La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 353)
Suite de l'épisode N°347 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Lesclave-soumise Thaïs MDE vient de passer un long moment entre les mains de Marie, la perverse cuisinière du Château du Marquis dEvans, moment qui fut à la fois très éprouvant mais aussi tellement émoustillant, se clôturant par un orgasme paradisiaque accordé à grands coups de gode végétal. Marie a laissé tomber le concombre et le poireau quelle venait dutiliser dans cette mixture de légumes et dherbes mélangés à tant dautres liquides dorigine plus humaine, sucs féminins de jouissance, eau de femme-fontaine, sans parler des deux mictions qui sont venues se rajouter dans la « préparation culinaire » si particulière de la cuisinière du Château qui tentait dinventer la nouvelle recette inédite dun « bouillon de légumes à la soumise ».
Thaïs MDE est encore dans un état encore second, revenant dun orgasme que son corps na pu que réclamer en silence avant dy avoir été autorisé, tant ont été intenses les sollicitations charnelles et lexcitation sexuelle qui avait été poussée à son paroxysme malgré létrangeté de la situation à laquelle la soumise était confrontée pour la première fois de sa vie et lexcentricité dune vicieuse femme et du « bain » chaud dans lequel elle avait dû patauger pour y subir les idées lubriques et loufoques de Marie, qui a affiché sa perversité et son goût particulier de cuisinière qui pour tout ce qui touche à la sitophilie, lorsquil sagit dassocier sexe, érotisme et nourriture.
La petite chienne, encore les jambes flageolantes et le corps frémissant, commence à se sécher avec la serviette-éponge que Marie vient de lui tendre, avec son sourire satisfait, ce qui la rend dapparence aimable. Thaïs MDE trouve quelle aurait bien aimé pouvoir être autorisée à prendre une douche à cet instant, car elle sent que son corps est resté visqueux après avoir trempé dans ce « bain - bouillon de légumes » qui avait en somme bien peu de qualités détergentes et encore moins nourrissantes ou hydratantes pour sa peau, habituée à tremper dans des bains soyeux dans lesquels elle déversait, selon les jours, des huiles essentielles parfumées ou des sels de bains veloutés, aux vertus reconstituantes, tonifiantes ou relaxantes, et même parfois aphrodisiaques, suivant les besoins de son corps et ses envies de femme qui prend soin delle avec raffinement.
Le jus de tomate écrasé, les herbes aromatiques, les légumes coupés en morceaux, le mélange étonnant dans laquelle la chienne-soumise a été plongée avait plutôt lallure dun produit décapant, faux gommage du corps qui navait rien dun soin esthétique qui permet de rendre la peau plus douce lorsque toutes les cellules mortes ont été évacuées et que lépiderme nettoyé, apuré de ses impuretés, est convenablement hydraté par la suite avec une crème onctueuse. Thaïs MDE se sent plus crasseuse que jamais, et même en frottant fort avec la serviette, elle a limpression de sessuyer certes, mais pas denlever la pellicule poisseuse qui est venue se coller sur son derme. Elle aimerait que la cuisinière comprenne quelle ne va pas pouvoir continuer la journée dans cet état de saleté, mais Marie, tout au contraire, semble sourire gaiement de la situation et se plaire de voir cette petite chienne essayer de sastiquer un petit peu.
- Bon, cela suffit la chienne, on y va ! Je tavais dit de faire vite car je dois reprendre mon service sans tarder. Tu es assez sèche maintenant et tu ne risques plus de tâcher lancestral parquet de chêne du Château en dégoulinant de partout. Cest la seule chose qui compte à mes yeux.
Marie att sur le mur une laisse faite de gros maillons de métal quelle accroche aussi sec au cou de Thaïs MDE et elle tire dessus vers le bas sans ménagement pour lui faire comprendre que la promenade pour remonter au rez-de-chaussée va se faire à quatre pattes comme il se doit pour la plupart des déplacements des esclaves au sein du Château. Sans dire un mot et sans même daigner maintenant regarder celle qui nest plus quune chienne femelle tirée en laisse et ondulant derrière la cuisinière, qui, quant à elle, avance la tête haute dans une vraie allure de Domina, fière et satisfaite de son divertissement pendant son temps de pause quotidien. Elle se réjouit surtout de repenser à la manière dont elle a fait « mijoter à petit feu » celle qui sest pliée à ses idées les plus perverses, sans broncher et se rebiffer, mais pas sans fauter et sans ouvrir la bouche.
