Sarah

Ce dernier été, ma femme et mes s sont invités pour une quinzaine chez une tante à la plage. Je regrette de ne pas pouvoir les accompagner: avec ma femme nous aimons baiser. Nous pratiquons tout ce qu’un couple peut faire. Ce qu’elle aime surtout, c’est quand nous finissons et que je la suce plusieurs fois, jusqu’à ce qu’elle demande grâce, après une dizaine de léchage. Quand elle me suce, elle avale mon sperme.
En l’attendant je me branlerai, comme elle le fera, elle me l’a promis.
Un jour, à midi, je mange seul dans la cuisine, la porte fenêtre entrouverte pour éviter que la chaleur entre. Soudain je sursaute, cette porte s’ouvre brusquement: la voisine me demande du secours: elle n’arrive pas à ouvrir sa bouteille de butane. Son mari, représentant de commerce est absent du lundi au vendredi soir. Nous sommes mercredi: évidemment, elle est seule. Bon prince je vais l’aider! Je me muni d’une pince multiple (si elle n’y arrive pas, le robinet doit être sacrément vissé). J’enjambe la clôture qui doit faire dans les 50 centimètres. Sarah, c’est la voisine m’attends près de sa porte d’entrée. Elle m’emmène à sa cuisine pour ouvrir la bouteille: j’arrive sans forcer: elle m’a attiré chez elle.
Je sais par ma femme que Sarah est assez portée sur le sexe: au fond ça ne m’étonne pas. Elle est agréable à regarder: grande, visage régulier, cheveux longs noirs, et semble-t-il une belle paire de miches.
Pour me remercier de l’avoir dépannée, elle tient à m’offrir un café: elle m’installe sur le divan du salon, part préparer la boisson. En revenant moins de 5 minutes plus tard, elle a pris le temps de se changer: elle porte un peignoir de bain fermé à moitié par une lâche ceinture. Elle me tend une tasse et vient me servir en se penchant: je ne vois pas ce qu’elle sert, je regarde sous son peignoir ses seins nus. Elle sait parfaitement que je la détaille. Pour ses 35 ans, elle est bien fichue coté tétons. En se relevant, ayant fini de servir, elle se relève et son peignoir s’ouvre totalement: elle se montre nue.

