Chantal Et Sa Copine, Deux Femmes Mûres.

Mon autre tante.

J’étais dans un état dépressif et avait quitté mon boulot depuis quatre mois.
L’une de mes tantes, qui avait toute ma confiance, m’envoyait des mails de temps à autres pour me remonter le moral. Elle n’était pas non plus dans une super forme.

A chacun de mes messages je finissais par lui dire que le mieux serait que j’ai une maitresse d’une soixantaine d’années pour me redonner goût à la vie!

Je lui tendais une perche mais sans prétendre recevoir rien en retour.

Comme moi elle était malade et ne semblait que s’intéresser peu au sexe.

Un jour elle me demanda si je voulais l’accompagner au golf pour prendre l’air.
Cela ne pouvait que me faire du bien.

Je lui demandai s’il fallait que je m’habille d’une façon particulière mais elle ma dit que ce n’était pas nécessaire.

Le jour J j’arrivai en jeans et baskets sur le terrain de golf pour me détendre un peu.
Ma tante était là et m’attendait depuis quinze minutes.

Une autre de ses amies était présente et très à mon goût.

Je n’y connaissais rien au golf et n’en avait rien à faire.

Nous étions là juste pour faire une balade et non pas pour jouer au golf.

Son amie, Sophie, était une femme d’une soixantaine d’années mais paraissait moins.
Elle portait une jupe écossaise courte, de mini chaussettes, des chaussures de golf et un polo sur lequel elle avait pris soin de mettre un gilet ras du cou très doux en angora rose pâle.


A mon arrivée je les saluai toutes les deux et leur fis la bise.
Chantal, ma tante, était aux anges, et Sophie restait un peu en retrait mais me fit un large sourire. Je sus tout de suite que je lui plaisais.

Nous étions là pour discuter et passer un bon moment et surtout marcher pour nous aérer les idées.

Chantal et Sophie étaient très complices. Ma tante était super contente que je puisse l’accompagner et son amie Sophie semblait aussi très enjouée.

Nous avons parcouru ainsi quelques kilomètres en discutant de choses et d’autres.
Mais au bout d’un moment ma tante commença à parler de sexe et me demanda où j’en étais.
Je lui avouais qu’il y avait un moment que je n’avais pas eu de relations sexuelles mais que j’étais toujours prêt pour une aventure passagère. J’étais quand même un peu troublé par sa question et me sentais mal à l’aise.

J’avais remarqué que Sophie ne portait pas de soutien gorge et ses seins lourds commençaient à pointer sous son pull.

Mon érection ne se fit pas tarder.


Nous étions en automne mais il faisait encore très doux.
Je m’arrêtai et enlevai mon polo pour ne garder que mon gilet.

Me voyant faire Sophie me dit que j’avais raison et en fit de même. Elle enleva son polo et remis son cardigan à même sa peau nue. Elle l’avait fait sans aucune pudeur et j’eu eu le loisir de mâter ses jolis seins.

Ma tante, quant à elle, ne s’était pas changée et avait conservé son pull en cachemire qui laissait entrevoir une jolie poitrine de femme mûre.

Nous avons continué à marcher et parler de sexe. Ma tante me dit qu’elle était très satisfaite de son mari mais Sophie avoua qu’elle était très gourmande et toujours à la recherche de nouvelles conquêtes.

Arrivés dans un coin sombre sous un arbre ma tante nous demanda de nous arrêter un peu.

Elle s’approcha de Sophie et lui roula une pelle tendre et sensuelle. Elles se caressaient toutes les deux et semblaient y prendre un immense plaisir.

Cela me fit bander immédiatement. Ma queue était dure comme du bois.

Je les regardais sans ne rien faire.

Je sortis ma queue et commençai à me masturber. Ces deux femmes, juste en face de moi, m’excitaient au plus haut point. Elles s’embrassaient très tendrement et se caressaient sans aucune pudeur pour leur plus grand plaisir.

Elles avaient toutes les deux déboutonné leur pull et leurs corps se rapprochaient pour ne faire qu’un.

Leurs baisers et leur tendresse m’émouvaient.

Je rentrai mon sexe, les laissant à leur plaisir.

Ma tante avait remonté la jupe de Sophie et maintenant lui léchait la chatte tendrement.
Celle ci gémissait et d’une main ouvrait largement son sexe pour se faire lécher copieusement.
Elle ne tarda pas à se tordre de plaisir et à jouir abondamment sous les coups de langue de ma tante.

De mon côté je continuais à contempler ce spectacle incongru.

Ma tante, Chantal, se releva et me demanda si ce spectacle m’avait plu!
Je ne savais pas comment réagir. J’étais super excité et intimidé à la fois.

Elle s’en rendit compte.

- Tu voulais une femme mûre, tu vas en avoir deux mon neveu!

Je ne savais plus où me mettre.

Elle s’approcha de moi doucement. Son pull était toujours ouvert et laissait entrevoir de magnifiques seins pour une femme de son âge.

Ses mains entourèrent ma taille et elle me donna le plus beau baiser que je n’ai jamais reçu.
Mon érection monta d’un seul coup et je la pelotais du mieux que je pouvais.

Elle me prit la main et fit signe à Sophie de nous suivre dans les fourrés.

