La Belle-Mère De Ma Copine Du Moment...
En ce samedi après-midi, quelle ne fut pas ma surprise dapercevoir la belle-mère de Marion, Maryse de son prénom, au corps potelé là où il le faut, seins lourds, fesses volumineuses, bien balancées dans un tailleur gris, au pied de mon immeuble.
Après un salut pas très amical, elle me demande de lui consacrer quelques instants de mon temps, pour une petite discussion. Je linvite alors à monter dans mon appartement.
- Je vous offre un café ? lui dis-je.
- Oui, merci, si cela ne vous dérange pas, lance-t-elle.
Elle choisit de sasseoir sur le canapé. Elle néglige un détail, le bas de son tailleur gris est une jupe portefeuille, qui souvre largement à son mouvement, me permettant dapercevoir une jolie paire de bas couleur chair.
Au cours de nos brèves rencontres, jai toujours été frappé par lextraordinaire magnétisme sexuel de cette femme.
Une fois la contemplation des larges morceaux de chair découverts au-dessus du bas, je maffaire à préparer le café, que je sers quelques minutes plus tard dans les tasses disposées sur la table basse. Je minstalle à mon tour dans un des deux fauteuils. Face à elle, je ne peux mempêcher de lorgner vers lombre au creux de son ventre. Elle sen rend parfaitement compte mais ne semble pas sen offusquer.
Sur ce, la discussion peut commencer. Nous bavardons de choses et dautres, glissant peu à peu sur le sujet qui blesse, mes rapports avec Marion. Une jeune fille de 20 ans que jai rencontrée au cours dun cocktail deux mois plus tôt.
- Votre relation avec Marion est quand même étrange
Loin de moi lidée de mimmiscer dans vos rapports avec ma belle-fille, mais jaimerais, ainsi que son père, savoir à quel jeu vous jouez avec elle ?
- Jouer ? Je ne comprends pas votre question.
- Alain, Marion a 15 ans de moins que vous. Pendant une discussion que jai eue avec elle, Marion semble vouloir autre chose quun simple flirt. Je ne vous apprends pas que ma belle-fille est inexpérimentée sur la chose, malgré ses 20 ans.
Là, Maryse croise ses jambes de nouveau. Le simple crissement de ses bas envoie une décharge dadrénaline dans mes artères, faisant naître une brusque flambée de désir.
- Je pense, madame, avec tout le respect que jai pour vous, que vous vous méprenez.
- Ah bon, et pourquoi, vous nallez pas me faire croire que vous ne couchez pas avec elle.
- Je nai pas dit cela madame, jessaye seulement de vous faire comprendre que je ne suis pas le premier, si cest ce qui vous chagrine.
- Pardon, vous nêtes pas le premier, qui donc alors ?
- Là madame, cest une affaire entre vous et elle.
Comme dans un excès de fièvre, Maryse lève sa jambe droite avec ardeur. Elle pose tranquillement sa cheville sur son genou gauche. Mes yeux effeuillent des ombres agrémentées de dentelles qui narrivent pas à contenir sa pilosité effervescente de boucles prometteuses, me provoquant un commencement de durcissement de quelque chose de musculeux dans le fond de mon pantalon. Je suis à ce moment-là au summum de mon excitation, ce qui me pousse à lui préciser :
- Je pense madame, sans pour cela vous décevoir, que Marion possède une très grande expérience sur la chose.
- Quavez-vous lair de prétendre ? se cabre-t-elle super-indignée.
Cette petite entrevue commence à me mettre en émoi. En quelques phrases, je lui confesse le savoir-faire de la jeune coquine. Maryse, stupéfaite de mes déclarations, reste sans voix. Au bout dun moment, elle roucoule dans un rire de ventre.
- Eh bien, moi qui la croyais sainte, vous men bouchez un coin, Alain.
Jai à présent une superbe érection au fond de mon pantalon. Cest avec grand plaisir que je lexhibe à sa vue, attendant patiemment la réaction de Maryse. Ce qui ne se fait pas attendre, comme je le pensais.
- Je ne sais pas si cest notre conversation qui vous a mis dans cet état, dit-elle avec entre ses paupières mi-closes, un regard de salope.
- Oh pardon ! dis-je hypocritement en regardant ma braguette.
