Mes Jeunes Voisins
Mes jeunes voisins ont emménagé derrière chez moi il y a 3 ans, au début de lautomne. Ce nest pas exactement derrière chez moi, cest la maison en diagonale par rapport à la mienne. Dans notre lotissement, entre deux rues parallèles, les maisons vont par paire, rangées en rang doignons. Leur maison est derrière celle de mon voisin.
Depuis un moment, javais envie de raconter cette histoire. Cest en voyant la camionnette bleue garée devant chez eux, ce week-end, que je me suis décidée. Enfin, bon, ce nest pas vraiment une camionnette, mais un gros S.U.V, que les jeunes appellent un truck, un gros machin, haut sur pattes, avec une cabine et une benne. Cest le véhicule à la mode quand on veut se faire remarquer.
Un jeune couple, entre 20 et 30 ans, a emménagé au début de lautomne. Au début, beaucoup dactivité dans le jardin. La pelouse, les haies, tout devait être impeccable. Je travaillais encore à cette époque, je nai pris ma retraite quau printemps suivant. Et le week-end, installée sur ma terrasse, avec mon chien qui gambadait autour de moi, j'appréciais la vue du jeune corps tonique qui se trémoussait en travaillant au jardin.
Un petit cul musclé, serré dans un mini-short étroit, un débardeur sans manche et profondément décolleté, avec ses seins libres de toute entrave, qui se balançaient en cadence. De mon temps, les jeunes femmes ne sexposaient pas ainsi. Est-ce que cétait mieux avant ? Pas sûr
Les saisons passent, lhiver je ne les ais pas vu souvent. Au printemps, je remarque que la jeune femme est enceinte de plusieurs mois. Sa fille est née à l'automne, la mère et la fille se portent bien. Premier né dans les deux familles, et cest le défilé des grands-parents. Souvent, un couple de grands-parents emmène le bébé pour le week-end.
Avec les beaux jours, les tenues légères sont de retour. Maintenant que je suis à la retraite, le spectacle de son cul rond et de ses seins gonflés qui sagitent, meublent ma solitude.
Pendant l'été, mes jeunes voisins accueillent 4 à 6 couples damis le week-end. Tous dans la même tranche dâge, presque la trentaine. Tous blancs, seul un couple est métissé, le gars est noir, la fille est blanche. Tous semblent être amis de longue date. Barbecue, salade et bière sont leur régime de base. Jeux variés, rigolade, ils chahutent et le brasero reste allumé tard dans la nuit.
Je ne fais pas très attention à eux, ils ne me dérangent pas, je ne les embête pas. Un week-end, pendant la canicule, il fait étouffant et moite. Le barbecue du soir commence. Ils ont chahuté tout laprès-midi, il a fait soif, ils ont vidé quelques bières. Les femmes ont des tenues légères.
Ma jeune voisine a son cul rebondi serré dans un mini-short en éponge, orange. Flashy. En haut, un débardeur rose et largement échancré. Jamais, à son âge, je me serais exposée ainsi.
Dans la soirée, à la tombée du jour, j'ai fait sortir mon chien pour quil s'occupe de ses affaires. En lattendant, je me promène le long de la haie. Le jeune black est allongé sur une chaise longue, ma jeune voisine est blottie entre ses jambes écartées.
Mais oui, je nai pas la berlue, ce nest pas sa femme qui est blottie entre ses jambes, mais ma jeune voisine. Dautres couples, sur dautres transats, sont occupés à se caresser, mais je ne les connais pas assez pour savoir si ce sont les couples légitimes ou pas.
Plus tard, je sors une dernière fois mon chien avant d'aller me coucher. À ce moment, le feu nest plus quun tas de braises, et jai du mal à distinguer les gens blottis dans l'ombre.
Soudain, une lumière en provenance de la maison, éclaire brièvement la scène. Ma jeune voisine est allongée sur le transat, enlacée au jeune black, la tête rejetée en arrière, elle lui offre sa bouche.
Le short et la culotte poussés vers le bas, son cul blanc sagite et ondule légèrement, car le black a sa main entre ses cuisses, et ses doigts probablement occupés à la sonder.
J'ai regardé pendant un instant, personne ne parlait, alors j'ai ramené mon chien à l'intérieur. Je nai pas de fenêtre de ce côté, juste une petite ouverture dans la salle de bain, et elle est haut perchée. Je n'ai pas pu résister. Jai grimpé sur un tabouret et je me suis installée à mon poste dobservation.
Par chance, quelques minutes plus tard, un trait de lumière ma permis de voir ma jeune voisine, à quatre pattes sur le transat, le visage enfoui dans un coussin, le short et la culotte enroulés autour de sa cheville. Le grand black la chevauchait en levrette, les mains solidement accrochées à ses hanches.
