Le Pompon (2)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
Jentre à la maison mon père est déjà parti à son travail.
Il est de poste de nuit.
Où étais-tu ?
Après lécole jétais chez Pierre.
Tu sais que je naime pas que tu me mentes.
Pourquoi ?
Je suis allé faire des cours et je suis passée par ton collège pour te ramener. Pierre ma dit que tu nétais pas là de tout laprès-midi.
Je cherche à trouver une explication plausible et je sens quil est préférable de lui dire la vérité.
Jai passé laprès-midi chez une copine.
Vous avez enfilé des perles.
Non jai fini dans son lit.
Elle est jeune ?
Non elle a 26 ans.
Tu aimes les femmes dexpérience ?
Non elle était vierge.
À 26 ans ?
Oui elle a préféré étudier que de samuser afin davoir son CAPES.
Elle est professeur ?
Je vois que je me suis fait piéger. Je dois lui dire la vérité.
Cest mon professeur dAnglais.
La jolie femme qui dirigeait la réunion des parents délèves avec des lunettes noires et un chignon ?
Oui mon professeur principal !
Je maperçois quelle a du mal à se si entre me blâmer ou de me féliciter.
Cela cest bien passé ?
Oui très bien !
Tu nas pas été brusque, tu sais-nous les femmes somment sensible à la douceur surtout la première fois.
Jai réussi à lui faire prendre son plaisir dès la première fois.
Cest bien mon fils je suis fière de toi. Sinon tu nas pas eu de problème de tout laprès-midi.
Si je réfléchis bien quelque chose ma étonné.
Cest quoi ?
Chaque fois qu'elle jouissait, sa chatte éjectait du liquide.
Ton professeur est une « femme fontaine » et des glandes internes ont la particularité denvoyer des petits jets hors de sa vulve. Certaines personnes aiment boire ces petits jets.
Comment, tu as été avec des femmes !
Puisque tu as été franc je vais lêtre aussi. Avant ton père jai vécu deux ans avec une amie décole. Nous étions amoureuses et lors de nos jeux, presque chaque fois, javais droit à une petite douche lorsque je la faisais jouir.
Tu étais lesbienne ?
Si tu veux, mais dès que jai connu ton père, il ma fait apprécier les plaisirs que donne une bonne virilité. Je lai quitté et elle a déménagé, je ne l'ai jamais revu. Vous-vous revoyez quand ?
À lécole demain et samedi après midi chez elle !
Tiens voilà cent francs, apporte-lui un cadeau. Du parfum par exemple, les femmes adorent cela.
Merci pour ta franchise, je naurais jamais pensé que tu avais fait lamour avec une autre femme !
Je vais me coucher, elle ma épuisé.
Je monte dans ma chambre et je mendors immédiatement.
Le lendemain, je suis en classe bien à lheure. Je suis passé signé ma feuille dabsence.
Nous avons cours avec Malaurie dans la dernière heure de la matinée.
Lorsquelle entre en classe deux de mes demandes ont été respectées.
Elle a enlevé ses lunettes et libéré ses cheveux.
Hélas, elle a contourné ma demande si le chignon nest plus là, elle na pas eu le courage de laisser ses cheveux longs et est allez chez le coiffeur.
Il lui a enlevé deux tiers de cette magnifique chevelure que jai eu le plaisir de faire tomber en cascade sur ses épaules hier.
Elle a désespérément attendu que je lui marque un peu dintérêt tout le long du cours.Jai passé la plus grande partie du temps à lire ostensiblement le livre danglais que je navais jamais ouvert depuis le début de lannée.
Christophe, venez au tableau.
Je rejoins lestrade. Je prends une craie.
Écrivez vos noms prénoms et trois lignes sur vos goûts en anglais bien sur.
Je commence à écrire, car même si je suis un cancre, langlais est la seule matière ou jobtiens largement la moyenne.
Pour suivre ce que jécris, elle a tourné sa chaise vers moi. Le bureau cache le bas de son corps à lensemble de la classe.