Ses yeux gourmant sont à présent figés sur mon bijou de famille.
- Je suis très confus, vous savez. Surtout devant vous, la belle-mère de Marion, quallez-vous donc penser de moi ? Je mexcuse, mais il va peut-être falloir que je mabsente quelques instants pour que jaille me satisfaire, dis-je en la provoquant.
- Ah bon, vous allez, vous
?
- Oui, madame, je vais aller me masturber.
- Quest-ce qui vous empêche de le faire ici ! renchérit-elle.
- Mais, cela ne se fait pas !
Son regard accroche le mien, jy vois une lueur à la fois joyeuse et sensuelle. Soudain, Maryse défait lunique bouton de la veste de son tailleur qui souvre, découvrant le spectacle de deux obus prêts à exploser crevant le soutien-gorge, laissant aux trois quarts libres ses deux masses de dynamite sexuelle à létat brut.
-Vous savez Maryse, si je peux me permettre de vous appelez par votre prénom, Marion peut arriver dun moment à lautre !
- Des clous, siffle-t-elle en me faisant signe de mapprocher delle, rajoute-t-elle.
Il aurait fallu être en phase terminale de vie pour ne pas réagir. Je passe par la porte dentrée, tire le verrou, et fais glisser mon pantalon. Je libère un sexe gonflé, formant un angle droit avec mon ventre.
Elle me fixe, cherche du regard le bonheur dans mes yeux. Maryse se débarrasse méthodiquement de son soutien-gorge, pendant que je fais les quelques pas qui nous séparent.
Ses doigts se tendent sur ma hampe rigide. Elle tire la peau de mon membre vers le bas, y découvre alors mon gland. À laide de ses ongles, elle griffe légèrement la chair délicate. Elle cale alors ma verge entre ses seins gonflés de désir, son regard lubrique sur moi. Elle mempoigne à laide de ses lourdes mamelles pour une branlette espagnole.
Ses lèvres douces entrent dans la danse, déposent de doux baisers sur la peau tendue.
Je me mets à mon tour à genoux. Limplore quelle se lève, quelle relève sa jupe. Je pose mes mains sur sa dentelle que je fais glisser le long de ses bas auto-fixant qui enserrent les cuisses pleines.
Jembrasse ses jambes en remontant vers la longue fente charnelle perdue sous les boucles de fourrure. Mon visage découvre une moiteur impatiente. Dinstinct curieux, je minsère encore plus bas, vers son anus étoilé. Dune langue chaude, je réveille son petit trou.
- Oh, que faites-vous là, mon cher
Contre toute réponse, je linvite à se rasseoir sur le divan. Je retrousse sa jupe et jerre de plus belle, ma langue sur son anatomie. Accumulant une grosse quantité de salive. Jy faufile un, puis deux doigts, tout en la regardant.
Une petite rougeur envahit ses joues. Ses pupilles commencent à se dilater. Inconsciemment, ses paupières se ferment, renversant sa tête en arrière. Son bassin vient au-devant de ma caresse. Son souffle se fait plus profond, plus court. Jeffleure alors son ouverture à laide de ma verge.
- Prenez-moi, me souffle-t-elle, dune voix hachée.
Jappuie mon membre contre son orifice étroit, je pèse de toutes mes forces jusquà ce que son sphincter cède. Elle ne se dérobe pas. Elle madresse même un sourire salace.
- Vous aimez ça
? Prendre vos conquêtes de ce côté-là ? me souffle-t-elle.
Je mengloutis en elle de toute ma longueur. Maryse en soupirant commence à remuer sous moi, une houle follement érotique. Sadiquement, je me retire lentement avant de replonger dans létroit canal. Je me mets à la besogner énergiquement, hélas, je ne peux me retenir déjaculer trop rapidement à mon goût. Maryse continue à gémir quelques instants.
Elle se lève, fait retomber sa jupe, remet son soutien-gorge avec des contorsions méritoires.
- Je ne tiens plus sur mes jambes ! marmonne-t-elle, achevant de remettre de lordre dans sa toilette. Je nai jamais été prise de ce côté.
Jôte le tour de verrou. Je retourne dans le salon. Jai juste le temps de reprendre une attitude décente lorsque Marion surgit à la porte dentrée
A SUIVRE.
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