Je Me Donne

Il m ‘a quitté depuis 3 mois. J’ai une envie folle d’une bite dans mon corps, n’importe où, j’aime tout. Il m’a appris presque tout ce que je sais. Je baise maintenant comme une vraie pute, sauf que c’était avec lui. Un jour il est parti sans revenir le lendemain de son départ il m’a téléphoné pour me demander de lui rendre ses affaires. J’ai tout mis dans un sac et le sac sur le palier. Le lendemain le sac était vide. Je ne sais s’il est venu lui-même ou si une autre personne est venue. En tout cas bon vent.
J’envie mes voisins, un jeune couple qui semble vivre un amour sans nuage, rien qu’en amour. J’envie les amoureux que je vois dans la rue, surtout ceux qui s’embrassent. Ils me donnent envie de tirer un coup comme il disait. Mes seuls recours sont ma main et mon gode. Pas assez pour calmer mes envies profondes, comme une vraie bite dans le cul ou dans la bouche avec ce bon gout de sperme qui reste un bon moment dans la bouche et mes narines.
J’écoute mes copines qui me demandent de venir un soir chez elles. Bien sur je sais qu’elles couchent ensemble. Au moins elles se contentent assez pour avoir une épanouie par l’amour et les caresses échangées. Je sais qu’elles risquent de me faire des propositions pas très dans la ligne officielle. Au fond que je me fasse baisée par elles ou un autre con, je n’en ai rien à faire.
Je m’habille léger, sans culotte, juste avec une robe légère en ayant omis mon soutif. Je suis prête pour leur assaut que je subirais certainement. J’ai même mis des gouttes de parfum sur mes seins, et ma toison. Si je n’attire pas leur bouche, c’est à désespérer.
La soirée commence d’une façon classique, avec un verre de muscat eu début, un repas léger et un dernier verre de vin. J’attends qu’une d’elle se décide à porter l’estocade. Elle vient d’une façon que je n’imaginais pas : la plus âgée des deux se penche pour ramasser sa serviette tombée pas inadvertance. En se relevant elle s’occupe de mes mollets.

Son amie sourit en la regardant. Marie, continue à monter sur mes jambes que j’écarte déjà. Je me donne facilement aujourd’hui. En plus je m’offre à deux filles. Marie, donc caresse mes jambes en montant vers mes cuisses en touchant l’intérieur de ma jambe ;
Elle se redresse quand sa main est bien haut presque à l’aine. Bien sur elle sait aussitôt que je suis nue dessous. Elle s’adresse à Julie, son amie,
- Je savais qu’elle accepterait tout de nous.
- Tu as mis ta main dans la chatte.
- J’y suis, je commence à la branler.
C’est vrai elle me caresse le clitoris : je mouille pas mal, sans savoir quoi faire. Je me soulève un peu pour dégager ma robe. Ainsi elle est libre d’aller où elle veut. Sa caresse me fait fermer les yeux. Mis à part sa main je ne sens rien d’autre sinon des lèvres sur les miennes. Je ne sais même pas qui m’embrasse. Mon coté pute prend le dessus, sauf que je ne donne pas de plaisir, j’en prends simplement pour la première fois avec une autre fille.
Deux mains prennent mes seins à travers la robe. Comme j’ai une main dans la figue, ce ne peut être que Julie qui me pelote. Je sens qu’on enlève ma robe facilement : je ne fais rien pour l’empêcher. Nue je ne prête aux jeux interdits des deux copines. Elles attendent que je jouisse enfin pour me faire aller au lit.
Je sens une tête entre mes jambes. J’écarte bien les cuisses pour la suite que je connais : mon ex me suçait souvent. Mais là c’est une fille, Julie qui s’occupe de me donner du plaisir avec sa langue. Je ne sais si c’est parce que la fille me suce ou parce que l’en ai envie, je me laisse aller dans un orgasme comme je n’en n’avais rarement connus. J’aller jouir encore une fois quand je sens Julie enjamber ma tête : en confiance, elle me donne son con. Je rends à peu près ce qu’elle me fait : en tout cas j’arrive à la faire jouir. Je reçois sur le visage peu trop de cyprine, ce n’est pas désagréable.
Quand Julie se retire, c’est Marie qui s’occupe de moi.
Je ratt le temps perdu, même si je me branle souvent. Marie me met un gode dans le vagin, je suis sur le point de partir encore quand elle change totalement de trou. Je suis sodomisée. C’est agréable en plus de sa langue sur la chatte. Je jouis encore une fois.
- Tu sais, si nous t’avons baisée c’est surtout pour ton plaisir, si tu es en manque tu feras appel à nous.
J’ai compris, elles ne veulent pas me convertir à Sapho, elles ont fait ça pour me rendre service.
Le lendemain soir, j’ai encore envie. Je traine dans un bar réputé pour lever des mâles. Je tombe sur deux hommes copains il me semble. Tous les deux me propose la botte. Je suis là pour ça. En plus ils me plaisent : je regarde leurs braguettes qui me semblent bien remplie : mon rêve. J’aurais pu décider de me contenter d’un seul. Mon envie fait que je les veux tous les deux ensemble.

