Deux, Dehors.

Blonde aux yeux bleus, dépassant à peine 1m70 et qui a une relation pourrie avec un homme qu’elle n’aime pas et ne couche plus avec depuis des mois !

Voilà ma description, mais je n’ai pas envie de partir, pas seule, j’en ai marre d’être seule ! Et pourtant avec con on ne fait que s’engueuler, il me dégoute ! Quand je suis tranquille dans le divan devant ma série et qu’il sort de la salle de bain et se fou devant moi avec son sexe qui pends et qu’il me sort : « Tu me suces, j’ai envie de me vider ? » et qu’il sait que je dirais : « non », que je l’enverrais bouler, mais il continue ce con, je ne l’aime pas… Vraiment pas !

Et d’un autre côté, il y a ce mec, qui sait que je plaque tout et le suis s’il me le demande, mais non, rien… Il ne veut rien savoir, il me répète que je n’avais qu’à ne pas me mettre avec mon « copain », mais on est amis, donc je l’invite à mon anniversaire, bêtement chez une amie, loin de chez ce mec qui n’est plus mon copain depuis un bon moment !

Et je compte bien m’envoyer en l’air ce soir !

Et il vient, nous ne sommes pas nombreux, mais on s’amuse bien, je fais quelques allusions qu’il ne reprend pas, qu’il semble ignorer ! On fait des jeux, on boit, 5 heures du matin, il va partir, je lui demande de me ramener, oui, je dormais chez mon amie normalement… Mais je vais attendre mon but !

On rentre dans la voiture, il démarre, je lui indique le chemin, je le fais dévier dans une route près des champs et lui demande de s’arrêter.

- Qu’est-ce qu’il y a ?

- J’ai envie d’être seule avec toi ! Lui dis-je.

- On l’est, sur le chemin que je te ramène !

- Tu fais chier, tu vas me faire payer combien de temps le fait de m’être mise avec lui ?

- Je ne te fais rien payer, tu le payes toute seule !

Je me penche vers lui pour l’embrasser, il me laisse dans le vide.

- Tu es sérieux là ?

- Oui.

- Merci pour le vide !

- De rien. Dit-il me fixant dans les yeux.

Il ouvre la fenêtre de sa porte et s’allume une cigarette.

- Moi aussi je veux des choses, si tu commençais par te déshabiller ?

- Tu sais que si tu m’embrassais, on en serait arrivé à ça ?

- J’ai envie de m’amuser avant !

- Emmerdeur !

- Oui, je ne le cache pas ! Dit-il en rigolant.

Je retirais donc ma robe me retrouvant en sous-vêtements devant lui, qui me pressait en faisant « allait » pour que je retire le reste, ce qui fut vite fait, il me regardait, souriant, et me dit.

- Maintenant, sors de la voiture et mets-toi devant.

- Tu exagères !

- Oui, mais je pense être en position pour !

- Gna gna gna !

Je sortis donc de la voiture, fermant la porte et me mit devant la voiture, à poil… j’avais juste mes ballerines qui couvraient mes pieds. Il passait la tête par la fenêtre et me dit :

- Si tu écartais les jambes et mettait les mains derrière la tête ?

- Dit, tu n’as pas fini ?

- Non !

Je le fis, il ne dit rien, c’était assez gênant de rester ainsi !

- Monte sur le capot, face à moi, j’aimerais te voir te doigter !

Je montais sur le capot, à genoux dessus, face à lui, je me mis à me caresser, me doigter, assez longuement, il se fumait deux cigarettes sur ce temps-là, me laissant bien le soin de m’exciter ! Il ouvrit la porte et me dit :

- Descend, viens…

Une fois arrivée devant la porte de la voiture, il détachait son pantalon et l’abaissais, me mettant sous le nez son sexe qui bandait ! Je compris ce qu’il souhaitait accroupi, je mis ma main dessus, le masturbant, ma langue passant tout son long, caressant son gland avant d’engouffrer son sexe dans ma bouche, je le sentais caresser mes cheveux, de la douceur ? Après un petit moment, il vint, me faisant avaler tout son sperme, après l’avoir nettoyé, je me retirais, et il sortit, il me fit aller devant la voiture et m’assis sur le capot.

Les jambes bien écartées qu’il me faisait tenir en l’air, il se mit à me lécher ma chatte, en profitant pour jouer avec ses doigts dedans, je sentais une main et l’autre qui s’inversait les rôles, l’une me doigtant et l’autre caressant mon sein, en pinçant son bout et l’autre ses doigts en moi ! Lorsqu’il me considéra assez chaude, il me fit descendre du capot et me penchait dessus, je sentis son sexe venir contre le mien, s’enfoncer peu à peu dedans.