Lesclave-soumise, dont le corps est encore un peu rouge tant le bain avait été chaud, éprouve encore plus intensément le froid de lair qui vient en contraste simprégner sur sa peau, malgré le fait quelle sest bien séché le corps et les cheveux. Mais le fait de déambuler nue avec juste son collier permanent en métal et en laisse nest pas spécialement là pour la réchauffer, car les couloirs du sous-sol ne sont pas spécialement chauffés à une haute température et il fait un temps toujours glacial et humide à lextérieur. Cest donc de manière presque réactionnelle et instinctive que Thaïs MDE qui ressent âprement sous ses mains, ses genoux, et ses jambes, la froidure du carrelage des couloirs du sous-sol se met à greloter tout fort, presque à en claquer des dents, car la fatigue de la journée qui est loin dêtre terminée commence déjà à peser sur ses épaules, puisquelle na eu en tout et pour tout quun petit temps de répit à lheure du déjeuner entre de multiples épreuves. Cest totalement affaiblie avec un grand coup de barre qui la coucherait bien sur place malgré son désir de continuer à obéir pour ne pas décevoir le Maître Vénéré à qui elle a juré obéissance, que lesclave essaye de suivre tant bien que mal, et ne pouvant en outre faire autrement, la cadence imposée par Marie na pas décidé de ralentir sa marche et tire de plus en plus souvent sur la laisse pour faire comprendre à la chienne-femelle que lheure nest pas à la nonchalance.
- Espèce de chienne encore très mal dressée ! Cest comme cela que tu me remercies de la jouissance que je tai permis de prendre grâce à ma trop grande bonté et mon savoir-faire. Tu as envie de me mettre en retard et de me faire mal au poignet qui a déjà été bien sollicité par mon savant et épuisant godage, quand je vois que je suis obligée sans cesse de tirer maintenant sur ta laisse pour que tu consentes à avancer autrement quà lallure dun escargot ! Si jai la moindre remontrance ou allusion en haut de la part de Monsieur Walter parce que nous sommes en retard et quil ma attendu, je peux tassurer que tu vas le sentir passer, sans compter que tu ne connais peut-être pas encore la règle pour les esclaves qui est de 10 coups de cravache par minute de retard.
Marie att la grosse spatule de bois quelle porte à la ceinture du tablier propre quelle vient de remettre pour pouvoir reprendre son travail en cuisine et labat sans délicatesse sur le postérieur de la chienne-esclave, à de nombreuses reprises, laissant de grandes marques rouges en aplat sur chacune des deux fesses.
- Puisquil faut finalement te redonner un peu dénergie pour que tu penses à avancer plus vite, voilà de quoi te satisfaire ! Jimagine aussi que la chaleur de tes fesses pourra tenlever lenvie de claquer des dents car je naime pas du tout ce bruit-là qui vient crisser dans mes oreilles. Et tâche que je naie pas à te le redire une fois de plus, ni même à devoir marrêter encore ou à tirer sur la laisse dune espèce de mollasse fainéante.
La cuisinière après avoir terminé de fesser longuement la chienne-femelle à ses pieds lui fourre la spatule en bois entre les dents pour éviter de lentendre à nouveau greloter et grincer des dents.
- Tu tâches de la garder à la place où je viens de la mettre, sans la tomber. Cela au moins te permettra de te concentrer sur quelque chose et darrêter de rêvasser sur le chemin. Tu nes plus en train de faire ta promenade de bourgeoise qui na rien dautre à faire de la journée que de se prélasser tandis que les autres travaillent.
Thaïs MDE en tant que chef dentreprise avait bien peu le temps de se prélasser et encore moins de rêvasser car ses journées étaient longues et ardues, se prolongeant souvent tard dans la nuit car elle ramenait des dossiers à la maison, quand elle ne choisissait pas de rester bosser au bureau bien après que tous les salariés en soient partis. Elle navait donc jamais loccasion de faire ce que Marie appelle des promenades de bourgeoise car cest un titre qui convenait mal à cette femme daffaires plutôt bosseuse et appliquée qui consacrait beaucoup de son temps personnel à son activité professionnelle avec lenvie de réussir et de faire tourner la boite quelle avait petit à petit créée par le fruit de son travail acharné.