Elle me regarde d’un air innocent, alors qu’elle sait bien que je vais la peloter. Elle est très près de moi. Cette fois je ne peux plus retenir mes mains. Je me lève d’abord pour l’embrasser sur la bouche. Nos langues s’entremêlent déjà. Elle ne fait pas dans le détail: elle devient une femme demandant du sexe. Elle fait tomber son peignoir et nue, elle commence à essayer de sortir ma pine du pantalon. Je bande déjà comme un âne. Je suis normal coté longueur et diamètre de queue. Elle a dés difficulté à me prendre la queue. Elle ouvre ma ceinture pour que mon pantalon tombe sur les pieds. Enfin elle tient ma bite dans sa main: elle la serre sans faire autre chose. A mon avis elle doit en prendre possession. Je prend le seul sein à ma disposition, je le caresse lentement comme je sais le faire à ma femme. J’ai passé une main sous la mamelle, je la remonte lentement vers le mamelon que je traite aussi sans brusquerie. Elle serre contre son flanc, mon corps. Je peux aller jusqu’à son sexe où je cherche son clitoris que je fais sortir de sa cachette pour le caresser. Je la branle doucement: elle lâche ma bite pour me guider: elle veux que j’aille plus vite: elle ne peut pas parler, nos bouches sont toujours collées.
Je continue la masturbation jusqu’à ce que je la fasse jouir. Je lâche sa bouche pour aller lui embrasser le même sein que je suce un peu au passage. Je m’assois sur le divan pour être à la bonne hauteur pour remplacer mon doigt par ma langue. Elle s’approche au plus près de moi, les jambes écartées: je peux mieux la lécher ainsi. Elle prend ma tête dans ses mains, jouit et ne part pas. Je recommence à la lécher.
J’ai mal à la queue à force de bander. Je le lui dit.
- Tu bande longtemps ?
- Oui, je pourrai de faire jouir par devant et par derrière si tu veux et à la fin tu pourrai me sucer.
- Te sucer après que tu m’ais enculer. Je ne l’ai jamais fais.
- Il faut un début à tout.
- Suces moi tout le con avant.
Elle s’assoit à mes cotés, les jambes ouvertes, prête à recevoir ma langue.
Je me lève pour lui donner ma bite à sucer juste un instant avant d’être à genoux devant elle; Je vois ton son sexe: elle a les lèvres très régulière, ce qui est rare. J’y mets la langue pour écarter ses lèvres et aller là où j’ai envie. Je commence par son clitoris. Je le suce à peine, juste avant de l’aspirer pour le rejeter et recommencer. Je me régale de sa cyprine quand elle jouit sur ma figure. Ma langue entre ses lèvre arrive à son gros trou. J’entre le plus possible pour arriver à son point sensible. Je ne lui demande rien, elle passe ses cuisses sur mes épaules pour être prise plus profondément. Je force pour lui mettre toute ma langue en elle. Je sens sur ma langue ses crispations de jouissances. Je laisse ma langue dans ses lèvres avant de la quitter vers son anus. Je lèche son cul longuement et entre ma langue. Je l’encule à peine: c’est suffisant pour qu’elle ait encore un orgasme.
Elle ne pense qu’à son plaisir pour le moment, jouit et enfin:
- Baises moi maintenant.
- Je vais te la mettre profond.
- Oui, bien au fond de mon ventre. Tu pourrai m’enculer après ?
- Bien sur.
- Tu vas me la mettre comment ?
- Comme tu aimes.
- Alors je me met sur le dos et tu me monte dessus.
Elle se couche bien comme il faut, la tête sur un coussin, en hauteur par rapport à son corps: elle veut voir quand ma bite entre dans son ventre. Je me met entre ses cuisses: je vais doucement pour aller sur elle: je pose ma bite juste à l’entrée de sa grotte. Elle regarde quand j’entre lentement pour qu’elle profite du spectacle. Ca ne peut plus durer pour moi. J’ai trop envie de baiser maintenant. J’entre ensuite rapidement jusqu’à la fin de son vagin. Elle passe ses cuisses sur les miennes: elle sait bien baiser et prendre son plaisir avant celui des autres. Nous faisons la danse de l’amour. Nos vas et viens synchronisés nous font un bien fou, surtout pour elle qui jouit deux ou trois fois à la suite.
Je décide de l’enculer: je la fait mettre en levrette, je prends une bonne partie de sa cyprine: elle a tellement jouit qu’elle a l’entre cuisse totalement mouillée.
J’entre facilement dans son cul: elle doit se faire enculer par son époux ou par un autre amant, je ne sais pas. Elle ne commence à réagir profondément que quand je suis au fond de son cul: elle commence à se branler pour magnifier son orgasme. Je sens ses fesses contre mon bas ventre et mes couilles qui touchent la main qui la branle. Je la fait jouir alors que je n’ai toujours pas jouis moi-même.
Je sors d’elle sur sa demande. Elle se lève pour aller faire je ne sais quoi dans sa chambre. Elle revient avec un gode de bonne taille:
- Encules moi encore, je vais me baiser en même temps. C’est bon pour moi. J’aime me faire mettre des deux cotés à la fois.
- Si tu aimes ça, tant mieux. Seules les femmes peuvent avoir ce genre de plaisir.
- C’est vrai, je t’ai demandé de m’enculer, si tu veux me baiser, tu peux aussi.
- Je préfère ton cul.
- Mets toi assis; je viendrai sur toi.
Je suis assis au bord du divan. Je bande toujours, elle vient vers moi, le cul en avant. Elle le pose sur le gland. Lentement elle s’assoit sur ma bite en écartant ses fesses avec ses mains. Je sens quand je rentre dans son cul. Elle fait quelques vas et viens avant de s’arrêter complètement: je sens qu’elle se met le gode dans le con. C’est elle qui dirige tout maintenant: Elle manœuvre le gode en fonction de l’entrée ou sortie de ma pine dans son cul. J’apprécie quand je croise le gode à travers ses fines cloisons. Je prend ses seins pour les caresser, et l’embrasse dans le cou. Je ne sais combien de fois elle jouit. Je ne peux plus me retenir: je jouis et lui donne une bonne quantité de sperme dans son ventre. Elle reste ainsi un moment le temps pour elle de jouir une dernière fois avec ma bite.
Elle roule sur elle-même pour se trouver à mes cotés.
- Je te dois une fellation.
- C’est vrai !
- Tu ne bande plus.
- Ne t’en fais pas, je vais bander de suite.
Je prend ma bite dans mes deux mains, je la masse à ma façon, le gland dehors, et moins de 5 minutes je bande comme avant.

