Soumis Et Corrigé
Depuis longtemps je fantasmais dune rencontre dans laquelle je serai soumis. Je réponds donc à une annonce dun site que je consulte de temps à autre. Je me demande toujours qui est linterlocuteur virtuel, quel est son véritable objectif, je préfère donc toujours quelques échanges par mail, photos et quelques suggestions un peu excitantes. Je prends contact avec un homme de 56 ans qui propose une éducation sévère mais dans le respect de nos accords. Je lui indique mes limites, être soumis et humilié avec des corrections uniquement en fessées et sans aucune autre forme de violences. On se met daccord sur le samedi après midi où je dois me présenter chez lui.
Le samedi arrive, je me déplace et sonne à la porte de sa maison de village. Il ouvre, minvite à avancer dans le salon. Je le regarde, il ressemble bien aux photos quil ma envoyés. « baisse les yeux » mordonne-t-il. « Fous toi à poils et dépose tes vêtements dans le seau qui est à côté de toi » poursuit-il. Je me déshabille en prenant soin de déposer minutieusement ma chemise par-dessus le seau. « Jai dit mets tes vêtements DANS le seau, mets ta chemise en boule, elle va rentrer », mince, ma chemise va se froisser mais je ne dis rien et mexécute. Je me retrouve en boxer et même si je sais ce qui mattend, je suis venu pour ça, je marrête là. « jai dit à poils, ta culotte dans le seau aussi » insiste cette voix ferme. Jôte mon boxer et le dépose donc dans le seau.
Lhomme fait le tour de moi, il a une baguette à la main. Il sen sert pour faire bouger mes couilles quand il est devant moi puis mouvre la bouche comme pour regarder mes dents (cest ce qui se faisait sur le marché des esclaves), ensuite, il se sert de la baguette pour mécarter les cuisses et me titiller lentrée de mon cul.
« Vas choisir un instrument de dressage sur la table de la salle à manger ». Javance donc à poils devant lui et regarde sur cette table. Là sont déposés lun à côté de lautre un paddle, un martinet, une cravache, un fouet et une ceinture à boucle.
Il mimpose encore un nettoyage de son gland pour pouvoir lintroduire dans son slip. Javoue que japprécie moins le goût du sperme froid.
Il sassoit dans un fauteuil alors que moi je dois rester droit et à poils devant lui. On bavarde un peu et dans la conversation, je dis que je fantasme quelquefois de me faire humilier devant un témoin. Cette phrase anodine était glissée au milieu dune conversation sur nos fantasmes ou nos expériences mais lui la bien retenue. Il me propose donc dappeler un pote à lui pour quil puisse apprécier que je suis sa chose bien soumise et que je puisse montrer ma fierté à être une merde ou un sous homme. Il mexplique que maintenant quand jirai chercher mon instrument de correction, je devrais lapporter dans ma gueule, massoir devant mon maître et attendre quil le récupère.
Il appelle son pote qui arrive dans le quart dheure. Jai été préparé avec un collier et couché dans un grand panier pour chien à son arrivée. Les deux hommes sinstallent dans le fauteuil, boivent un café, bavardent comme si je nexistais pas. Je nai pas le droit de lever les yeux. Puis mon maître siffle, je me présente devant lui et massois. « Cest ton nouveau chien » lui dit son ami. Non cest une petite chienne, et il illustre son geste en écartant mes fesses avec sa baguette, regarde elle a un trou dit-il, pourtant à ce moment là je bande. Elle est en cours de dressage, vas chercher ton martinet. Je pars donc récupérer le martinet avec ma gueule et le rapporte à mon maître. Il me fait patienter un long moment puis récupère le martinet. Là il se met à madministrer une bonne correction sur mes fesses encore marquées par les coups de cravache que javais pris deux heures auparavant. « Salope, ça te fait bander, prends toi ça ; tu nes quune sous merde ; tu es une lope, profite donc de mavoir connu et tiens ». Je croyais ma rouste terminée quand il se place devant moi et mordonne décarter les fesses. Là il me donne des coups de martinet bien séparés lun de lautre en visant la raie de mon cul mais les lanières dépassent la raie et mes bourses sont flagellées, ce qui est très douloureux. Jimplore mon maître de sarrêter, son pote est mort de rire en nous regardant. « Bon , je fais finir de te montrer ce que je fais de ma chose ». Là mon maître baisse son pantalon, se met à genoux derrière moi, menfonce son doigt enduit de gel quelques minutes toujours sous le regard de cet étranger. Il ne tarde pas à menfoncer son gourdin dans le cul en me traitant « tes un bon vide couilles, je pense quelle va nous faire une belle portée de petits chiens » et puis quelques coups plus secs et son gémissement me font comprendre quil atteint son plaisir. Il se lève, va à la salle de bains. Moi je suis au milieu du séjour à quatre pattes, avec du jus qui coule de mon cul ; jai vraiment lair con devant son copain.
Vous me direz si vous souhaitez que je vous raconte mes nouvelles rencontres.
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