Chasseresse
Je ne fais pas parti de ce monde un peu snob où certaines pratiques perdurent. Je suis invité un jour à une chasse dans un domaine privé, un grand domaine, comme il y en a peu. Je dois participer à une chasse privée au faisan. A lheure dite je suis présent dans la cour dun petit château où plusieurs dizaines de personnes sont là. Je ne possède pas de fusil, comme dailleurs aucune arme à feux. Cest une femme blonde dans la quarantaine qui distribue les armes. Je la verrai ailleurs que dans ce rôle. Je ne sais pourquoi elle me sourit: je dois lui plaire sans doute. Pour aller sur le terrain jaï bien ma voiture, une voiture tout ce quil y a de bien, malheureusement pas adaptée pour aller labimer dans des terrains innommables. Cest la femme de tout à lheure qui me propose de monter avec elle dans son 4x4. Elle est habillée comme une chasseresse doit lêtre: des bottes, une jupe longue, une veste large, presque trop qui mempêche de distinguer sa poitrine. Elle sait bien conduire et nous voilà arrivés sur les lieux du massacre. Nous ne nous approchons pas des autres pour ne pas les gêner.
Lattente commence: nous entendons bien quelques coups de feu: chez nous pas un seul gibier ne passe. Nous bavardons, la chasse passant au second plan, surtout du temps qui
.Au fond je suis en attente, dun évènement plus intéressant qui narrive pas: jaimerai que nous nous perdions dans les fourrés pour flirter un peu. Un rayon de soleil bien venu réchauffe un peu latmosphère. Ma guide tient à profiter du soleil: elle enlève la veste. Elle porte un chemisier presque transparent qui me permet de voir ses dessous, à dire vrai, son dessous, une soutien gorge en dentelle. En restant ainsi je vois une belle femme sexy, avec une longue jupe, un chemisier transparent.
Il est vrai que le soleil tape: je suis obligé moi aussi denlever mon pull. Je reste en simple chemise. Je ne sais pourquoi nous nous regardons en éclatant de rire. Nous remontons en voiture, la chasse ne donnait rien elle memmène à nouveau au château qui est vide.
- Savez-vous que personne ne rentrera avec au moins deux heures. Nous avons le temps de faire ce que nous voulons. Que désireriez vous faire.
- Moi, je vous regarde depuis tout à lheure et je vous trouve à mon goût, alors si cest réciproque nous pourrions
.
Je nai pas le temps de finir:
- Nous pourrions jouer ensemble par exemple.
- Si nous pensons au même jeu, pourquoi pas, jaime bien jouer avec une
dame comme vous.
- Jaime aussi jouer avec des hommes comme vous aussi. Venez avec moi, ne restons pas ici.
Elle se lève vient vers moi. Elle est très près, je ne peux mempêcher de commencer à jouer: je lembrasse. Cest sa langue qui vient dans ma bouche la première
Elle me mène par la main vers sa chambre.
- Ici nous pouvons tout faire, personne pas même mon mari ne peux y entrer. Par contre si tu veux, je peux demander à une fille qui travaille pour moi et qui aime ça, venir avec nous pour nous amuser à trois. Jaime bien les trios. Pas les quatuors.
Je suis surpris de la proposition. Elle doit être assez coquine pour me proposer ce baiser à trois alors que nous navons même pas tiré un coup ensemble.
Elle appelle par téléphone une personne qui semble être daccord. En attendant elle commence encore à membrasser, car finalement ce nest pas moi qui lembrasse. Sa langue est là pour le rappeler. Je peux quand même la déshabiller lentement: je découvre une foule de trésors cachés par les vêtements. Je lembrasse partout. Elle me rend la pareille et quand je suis totalement nu, elle sintéresse enfin à ma bite. Elle se penche un peu, juste ce quil faut pour venir goûter. Elle en fait un peu plus. Elle décalotte mon gland; je pense quelle va me branler. Elle ouvre sa bouche pour me prendre presque en entier. Je sens sa langue, encore elle, lécher toute la queue du bas vers le haut. Nous sommes debout quand la porte souvre sur une jeune femme brune dans les 25 ans qui ne fait aucun cas de notre nudité, cest ce que je crois, alors quelle nous regardent sans gêne.