Je les ai regardé attentivement pendant que la lumière était allumée. Ensuite, mes yeux se sont habitués à l'obscurité, je savais où regarder, et avec le peu de lumière de la lune et des réverbères, j'ai pu "voir" le black continuer son assaut.
Quelques minutes passèrent et le jeune black commença à pilonner plus durement le cul de la jeune dame. Je pouvais entendre distinctement claquer les chairs, et les plaintes de la jeune femme. Je lai vue tendre sa main derrière elle, tenter de le repousser, comme pour lui dire «vas-y moins fort», mais il lui a tordu le bras dans le dos pour la baiser encore plus fort.
Les cris de la jeune femme ont grimpé dans les aigus, mais il lui a claqué les fesses à plusieurs reprises, afin quelle soit plus discrète. Le rythme na pas baissé, jusquà un grognement du mâle, et les gémissements étouffés de la femelle.
Je suppose qu'il a jouit en elle car je ne lai pas vu se retirer. Je me suis couchée.
Le lendemain matin, jai croisé ce jeune homme noir très séduisant à la boulangerie. Javais une tenue dété, jupe et débardeur sans manche, et sans soutien-gorge. En le voyant, mes tétons se sont érigés instantanément. Ses yeux ont parcourus mon corps, sattardant sur mes nichons parfaitement visibles. Jétais horriblement gênée, surtout par son sourire carnassier et son regard lourd de sous-entendus.
Pendant le reste de l'été, j'ai prêté une attention particulière aux visites que recevait ma jeune voisine. Lorsque la voiture verte de son mari nétait pas là, elle recevait des hommes. Parfois seuls, parfois en groupe, 2 ou 3 jeunes hommes.
Même lorsquils venaient en couple, le week-end, ils se mélangeaient joyeusement.
Il est devenu évident pour moi que ces jeunes couples étaient des partenaires en cheville à chacun de ces "barbecues".
Quelquefois, rarement, en labsence de la voiture verte, ces messieurs restaient la nuit.
Pour une vieille femme comme moi, jai passé un bel été.
Un soir, à lautomne, ma jeune voisine est venue toquer à ma porte. Elle attendait un colis, le lendemain, un truc lourd et encombrant. Le livreur ne pouvait pas attendre quelle soit présente. Elle avait peur de se le faire voler.
«Puisque vous êtes à la retraite, si vous êtes disponible, en début daprès-midi, et je passerai le prendre en soirée.»
Nous avons bavardé aimablement pendant un moment, elle était charmante, jamais je naurais pu me douter, en la voyant si distinguée, que cétait une salope qui soffrait à tous les hommes.
Le gars est venu en début daprès-midi, comme convenu. Un grand black séduisant dans une camionnette bleue.
Jamais je naurais pu me douter. Je navais fait aucun effort de toilette. Tenue décontractée, short et T-shirt.
En le voyant, mes tétons se sont dressés instantanément, essayant de traverser le fin tissu. Ses yeux étaient sur moi, il me déshabillait du regard. Jai rougi. Jai baissé mon regard, pucelle effarouchée. Il a déposé le colis dans le garage.
Jétais horriblement mal à laise devant ce beau jeune homme si séduisant. Pour rompre lenchantement, je lui ai demandé sil désirait boire quelque chose. Un verre deau serait le bien venu, paraît-il. Il ma suivie dans ma cuisine.
Quand je lui ai tendu le verre, sa main a effleuré la mienne, nos yeux se sont croisés, un peu trop longtemps avant qu'il ne saisisse le verre.
Jai reculé devant son regard de prédateur, jusquà heurter le canapé avec mes fesses, ses yeux examinaient mon corps, détaillant, soupesant, estimant. Satisfait par cette rapide inspection, son sourire de jeune loup illumina son visage.
Depuis des années, et la disparition brutale de mon mari, jétais en jachère. Il se tenait maintenant entre moi et la porte.
Ses yeux me parcouraient : «Vous êtres très belle» Il s'approchait de moi, je navais nulle part où fuir.
Il déposa son verre sur la commode, son regard de jeune loup, ses mains sur mon corps. Je frissonnais, la crainte, le désir, lattente. Ses mains enveloppaient mes seins. Je nai pas essayé de protester. Je ne me suis pas débattue. Je ne lai pas repoussé en hurlant : «ça suffit»
Je restais figée, tremblante de désir. Jétais sa proie, prête à succomber à son assaut, tandis qu'il môtait mon T-shirt pour dénuder mes seins. «Ils sont gentils» sourit-il. Il les palpe, les soupèse, pince les tétons. Docile, je me laisse tripoter.
