Sous La Douche 2
(Suite de « Sous la Douche »)
J'étais retourné au boulot en boitant à moitié, rarement ai-je été défoncé de la sorte, aussi bien, aussi fort et trois fois de suite. Il était bientôt 17h30 et je n'en pouvais plus d'attendre. Tous mes collègues éteignaient leurs ordinateurs et rassemblaient leurs affaires. J'allais enfin être seul et prêt à le recevoir. Je fermais alors l'agence et je voyais un mec de l'autre côté du trottoir faire les cent pas. C'était lui. Je n'avais même pas son prénom. Mais putain qu'est-ce qu'il était beau. De loin, je lui faire mine d'approcher. Je rouvre et le laisse entrer. Je le laisse passer devant moi et referme immédiatement. J'actionne l'abaissement automatique des volets de toutes les grands baies vitrées. Il est là, au milieu du hall d'accueil, impatient. Il a ses deux mains dans les poches et me regarde sévèrement. Il porte le même jean super moulant que ce matin et rien que le voir me refait envie.
T'attends quoi ?
Que tu me défonces, là, maintenant, tout de suite.
T'inquiète pas pour ça, sale pute. Une fois que tu l'as goûtée, tu peux plus t'en passer hein ?
Non. J'ai passé la journée à attendre ta grosse pine.
Approche-toi. Tout de suite.
Son ton était autoritaire. Avec son accent caillera, c'était d'un sexy... Il att l'arrière de mon cou et m'embrasse sauvagement. Sa barbe me griffe le visage, j'adore. Sans hésiter, je saisis son entre-jambe et le caresse avec désir. Il ne tarde pas à bander. Son sexe va déchirer son jean si ça continue. Je déboutonne sa chemise noire en partant du haut, laissant apparaître son torse musclé et poilu qui m'excite tant. Je passe mes mains dessus et m'attarde particulièrement sur ses tétons devenus durs et pointus. Ses mains passent sur mon pantalon et caressent mes fesses rebondies et solides. Mon anus palpite d'avance. Je déboucle aussitôt ma ceinture et lui donne accès à mon trou lisse et lâche à cause des multiples baises de ce matin.
Tu suces tellement bien sale pute. Continue, tu seras récompensé en conséquence.
Je m'active sur son gros sexe. Je commence à bien le connaître, maintenant.
C'est bon, arrêt-toi là, tu pensais pas que j'allais te laisser me faire jouir aussi vite, j'espère ? Tout ce que tu mérites c'est que je te jouisse dans le cul, comme les putes de ton calibre aiment. Allez, retourne-toi.
Je m'exécute et me place contre le comptoir de l'accueil. Je tends bien mes fesses et les ouvre largement. De loin, je le vois retirer complètement son jean et son boxer. Ses couilles sont encore plus grosses que ce matin j'ai l'impression.
J'ai beaucoup à te donner ce soir. J'espère que tu pourras tout encaisser dans ton cul de pute.
T'inquiète, tu m'as formaté ce matin, je suis prêt pour toi.
C'est ce que tu crois.
Il baisse ma tête sur le comptoir et fait claquer son gland contre mon orifice devenu impatient. Il pousse d'un coup jusqu'aux couilles. Je soupire longuement. Enfin.
Je vais pas te ménager, ma salope. J'ai très envie de te baiser et tu m'as trop chauffé.
Il me chevauche violemment pendant quinze bonnes minutes en me maintenant par les hanches. Il presse contre mon coccyx à mesure qu'il m'encule. Il me fait mal mais c'est trop bon. Je le sens bien au fond de moi et je kiffe.
Attention, je vais te larver, ma petite pute.
Oh oui, viens bien cracher au fond de mon trou.
Je contracte fort mes muscles pour encercler au mieux son long et épais pénis.
C'est ça, trais ma grosse queue avec ton cul, salope. Aspire mon jus, je viens !
Il s'encastre au fond de moi et lâche sa purée que je sens s'éclater au fond de mon estomac. Je sais très bien que tout ne fait que commencer. Il garde sa bite bien enfoncée en moi et me redresse en tirant mes cheveux et ma tête vers lui. Il m'embrasse puissamment en me foutant de la bave partout. Je suis humide dans tous les orifices, j'adore.
Prends-moi sur mon bureau maintenant. Suis-moi.
