La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 354)

Suite de l'épisode précédent N°353 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré –

Tandis qu’elle pense de plus en plus au Maître Vénéré, l’imaginant affairé dans une réunion de travail, l’esclave-soumise qu’elle est devenue sent un grand frisson qui la prend de l’intérieur, qui vient s’intensifier au fond de sa gorge et autour du plexus solaire avant de partir irradier chaque cellule de son corps. Elle jouit rien qu’à la pensée de savoir qu’elle est devenue l’une des esclaves-soumises du Châtelain et qu’elle a l’immense honneur de pouvoir se trouver là enfin admise dans Son magnifique Château légendaire qui a abrité tant de générations de Marquis successifs de père en fils et qui regorge de centaines de beaux objets précieux dont le Noble s’est entouré et qu’IL affectionne particulièrement. Elle se rappelle aussi que le sol lequel elle est en train d’évoluer de ses 4 pattes a été foulé aussi il y a plusieurs siècles par le sulfureux et si célèbre Marquis de Sade en personne (lire les Origines de la Saga). Ce n’est donc pas une jouissance physique comme un orgasme qui explose, c’est du plaisir à l’état pur, du plaisir cérébral avant tout, mais cela vient aussi titiller toutes les zones sensibles et érogènes du corps docile de l’esclave qui tout en pensant à Celui à qui elle a voué sa vie, continue de marcher à quatre pattes comme la chienne lubrique qu’elle est devenue également pour le Maître, acceptant de laisser parler son instinct animal. La réaction physique du bien-être qui l’a envahi ne se fait pas attendre. Ses mamelons sont de plus en plus gonflés à la simple idée de se savoir appartenir au Maître Vénéré qui devrait revenir dès le lendemain et aussi d’une certaine manière de tout ce qu’elle allait pouvoir vivre sous Son joug, chaque fois qu’IL le déciderait et la ferait venir à Ses pieds. Cette pensée la faisait palpiter de désirs dans tout le corps, et en particulier dans son intimité qui à nouveau s’humidifie, et elle se rend compte que la seule évocation du Maître Vénéré, chargé de tant de souvenirs de moments D/s partagés, mais aussi de tant d’espoirs de moments à vivre que le Maître induira dans l’avenir, la met dans un état particulier, très excitée et émoustillée, faisant accélérer son rythme cardiaque et le souffle de sa respiration.



- Ah ! Marie, Te revoilà enfin !!! (Sort Walter d’une voix perçante). Je me demandais bien où tu étais passée et si tu allais réapparaître un jour … Sais-tu depuis combien de temps je t’attends devant ma tasse de café vide. Moi, qui avais une journée chargée, surtout avec l’incident de ce matin qui m’a mis encore plus en retard.
- Ecoute Walter, la fautive, elle est là devant toi… (répond Marie en désignant du doigt Thaïs MDE qui est encore à quatre pattes) …. Elle n’arrivait pas à avancer et j’ai dû me fâcher. Si tu dois te plaindre à quelqu’un, tu as une coupable toute trouvée et tu n’as qu’à lui faire payer tes désagréments et ton retard.
- Tu sais, j’ai failli aller te chercher moi-même en me demandant si tu n’étais pas tombée à ton tour dans la baignoire, tête la première et si je n’allais pas te retrouver noyée et cette chienne attachée qui aurait été bien incapable de te sauver.

L’esclave-soumise tressaute en les entendant discuter de manière très complice, comme si en plus elle n’existait pas et elle n’était même pas là présente tout près. Ainsi donc, non seulement Marie avait manigancé en amont sa recette particulière dans laquelle elle allait faire mijoter Thaïs MDE pendant un bon petit moment, mais le Majordome avait été tenu au courant dans les moindres détails de ce qui devait se passer et sûrement savait-il aussi la liste des ingrédients qui devaient composer la mixture de ce drôle de bain culinaire.