- Oui, Geneviève suce le, il en vaut la peine.
- Je ne vais pas me gêner pour te la prendre et la sucer seule, tu sais que jaime le sperme plus que toi, Claire. Caresses lui les fesses et entre lui un doigt dans le cul, comme tu aime faire.
- Cest dans ton cul que jaime mettre mes doigts. Ecarte tes jambes que je te suces.
Je suis surpris des rapports entre ces deux femmes. Ou elle sont lesbiennes ou simplement bi ? Qui finalement commande en amour, jai limpressions que cest la servante et pas la patronne.
Je regarde Claire qui penchée sur les fesses de Geneviève passe sa langue dans le creux de la raie des fesses pour aller lui prendre le clitoris, en léchant le cul au passage et sans doute y mettre des doigts. En tout cas je subit une fellation en règle. Quelle maestria dans cette bouche.
Je ne peux tenir longtemps à ce rythme et le dit. Geneviève arrête sa succion, même si elle me garde dans sa bouche. Je lentend gémir: Claire doit bien la sucer aussi. Je pose la question de savoir si elle se branle en suçant lautre femme. Evidemment: je suis bête de pose ce genre de question. Geneviève nattend plus pour continuer, elle me suce à fond: je jouis dans sa bouche. Elle me garde en elle tout le temps que mes jets de spermes sortent.
Je ne peux plus leur servir: pour elle se nest pas grave: elles vont sarranger seules. Elles se couchent pour sembrasser et se caresser les seins avant de se mettre en 69. Cest efficace de voir deux chevelures différentes sétendre sur les ventres: je bande à nouveau. Jaimerais bien participer moi aussi à leur festin. Je vois les langues lécher le sexe de lautre femme, je vois également des doigts qui pénètrent dans le cul de lautre. Elles se font lamour comme des habituées. Je sais, plus tard que presque tous les jours, elle samusent ensemble à se faire lamour, Madame étant la plus sensuelle et la plus dévergondée, puisque cest elle qui a appris lamour entre femme à sa servante presque dès le début de leur fréquentation professionnelle.
Je ne sais pourquoi elles arrêtent de se faire lamour. Je dois venir avec elles: Claire a besoin de ma bite pour une sodomie. Je suis volontaire toujours pour enculer une belle fille et elle lest. Cest Geneviève qui prépare Claire: elle la fait mettre en levrette, passe sous elle pour prendre de la cyprine: de la sienne et de celle de son amante. Elle en met beaucoup sur le cul de Claire qui mattend. Geneviève prend ma bite pour la poser sur lanus de sa patronne. Jhésite encore à y entrer: soit dun seul coup, soir lentement. Finalement cest Claire qui dun coup de rein me fait entrer dans son postérieur. Javoue quelle a un cul magnifique: je my sens fort à laise. Je la lime pendant quavec Geneviève elles continuent à se sucer. Je sens le front de lamante contre les couilles. Je tiens le coup longtemps. Claire ne cesse de gémir: elle dit souvent quelle jouit pour que Geneviève soit au courant, alors que moi je sens ses orgasmes à chaque fois.
Et Claire demande à Geneviève si pour une fois elle ne voudrait pas se faire mettre par derrière. Pour moi, que ce soit le cul de lune ou de lautre, ça mest égal. Claire préfère lavoir dans le con. Quà cela ne tienne: je change damante pour la lui mettre. Je sens une différence dans leurs réactions: si Claire était relativement normale que elle lavait dans le cul, Geneviève est plus agitée. La présence dune bite dans son sexe, décuple ses orgasmes. Elle ne gémit pas, elle hurle ses jouissances, même si la bouche de son amante est sur le sienne. Je me tourne pour quelle soit sur moi. Aussitôt, Claire vient me donner tout son con pour que je le lèche. Elles peuvent sembrasser et Claire peut même branler Geneviève. Pour ces deux femmes cest orgasmes sur orgasmes.
Le tout finit quand je jouis: je nen peux plus. Je pense en finir là. Les deux femmes se mettent daccord pour que je revienne souvent: je baise bien semble-t-il.
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