La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 356)
Suite de l'épisode précédent N°355 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
Dame Vanadis vient de soulever le bout très effilé de ses grandes bottes cavalières à talons hauts qui lui donne une allure très cambrée faisant ressortir sa poitrine saillante, et ses tétons pointés encore plus vers lavant. Elle le dirige vers lentrecuisse du troisième singe dont lattitude est jugée déplorable et elle sen sert pour titiller la petite nouille récalcitrante avant de faire glisser à plusieurs reprises son talon aiguille sur le petit asticot qui peu à peu séveille à de nouveaux sens et prend une forme plus acceptable pour celle qui na toutefois pas accepté lhumiliation ressentie en présence de Monsieur le Marquis dEvans, à cause de lun de ses trois macaques qui a fait preuve dun manque évident dexcitation. Sous lil amusé du Châtelain qui la regarde faire avec délectation, la Domina continue à faire grossir délicatement la verge de son esclave-singe en passant et repassant le bas de sa botte dans tous les sens tout autour du gland et du pénis. Tout dun coup, jugeant quelle a bien assez donné de sa personne et de son pied pour arriver à ses fins, Dame Vanadis, prise dune sérieuse envie de châtier ce sacrilège, change du tout au tout et pose à plat le dessous de la semelle directement sur le phallus gonflé. Elle imprime une pression de plus en plus forte et douloureuse sur le sexe comprimé du mâle qui se mord les lèvres pour ne pas hurler, car il sait bien quil doit endurer en silence la punition imposée à juste titre par celle quil vient de courroucer, ayant la queue ainsi fortement comprimée par un appui maintenu de tout son poids pendant un bon moment. La pression est assez forte pour être très douloureuse et servir de châtiment mais pas assez pour devenir dangereuse et handicapante à long terme. Le Marquis dEvans profite du fait que Dame Vanadis daigne enfin consentir à mettre un terme aux souffrances de son soumis, en retirant son pied du perchoir phallique sur lequel elle reposait, pour pouvoir prendre la parole.
- Ma très chère amie, cela me fait plaisir de vous voir mâter les queues rebelles avec un savoir-faire digne de votre position de Dominante et un petit instrument que vous avez toujours sous le coude, ou sous le pied je devrais dire. Mes esclaves-mâles du cheptel sont la plupart du temps encagés, je nai donc pas les mêmes désagréments, ni la même approche, étant le plus souvent dans une volonté affirmée de déni de jouissance et une chasteté imposée le temps quil me plait, mais veillant quand même à les laisser se vider les couilles pour des raisons hygiéniques et de bonne santé, lorsquils ont été particulièrement obéissants et reconnaissants.
- Très Cher Marquis, mes trois esclaves sont à mes yeux, mes jouets de plaisirs, mes « sex-toys » librement asservis, des godes humains animalisés suivant mon bon plaisir qui est en ce moment de les transformer en singe avec cette longue queue qui leur force lanus. Il est clair que je tiens à ce quils se sentent excités par ma présence et par leur désirs charnels et intellectuels de mappartenir, que jentends quils soient sans cesse renouvelés sils veulent rester tous les trois à mes pieds. Ce petit appendice qui na pas su remplir son office quand il le fallait, na eu par la suite que ce quil mérite et je suis persuadée que ce macaque me saura gré de ce quil a dû endurer car il est à ma botte comme les deux autres, au sens propre comme au sens figuré.
- Si je puis me permettre une question qui me préoccupe depuis le début de notre conversation, chère amie, quavez-vous fait de lesclave de Mon cheptel que vous avez dû tirer au sort comme cela a été le cas pour tous mes autres Invités. Vous a-t-il déplu et importuné dune manière quelconque que vous en soyez arrivé à vous en débarrasser puisque je ne le vois pas à vos côtés ? Si tel est le cas, je peux sans tarder vous le remplacer. Il sera bien évidemment très sévèrement châtié comme il se doit, car pas plus que vous, je napprécie que lon puisse me faire offense en public et encore moins un jour anniversaire devant mes Invités, et de plus est, devant une Grande Domina telle que Vous.
- Non pas du tout, Monsieur le Marquis, nayez aucune crainte de ce côté. Je nai nullement à me plaindre de celui qui a été mis à ma disposition car il ma obéi en tous points comme il se devait de le faire. Votre dressage est toujours dune parfaite efficacité, vous le savez bien mieux que moi. Jai juste voulu linitier à mes pratiques de « monkey-play » ce qui nest naturellement pas évident pour un chien-mâle de Votre cheptel qui est habitué à se déplacer à quatre pattes entre Ces murs légendaires. Juste avant que vous narriviez, je venais de lenvoyer faire trois fois le tour de cette pièce en passant bien dans chaque angle et en se déplaçant courbé comme un singe, en appui seulement sur ses pieds et ses mains. Le premier tour fut assez hasardeux, mais je suis restée compréhensive, sachant que mes propres primates ont mis un certain temps à sadapter à mes nouvelles exigences, espérant cependant une amélioration avec un peu dentrainement, ce qui a été le cas, regardez-le arriver qui a dû terminer lexercice sportif que javais exigé de lui.