- Oh que non, Walter, tu n’avais aucune raison de t’inquiéter. J’ai même passé un bon moment à me faire lécher le con et la mouille par cette chienne en chaleur excitée. Notre dernière recrue au Château apprécie semble-t-il les légumes, en particulier les gros poireaux et les énormes concombres, surtout si tu les lui fourres dans le cul et dans la moule. Tu l’aurais vu jouir comme une vraie salope qui coule tout ce qu’elle sait lorsqu’elle m’a ouvert son robinet de femme-fontaine. Elle en a foutu partout en giclant si bien que j’ai dû prendre le temps de changer de tablier avant de remonter dans les cuisines.
Et puis, tu sais, elle pisse comme une chienne en levant la papatte, tu aurais dû voir comme elle aspergeait !!! Je suis sûre qu’elle aime cela, exhiber sa chatte dégoulinante devant tout le monde sans aucune pudeur, elle n’a même pas eu la décence de se retenir pour ne pas pisser devant moi. Au moins, les vrais chiens de race quand ils sont bien dressés attendent jusqu’à ce qu’on les sorte prendre l’air, ils ne font pas n’importe où et n’importe quand. Tu te rends compte qu’elle a osé uriner dans ma « succulente soupe » que j’avais préparée avec tant d’amour et de savoir-faire acquis autour des fourneaux pendant des années. Une vraie cochonne dégoutante quand j’y pense, cette malpropre dégueulasse dont les trous ne sont bons qu’à être défoncés et remplis de foutre !

Thaïs MDE rougit intensément de honte en entendant la cuisinière qui a toujours des propos aussi crus et même carrément obscènes, comme si elle s’excitait toute seule de ses propres mots sordides, exprimés sans pudeur devant le Majordome qui se pourlèche les badines en l’entendant, regrettant juste de ne pas avoir assisté au trempage et au godage légumiers. L’esclave toujours à quatre pattes baisse la tête pour masquer sa gène et en partie sa rage qu’elle doit rentrer et , ne pouvant ni parler et encore moins contredire la cuisinière qui profiterait de l’occasion pour la punir encore plus sévèrement pour son outrecuidance. Thaïs MDE est bien consciente que la cuisinière a décidé, et sûrement à bon escient, dans son faux compte-rendu de ne relater les faits que de la manière qui l’intéresse, oubliant de préciser que l’esclave-soumise Thaïs MDE n’a fait qu’obéir à chaque fois aux ordres de Marie, acceptant toutes ses lubies les plus lubriques, en premier par pure obéissance au Maître Vénéré et donc indirectement par inféodation à ceux qui sont ses deux plus fidèles serviteurs. Mais elle est bien aussi e de reconnaître en son for intérieur, qu’elle a désiré intensément jouir parce qu’à force d’être entravée, malmenée, sollicitée, dilatée, godée, l’excitation avait fini par la dépasser et la pression sexuelle qui s’était installée dans son corps ne demandait qu’à pouvoir se soulager par un orgasme tant espéré.
Elle a du mal à comprendre les sentiments contradictoires qui l’habitent d’autant plus qu’elle se sent si humiliée d’être ainsi traitée devant le majordome comme une moins que rien, alors qu’elle a fait tout son possible pour se laisser faire et essayer de contenter la cuisinière. Marie ne tarde pas à rajouter une couche de confusion dans l’esprit et le bas-ventre de Thaïs MDE qui s’était réveillée tandis qu’elle marchait en pensant avec plaisir au Maître Vénéré à qui elle appartient.

- D’ailleurs, je suis sûre que cette salope est encore en train de couler. Pourtant elle s’est essuyé juste avant de monter, mais regarde bien, on dirait que cela luit déjà entre ses cuisses et que ses lèvres sont déjà bien gonflées de désir et d’excitation.