Me tenant les mains dans le dos, et faisant pression avec l’autre main sur ma tête il se mit à me mettre des coups de reins, j’avais bon, même si ce n’était pas comme je l’imaginais, je couchais avec lui et j’aimais ce côté un peu autoritaire de sa personne ! Et il vint en moi… Il me laissait couchée ainsi sur le capot, essuyant son sexe sur mes fesses et puis parti dans sa voiture, moi je me redressais, je vis qu’il en ressortait, fermant la porte à clés et revenant vers moi.

- Tu fais quoi ?

- On va marcher un petit peu.

- Je suis à poil !

- Et ?

- Ben, je ne vais pas me promener à poil !

- Il fait nuit, on est dans un endroit où il y a personne, au milieu des champs, si j’ai encore envie de te prendre ?

- Ok… Comme monsieur le veut !

On marchait donc à travers les champs, comme deux personnes qui se promenaient, mis à part que j’étais nue, et que je sentais son sperme couler hors de moi, le long de mes jambes… On rentrait dans une partie clôturée où il y avait des poiriers, on avançait en travers, là encore moins de chance que des gens s’y promène ! Me dis-je.

- Mets-toi à genou.

- Euh, accroupi, ça te va ?

- Si tu veux, oui.

Je ne voulais pas non plus être toute sale avec l’herbe, la terre…

Il ressortit son sexe, j’avais compris qu’il devait aller dans ma bouche et je me mis à le lécher, lorsqu’il se remit à bander, il me dit :

- Mets-toi à 4 pattes.

Il allait me reprendre en levrette, j’avais aimé ça ! Seul hic, là, j’allais me salir !

Une fois mise à 4 pattes, je sentis sa main jouer dans ma chatte, puis aller contre mon cul.

- Qu’est-ce que tu fais ?

- Je vais t’enculer, tu veux que je fasse quoi d’autre ?

- Je n’ai jamais fait ça !

- Raison de plus pour te laisser écarter le cul, ça te fera moins mal !

Dit-il en continuant d’amener nos deux matières mélangées à mon cul et d’en forcer peu à peu le passage, plus il forçait le passage, plus il me faisait avoir des petits cris, des soufflements et il réussit au bout d’un bon moment à me doigter le cul avec deux doigts.

- Ce n’est pas encore beaucoup, mais je pense que ta cyprine et mon sperme ont assez bien lubrifié ton cul ! Tu vas quand même la sentir passer !

Et effectivement, bien que deux doigts m’avaient doigté le cul, son sexe ne rentrait pas facilement et m’arrachait de plus en plus de cris, ce qui semblait l’exciter ! Ses premiers coups furent très lents, me laissant bien sentir son sexe passer à travers mon cul, et il la ressortait parfois complètement afin de retourner lubrifier, et puis, ce fut plus facile, il se mit à peu à peu me le pilonner et m’arracher des cris que je ne pouvais retenir et ce jusqu’au moment où, il finit par se vider dans mon cul…

Une fois de plus, lorsqu’il en sortit il s’essuyait le sexe sur mon cul, je restais ainsi encore quelques instants, le cul en feu, le sperme commençant à en sortir, et il m’aidait à me relever.

- Ça va ? Me dit-il.

- J’ai le cul en feu ! Je crois que je vais marcher comme un pingouin !

- Bon anniversaire ! Dit-il en se mettant à rire.

- Je m’en souviendrais…

- Ah merde, j’ai plus de clopes ! Tiens prends les clés, tu peux aller me les chercher ? Elles sont dans le coffre de la voiture, dans la boite tu les verras.

- Ok, mais pourquoi tu ne viens pas avec ?

- Je vais aller pisser, et je compte te reprendre encore après !

- Hey ben, tu ne t’arrêtes jamais toi !

- Tu n’as encore rien vu !

Je repartis donc seule en direction de la voiture, le cul en feu, marchant comme un pingouin ou pas loin, j’ouvris le coffre, j’ouvris la boite pour prendre paquet de cigarettes et vit un mot.

« Maintenant nous sommes ensembles, mais je te ramène pas, enfin si, chez moi ! Ps : N’oublie quand même pas le paquet de cigarettes ! »

Il avait tout prévus, il avait dû s’imaginer la scène qu’il allait faire, sans le vouloir je lui ai donné un endroit pour tout mettre en œuvre ! J’avais beau avoir mal à mon anus, sentir que ça en coulait en dehors, je me sentais heureuse comme jamais !

J’étais prête à courir jusqu’à lui et lui sauter dans les bras, mais j’optais pour y aller à mon aise, mon cul ne me permettant pas de trop courir…