Le chien-esclave 26 sapproche effectivement, se déplaçant encore péniblement et gardant la tête entre les bras pour garder léquilibre, ce qui ne lui permet pas vraiment de voir ce qui se passe devant, ne relevant le front et les yeux quépisodiquement pour vérifier quil ne risque pas de heurter quelquun ou quelque chose. Il sapproche de la Domina à laquelle il a été assigné pour la soirée, ne sachant pas si elle va avoir apprécié suffisamment ses efforts et ses maigres progrès. Sans lever la tête respectueusement, ni les yeux quil garde baissés et presque clos en attendant de savoir ce que Dame Vanadis va dorénavant lui imposer, lesclave 26 sassoit sur le cul à même le sol comme elle le lui avait appris un peu plus tôt, se positionnant juste à côté du trio de primates et relevant sa longue queue de deux mètres dont son anus a été lui aussi garni .
- Jespère, très cher Marquis, que vous ne men voudrez pas de vous lavoir un peu transformé pour la soirée dans ses habitudes comportementales et ornementales.
- Très Chère, Je ne suis nullement inquiet. Mon esclave est à votre entière disposition pour toute la nuitée. Il est là pour vous servir et pour votre bon plaisir avant tout. Vous pouvez disposer de lui à votre convenance, léquiper comme il vous plaira, lui faire subir ce qui vous contentera avant tout, et le punir doublement sil le mérite.
Lesclave 26 entendant la voix du Maître Vénéré qui converse avec Dame Vanadis se sent presque honteux dêtre ainsi assis sur le cul avec une longue queue sortant de ses fesses, et ce devant Le Maître à qui il appartient devant qui il se présente généralement prosterné, tête au sol, restant sans bougé avant davoir été autorisé à changer de position suivant les exigences du Maître. Il aimerait tant pouvoir venir déposer un baiser sur les pieds de Monsieur le Marquis dEvans en ce jour anniversaire, mais il sent bien que ce serait du plus mauvais effet et que cela lui vaudrait de sérieuses réprimandes tant du Noble que de la Domina qui avait exigé quune fois ses trois tours de pistes effectués, il revienne sinstaller juste à côté de ses trois esclaves-primates personnels. Le Marquis dEvans, qui se rend compte quIL a déjà passé beaucoup de temps avec Dame Vanadis quIL navait pas eu loccasion de croiser depuis de nombreux mois, alors même quIL na encore pas fini de faire le tour de tous les Invités de la soirée, sapprête à partir.
- Très chère amie que japprécie. Cela ma fait grand plaisir de pouvoir discuter avec vous ce soir. Il y avait longtemps que vous nétiez pas venue au Château, maintenant que vous avez quitté la région. Jai beaucoup apprécié votre petit trio de singes qui sont effectivement comme vous le disiez « sages ou pas très sages », cela me change un peu de ma meute D/s plus traditionnelle, mais je vais quand même garder mes vieilles habitudes auxquelles je tiens. Javoue sans difficulté que jai un faible pour Mon cheptel de fidèles chiens et de belles chiennes en chaleur, qui me sont tous si dévoués. Sur ce, je me dois de vous laisser, il me reste encore tant dInvités à saluer et la nuit savance. Si je navais pas craint de vous vexer et que vous ny voyez pas que la point dhumour que je voudrais mettre dans ce jeu de mots, jaurais bien dit je vous laisse à vos petites « singeries », quelles puissent vous apporter tout le plaisir et lexcitation que vous recherchez dans ces jeux D/s qui doivent bien plaire à Vos trois soumis, car si je ne m, même sils portent ce soir un masque poilus, jai bien cru reconnaître le trio qui était déjà à vos pieds les années précédentes, signe de la dévotion et de ladoration quils vous portent renes au fil du temps et du fait quà vos bottes, qui sont au demeurant magnifiques je le reconnais, ces trois-là se sentent à leur place desclaves-soumis, furent-ils le temps dun jeu D/s, chien, singe, ou simplement mâle dominé, très heureux de lêtre et de vous satisfaire.
Le Marquis, avec une grande classe, prend galamment la main de Dame Vanadis sur laquelle IL dépose un baiser assorti dun dernier sourire et dun charmant « au plaisir ». En partant, IL passe juste à côté de lesclave 26 et pose sa main sur le dessus de la tête du nouveau petit singe de la soirée et ajoute dun ton enjoué, qui nest cependant pas dépourvue dune bonne pointe dhumour, habituel chez le Noble.
