Ana, La Soumise (2)
Comme dhabitude, tu menvoies un message pour me dire que tu es devant ma porte. Je sors touvrir et te fais entrer. En bonne soumise, tu portes la tenue que je tai imposée à chacune de nos rencontres : une jupe très courte, un haut très décolleté et une paire de talons. Ton appétissante et imposante paire de seins est immanquable et me fait déjà gonfler la queue denvie. Dautant plus que je te réserve un programme bien particulier qui mexcite beaucoup davance.
Comme à chaque séance, je massois sur le lit et te dis de venir te mettre debout face à moi. Jen profite pour peloter ton cul bien rebondi et tes énormes seins. Tu me présentes tes poignets, pensant que selon mon habitude je vais les attacher avec des Serflex. Pas cette fois. Jai autre chose en tête pour toi.
Je tordonne de te tourner dos à moi et de te pencher en avant. Ton cul ressort bien sous ta jupe. Je te dis de la soulever lentement. Tu texécutes docilement. Une fois ta jupe remontée a la taille, je tintime de poser tes mains sur la table basse face à toi et de bien écarter les jambes pour mieux toffrir. Je vérifie que tu as bien respecté la consigne et que tu ne portes pas de culotte, et en profites pour bien écarter tes fesses. Je nai même pas besoin de te toucher pour constater que ta fente est déjà gluante de désir. Je sais que le trajet de métro te met dans tous tes états à chaque fois. Savoir que tu ne portes pas de culotte et que tu vas à ta séance de soumission te fait sentir salopissime. Tu sais que tous les mecs te matent dans cette tenue et ont envie de te baiser sans aucune retenue. Toi tu sais que tu es encore plus chienne que tout ce quils peuvent imaginer et que tu vas être un jouet sexuel pour ton « maître » toute la soirée. Toutes ces pensées tinondent la chatte. Cette fois-là, néchappe pas à la règle et ta fente est remarquablement ouverte et trempée. Parfaite pour la suite des événements.
Je ne prends même pas le soin de passer un doigt ou deux dedans, et sors les boules de geishas qui te font tant jouir lors de nos séances.
Je tatt par les cheveux pour que tu viennes te positionner à genoux face à moi. Comme pour une fois tu nas pas les mains attachées, elles se dirigent avec empressement sur la bosse de mon pantalon. Elles caressent ma queue à travers mon jean. Continuant à te tenir par les cheveux, je tordonne de sortir ma queue et de la branler doucement. Elle est tendue à fond et commence déjà à perler denvie. Je vois ta bouche sentrouvrir et respirer de plus en plus fort. Je sais que tu ne penses plus quà une chose : la prendre dans ta bouche avide. Je te retiens par les cheveux pour ten empêcher, en te disant :
- « Non, pas encore ».
Je sens la frustration dans ton regard. Je texplique alors la suite des événements :
- « Maintenant tu vas ressortir comme ça, la chatte à lair et remplie par tes boules. Tu vas te poser à une table au bar du coin, commander un verre et menvoyer un SMS quand ce sera fait. »
Ton incompréhension se lit sur ton visage. Tu ne sais pas du tout à quoi tattendre. Je sais quune crainte tenvahit et va texciter encore plus dici quelques minutes.
- « Allez, cest parti, dehors ! »
Surprise, tu texécutes, prends ton sac et sors.
Je te laisse de lavance en fumant une clope, imaginant le bordel que ça doit être dans ta tête et entre tes cuisses. Je bande bien fort aussi.
Mon téléphone bip au bout de quelques minutes.
- « Ça y est ».
Je pianote mes consignes :
- « Va dans les toilettes pour femmes et attends que ça frappe à la porte ».
À mon tour je sors. Je parcours les quelques mètres pour aller au bar, me pose au comptoir et commande un demi.
- « Ça ta plu cette petite escapade avec les boules au fond de la chatte ? »
- « Oh oui monsieur » !
- « Tu es dans quel état » ?