Etonnée elle fait ce qu’elle avait promis avec une réticence: je sors de son anus. Enfin elle me prend dans la bouche, passe sa langue rapidement sur toute ma longueur:
- Finalement le goût de mon cul n’est pas mauvais.
- Je t’avais dis que tu me sucerai après de l’avoir mise au cul.
Elle recommence sa fellation. Sa langue lèche comme une reine, elle me prend jusqu’au fond de sa gorge: je sens qu’elle est prête à avoir des nausées, et pourtant elle continue. Je lui dit quand je vais jouir: elle me lâche, simplement pour dire:
- Jouis dans ma bouche, j’aime ça.
Puisqu’elle aime ça , je ne vais pas me plaindre. Je jouis donc dans sa bouche fermée: elle avale le tout.

Je dois retourner chez moi. Je vais pour m’habiller: elle m’arrête:
- Il fait presque nuit, nous allons tous les deux chez toi: pends tes affaires et allons-y nus, se sera excitant, surtout si quelqu’un nous voit.
A mon avis elle est givrée et pourtant son idée m’excite déjà. Je la fait passer devant moi: je profite qu’elle soit obligée de lever les jambes pour lui mettre la main au panier. Elle reste ainsi les jambes ouvertes avec ma main sur son con.
Enfin nous sommes chez moi. Je veux aller dans la chambre pour baiser normalement. Nous passons devant la salle de bains. Brusquement elle a envie de se baigner. Elle entre dans la baignoire, fait couler l’eau chaude, reste plongée dedans un bon moment: elle me demande de venir près d’elle, ce que je fait: je bande encore. Elle commence à se branler recouverte d’eau et prend ma bite dans la bouche pour m’exciter encore. Elle me fait entrer dans l’eau avec elle. Ses jambes écartées sont occupées par sa main droite qu’elle retire pour me faire place: je peux difficilement la lui mettre. Heureusement que c’est elle qui fait les mouvements: elle se fait jouir encore et encore. Elle me fait éjaculer en elle une autre fois.
Elle tient à passer la nuit dans mon lit, celui où nous baissons avec ma femme. Quand je lui dit qu’à la fin de l’amour, je la suce toujours plusieurs fois, elle me demande de le lui faire. Ma langue se pose sur son clitoris, ma bouche l’avale en parti et c’est pour elle la même chose que pour la femme, elle jouit et je continue à la sucer un bon moment, jusqu’au moment où elle s’évanouie presque: elle a trop jouit. Le matin très tôt, elle a encore envie: devant moi elle se branle pour me réveiller. Je me réveille bien, je la laisse se masturber et lui suce les seins. Je ne la baise qu’après sa première jouissance. Nous passons la journée au lit, sans manger, en baisant sans arrêt. Je ne pensais pas avoir la résistance nécessaire et j’y arrive sans gêne: Sarah est une sacré baiseuse. Elle m’explique que l’absence de son mari la gêne alors elle a appris à se faire jouir le plus possible: elle se branle une dizaine de fois par jour. Le soir même je lui dit qu’entre nous c’est fini, j’aime ma femme et ne veux pas me fâcher avec elle. Tant pis, elle se masturbera.
Je n’en parlerai à ma femme que bien plus tard en baisant, elle prendra ça pour un fantasme.

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