Je finis décrire ce quelle ma demandé. Au moment où je pose la craie et que je me retourne, la vision quelle me présente fait frémir ma verge !
Sa jupe relevée juste ce quil faut me permet de voir sa chatte. En plus de ce fait coupé les cheveux elle sest fait raser la minette. Elle me présente un abricot bien lisse fort appétissant.
Pour ne pas éveiller les soupçons des autres élèves, je redescends à ma place sans lui jeter le plus petit regard.
Fin du cours. Tous se lèvent et sortent.
Christophe, veuillez rester, jai encore besoin de renseignement.
La porte fermée par le dernier sortant.
Mon chéri, jai respecté tes demandes, jai même pris des initiatives, je te plais ?
Tu verras cela demain, je serais chez toi à 14 heures.
Je tattendrais avec impatience mon amour.
Je sors sans lui en dire plus.
Je ne me vois pas rester tout laprès-midi à ne rien faire dans le collège. Je sors et marche tout droit sous le soleil persistant.
Je peux me promener les mains dans les poches car jai laissé mon sac à dos sur ma chaise dans la classe. Je le retrouverais bien lundi.
Je ne me savais pas si bon marcheur. Javale les cinq kilomètres jusquau pont de Joinville. Sans men rendre compte, je passe devant le salon de coiffure tenu par la belle-mère de Chantal, ma jeune défloreuse.
Pendant cinq ans, je suis allé dans un placement familial dans le Doubs. Nous étions dans une ferme à trois kilomètres du plus proche village. Nous étions 8 s placés là pour reprendre des forces après lannée scolaire en respirant lair pur.
Cest là que jai fait la connaissance dune jeune fille dont le père habitait à Joinville chez une coiffeuse après son divorce.
Un jour un problème dans son travail la obligé à renter chez lui plutôt.
Elle est revenue deux heures plus tard. Elle était vêtue dune tenue, short ras la moule, petite veste en fourrure synthétique rose. Vous ajoutez, les bas résilles avec des chaussures si hautes que lon peut se demander comment elle peut tenir debout et surtout un chemisier qui dégage ses seins très peu couverts. Cette tenue ne laisse aucun doute de loccupation quelle pratique pendant tout le temps de son absence.
Lorsquil lui a demandé doù elle venait la réponse a été simple.
Je viens du bois de Vincennes près du champ de courses ou je fais la pute depuis plusieurs mois. Tu ne crois pas que cest avec ta paye que tu as pu partir quinze jours à la mer cet été !
Elle a ouvert son petit sac à main et saisi une poignée de billets quelle lui envoie au visage.
Tiens, jen ai pompé 8 à 50 francs et me suis fait enfiler par trois autres dont un black qui était monté comme un taureau appuyé contre un arbre à 200 francs la saillie. En 4 heures jen ramène presque autant que toi en un mois. Tu fais ce que tu veux moi je vais me doucher.
Il est parti avec sa fille. Il a eu le droit de la garder lors du jugement au tribunal.
Quelques mois plus tard il a fait la connaissance dune femme propriétaire dun salon de coiffure. Ils ont vécu ensemble et elle a élevé Chantal.
Vers ces douze ans, elle jouait dans la pièce attenante au salon. Sa belle-mère ne lavait pas entendu descendre.
Elle coiffait une cliente et elles discutaient très librement.
Et avec Chantal tu ten sors ?
Elle est gentille mais à lécole elle a du mal.
Elle te parle de ce quelle veut faire ?
Non, mais je ne me fais pas de bille, elle pourra toujours rejoindre sa mère pour faire la pute au champ de courses !
Elle avait rigolé des bons mots quelle venait de prononcer.
Oui je suis allé à Vincennes par le bois lundi après-midi. Elle était là sur ses hauts talons. Elle a toujours sa petite veste en fausse fourrure rose. Je lai même vu monter dans une voiture. Elle devait faire du fric il y avait course ce jour-là.
