Orgies &Quot;Bitardières&Quot;
Selon une légende qui date du Moyen-âge, le Bitard (appellation poitevine de lOutarde) serait un animal mythique qui vivrait dans la forêt de Ligugé près de Poitiers. Cet animal fabuleux a donné son nom à une confrérie étudiant : "l'Ordre du Vénéré Bitard ", directement inspirée des écrits de Rabelais.
Ce sont maintenant les étudiants de lUniversité qui ont relayée la légende et la tradition. Pour faire partie des " Grands Bitardiers", il faut avoir une sacrée descente et accepter de ne pas voir beaucoup le soleil pendant la semaine davril que durent les fêtes de lOrdre
Durant cette semaine les étudiants bitardiers et leurs invités vont chasser le Bitard dans la forêt de Ligugé. Cest loccasion dextrêmes beuveries et de parties de sexe très libérées
Lorsque jétais étudiant, cela remonte maintenant à pas mal de temps, jai été le témoin (et lacteur !) dun retour de chasse au Bitard plutôt mémorable. Cette année-là, en cette période festive de lOrdre du Bitard, trois jeunes et jolies assistantes canadiennes étaient en stage à la fac... Bien évidemment quelques bonnes âmes charitables et bien intentionnées les avaient invitées pour suivre une journée de chasse au Bitard.
Le repas du soir qui suivait " la chasse " avait lieu pour la centaine de personnes que nous étions, dans un gymnase de la fac. La chasse en forêt est évidemment surtout loccasion de fortes libations. Tout le long des sentiers du parcours et dans les clairières, ont été disposées quantité de bouteilles glanées dans les commerces de la ville et qui sont à consommer sur place
Ainsi ce soir-là, lorsque la horde des bitardiers et bitardières était rentrée pour le dîner, une bonne partie dentre eux étaient déjà fort allumés, voire saouls. Nos trois canadiennes, sans doute peu habituées à ces rythmes étaient revenues de cette journée de chasse avec, selon lexpression, pas mal de " godets dans la musette " !
Pour lune des trois, une belle brune de 22 23 ans environ, très joliment faite, le parcours de chasse lui avait été fatal : elle ne pouvait plus marcher et trois gaillards la portaient, dépoitraillée, le soutien-gorge à lair.
Une autre assistante, la plus âgée, une grande rousse denviron la trentaine, était elle aussi bien atteinte, à leur retour au gymnase. Deux grands gaillards détudiants la soutenaient pour marcher en la pelotant sans retenue. Ils lont installée à table tant bien que mal. Nous nen nétions pas aux hors duvre que déjà elle roulait sous la table. Là, elle est restée affalée un bon moment. Bientôt, elle réussit à se mettre à quatre pattes et à se déplacer sous la table, dun mec à lautre, se mettant entre les jambes de lun ou de lautre. Il faut dire que parmi ces jeunes gars, plusieurs émoustillés par la présence dune jolie femme sous la table, avaient sorti leur bite et la présentaient à la belle rousse. Celle-ci sen emparait sans se faire prier. Elle suçait et branlait les beaux braquemarts qui lui étaient ainsi proposés
Dautres lui donnaient directement sous la table des verres de vin. Certains même lui passaient des aliments qui finissaient par terre et dans lesquels elle se roulait
Quelques garçons eurent pitié delle et la sortirent de dessous la table. Ils la déposèrent sur le chariot métallique qui sert au transport des plats pour la balader dans lassistance. Assise là-dessus, ils commencèrent à la promener entre les tables. Elle navait plus de culotte, perdue sans doute durant la sortie en forêt.
Promenée dabord sagement sur le chariot par les deux garçons, les choses se sont rapidement accélérées. Les 2 gars très saouls eux aussi, galopaient en poussant le chariot dans les allées, prenant des virages sur laile, manquant à chaque instant de débarquer leur chargement
La jeune femme qui manifestement avait peur malgré son ivresse, hurlait. Un moment, emportée à toute vitesse, toujours assise sur le chariot qui tourne-virait, elle se mit à pisser de peur sans doute. Le liquide séchappait de la plate-forme en un long filet qui traçait sillage du chariot fou
Une autre accélération et elle se mit à vomir, dispersant par la vitesse, les vomissures sur les convives des tables alentours. Enfin, il fallut bien sarrêter ! A plusieurs ils emportèrent la fille dans les cuisines. Là, deux gars la déposèrent dans le grand évier en inox. Deux étudiantes les ont rejoints ; ils lui ont enlevé la robe pleine de vomissures et lont lavée avec la douchette de lévier. Puis ils lont réchauffée
Elle nest revenue dans la salle que beaucoup plus tard, un peu dessaoulée. Jappris beaucoup plus tard par la suite, que les trois ou quatre gars et filles lont partousée dans la réserve des cuisines, ce qui explique quils ne soient pas revenus tout de suite
La troisième canadienne, une jolie blonde de 25 ans, assez fine et plutôt petite, dorigine américaine, avec une très jolie poitrine, sest trouvée saoulée très tôt. Dès le début elle a bu plusieurs whiskys quelle a ensuite mélangés au rouge, servi pendant le repas. Libérée par lalcool, elle ne tenait pas en place sur sa chaise. Elle narrêtait pas de montrer ses seins, ses fesses et son entrejambe à ses voisins de table. Elle écartait le bord de son slip fin, orange et transparent, pour faire voir à quel point disait-elle sa fente était longue et fine.