Quand il m'a embrassée, j'ai rendu son baiser, bouche ouverte. Mon short baissé sur mes chevilles, je lai enjambé. Je suis entièrement nue devant lui, il est habillé, très classe dans son beau costume.
Embrassée, caressée, ses doigts dans ma chatte, totale soumission, les mains noires ont exploré mon corps jusqu'à ce quil me fasse pivoter et basculer par-dessus le dossier du canapé. Les mains en appui sur lassise, le cul soulevé, jentendis le zip de sa braguette et le contact de sa verge dans les plis de ma chatte.
Je lai senti presser mes seins par derrière. Mes tétons étaient durs comme de la pierre et il a commencé à les pincer, me faisant haleter. Il a passé sa main sur ma chatte et j'ai entendu un son humide lorsqu'il poussa un doigt en moi.
Jai senti le contact de sa bite contre mon ouverture. Cétait gros, très gros, trop gros. Il a frotté sa bite contre les lèvres de ma chatte plusieurs fois puis s'est glissé directement en moi. Le gland ma pénétrée. Jai limpression dun accouchement à lenvers. Étirée, distendue, envahie, je gémissais en haletant.
Malgré mon humidité, sa bite était énorme et serrée dans ma chatte alors qu'il commençait à me besogner, doucement, progressivement, il sest enfoncé dans ma chatte avec précaution, conscient du volume de son engin de reproduction.
Il ma traitée comme une chose fragile jusquà ce quil soit parvenu au fond de mon vagin. Ensuite, il a pris un rythme régulier, confortable. Je mattendais à ce que ça dure longtemps, je profitais parce que je nai jamais rien connu de semblable, jusquà ce quun orgasme aussi inattendu que fougueux me fasse crier ma joie. Jai faillis m'évanouir alors que son ventre cognait contre moi.
Aussitôt, jai reçu une claque violente sur les fesses : «ta gueule». Ah, oui, cest vrai, joubliais, il naime pas les manifestations exubérantes.
Il ma baisée longtemps, toujours sur le même rythme tranquille, pas daffolement. Jai joui plusieurs fois. Mes entrailles commençaient à être meurtries. Jai adopté la technique de ma jeune voisine. Jai attrapé un coussin qui traînait, et jai enfoui mon visage dedans.
Poliment, il ma demandé sil pouvait finir en moi. Troublée, pantelante, je nai même pas répondu. Il sest répandu en moi, grognant, les doigts crispés sur mes hanches.
Lorsquil a commencé à dégonfler, il sest retiré, et jai eu le sentiment dun grand vide en moi. Il sest essuyé en frottant sa bite contre mes fesses, puis il sest rajusté et il est parti. Sans un mot.
Je suis restée en position, le cul en lair, la chatte ruisselante, essayant de reprendre mon souffle et mes esprits.
Finalement, jai ramassé mes affaires, et je suis montée prendre un bain brûlant.
Jétais furieuse. Contre moi, contre lui, contre la terre entière. Mon comportement ? Une vieille pute, qui se laisse baiser par le premier venu. Il na pas eu besoin de demander, cétait clair dans mon attitude, je nespérais que ça.
Son comportement ? Jétais juste une conquête pour lui. Baiser une femme blanche en lhumiliant, cest comme se venger de siècles desclavage. Un peu. Un petit moment de plaisir.
Jamais je naurais dû accepter de me laisser faire ainsi. Mon mari mavait fait la cour pendant des mois avant de pouvoir mettre sa langue dans ma bouche. Et il avait dû me passer la bague au doigt avant de me pénétrer.
Jétais honteuse. Honteuse et ravie. Jamais je naurais pu espérer connaître ces sensations enivrantes. Depuis des semaines, je pense à lui en train de me baiser, comme il l'a fait, mais je noserai jamais demander plus.
Les jeunes d'aujourd'hui n'y pensent pas, cest juste du sexe, mais moi je pense à lui. Je veux bien être la cerise sur le gâteau pour lui. Juste une vieille pute quil pourrait baiser quand il en aurait envie.
Je pourrais lattendre patiemment, si je savais quil viendrait. Il vient de temps en temps visiter ma jeune voisine. Oh, combien de fois jai pensé à lui demander plus.
Il m'a emmené dans des endroits où mon mari ne m'a jamais emmenée. Je me suis acheté un gros gode, noir, je mallonge sur mon lit, jambes écartées, et je limagine. Jai honte.
Oui, sil passe ma porte, je serai à lui. Totalement, définitivement, prête à céder à toutes ses exigences.
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