On peu pensé quel traumatisme a subi la petite en entendant que sa mère faisait la pute à moins de 5 kilomètres doù elle habitait.
Lorsquelle avait posé une question à son père, il lui a été répondu quelle était décédée.
Pendant les vacances scolaires qui ont suivi, elle a entendu les pronostique pour les courses qui se couraient laprès-midi à Vincennes.
Sans rien dire, elle a fait le chemin jusquau champ de courses. Elle était là dans la tenue décrite par sa belle-mère. Elle est passé près delle deux fois mais na jamais osé lui dire quelle était sa fille.
Elle la même vue acceptait les sollicitations dun client et montait dans sa voiture.
Cest aux grandes vacances suivantes que jai fait sa connaissance.
Comme pour tous les jeunes de mon âge, le sexe commençait à me travailler. Il nétait pas rare le matin quune carte de France soit partie dans les draps.
Tous les dimanches, à un croisement à égale distance des deux villages, les jeunes se retrouvaient.
Pour la plupart leur premier flirt a commencé là.
Les plus vieux dépassaient le stade des attouchements et des baisés. Ils sisolaient une grande partie de laprès-midi.
Lorsque nous essayons de les suivrent, nous recevions des coups de pied aux fesses pour nous faire dégager.
Javais repéré un couple qui partait systématiquement dans la direction dun bouquet de noisetiers. Le dimanche suivant, je suis venue me cacher en son centre.
Javais le nez dans la mousse, quand-ils son arrivés. Dès quils ont été hors de vue du groupe, la fille sest allongé et à relever sa robe. Pour la première fois de ma vie je voyais une chatte de femme, elle avait oublié de mettre une petite culotte.
Je bandais comme jamais. Jai saisi ma verge et me suis masturbés.
Son copain s'est placé à genoux, il a commencé à sucer la fente de la fille. Elle donnait limpression daimer car elle lui a crié.
Vas-y bouffe-moi la chatte. Une semaine que jattends de sentir tes lèvres sur ma vulve. Tu veux que je te la mette ?
Oui, viens, je ruisselle. Enfile-moi !
Le mâle sest allongé et a directement enfoncé sa verge dans sa femelle.
Par chance, je me trouvais exactement dans laxe du couple. Jai pu voir la verge allée et venir dans la minette. Après quelle est chantée, non plutôt gueulée son plaisir, il a poussé un cri et a sorti sa verge pour ne pas envoyer son sperme au fond de la grotte.
Ils sont restés dans cette position quelques minutes.
Au bout dun moment il a basculé sur le côté me montrant la fente de la belle. Elle a sorti un mouchoir de sa poche et la passé sur sa toison, quelle avait beaucoup fournie, pour essuyer le sperme qui la maculait.
Ils sont restés couchés main dans la main. La fille sest redressée et a avancé sa bouche vers la pige flasque de son homme. Elle la saisi dune main et la pris en bouche.
Oui pompe-moi, fait moi bander, jaime tes fellations. Tu as toujours été la meilleure pompeuse de bites de la bande.
La fille arrive rapidement à ses fins, il est vrai que la technique quelle emploie est efficace. Je la vois lécher la tête de la verge avec son petit bout de langue rose. Elle le plonge en bouche pour mieux recommencer à sucer la pointe.
Viens, jai trop envie de te poignarder.
La fille enfourche son mâle et jai une vision que je ne suis pas prêt doublier.
Alors quelle est à cheval le long des flancs de son homme, elle lui saisit la tige et la plante au centre de sa chatte.
Manque de chance sa robe retombe sur le magnifique spectacle que je contemplais.
Ouf ! elle doit avoir pitié de moi. Elle relève le bas et le coince dans sa ceinture. Débarrasser des problèmes matériels, elle commence à se relever puis à redescendre sur le pieu qui la cloue. Il passe sa main sur le haut de la robe et fait sortir un de ses seins. Il le malaxe de plus en plus fort au fur et à mesure que son plaisir monte.