Un moment, déchaînée, elle est allée danser au milieu de la salle, montrant ses fesses, ses seins, troussant sa jolie robe orange et se caressant la chatte avec impudeur à travers le slip. Revenue à sa place en titubant plus que jamais tant la tête lui tournait, elle a vomi dans son décolleté. Elle en avait partout...
Puis, pour ne pas que le haut souillé de la robe se voit, elle a descendu les bretelles de celle-ci, découvrant une poitrine superbe mais maculée de vomissures et de vinasse. Elle ne portait pas de soutien-gorge et fut donc nue jusquà la taille, donnant à voir des seins superbes. Ses voisins de table entreprirent de lui laver les seins et le torse au champagne. Ce qui la fit beaucoup rire... Dans leuphorie, elle glissa de sa chaise jusque par terre, et roula à son tour sous la table, les fesses dans la vinasse, le champagne et les vomissures... Ses voisins la relevèrent avec peine. Elle sassit sur les genoux de lun deux, lui sortant la bite du pantalon, elle entreprit de le branler. Puis, afin de senfiler sur le gland, elle retira son petit slip orange, et vit que lui aussi était souillé. Abandonnant sans doute lidée de se baiser sur la hampe dressée qui soffrait à elle, elle décida de faire entrer son slip dans le goulot dune bouteille de champagne au ¾ vide, pour le laver, comme ses seins dit-elle... Elle y parvint à grand peine, encouragée par ses voisins qui lui avaient mis chacun une main entre les cuisses et la branlaient déjà avec ferveur. Un moment la jolie garce eut envie duriner. Elle ne parvenait pas à se tenir debout. De toute façon elle ne serait pas allée seule jusquaux toilettes tant elle était saoule. Ses voisins, pourtant passablement ivres eux aussi, la soulevèrent et la firent monter sur la table.
La jeune et jolie coquine laissait ainsi voir une très belle chatte, longue et bien fendue, peu fournie en poils, comme toutes les blondinettes. Sa vulve montrait des petites lèvres bien développées et un clitoris très saillant et plutôt gros pour une jeune femme assez petite... Le clitoris, bien gonflé, faisait souvrir les lèvres et empêchait celles-ci de se joindre complètement dans la commissure de la vulve. Ainsi soutenue au-dessus de la table par les deux lascars, elle voulut pisser dans le goulot dune bouteille. En vain. Un type parvint à lui caler un goulot dans lentrée de la chatte. Elle essayait de ne pas trop pisser à côté en guidant maladroitement sa chatte dont elle tirait le haut d'une main mal assurée...
Cest alors que la jolie salope, par un faux mouvement échappa à lun de ses souteneurs et tomba assise sur la table dans le reste du gâteau au chocolat. Elle en avait plein les fesses, le cul et la fente, ainsi que dans lintérieur des cuisses... Les gars la reprirent en main et la couchèrent le dos sur la table, elle se barbouillait la poitrine et le ventre de chocolat. On lui tenait les jambes en lair les jambes bien écartées, et lon alla à tour de rôle lui lécher le chocolat dans la fente. Une douzaine de filles et de garçons passèrent ainsi, par deux ou trois à la fois, pour lui donner des coups de langue entre les cuisses, dans la fente, entre les fesses. Pour ma part, je me suis occupé un instant de son beau clito qui bandait fort. Ma langue passait et repassait sur la petite pointe érectile tandis que jaspirais le chocolat qui coulait de partout. Je fus obligé de laisser la place rapidement, poussé par une file qui avait hâte de prendre ma relève.
Ensuite on dû lemmener dans le lavabo des vestiaires pour la laver et nous lavons carrément assise dedans... Elle voulait quon la branle en même temps et à chaque fois quon lui touchait le clitoris pour la nettoyer ou la caresser, elle pissait de la cyprine en jets longs et tendus et riait comme une folle... Un très grand nombre d'hommes, jeunes étudiants et moins jeunes, passèrent aux lavabos pendant ces péripéties et se branlèrent parfois même par 3 ou 4 fois à la fois et lui éjaculèrent sur le corps
La cochonne dans son ivresse s'amusait beaucoup de voir les hommes venir se branler sur son ventre, ses seins, ses cuisses et même son visage. Elle avalait tout le sperme qu'elle pouvait
" Je noublierai jamais, disait-elle avec son accent canadien caractéristique, je nai jamais été sucée et arrosée comme ça
Putain, cest bon ! Cest bon !! Quand je vais raconter ça à mon mec, il ne me croira jamais !... Vous savez faire la fête vous, les français !! "
Moi aussi, comme les autres, je me suis branlé sur elle. Mais mes pensées allaient indéniablement à la belle rousse. Jen pinçais vraiment pour elle. Surtout que ce que javais vu delle ce soir-là, limage de sa fente ouverte mavait rendu accro. Dautant plus accro, que je ne savais rien de ce qui sétait passé ensuite dans la cuisine. Lavaient-ils baisée ? Ce mystère renforçait mon excitation
Eh bien jy suis arrivé : avant quelle ne parte, une quinzaine de jours après " lorgie bitardière ";, je me suis arrangé pour coucher avec elle, la belle rousse... Je réalisais ainsi mon envie de la soirée du retour de la chasse au bitard.
Ce fut une nuit superbe et torride. Magnifique !
Mais là, cest une autre histoire
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