- Quelle surprise de voir Mon gentil petit cerbère, muni maintenant dune longue queue de primate très primal. Javais déjà un chenil bien garni, des écuries D/s avec des box adaptés pour tous mes pony-humains. Je vais réfléchir sil ne me faut pas envisager dadjoindre maintenant un zoo dans lenceinte de la Propriété. Un singe qui sait parler cela sera étonnant à entendre, cela me rappelle dailleurs, un excellent film de fiction lequel jai toujours eu un véritable plaisir à regarder, je veux parler bien entendu de La Planète des singes avec le grand acteur Charlton Heston
Tu viendras me raconter ta soirée en détail le jour où je te ferai appeler à Mes pieds.
Le Marquis se penche alors et murmure beaucoup plus bas à loreille de son esclave.
- A Mes pieds ! Certes, mais prosterné devant Le Maître, pas juste assis sur le cul
. Seulement pour ce soir, tu te dois dêtre obéissant à la grande Domina à qui tu es confié et daccepter tout ce qui sera exigé de toi. Cest un ordre. Jai dit.
Le Noble séloigne, tandis que la Domina qui vient de défaire les contraintes des masques posées sur chaque faux singe, leur restituant toutes leurs capacités sensorielles, interpelle :
- Les primates ! Suivez-moi, je crois que jai assez joué au dompteur de cirque et que jai envie de nombreux petits plaisirs féminins beaucoup plus ré-jouissant maintenant. Je ne sais quelle queue va me satisfaire la première, cela dépendra de la manière dont je verrais votre désir sexprimer dans votre bas-ventre qui devrait pouvoir arborer de bons phallus bien dressés. Quand à toi, le sale macaque qui a osé me faire affront, tu ne viendras pas te glisser dans ma caverne avant longtemps et surtout pas tant que mon courroux ne sera pas passée. Pour ce soir, cest ta bouche qui va servir dorifice et de simple trou à remplir. Je vais enlever la cage de chasteté de cet esclave qui à mon avis nespère pas mieux, te la mettre sur ta nouille rebelle, et cest toi qui lui donnera le plaisir qui lui est très souvent refusé, il pourra se vider amplement les couilles dans ton gosier, car je tiens à le récompenser pour ses trois tours de pistes quil na pas si mal effectué pour un singe débutant. Jai eu beaucoup plus de mal avec vous trois au départ, pour vous apprendre à vous déplacer comme mes nouveaux primates.
Le quatuor de singes se penche vers lavant pour suivre Dame Vanadis qui sinstalle dans un canapé laissant venir à elle, ses deux singes non punis qui commencent à pouvoir la couvrir de baisers et lécher la cyprine onctueuse qui sest répandue dans toute son intimité. Elle a juste veillé précédemment à affubler son singe puni de la cage de chasteté, nhésitant pas à appuyer fortement sur le sexe pour le faire se rétracter encore plus sous la douleur, afin de le réduire au maximum pour quil puisse se loger dans la toute petite cage pour pénis. Elle le tire ensuite layant attrapé juste par la médaille qui pend au piercing génital, ce qui procure une nouvelle forte douleur à lesclave malmené qui sait bien quil nest pas au bout de ses peines. La Domina installe sans ménagement pour ajouter encore plus à son humiliation son condamné de la soirée entre les cuisses de lesclave 26 qui a quant à lui écarté les jambes sans se le faire dire deux fois, laissant sa queue qui nétant plus contrainte par la cage, se redresser assez rapidement tant lexcitation de savoir quil allait se faire sucer avait été fulgurante, surtout après avoir eu lhonneur de voir Le Maître, Monsieur le Marquis dEvans en personne lui adresser quelques mots de félicitations et dencouragement par-delà la pointe dhumour dont il est friand, lui laissant aussi entrevoir un temps si apprécié quil pourrait passer prochainement réellement aux pieds du Maître et pas seulement en chenil à son service. Les deux singes qui malgré leur accoutrement nont à cet instant dans leur comportement plus rien de primates mais bien de mâles virils, fortement excités à lidée de pouvoir donner du plaisir à la Dame quils servent, ne cessent de se répandre en attouchements et caresses, usant de leurs langues et de leurs mains sans retenue, et ce tant que la Domina naura pas décidé de laisser une queue bien encapuchonnée dans un préservatif être autorisée à lui faire vivre une pénétration plus phallique.
Monsieur le Marquis dEvans na pas mis plus de quelques secondes avant de croiser cet autre Marquis en titre avec lequel IL avait déjà échangé au moment de lapéritif à la suite de lincident causé, on sen souvient, par une esclave-soubrette maladroite
(A suivre
.)
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