Vas-y arracher le, il aime quand tu le maltraites. Je jouis.
Sort, je vais partir.
Trop tard, elle est restée plantée sur la verge.
Mince, jai tout pris, tu aurais pu me prévenir plutôt. Coup de chance, javais regardé théoriquement je ne suis pas féconde.
Je la vois sasseoir sur ses fesses, jambes écartées. Elle reprend son mouchoir et le passe à lintérieur de sa vulve en écartant ses grandes lèvres. Je peux voir le rose de ses muqueuses.
Jai presque tout enlevé, çà va aller ?
Lorsque je suis revenu lan dernier, il lavait épousé à Noël. Elle avait une robe blanche malgré ses trois mois de grossesse. Le petit est né au printemps.
Lorsque Chantal est arrivée au sein du groupe, 15 jours après nos arrivées, nous ne savions pas pourquoi elle était près de nous.
Pourquoi, la dame qui nous gardait avait accepté de la prendre chez elle ?
Plus tard jai appris quelle avait été placée dans une ferme. La femme avait surpris son mari au moment où il allait lui planter son dard dans la fente sur la toile cirée de la cuisine.
Le directeur était intervenu et lavait déplacé dans notre ferme pour éviter un scandale avec la famille.
Lorsque je lui demandais ce quelle voulait faire plus tard elle me répondait.
Soit chanteuse, on dit que jai une belle voix, soit coiffeuse comme ma belle-mère ou pute comme ma mère.
Cest dans les jours suivant quelle ma pris mon pucelage.
Après les vacances, rentré à Champigny je savais quelle habitait à 3 kilomètres de chez mes parents. Je suis allé au salon de coiffure une ou deux fois mais je nai jamais pu misoler avec elle et je ne lai plus revue.
Au fil du temps, je lavais oublié. Malaurie my a fait repenser.
Après quels mètres, je réalise que mes pas ne mont pas conduit là par hasard.Au moment de changer ma vie en entrant dans la Marine Nationale, savoir ce quest devenue Chantal la petite qui mavait donné bien du plaisir !
Nécoutant que mon courage je pousse la porte. Aucune cliente nest présente ce qui mévite de paniquer.
Bonjour madame, vous vous souvenez de moi ?
Tu as grandi mais tu nas pas changé, que veux-tu ?
Pouvez-vous me donner des nouvelles de Chantal ?
Non, depuis deux ans elle a quitté son père. Voulez-vous son numéro de téléphone.
Vous pouvez me le donner ?
Si je le retrouve.
Elle part dans larrière salle.
Tu as de la chance, il était dans un tiroir.
Elle me le tend.
Merci madame !
Fort de ce numéro, je descends sur les bords de marnes.
Je profite dune cabine publique pour composer le numéro.
On décroche.
Allô, qui demandez-vous !
Puis-je parler à Chantal ?
Maîtresse Chantal !
Excusez-moi, Je cherche Chantal !
Cest moi, qui êtes-vous !
Christophe ton copain du Doubs !
Christophe, excuse-moi, jétais à mille lieues de penser à toi. Que deviens-tu ?
Je rentre dans la Marine Nationale dans trois mois et une circonstance inattendue ma permis de penser à toi. Jaimerais bien te revoir ?
Je suis très occupée maintenant. Quand, es-tu disponible ?
Demain dans la matinée !
9 heures 30. Cest possible pour toi ?
Aucun problème, jai eu ton téléphone mais pas ton adresse.
11 boulevards de Strasbourg. Tu sonnes « Société, Jaime tout »
À demain! Je suis content de te revoir.
Je raccroche et je traîne jusqu'à lheure à retourner à la maison.
Je passe une nuit agitée, comment vais-je retrouver Chantal ?
Neuf heures, je suis devant un immeuble classique à Paris. Grand porche en bois et haut de cinq étages. Jattends dans un café placé face à la porte. Personne nentre ou ne sort.
