précisé que celui qui suivrait ce précepte ny récolterait que du bien.
- Oui, bien sûr, Dame Vanadis, je commence à comprendre leur accoutrement particulier, car il est vrai que je navais pas pris le temps de les regarder en détail à votre arrivée sur le perron. Je connais bien aussi ces petites statuettes de petits singes qui fleurissent sur certains étals de vendeurs de produits dimportation exotiques, mais vous avez arrangé le trio bien à votre sauce et je dois avouer plus D/s que sagesse.
- Cher Marquis, je vous présente « voir », « entendre », « dire », les trois « monkeymoi » que je possède. Lidée men est venue un jour en écoutant la chanson de « Mylène Farmer » qui porte ce même titre, et sans vouloir la singer à mon tour, même si jaime bien lécouter chanter, pour moi qui « ne manque pas de facéties » et qui ne « suit pas dans la peau dune autre » mais bien à ma place dans ma peau de Dominante, jai re-adopté sous leur nouvelle animalité et fonctionnalité mes anciens cabots, qui deviennent, chaque fois quil me plait quil en soit ainsi, de parfaits anthropoïdes D/s.
Le Marquis dEvans avec sa répartie et sa pointe dhumour habituel réplique sans attendre :
- Ce soir, jai donc eu à ma table la Sagesse incarnée dans une Grande Dame et trois singes-humains dont je ne saurais dire sils sont devenus sages ou non. Je crois quand même savoir que cest une sagesse philosophique, qui fait non dans lascétisme et la frugalité, mais dans la finesse, la sensualité, la volupté, la concupiscence, lhédonisme, lexotique et lérotique, et si daucuns hors de notre communauté trouveraient cela pas nécessairement sage, quils aillent sassagir ailleurs pour trouver leur propre bonheur. Ici, entre ces murs légendaires, la vraie sagesse est de savoir profiter de tous nos sens et de nos désirs pour en jouir sans retenue.
La Domina dune voix ferme en faisant claquer ses bottes de cuir lune contre lautre ordonne :
- Les primates ! Aux pieds
.
(A suivre
.)
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