Lesclave-soumise a confiance dans son choix de vie aux pieds du Maître Vénéré et elle a encore plus confiance en Celui à qui elle a décidé de vouer sa vie et entre les mains de qui elle sest remise pour sabandonner et devenir Sa propriété pleine et entière, dont IL pourra faire ce quIL désire suivant son bon vouloir. Cest donc avec conviction que Thaïs MDE puise dans ses dernières forces en réserve, pour ne pas risquer de devoir mécontenter une fois de plus Marie qui vient de reprendre sa marche forcenée, mais aussi parce quelle sétait douté que son temps de dressage au Château ne serait pas une partie de plaisir, et quelle entend bien cependant tout faire pour tenir bon sans faillir et supporter tout ce qui lui sera imposé. Marie monte lescalier suivie très péniblement à nouveau par la chienne-esclave qui a dû mal à garder léquilibre et le rythme tant les nez de marches sont saillants, lui laissant peu de place pour trouver une assise pour poser ses genoux. Thaïs MDE pense que la cuisinière, qui avait fini par être si gentille après la séance du bain « culinaire », est à nouveau devenue bougon et inébranlable car elle lentend marmonner entre ses dents depuis quelle vient dentendre le carillon de lhorloge du Grand Hall dentrée.
Mais en même temps, elle se rend compte que plus Marie la contraint à se dépêcher sans la ménager, plus elle sent à nouveau lexcitation de se savoir devenue si vite, si docile, si consentante et si vulnérable, prend le pas sur toute autre pensée, reconnaissant quelle a beaucoup de chance davoir été prise en mains par Walter, le Majordome, et Marie, la cuisinière, en labsence du Maître, car ils auraient pu se contenter de la laisser maronner, attachée par une longue chaîne dans sa cellule sombre, des heures durant à attendre le retour du Maître parti en déplacement professionnel, au lieu de se décarcasser à essayer de faire delle en quelques jours une meilleure soumise humble et disciplinée qui pourra plus facilement contenter Le Maître dès Son retour et surtout par la suite. Elle sent bien au fond delle-même que le traitement dense auquel elle est assujettie nest rien dautre que cela, un vrai dressage intensif, on ne pourrait pas dire un domptage car elle na rien dune rebelle quil faudrait dompter et casser pour la mâter. Elle se sent plutôt obéissante, compréhensive, malléable, acceptante de tout ce qui lui est imposé sans rechigner, mais encore fragile, peu résistante et pas très endurante. Elle se demande tandis quelle franchit les derniers mètres qui la séparent de la salle à manger du personnel dont elle a reconnu le dallage du sol, si cela sest pratiqué de la même manière pour chacun et chacune des esclaves-soumises du cheptel, et si les exigences sont les mêmes à chaque fois et dans chaque parcours de soumission. Mais elle renonce très vite à se poser la question, car dune part, elle risque bien de ne jamais avoir la réponse, et dautre part, elle nest pas là par rapport aux autres, en mieux ou en moins bien, mais pour essayer, comme elle la promis en jurant fidélité et allégeance à Monsieur le Marquis dEvans, de lui obéir et de le satisfaire en tous points et en tous temps.
Cette vie de servitude aux pieds dun si Grand Maître Dominant, elle en avait rêvé avant de savoir quelle pourrait un jour pouvoir vraiment avoir lopportunité et le bonheur de vivre cela et de rencontrer Celui qui pourrait devenir Le Maître Vénéré à qui elle appartiendrait pour son plus grand bonheur. Et maintenant, ce nétait plus un rêve, mais une réalité, une certitude, un vrai présent, au double sens du terme de cadeau reçu et de temps actuel. Elle ne saurait jamais rien de ce qui lattendrait pour les minutes qui allaient suivre, pour les jours, pour les mois qui passeraient, mais tout cela na à ses yeux plus dimportance. Thaïs MDE sait quelle a trouvé sa place aux pieds « dun » Maître et pas nimporte lequel, Monsieur le Marquis Edouard dEvans, LE Maître Vénéré, avec un très grand « M », et aussi Celui à qui elle a le sentiment de lui être prédestinée. Elle veut tout faire en Lui donnant chaque fois le meilleur delle pour quIL soit fier et satisfait de Son esclave-soumise qui lui appartient corps, esprit et âme pour toujours, car cest son vu le plus cher dêtre possédée et dêtre Sienne
(A suivre
)
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