Il me suit, la bite à l'air, toujours avec sa chemise ouverte sur les épaules. Qu'est-ce qu'il est beau et viril, mon Arabe... J'ouvre la porte de mon bureau, toujours en serrant les fesses pour garder un maximum de son foutre. J'avais tout préparé, il n'y a rien qui traîne. Je me couche dessus et écarte grand mes cuisses, en attendant qu'il s'y enfonce. Il n'attend pas et fait disparaître sa bite dans mon trou du cul. Il se penche vers moi et m'embrasse avec engouement. Il fait vibrer mon beau bureau avec ses grands coups. J'ai presque peur de tomber. Je caresse sa magnifique poitrine poilue et ses gros bras musclés auxquels je m'accroche pour ne pas perdre l'équilibre.
Tu kiffes mon corps, sale pute, vas-y, fais-toi plaisir, profite.
Ouais t'es juste trop bien foutu mon gars, baise-moi bien.
Comme d'habitude.
Il accélère le rythme et se vide à nouveau les couilles. Il se retire et c'est une pluie de foutre qui se déverse sur le bureau. Il s'écarte un peu, satisfait de son travail acharné. Mon cul est béant et j'essaye de reprendre mon souffle après cette baise bestiale.
Je t'avais prévenu, non ?
Je lui montre où se trouvent les toilettes pour qu'on puisse se nettoyer un peu. Je ressors après lui et il est déjà en train de se rhabiller. Je suis un peu déçu, au fond de moi, je pense que j'en voulais plus.
- Il te reste encore de la vigueur à ce que je vois.
- Je ne m'épuise jamais, t'as cru quoi ?
- T'es vraiment un putain d'étalon, moi aussi je suis endurant.
- J'avoue j'ai rarement baisé des putes comme toi.
- Et tu kiffes pouvoir y aller à fond, hein ?
- Ta gueule. Allez ! Je vais te doser, c'est la seule façon que j'ai de te faire fermer ta grosse gueule de pute.
Il avait déjà sa main dans mon pantalon et me doigtait avec puissance. Il m'écartait les parois bien largement. Je retire mon pantalon et ouvre grand mes cuisses. Il mitraille mon trou encore souillé de son jus. Il agite ses ongles vers ma prostate et me fait hurler. Il commence à bien me connaître. Il ne l'admettra jamais, mais je pense qu'il m'aime bien en fait. Il me demande de me mettre à genoux contre le canapé. J'ai les fesses bien tendues vers lui. Il ne sort que sa queue et s'introduit en moi sans y penser. Il s'accroche à mes épaules et me défonce ainsi quelques minutes. Il me claque fort le cul avec son bassin. La partie métallique de sa ceinture tape contre le milieu de mes fesses meurtries. C'est un mâle qui ne cherche qu'à copuler. Quel bon coup putain. J'en reviens toujours pas d'être tombé sur lui. Il est infatigable.
- Retourne-toi, fous-toi sur le canapé sur le dos, je vais te faire jouir.
- Tout de suite.
Il se place entre mes cuisses et dirige son gros gland vers mon trou lâche. Dans cette position je peux me masturber et regarder son visage agressif pendant qu'il me baise. J'ai l'impression d'être en train de mouiller du cul en abondance tellement je suis surexcité. Il plante ses doigts dans mes épaules pour y aller encore plus fort. J'ai envie qu'il se déshabille à nouveau, mais je me contente de la vision de sa chemise ouverte.
La dose arrive, sa pute.
Oh oui, fous-la moi bien au fond du ventre, crache bien fort.
T'inquiète.
Je me masturbe de plus en plus fort et explose en même temps que lui. Mon cul comblé déverse son sperme chaud alors qu'il est encore en moi. Il se baisse vers moi et m'embrasse profondément. Sa queue plantée pulse contre mes parois. Il se relève, toujours sans un sourire. Ce mec est une machine à foutre, je ne vois rien d'autre. Il range sa bite un peu ramollie dans son jean serré qui ne laisse rien à l'imagination et se tâte grossièrement les couilles.
Tu m'as vidé, je suis à sec. Grosse pute de merde.
Tu es infatigable, je n'y peux rien.
C'est ton cul qui est infatigable.
Je ne suis jamais rassasié.
Bon, il faut que je parte, je suis dégueulasse. Attends-toi à un coup de fil n'importe quand.
Oui, mon beau. Quand tu veux.
Il récupère toutes ses affaires et disparaît. J'ai laissé la banque dans un état... J'ai passé une heure à tout nettoyer.
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