À l'heure prévue, je sonne. Dans linterphone je donne mon prénom.
Monte, deuxième porte droite.
Je grimpe en courant. Je nai pas le temps de sonner, la porte souvre et un tableau extraordinaire soffre à moi.
Chantal est là, habillée de cuir avec corset lassé dans le dos. Petit short tellement mini que si elle ne sépilait pas, les touffes de poils dépasseraient. Vous complétez le tableau avec cuissardes à la dArtagnan et gants montant plus haut que le coude. Le tout entièrement noir. Joubliais, dans ses mains elle tient une cravache.
Entre, tu mexcuses jai deux clients qui mattendent !
Où, suis-je tombé. La pièce où nous sommes ait meublé empire. Fauteuils, commodes et table ronde. Aucune fausse note. Au mur des tableaux qui ne ressemblent pas à des croûtes.
Tu aimes ?
Il y-en a pour du pognon !
Tu peux le dire et encore tu nas rien vu. Suis-moi.
Elle me fait passer derrière un grand rideau rouge qui cache une porte. Nous la franchisons et je me trouve dans une pièce composée de cellules placées côte à côte.
Ici, tu trouves les vestiaires individuels. Mes clients se préparent avant que je ne moccupe deux.
Elle me fait pénétrer dans lune delles, elle est vide. Une armoire, un fauteuil et une grande glace composent la pièce.
Larmoire attire mon attention, un système de fermeture sécurisé na pas été créé par les serruriers dépoque. Une nouvelle porte est placée au fond de la cellule. Encore un système douverture codé.
Elle tape rapidement un code et la porte se déclenchent.
Viens, à partir de maintenant plus un bruit, mes clients sont là.
Il est trop tard pour lui poser des questions. Dans quelle galère me suis-je fourré !
La pièce où je pénètre est entièrement sous lumière rouge. Mes yeux mettent quelques minutes à sacclimater.
Ce que je découvre est impossible à décrire.
Je suis dans une salle pour personnes aimant la domination.
Chantal me parle tout bas.
Tu vois ici je suis Maîtresse Chantal. Attend-il est lheure de libérer mes deux clients.
Elle détache un homme et le guide jusquà sa cellule. Lorsquil passe devant moi, je ne vois pas son visage caché par une cagoule intégralement fermée à par une fente pour respirer par la bouche.
Elle sort une femme de lendroit ou elle la installé. Elle aussi à une cagoule mais je peux voir ces yeux. Chantal la tient en laisse attachée à un collier en cuir et clous métalliques. Elle la fait sortir de la pièce à quatre pattes comme un bon toutou bien gentil, des petits coups de cravache la guide vers la cellule.
Les deux clients partis, elle me fait encore franchir une porte. Le décor est complètement différent des autres pièces. Meubles designs, décoration identique.
Tu es chez moi ! Cest là que je réside.
Tu es seule ?
Oui, mon métier limite lenvie des hommes à safficher avec moi.
Pourtant tu es devenu très jolie.
Parce Qu'avant je ne létais pas.
Je la prends par les épaules et la regarde droit dans les yeux.
Tu es resté dans ma mémoire comme la jeune fille un peu délurée qui ma donné mes premiers moments de bonheur. Je retrouve une femme capable de faire bander un mort.
La comparaison est impossible.
Aide-moi à enlever ma tenue de travail.
Alors que jétais prêt à lembrasser, prestement elle se retourne et me présente son dos. Le corset est attaché par des agrafes évitant de défaire les lanières.
Elle mapparaît sein nue. Je les reconnais, je les ai assez sucés, triturés, tirés, mordillés, il y a quelques années. Les gants suivent le même chemin.
Elle sassied et me demande de lui retirer ses cuissardes.
Viens !
Elle mentraîne dans sa salle de bain aussi moderne que le reste du logement. La baignoire ronde au centre de la pièce bouillonne.