Nous sommes nus tous les trois dans cette chambre neutre d’hôtel de passe, pardon de love hôtel comme on dit maintenant. C’est ma première fois à trois. J’examine bien les deux bites puisque le reste je m’en fiche totalement. Leurs tailles me plaisent assez : il me semble les avoir dans le ventre ensemble.
Je commence par m’assoir sur le lit, les deux bites presque cote à cote. J’en prends une dans la bouche et branle l’autre. Mise comme je suis, ils ne peuvent rien me faire sinon supporter ce que moi je fais ; Je trouve que la bite dans la bouche est un peu aigre, sans doute le gout de l’urine. Ce n’est pas écœurant. Ma main droite astique l’autre pine. Je me garde bien de faire juter les deux queues. Je les veux dans mon con, l’un après l’autre : j’en meurs d’envie à tel point que je me suis caressée avec la douche cet après midi en rêvant justement à deux bites dans mon trou de devant.
Je me couche en tenant la queue que je veux dans mon fourreau pour commencer. Je pose le bout du gland sur l’entrée de mon con. Je n’ai pas besoin de faire un dessin, je reçois la manche dans ma foufoune.
Il me la met profond, je serre les muscle du vagin pour mieux le sentir. C’est un bon baiseur qui tient le coup. Je jouis autant de fois que je veux avec son mat planté dans ma cale. Il me lime à son rythme lent au début et rapide en fin de course.
Je regarde l’autre amant qui se masturbe devant moi, m’excitant encore plus me faisant jouir encore. Je sens au fond du ventre son jet de sperme. C’est chaud son liquide crémeux. Je me dégage alors qu’il aurait voulu continuer longuement. C’est autour de l’autre de venir déposer sa crème dans mon réceptacle.
Aujourd’hui je me sens pute comme jamais. Il vient dans la figue en terrain conquis. Il me fait plus de bien que le premier. Je gémis sans cesse en prenant mon plaisir. Nos pubis se choquent à chaque aller et venues. C’est bon. Je sens bien sa queue dans le fourreau. Il crache son sperme quand je jouis.
Il sort de mon ventre. Je dois le faire encore rebander et en faire autant à l’autre amant. Je les veux en même temps, à eux de choisir ce s’ils veulent me faire. Je m’en doute et espère être exhaussé.
Je branle le premier pour le faire durcir comme il me plait. L’autre je suis obligée de le sucer. J’aime bien ce mélange de cyprine et de sperme. C’est pour moi le meilleur des médicaments.
Enfin j’ai à ma disposition deux bites bien dures, bien décidées à entrer en moi.
- Vous allez me faire quoi ?
- On réfléchi.
- Pas trop longtemps j’ai besoin de vos deux queues en même temps.
Finalement le choix est vite fait :
- On va te faire une double pénétration.
- Vos deux pines ensemble ? Oui.
Là, ils ne sont plus aimables : c’est leur plaisir qui passe avant le mien. L’un se met derrière moi, debout, sa queue dans la raie de fesses. Je sens l’autre venir sur mon ventre avec sa queue bien tendue. C’est celui de derrière qui me demande de lui donner la cyprine pour me mouiller le cul. En réalité c’est lui qui se sert seul : il passe sa main sur ma chatte, prend dans ses doigts une bonne ration de liquide, à tel point qu’il m’excite encore plus que je l’étais.
Je le sens mettre ma cyprine sur le cul : il me branle le cul en même temps : j’adore.
Je le sens chercher avec son gland autour de l’anus. C’est excitant au possible de le sentir avant qu’il entre. Je me penche à peine en avant : il trouve l’entrée de la cave. Quand il me pénètre je le sens bien : il ne me fait pas mal un seul instant. Je le sens au fond de mes boyaux. Il commence la sarabande en limant mon rectum. Il me fait du bien.
L’autre s’approche de moi, il m’embrasse sur la bouche, chose qui me manquait. Sa bite est sur mon clitoris pour le branler un instant. Il trouve mon vagin facilement. En entrant il profite de la sortir provisoire de l’autre pine de mon cul. Il me la met au fond du vagin. Quand l’autre la remet dans le cul je me sens enfin rempli de ce qui me manquait. Deux bites à la fois dans le ventre : un bon rêve qui se réalise. Quel pied de les sentir aller et venir. Je suis les yeux totalement fermés, profitant de ces instants merveilleux d’être la proie de deux hommes. Heureusement que je les ai fit jouir avant, ils son drôlement résistants. Je ne sais combien de temps dure ce drôle d’accouplement.
Je jouis plusieurs fois, de plus en plus fortement. A chaque orgasme j’aime sentir leurs queues dans le ventre grâce à mes spasmes. Mais lorsque je sens les leurs presque ensemble j’ai les derniers plus forts encore. Je me laisser aller en tombant remplis de sperme et de plaisir immense.
Promis demain je retournerais dans un bar similaire rien que pour le faire mettre. Cette fois je choisirais trois hommes pour en sucer un en même temps?
Je me sens insatiable. Il me faut des bites et encore des bites avec une fois de temps de temps une fille comme Marie ou Julie : il faudra que je les invite chez moi un soir.

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