Dans La Peau.
Lautre samedi, Paulo est revenu. (voir « Oh meu Brasil » et « Sexual session ? »)
Comme la fois précédente, jai ouvert la porte, il était là
tout sourire. A chaque fois, Il me dit quil ne peut pas me prévenir, quil profite de petits trous dans son agenda surbooké
Moi, jessaie de ne pas passer ma vie à lattendre
.
Bien sûr, on sest sauté dessus. Bien sûr, dun seul coup dun seul, tout sefface. Ne compte plus que sa présence, son corps chaud, son sourire qui me fait chavirer.
On a passé le samedi à faire lamour, comme des fous.
Comme il navait pas dormi de la nuit, dans lavion, il a voulu prendre une douche. On sest enlevé nos vêtements réciproquement, en essayant de ne pas se sauter dessus trop vite. Jai voulu garder mon slip. On sest glissé dans la cabine de douche. On est resté longtemps, très longtemps sous le jet, collé lun à lautre, à sembrasser à pleine bouche. Je le sentais vibrer contre moi. Jai entrepris de lui laver les cheveux. Il sest laissé faire comme un bébé. Il était trop mignon ainsi couvert de mousse. Puis je lai lentement enduit de gel de douche que je faisais doucement mousser sous ma main. Je mattardais sur sa raie, sur ses boules, sur sa ligne de poils, sur sa queue. Il se laissait faire, me malaxant doucement le slip mouillé. Jentrepris de lui rectifier la coupe de ses poils de pubis, essayant de la rendre encore plus sexe. Il offrait son gland à la caresse de ma bouche. Je lengloutis lentement, profondément. Il se cabra. Comme jaimais sentir son pieu dans ma bouche ! Je le chauffais ainsi un moment. On se sécha mutuellement et on se dirigea vers la chambre. Au passage, il enfila un nouveau slip super tendance et me proposa den choisir un aussi dans son sac. Nous voilà tous les deux moulés dans des hiptsers briefs très très chics. Au passage, il avise mon appareil photo numérique. Il le prend et commence à me shooter sous toutes les coutures. Je me prête au jeu qui devient bien sûr de plus en plus suggestif et coquin
Je veux lui rendre la pareille mais ça lui rappelle trop le boulot.
Je ny tiens plus et je veux le dévorer sous toutes les coutures. Il me demande si ça ne me gêne pas sil filme tout avec lappareil en mode vidéo. Un peu surpris mais émoustillé, je lui dis OK. Il pose lappareil sur le chevet. Me voilà à le couvrir de baisers, de la tête aux pieds. Il se laisse faire bien volontiers. Il ondule sous la caresse, il appuie sur ma tête là où il en veut plus
Il me caresse le boxer de façon de plus en plus appuyée. Je nen finis pas de me rassasier de la vue de ce corps superbe, à moi offert ! Sa peau, son grain de peau, son odeur, son aspect changeant sous la lumière
Cest pas permis dêtre si beau ! Et, en même temps, ce que jadore chez lui, cest quil nest absolument pas hautain ou distant comme le sont souvent ce genre de tops. Il donne toujours limpression quon pourrait devenir ami avec lui en deux temps trois mouvements
Je me mets en position de 69 et entreprends de moccuper sérieusement de son hipster et de ce quil contient. Bien tendu le hipster, dailleurs. Auréolé dune belle tache de mouille sur le haut, qui va sélargissant. Quelle bonne odeur de mâle ! Je glisse mes mains sous le tissu, lentrebaille, pousse le bout de ma langue sur son gland. Il sursaute, électrisé. Je me délecte à lui lécher sa mouille, légèrement aigrelette. Je lui chatouille le frein du prépuce. Il se tend. Je le gobe dun coup et linonde de salive. Il veut me pénétrer à fond. Je le serre de mes lèvres. ..Doucement, doucement, meu Paulo ! De son côté, il mattaque côté fesses. Il a baissé larrière de mon hipster et entreprend de me labourer la raie de sa langue. Trop cool ! I revient insister sur ma rondelle, la titillant du bout de sa langue. Encore ! Ses mains, glissées sou lavant de mon boxer, sactivent sur mes couilles, sur ma queue, sur mon gland.
Jaime beaucoup cette position car je peux ainsi contrôler la fréquence de mes allers et retours. Jy vais dabord tout doux, tout en puissance contrôlée. Je vois Paulo se saisir de lappareil et venir zoomer pour faires des gros plans. Il en profite pour baisser lavant de mon boxer, libérant ma bite qui séchappe dun coup. Il la saisit et la branle doucement. Tout en continuant à filmer de lautre main. Jaccélère lentement la cadence. Paulo a saisi mes fesses à pleines mains et amplifie mon mouvement de bassin. Je sens super bien son barreau de chair chaud qui me laboure le ventre. Trop bon ! Puis il me remonte et, cette fois, cest lui qui coulisse en moi, de plus en plus rapidement. Jai empoigné sa main et on se branle à deux. Il a encore accentué la vitesse de ses allers et retours. Il me pilonne par le dessous.