A cette heure de la matinée personne ne pouvait nous voir.

Ma tante dégrafa mon pantalon et le baissa jusqu’à mes chevilles.
J’étais devant elle en boxer avec une grosse bosse que je ne pouvais dissimuler.

Elle prit la main de Sophie et lui dit que maintenant c’était à son tour de jouer avec moi.
Sophie, qui n’attendait que cela, commença à me toucher le sexe au travers de mon boxer et à me branler doucement.
Elle se releva un instant pour me rouler une pelle dont je me souviendrais encore dans vingt ans!

Puis ses mains firent glisser mon slip pour dégager ma queue en érection.

J’ai un prépuce très long et Sophie s’appliqua à me décalotter doucement.
Ses mains étaient d’une douceur sans égal.

Elle s’agenouilla et me prit en bouche. Une chose est sûre, elle savait s’y prendre avec un homme! Elle me suçait divinement bien.
Sa langue allait et venait sur ma queue et sa main me masturbait avec délicatesse.
Chantal, ma tante, avait enlevé sa jupe et ne portait plus que son pull. Sophie en fit de même.

Chantal s’approcha de moi et commença à me sucer. Elle aimait ça et j’ai vraiment cru qu’elle voulait me faire jouir tout de suite.

Mais je me trompais.
Chantal releva la jupe de son amie et lui ôta sa culotte. Elle se mit à lui lécher l’anus et à la faire mouiller. Sophie n’en pouvait plus et se tordait de plaisir. Elles se donnaient mutuellement du plaisir et Sophie avait pris place entre les jambes de ma tante pour la faire mouiller le plus possible. Elle lui léchait à présent la rosette et y insérait ses doigts humides.

Au bout d’un moment de vive préparation ma tante se mit à quatre pattes et me présenta son anus bien entrouvert.
- Vas-y chéri, prends moi fort s’il te plait. J’ai trop envie d’une bonne queue.
Sophie me léchait les boules et dirigeait mon sexe vers l’anus distendu de ma tante.

Je posai mon gland contre sa rosette et poussai lentement. La porte s’ouvrit sans difficulté et Chantal poussait pour bien se faire enculer.
Je la tenais maintenant par les hanches et poussai d’un seul coup. Ma queue venait de passer son sphincter et j’étais au plus profond de son fondement.

J’aurai cru un instant qu’elle gémisse mais visiblement elle avait l’habitude de se faire prendre ainsi.

Mon sexe était dans son étroit fourreau et y était bien. Je la besognais de plus en plus rapidement et son corps n’était pas étranger à mes assaults.
Elle jouit en même temps que moi. Je lui déversai une énorme quantité de foutre dans ses entrailles pendant que son corps n’arrêtait pas d’avoir des spasmes de plaisir.
Je me retirai doucement. Chantal se retourna et prit ma bite dans sa bouche pour finir de lécher mon sperme.

Si j’avais su qu’elle aimait autant se faire enculer il y a longtemps que je l’aurai fait!

J’étais à moitié débandé et ma tante gisait sur le sol avec le sourire d’une femme satisfaite par l’amour que j’avais pu lui donner.

Sophie qui n’avait rien perdu de notre accouplement se branlait la chatte et l’anus en attendant son tour.

Je m’allongeai un instant sur le sol pour me reposer. J’avais la bite à l’air.
J’étais sur le dos. Sophie vint se poser sur moi. Ses seins étaient plus gros que ceux de ma tante. Elle devait avoir 60 ans mais en paraissait bien moins. Elle colla ses lèvres tout contre les miennes et me roula une pelle.
De mon côté je la caressai, aussi bien ses fesses que ses seins.

J’adorais son gilet rose. L’angora m’a toujours excité et Sophie l’avait bien compris.

Nous sommes restés ainsi un long moment. A nous regarder dans les yeux et nous caresser.

Au bout d’une dizaine de minutes j’avais repris toute ma vigueur.
Sophie s’en rendit compte immédiatement et se décida à me sucer.
Quand elle s’aperçut que j’étais à nouveau opérationnel elle vint se poster sur moi et empala sa chatte sur mon sexe tendu.

Ses seins étaient durs comme du bois et son corps ressentait le moindre de mes coups de queue.

Elle jouit rapidement tant elle était excitée. Je pensais que s’en était terminé mais elle me demanda de l’enculer.
Je ne me fis pas prier. Je lui ordonnai de se mettre à quatre pattes et de bien cambrer son corps.
L’introduction de mon sexe dans son anus s’effectua sans difficulté et je la limai pendant plusieurs minutes.

Je sentais que j’allais jouir mais je voulais surtout pouvoir le faire dans la bouche de ma tante et de Sophie.
Je me retirai. Chantal et Sophie s’étaient approchées de mon sexe et s’attendaient à une vague de sperme.

Je ne les fis pas attendre et jouis sur leur visage. Mes jets étaient si abondants qu’elles eurent du mal à tout prendre en bouche. Elles en avaient sur le visage, le cou, la bouche et elles aimaient ça.

Nous nous sommes rhabillés en nous promettant de nous revoir très bientôt.

Finalement j’ai revu Chantal et Sophie séparément mais je me suis bien amusé.

Ma tante avait réellement besoin de sexe et son amie aussi.

Pour mon plus grand plaisir.