- « Je me sens tellement salope ! Je suis trempé comme rarement ! »
- « Et bien maintenant tu vas enfin pouvoir me bouffer la queue comme une bonne soumise affamée de bite. »
- « Merci monsieur. »
Tu te jettes sur ma braguette comme une morte de faim. En deux secondes mon pantalon est à terre et mon caleçon baissé. Ma queue est déjà au plus profond de ta bouche avide et chaude. Tu me pompes avec un appétit hors norme. Une main me branle, lautre empoigne mes couilles gonflées, et tu me suces goulûment de la façon la plus obscène que je tai vu faire. Lattente, la situation, les boules au fond de ta chatte te mettent dans un état second. Tu nes plus quune salope assoiffée de sperme. Tu ne cherches même pas à prendre ton temps et à en profiter. Tes gémissements et tes regards implorent mon foutre. Tu ne penses plus quà ça, que je te remplisse la bouche de mon jus.
Javais prévu ta réaction et cest pourquoi jai gardé mes couilles pleines depuis près dune semaine. Pour autant, la situation fait que je ne jouis pas aussi vite que je le pensais, malgré mon excitation et ma frustration. Tu dévores ma bite avec application et plus encore, sentant que je nallais pas jouir en 2 secondes. Tu te rassasies au fur et à mesure des perles de jus qui séchappe de ma bite. Le plaisir monte lentement, par paliers. Je sens que ça va être encore plus fort que ce que javais prévu.
- « Je vais pas tarder à gicler dans ta bouche de salope. Cette fois-ci, interdiction formelle davaler la moindre goutte. Dès que tu auras bien vidé mes couilles, ouvre la bouche pour que je vérifie. Compris ? »
Tu acquiesces de la tête tout en me pompant de plus belle pour me faire décharger, mais je sens la déception de ne pas pouvoir tout avaler de suite.
- « Hutain, la wache ! »
Je ricane tellement je suis moi aussi surpris davoir tellement lâché de jets et pour me remettre dun tel orgasme.
- « Bordel, quest-ce que tu mas fait gicler ! Putain cétait bon ! »
Le sourire aux lèvres, tu ouvres fièrement la bouche pour me montrer la quantité de plaisir que jai déchargé. Impressionnant.
- « Cest bien tu es une bonne soumise et une bonne suceuse. Garde bien tout. Maintenant je vais sortir et minstaller à la table où tu tes posée. Tu me retrouves tout de suite après. Interdiction formelle davaler quoi que ce soit ! Compris ? »
Tu acquiesces de la tête. Et je sens imperceptiblement que tu viens de comprendre ce que cela impliquait. Tu vas devoir traverser entièrement la salle du bar dans une tenue ultra salope, sans string, la chatte remplie par les boules de geishas et la bouche remplie à ras bord dune quantité impressionnante de foutre. Je te vois blêmir et, avec un grand sourire, je sors des toilettes.
Je me dirige vers le comptoir, récupère mon verre et vais minstaller à ta table. Le bar nest pas très plein. Je te vois sortir des toilettes précisément au moment ou le barman, lui, y rentre.
- « Excusez-moi mademoiselle. »
- «
»
Tu baisses la tête, le laisses passer et traverses la salle sans regarder autour de toi.
- « Tu es pressée de tout avaler, hein ? »
Tu acquiesces avec empressement.
- « Il faut dabord que je sois bien sûr que tu nas pas triché. »
Tu passes par toutes les couleurs.
- « Ouvre la bouche ! »
Tu es prise dune grande hésitation doublée dinquiétude. Tu essaies dévaluer au bruit si nos voisins peuvent deviner ce que tu vas faire.
- « Allez ! »
Tu texécutes timidement, en tâchant dadopter la position la plus discrète pour le faire. Je vois quil y a toujours cette abondante quantité de foutre qui remplit ta bouche.
- « Très bien, tu as vraiment été une bonne soumise jusquau bout. Avale ! »
Et au milieu de ce bar, devant tout le monde, je te vois déglutir avec difficulté, empressement et satisfaction cette quantité mémorable de sperme. Tu dois ty reprendre à plusieurs fois pour que tout passe et une gorgée de Coca est la bienvenue pour finir le travail.
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