« -We go ? » me demande Paulo, impatient.
Sur le chemin du retour, plusieurs fois, il me colle contre une porte cochère pour me dévorer la bouche. Dans les escaliers du cinquième étage, il cherche déjà à menlever mon sweat. Jai bien compris le message : ça va être ma fête ! Du coup, jimagine de le freiner au maximum pour faire monter la pression au max ! A peine la porte reclaquée, il me fait passer le sweat par-dessus la tête. Jessaie de lui échapper en me réfugiant dans la salle de bain et en mappuyant contre la porte. Il essaie de la repousser, supplie que je lui ouvre. Jentrebaille et lui dit :
« -Slowly, Paulo. OK ?
-Promised ! ».
Je le laisse entrer dans la salle deau. Il me saute littéralement dessus. Javise une ceinture de coton qui traîne. Je lui propose, comme un jeu, de lui entraver les mains dans le dos
.Ca lamuse et il ne voit pas tout de suite le piège. Ca me permet de reprendre linitiative et de calmer un peu le jeu. Je lui fais glisser son pantalon. Pour le sweat, je suis obligé de lui libérer les mains et de le réattacher aussitôt. Il cherche à membrasser, à me lécher partout. Je me mets en slip, comme lui. Il tombe à genoux et vient frotter son visage contre ma bosse, qui enfle. Il me mordille la bite, à travers le tissu. Jempoigne ses cheveux et presse sa tête contre mon ventre, lincitant à continuer. Avec ses dents, il agrippe lélastique du slip et le baisse. Il se rue sur ma bite dressée. Tout y passe. Mes boules, ma hampe, mon gland. Ca me chauffe bien. Du coup, je me retourne et lui offre ma raie. Il me lèche toute la raie, de bas en haut. Il revient sur ma rondelle, pointe sa langue et me la caresse en poussant des petits coups. Trop cool ! Ca me chauffe encore plus. Jai envie de le défoncer de toutes mes forces. Je profite un max de ses caresses trop bonnes. Puis je le relève, lui fait glisser son slip, le colle contre le mur et me colle à lui de tout mon corps en le labourant. Je cherche sa bouche. Il écarte les jambes. Il me veut en lui. Je le retourne, lui bouffe la rondelle furieusement, lenduit de gel, lui passe un doigt, puis deux, puis trois. Il couine de plaisir. Je déverse la moitié du tube de gel sur ma bite et cherche à le pénétrer. Facilement, je passe le gland puis pousse lentement le reste de ma tige. Je commence à le limer. De plus en plus facilement. Je le fais passer par toutes les positions. Debout contre le mur, à même le sol sur le dos, en levrette et je me réserve ma préférée pour la fin. Je le fais pénétrer dans la douche, le délivre des ses liens, fait couler le jet deau tiède sur nous deux, latt sous les fesses, appuie son dos au mur et le soulève pour venir lempaler sur mon chibre. Il est un peu surpris par la position mais complètement emballé et excité. Il saccroche à mes épaules et descend lentement sur mon membre dressé qui lattend. Il contrôle sa descente pour mieux la savourer. Sa bouche sentrouvre, ses yeux sagrandissent. Je peux ainsi lire sur son visage les sensations quil ressent. Il ma complètement enserré la taille avec ses jambes croisées, solidement accroché à mon pieu. Je suis tellement excité que je ne ressens absolument pas du tout son poids. Je me réenduis copieusement pour glisser encore plus aisément dans son fourreau de chair. Jadore au plus haut point cette position qui me permet de me déchaîner à fond. Lui aussi a lair dapprécier énormément. Je le vois dans son regard chaviré. Je me mets à le limer tout en puissance. Il accompagne mes mouvements de bassin, totalement synchrone, à la recherche de la sensation maximum. Quand je le pénètre à fond, jai limpression de ne plus faire quun avec lui. Trop bon !
« -Come on, Jo ! Come on ! Its amazing ! » me souffle-t-il.
Jamplifie légèrement la cadence de mes aller et retours. Je veux faire durer le plus longtemps possible, pour bien ressentir et lui faire ressentir la caresse de ma bite, bien sentir sa progression. Je suis trop tenté de le défoncer à fond, de toutes mes forces, mais jessaie de me contrôler le plus possible. Je savoure.
« -Quickly ! Quickly ! » hurle-t-il.
