Leslie Ph07
Leslie PH07 Petites histoire courtes
Première fois pour lui
La relation de travail de Laure sappelle Marjorie, cest une maîtresse femme, qui ne cache pas ses tendances, elle a un fort caractère et aime dominer mentalement et physiquement mais aussi certainement sexuellement.
Elle shabille souvent de cuir et aime provoquer les jeunes midinettes qui passent à sa portée et se fait un plaisir de dominer les hommes
Elle pratique, comme elle aime ç le dire la domination soft, pas de brutalités, mais aime amener son ou sa partenaire à lui obéir dans ses désirs, mariée elle aime se confier à Laure qui ne manque pas de me raconter les exploits de Marjorie
Ils paraissent dune complicité totale et très épanouis, ensemble depuis peu, il connait les penchants de sa femme et il se laisse dominer et se soumet aux caprices de Marjorie avec un certain plaisir non dissimulé, il se laisser guider, surtout que sa partenaire na pas lair de manquer didées et denvies.
Elle a dailleurs confié à Laure quelle avait fait découvrir à Nathan la sodomie, et quil appréciait ce rapport
« Nous venions demménager et javais des travaux de réfection à entreprendre. Cétait lors dun été très chaud et il était donc en slip, à quatre pattes sous le lavabo. Elle lobservait.
A un moment donné, il sentit soudain quelque chose passer entre ses fesses, encore jeunes mariés, cette caresse inédite lui plut et une partie de son corps prit immédiatement une forme plus solide. Il voulut sextraire de dessous ce lavabo pour répondre à ce qui semblait être une invitation, mais sa jeune femme le poussa davantage vers le fond et il se cogna le crâne aux tuyaux, en entendant sa jeune épouse dire :
- Ne bouge pas, je te linterdis !
Surpris par le ton de la voix de sa jeune épouse, il sexécuta et ne bougea pas.
Il sentit lobjet passer et repasser sur le tissu de son slip, entre ses fesses.
- Tu bandes, mon salaud, cest que tu aimes ?
- Mais, Marjorie, quest-ce que tu fais ?
- Tais-toi ! Laisse-toi faire !
Sa femme baissa son slip, il bandait comme un taureau, et lobjet passa entre ses fesses nues.
- Laisses-toi faire, jen ai envie !
Se retournant, il vit quelle avait à la main son marteau, dont le manche lui procurait cette caresse délicieuse, puis il sentit un liquide couler entre ses fesses.
- Voilà, comme ça tu nauras pas mal.
- Mais, que fais-tu ? Quest-ce qui te prend ?
Une nouvelle poussée lui bloqua la tête contre le mur, le bout du manche du marteau étala lhuile quelle venait de verser sur sa rondelle encore vierge.
- Allez, maintenant on y va. Laisses-toi aller, je suis certaine que tu vas aimer.
Elle poussa lentement, mais sans hésitation, mais pas moyen, ses sphincters refusant de céder à la pression et de permettent la pénétration !
- Tu ne veux pas me faire plaisir ?
- Si, mais
Ahhh !
Sa femme venait de plonger son majeur entre ses fesses et elle se mit à faire aller et venir son doigt entre ses fesses, doucement, jusquau bout. Petit à petit, il se relâchait et la douleur disparut.
- Tu aimes ?
- Putain, oui, jaime !
- Je le savais que tu allais aimer, tu vas savoir ce que cela fait de se faire enculer !
Il laissa échapper un nouveau cri quand elle lui introduisit un deuxième doigt, il souvrait pour le plus grand bonheur de sa vicieuse épouse.
Jaime ça, souffla sa femme, je rêvais de tenculer comme ça.
Sa voix était rauque, derrière lui elle avait relevé sa jupe, et de la main gauche elle se branlait en faisant pénétrer, de sa main droite, le manche du marteau dans le cul de son homme.
Il ne put retenir un gémissement quand le manche fut entièrement en lui, un spasme lui parcourut les entrailles et sa queue gonfla terriblement.
- Tadore être enculé, gronda-t-elle.
Il sentit ma semence monter en lui, son anus se contracta sur le manche, provoquant une douleur délicieuse et emprisonnant littéralement le morceau de bois et jouit en hurlant :
- Putain, je viens !
Elle le sodomisait profondément et furieusement, sa semence jaillit et arrosa le sol, séchappant de sa queue gonflée à bloc.
Il lui dit quil navait jamais éprouvé un tel plaisir et sa femme lui avoua avoir ressenti la même chose lorsquelle sétait fait sodomiser la première fois.
Avec un sourire elle lui dit :
- Dommage que tu aies jouit, jaurais bien aimé que tu mencules ! »
Il avait aimé et sétait laissé aller dans le plaisir de subir cette première domination, mais je voulais lemmener plus loin
A suivre
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