Je lai commandé depuis ma salle de travail. Comme cela tout est chaud lorsque jai terminé !
Elle me fait entrer et me déshabille. À un détail près dans le Doubs jétais en pantalon de survêtement. Elle navait pas eu de mal à le tirer vers le bas menlevant par là même mon slip kangourou. Ici je suis en jeans et elle bataille plus difficilement avec ma ceinture et les boutons de ma braguette.
Pour ne pas lui faciliter la tâche, tout ce que jai vu depuis que je suis rentré ajouter à Chantal à moitié nue me fait enfler ma tige qui a du mal à être contenu dans un si petit espace.
Jai affaire à une experte qui me libère prestement.
Elle fait glisser son mini short et enjambe la baignoire. Sa chatte sécarte lorsquelle lève la jambe et me donne envie dy glisser mon sexe. Elle est complètement épilée. Elle se glisse dans le bain où je la rejoins.
Tu mas dit que tu tétais engagé dans la Marine ?
Oui, pour cinq ans je serais mécanicien.
Bien et tu espères voyager.
On verra mais ainsi jaurais une formation.
Et, les filles ?
Je lui raconte mon aventure avec ma professeur danglais. Jévite de lui dire que je dois la voir dans quelques heures.
Jai découvert que jai à faire à une femme fontaine !
Cest rare d'en trouver. Et tu me dis quelle était vierge à 26 ans.
Je lai défloré comme tu la fais pour moi. Je lui ai aussi enlevé sa rondelle, les deux fois malgré son inexpérience elle a joui. Le plus drôle cest quand je lai claquée aux fesses, elle en redemandait, jai arrêté car je ne voulais pas lui donner de mauvais travers.
Si elle aime être dominée, il faudra me lamener, je men occuperais. Je lui ferais un tarif damie.
Merci, mais je ne suis pas porté sur le sado ou le maso.
Dommage ! Attends, je vais te faire un cadeau pour elle.
Prestement elle saute de la baignoire et revient avec une boîte.
Elle remonte me faisant voir une nouvelle fois sa fente vierge de tous poils.
Tout à lheure met lui cela autour du cou. Voici la laisse qui va avec ce collier.
Tu lui demanderas si elle veut être ton esclave chaque fois que tu attacheras le mousqueton à cet anneau. Si elle accepte, elle devra exécuter tous tes désirs.
Et toi comment as-tu atterri ici ?
Tu sais que lorsque jétais en vacances je te disais toujours que je serais soit chanteuse, soit coiffeuse soit putain. Jai commencé par essayer dêtre chanteuse. Jai réussi à rencontrer un producteur qui ma promis un disque si je lui donnais mon cul. Je les fais. Jai vu sa queue mais je nai pas vu mon disque. Il sest servi de moi dans des soirées où ma chatte lintéressait plus que ma voix. Jai fini par admettre que je ne serais jamais chanteuse.
Passe moi la savonnette !
Coiffeuse, jai immédiatement abandonné lorsque jai vu les mains de ma belle-mère surtout au moment des fêtes. Il me restait putain. Javais retrouvé ma mère qui tapinait vers le champ de courses de Vincennes.
Un jour je suis arrivé en tenue de travail vers elle sans quelle sache que jétais sa fille. Javais acheté ce quil fallait pour aguicher les hommes. Javais des cuissards du même genre que celle dont je me sers ici qui a fait ma réputation.
Au début, elle ne voulait pas que je travaille vers elle. Elle me donnait des coups de pied pour me faire partir.
Un après-midi je lai vu se faire agresser par un homme qui voulait la racketter.
Je suis intervenu avec une bombe aveuglante et je lai défendu. Son agresseur a fui sans savoir où il allait.
Elle ma eu à la bonne et nous avons travaillé en nous protégeant lune lautre. Comment na-t-elle jamais remarqué que nous nous ressemblions certains de nos clients nous appelaient les deux surs !