Walter n’en attendait pas moins pour glisser la main dans la chatte de Thaïs et se promener dans la raie des fesses allègrement, profitant de venir titiller l’auréole qui est encore un peu dilatée d’avoir été longuement pénétrée par le gros poireau de Marie. Tandis qu’il poursuit l’inspection et plus exactement l’intromission de ses doigts dans la caverne humide, Marie ajoute :

- Tâche de ne pas lui donner trop de plaisirs. Elle a déjà eu sa dose, cette salope pour l’après-midi. D’ailleurs, il serait temps de parler punition, je vais même dire punitions au pluriel, puisque j’en ai dénombré deux malgré le peu de temps où elle a été sous ma garde. Je tiens à choisir moi-même la nature de la sanction à titre de dédommagement supplémentaire parce que cette espèce de petite chienne qui n’est bonne qu’à être dressée m’a manqué de respect et a désobéi par deux fois. Visiblement, elle a du mal à respecter les consignes les plus élémentaires qui ont cours au Château de Monsieur le Marquis qui devra en être informé en temps voulu.

Walter att des mains de Marie, la cuisinière, la laisse faite de gros maillons de métal qui pend au cou de Thaïs MDE qui comprend que maintenant elle va devoir payer pour ses manquements à la règle, s’en voulant d’autant plus qu’elle essayait de faire le plus possible attention depuis son arrivée, mais qu’il est parfois plus difficile qu’il n’y parait de s’astreindre sans jamais faillir à des ordres impératifs, furent-ils simples.
D’une voix grave, le Majordome qui tire sur la laisse pour bien faire comprendre qu’il a pris les choses en main ajoute :

- Tu as décidemment décidé de les collectionner les punitions. Qu’est-ce que je vais bien pouvoir faire d’une chienne comme toi qui obéi si mal ? Je n’ai pas que cela à faire de mes journées que de passer mon temps à te sanctionner. Si tu te rappelles bien, il te reste en tout premier lieu une punition que je t’avais promise ce matin, en guise de dessert après le déjeuner. L’objet en question est prêt et tu y auras droit dès que nous pourrons enfin reprendre notre journée découverte pendant laquelle tu es censée garder la tête haute et les yeux ouverts, ce qui pour l’instant présent me semble bien mal embrayé.

Walter se retourne vers la cuisinière et échange un clin d’œil complice qui passe bien évidemment inaperçue aux yeux de Thaïs MDE qui est toujours à terre, regardant le sol, la tête rentrée entre les épaules en attendant de savoir quel sera son sort.

- Si j’en crois, Madame Marie, tu es aussi la responsable du retard qui a fait que j’ai dû attendu 4 minutes de trop devant ma tasse de café vide. Et en sus, il faudrait que je te consente maintenant à te laisser encore entre les mains de Marie pour qu’elle se charge à son tour de te sanctionner pour deux autres fautes dont j’ignore encore la teneur et qu’il me faudra en outre reporter sur ton carnet de punitions, ce qui va une fois de plus me faire perdre de mon précieux temps. Mais tu crois où ? Et tu te prends pour qui ? Une princesse qui débarque dans ce château en invité royal et qui pense que nous sommes juste là à faire les larbins et à perdre notre temps pour servir madame la chef d’entreprise, qui veut bien faire semblant d’être soumise de temps en temps, mais qui accumule faute sur faute. Cela ne va pas se passer ainsi, tu peux me croire, sans compter que je ne te cache pas que la réaction de Monsieur le Marquis à son retour risque d’être salée, déjà qu’IL va être sérieusement agacé à cause du grave incident qui est survenu ce matin, si je dois en plus l’informer que sa nouvelle recrue est désarmante récoltant punitions sur punitions à longueur de journée.

Thaïs MDE aimerait bien pouvoir parler, s’excuser, reconnaître ses fautes platement et implorer les punitions qu’elle mérite, mais elle sait que cela ne ferait qu’aggraver son cas, alors elle attend sans bouger et sans rien dire. Walter, qui a repris sa voix normale pour s’adresser à Marie, ajoute :

- Marie, est-il possible de savoir précisément ce qui s’est passé de contraire au règlement. Et que comptes-tu faire subir à cette vilaine chienne pour ses défaillances ?...

(A suivre…..)

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