De Retour Pour Vous Jouer De Mauvais Tours !

Par quoi commencer ?

Certainement un long résumé. Alors, la dernière histoire que j’ai postée datait de 2012, j’avais donc 26 ans à l’époque et je racontais une histoire que j’avais vécu quand j’avais 22 ans.

Aujourd’hui en 2021 je vais avoir 35 ans et ment en 11 ans, j’ai beaucoup changé, et vécu plein de nouvelles histoires. Certaines bien-sur plus excitante que d’autre, sortant de la normalité.

Ayant écumé le site j’ai pu remarquer les récits qui s’y tenaient. Il y en avait 3 types :

Le purement romanesque avec des histoires de comtesse soumise BDSM (etc…), et autre récit contemporain, fantasque ou fantaisiste avec un point de vue à la troisième personne, voir même omniscient.

Le semi-réaliste où la personne raconte une expérience qu’elle a vécu il y a des semaines, des mois ou des années, mais arrivent à se souvenir de toute la conversation au mot près avec l’ensemble des personnages ou avec plein de détails bien trop précis pour être crédible. Donc libre à elle de prendre une expérience qu’elle a vécu et la remanier à sa convenance.

Le réaliste, où l’auteur ne se préoccupe pas trop des détails, ne se contente de raconter les grandes lignes de ce qu’il a vécu. Bien-sur nous ne sommes pas là pour juger mais pour fantasmer et partager.



Les histoires que j’ai maladroitement racontées remplies de fautes d’orthographe et de grammaire, quand j’étais plus jeune était un mix des deux derniers types de récits. Je racontais ce que je vivais en apportant le plus de détail possible pour que vous puissiez vous imaginer la scène. J’ai repris la plume aujourd’hui car après 11 ans d’absence j’ai vécu tellement de choses que mon regard sur le sexe a complètement changé.

Dans mes vieux récits vous verrez que j’ai testé la bisexualité. Dans ces vieux récits il y a bien-sûr des récits authentiques et d’autres tirés de mon imagination perverse.

Et je ne dirais pas lesquelles car j’aime jouer avec cette limite floue. Ici on ne sait jamais vraiment ce qui est vrai ou non, et c’est ça qui provoque cette excitante, en tout cas pour ma part.

Donc je disais avoir 34 ans bientôt 35 en aout. De mes 17 ans à aujourd’hui j’ai couché avec tellement de personnes que j’en suis devenu blasé. Un regard perdu sur l’amour et le sexe, indépendamment des deux. Bien-sûr j’aime toujours autant le sexe mais ce n’est plus comme quand j’avais 20 ans. Je n’ai plus la magie de la découverte ou la surprise. Quand j’étais plus jeune, je me vantais d’avoir couché avec pleins de femmes. C’était une fierté pour moi un type banal, nullement populaire au collège et lycée d’avoir pu séduire des femmes et les honorer. Comme une sorte de revanche sur la vie. J’exposais mes expériences comme un chasseur dévoile son tableau de chasse. Puis, avec le temps j’ai commencé à me dégouter, certainement la maturité, et ensuite vient la honte. La honte d’avoir souillé autant de femmes sans jamais avoir pu trouver la bonne je dirais. J’ai un rapport entre le sexe et l’amour assez trouble. A un certain âge on ne se vante plus d’être un queutard ou un tombeur, mais on se vante d’avoir trouvé la bonne personne et de pouvoir faire tenir son couple. Bien que j’aie eu aussi quelques longues relations, mais pas assez à mon goût.

Un jour d’ennui je me suis « amusé » à compter le nombre de femmes avec lesquelles j’ai pu vivre une expérience et d’après mes souvenirs et un tableau Excel, je suis arrivé à la conclusion d’avoir été intime avec 88 femmes, dont seulement 16 m’avait simplement sucé. C’est comparable à avoir couché avec 5 femmes par an. Pour vous dire, je ne me souviens même pas de leur prénoms ou de ce que nous avions fais en détail.

Vous comprenez pourquoi je me sens sale ? Sans compter les hommes bien-sûr, car grâce à un site de rencontres gay, là je n’ai pas compté mais j’ai dû me faire sucer par au moins une cinquantaine de mecs et peut-être la moitié que j’ai sodomisé, mais là aucune certitude. En même temps c’est tellement plus facile, plus direct.

Ce qui fait que dans ma vie j’ai eu plus de 100 partenaires. Alors je suis loin d’être un Appolon ou un casanova, bien au contraire. Pour me décrire, je fais 1m70 à peine, blanc assez clair, aux cheveux châtain foncé court, une tonsure légèrement prononcée, des yeux marrons, des lunettes, une barbe, des lèvres généreuses d’après les dires, Plutôt bien dessiné (je pratique l’escalade et du fitness régulièrement) sans être un Californien body-buildé, de petites fesses rondes qui apparemment plaisent et bien-sûr mon légendaire gros sexe.

Pourquoi gros sexe ? Car au début je refusais d’y croire mais à force que sur la centaine de partenaire on me dise que j’avais un gros sexe, un beau sexe, un long sexe, un bon sexe, j’ai fini par y croire et l’accepter. Une ex m’a même dit que j’avais un vrai morceau de bœuf en me branlant. Elle s’appelait Gabriella, une mexicaine bien coquine mais j’en parlerais plus tard. Donc oui j’ai un gros sexe, environ 18-19 cm, épais de 5cm, à peu prés 3 doigts de large, et une circonférence (oui j’ai mesuré) de 14 cm. Certainement comparable à une banane, dommage qu’on ne puisse pas poster de photos sur le site. Eh oui si grosse que lorsque j’ai baisé Julie, une petite brune à l’arrière de ma voiture un soir dans une zone industrielle, elle m’a avoué le lendemain être été aux urgences pour se faire recoudre le sexe, car mon sexe l’avait déchiré. Je ne sais pas comment d’ailleurs car je me souviens y avoir été doucement, mais je m’attarderais sur elle plus tard.

Donc durant ces 17 années de sexualité j’ai pu presque tout vivre en termes d’expérience, la plus jeune avec qui j’ai coquiné avait moins de 18 ans, et la plus vieille certainement plus de 55 ans dans un sauna libertin, que je raconterais plus tard. J’ai testé tous les âges, presque toutes les origines ; européennes, arabes, noires, antillaises, asiatiques. Tous les styles ; les belles, les moches, les très moches, les maigres, les grosses, les très grosses, les coincées, les salopes, les poilues, les imberbes, les bourgeoises, les cas sociales, les femmes perdues dans leur vie, celles que j’ai manipulé, car oui j’ai été un connard. Les femmes célibataires, mariées, en couple. Les gays, les bi, les travestis. A trois, à quatre, dans des lieux insolites. Les saunas libertins, un sauna gay. J’ai bien-sûr encore plein de fantasmes, certains inavouables, d’autre complètement tordus.

Alors je ne crois pas rédiger un récit par partenaire, ça ne serait pas ment intéressant car il y a quand même pas mal de redondance dans les rencontres et les situations. J’ignore encore comment je vais vous partager mes expériences. Je vais y réfléchir et j’espère sincèrement que cela vous excitera et vous plaira.

Ce n’est pas un récit érotique pour aujourd’hui, juste des retrouvailles.