Sa demande mélectrise. Jaccélère mes coups de boutoir. Il gémit sourdement à chaque fois que je le défonce. Leau tiède qui ruisselle sur nous deux, surajoute à notre excitation. Cette fois, je crois être à fond. Et pourtant je trouve encore de lénergie pour accélérer encore un peu. Son gémissement est continu. Je suis au bord de lexplosion. Encore quelques sauvages coups de reins et je répands tout mon sperme dans son ventre. Il décroche ses jambes, me tourne le dos et vient se réempaler aussitôt sur ma queue encore dressée. Jai compris. Il veut que je le fasse jouir en le branlant. De mon bras gauche, je le serre contre moi et lui caresse les tétons, les pecs. De ma main droite, je le branle puissamment. Il mencourage de sa main, mindiquant la vitesse quil désire. Bientôt, mes deux mains superposées sactivent sur sa superbe tige. Jaccélère le rythme ?. Je le sens se contracter autour de ma bite toujours en lui. Trop bon ! Il imprime encore plus de rapidité à mon mouvement de branle. Ma main droite enserre complètement son gland, la gauche est à la bas, englobant ses couilles. Il halète. Je le sens venir. Dans un cri, il jouit. Je recueille son jus dans ma main et lui fait respirer sa forte odeur de mâle.. Il senduit le visage avec, se retire, se retourne et membrasse goulûment. Leau de la douche nous relave complètement. On se sèche lun lautre. On file vers le lit. Dans les bras lun de lautre, on comate doucement mais on ne sombre pas tout de suite dans le sommeil cette fois. On se sent trop bien ainsi et on veut prolonger le plus possible ce bien être. Il me parle de sa vie de top model, me livre plein danecdotes backstage quon ne retrouvera pas dans la presse people. Il minterroge gentiment sur mon aventure dans la forêt ( voir « la peur de ma vie »). Il medit que lui aurait demandé le préservatif. Il a raison. On chuchote ainsi jusquà pas dheure. On finit par sombrer. Pendant la nuit, je sentirai la caresse de sa queue, de sa main sur ma bite. Il nira pas jusquà me réveiller. Juste à me faire faire de beaux rêves !
Cest une sensation de léger froid qui me réveillera. Je tâte le lit. Il nest plus là. Puisquil est sur le balcon, en mini slip fluo, entrain de regarder dans la rue, cinq étages plus bas. Je linterpelle.
« -Paulo ! Take care ! Its cold !
-Not so much ! Come ! »
Jenfile le même mini slip que lui et je le rejoins. En ce dimanche matin, la rue est assez animée. Le marché nest pas très loin. Sur le trottoir den face, de lautre côté de lavenue, un jeune est assis sur un banc. Il nous regarde. Intéressé au point de sortir son portable et de faire une photo. On décide de petit déjeuner au lit puis daller faire un jogging. Je ne sais pas comment on a fait pour ne pas renverser tout le café sur les draps. Cétait trop mignon de se donner ainsi la becquée avec la brioche, en chahutant. Puis, on se prépare pour le jogging. Paulo enfile son sweat et un short de running orange flashy, bien échancré. Avec ça, il va faire sensation dans le quartier, le temps darriver jusquau parc.
Ca ne manque pas. Pas mal de passants se retournent sur ses longues jambes fuselées, chocolat au lait. Il fait mine de ne rien voir. Il veut vivre comme il lentend, sans trop sembarrasser du « quen dira-t-on ? ». Le jeune gars sur le banc nous fait un signe de la main, au passage. Assez vite, on atteint le parc. De voir ainsi son beau cul se balancer dans son short orange, ça me fait leffet dune muleta sur un taureau. En tous cas, ça me pousse à le coller. Paulo est bien plus athlétique que moi, plus accro au sport. Par obligation peut être car ce corps de rêve ne doit pas sobtenir sans mal non plus. Mais il ne ma pas lair obsédé plus que ça par la salle de muscu. On croise pas mal dautres joggers. Le dimanche matin, cest leur jour. Je mamuse à me retourner à chaque fois et jen surprends ainsi pas mal qui se retournent sur le beau spectacle quils viennent dentrevoir, trop brièvement à leur goût. A certains moments je lui colle la main aux fesses. Ca le fait rigoler. Il fait mine de vouloir mentraîner dans le sous bois.
« -Too cold, Paulo ! Too cold ! »
Après une bonne heure de course, on revient vers lappart. On croise même la voisine qui nous gratifie dun « Hello ! » joyeux. Paulo va lui faire la bise. Elle est aux anges et ne veut plus lui lâcher les mains. On retrouve aussi notre jeune, toujours sur son banc. Paulo, naturellement, va vers lui. Il entame la conversation en anglais. Je dois traduire car le niveau du gars nest pas terrible. Paulo veut voir la photo quil a faite de nous. Il ne se fait pas prier. A travers le balcon en fer forgé, on nous distingue très biens, tous les deux en slips, accoudés, côte à côte. Paulo la trouve très jolie. On remonte à lappart prendre une bonne douche, bien chaude, bien tendre. On traîne un peu au lit , à regarder des magazines, naviguer sur la tablette, regarder vaguement une série en replay sur la télé. Les mains de Paulo se font de plus en plus baladeuses. Son slip se tend. Son désir monte. Il minondera dun festival de caresses, de bisous, de léchouilles. Tout cela finira dans une levrette danthologie, à même le sol.
On ressort pour manger. Un bon repas dans un restau sympa nous rapproche malheureusement de lheure du retour. Je hais les fins daprès midis des dimanches. Je sens que jai de plus en plus de mal à le quitter à chaque fois. Je ne veux pas trop lui montrer, mais il le sent bien.
Une fois encore, je mécroulerai en larmes dans la voiture, sur le parking de laéroport. Il est déjà reparti vers sa vie trépidante. Jusquà quand ?
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