Un jour un client ma proposé moyennant une grosse somme quil venait de gagner au champ de courses que je laccompagne dans une boîte échangiste où les hommes seuls ont du mal à entrer.
Jai été amusé nétant jamais allée dans ce genre de boîte et les billets qui ont rejoint mon sac m'ont convaincu.
Nous sommes partis directement dans Paris à une adresse quil connaissait.
Ma présence lui a ouvert les portes. Une fois entré, il est parti vers les fonds de létablissement et je ne lai juste aperçu avec un homme.
Jétais au bar et plusieurs hommes ont essayé de mentraîner dans les alcôves. Avec moi, pas de fric pas de baise. Dans ce genre de boîte les putes sont très mal vues voire banni. Je les ai éconduit poliment. En faisant cela jai attisé la convoitise dune femme dun certain âge. Cétait une lesbienne qui ma fait dû rendre dedans comme aucune femme ne men avait fait. Le jeu ma intéressé. Je suis une belle salope et tu le sais bien. Jai donc accepté de la suivre.
Pour la première fois, je me retrouvais à honorer une femme.
Bizarrement les ombres qui rôdaient autour de nous me mettaient mal à laise.
Martine la sentie et ma proposé de continuer la soirée chez elle.
Jai accepté contente de quitter ce lieu qui ne pouvait pas me rapporter un sou. Elle a commandé un taxi et nous nous sommes retrouvées dans cet appartement. Jai passé le reste de la nuit à la brouter et à me faire brouter.
Pendant deux jours elle ma gardé sans me dire ce quelle faisait. Le troisième jour, elle sest préparée et je lai vu enfiler sa tenue de travail. Nous avons quitté la partie de lappartement ou nous sommes en ce moment pour nous rendre dans lautre où elle recevait les personnes adeptes à la domination. Je nétais pas en tenue, mais jai aimé infliger de petits sévices aux clients consentants.
Elle sétait rendu dans ce club échangiste pour trouver une femme susceptible de reprendre sa petite affaire afin de partir dans le midi dans une villa quelle a pu sacheter. Elle y est toujours et je vais la retrouver lorsque le besoin de soleil me démange.
Dans la boîte, aussitôt quelle ma vu, elle a su que jétais celle quelle cherchait.
Elle ma appris les ficelles du métier. Au bout de deux ans elle ma passé le relais.
Je lui rachète lensemble des deux logements en lui versant une rente tous les mois. Jaurais pu solder ma dette depuis longtemps, mais je préfère lui assurer un revenu qui lui permet de vivre tranquillement.
Jai fait énormément dinvestissement dans la partie professionnelle surtout en ce qui concerne la sécurité de mes clients.
Je nai pas oublié mon bien-être et tu vois dans le luxe où je vis.
Cela te rapporte de bons revenus ?
Le secret professionnel veut que je ne dise rien sur eux. Je vais un peu déroger à la règle avec toi. Lhomme que tu as vu tout à lheure et qui était recouvert dun masque intégral est un personnage politique de tout premier plan et dont on parle pour être premier ministrable. Tu peux te douter quil souhaite de la discrétion et cela se paye.
Et ta mère ?
Merci, dès le début de notre entente jai raconté à Martine mon histoire. Elle a tenu que je vais la rencontrer et lui proposer de venir près de nous. Jy suis allé et elle a accepté de venir. En ce moment elle est près de Martine pour les fêtes.
Tu lui as dit quelle est ta mère.
Non, jai peur que si elle lapprend sa fierté la renvoie vers le trottoir. Lorsque le nombre de clients est trop important elle enfile une tenue et nous travaillons ensemble.
Je sors du bain et suis obligé de mhabiller pour rejoindre Malaurie.
On se revoit ?
Je ne prends pas de client le dimanche vient dans huit jours. De toute manière tu as mon numéro si tu as des problèmes appelle-moi.
Je la quitte en emmenant son cadeau, contente de lavoir retrouvée.
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