La Belle-Mere De La Copine Du Moment: La Visite Surprise De Marion.
Résumé 1 : Alors que je rentre à mon domicile, je rencontre Maryse, la belle-mère de ma copine, qui demande à me parler. Au cours de notre discussion, nous glissons, Maryse et moi, dans une démence sexuelle.
Je mets quelques fractions de secondes à réaliser la situation. Maryse, penchée en train de lisser sa jupe le plus naturellement du monde, sest tout à coup relevée prise de panique.
Dinstinct, je la saisis par le bras et la pousse de force dans ma chambre.
Jai juste le temps de fermer la porte, que déjà Marion entre dans le salon. Ses yeux noisette se posent sur les miens avec une lueur amusée.
- Quest-ce que tu as, tu en fais une tête, tu nes pas content de me voir ?
Jai du mal à sortir un mot, tant ma gorge est sèche. Pourtant, gigotant sur ses mules avec son beau visage, ses cheveux ondulés reposant sur un pull de couleur rouge vif, bien rempli, ses jambes un peu fortes, gainées de bas opaques et brillants, sous une jupe courte plissée, Marion est comme toujours radieuse.
Cest alors quelle savance vers moi de quelques pas, se penche en avant, fait disparaître ses mains sous sa mini, se contorsionne légèrement pour faire glisser une petite culotte de dentelle rouge le long de ses jambes gainées de noir.
Marion retrousse sa jupette au-dessus de la taille, faisant apparaître un collant qui a la particularité davoir une large ouverture à lentrejambe, laissant voir un ventre délicieusement bombé et une masse dense et sombre de boucles noires, jamais arrangée, ni taillée, ni réduite à lépilation. Cette tenue, merveilleusement indécente et provocatrice, la rend très désirable. Le souffle me manque soudain devant ce spectacle.
Marion me guette du coin de lil et lance dune voix sensuelle :
- Jétais sûre que cela allait te plaire. Touche-la.
Elle se presse contre moi et me regarde presque implorante. Elle prend ma main, la pose au-dessus de son genou.
- Caresse-moi doucement.
Le contact du nylon mélectrise. Sans plus attendre, mes doigts glissent jusquau pubis. Elle a comme un sursaut, mais fermant légèrement les yeux, Marion tend son ventre de quelques millimètres pour le rapprocher un peu plus de mes doigts.
Elle est venue chercher lamour, la coquine.
Pas un souffle, pas un mot. Je la caresse doucement, laissant le temps à Marion de shabi à ce contact.
La chipie ouvre légèrement les jambes, transpirante de désir. Elle passe son pull par-dessus sa tête, dégrafe son soutien-gorge, libérant deux seins lourds aux pointes dressées.
Un instant, ce paradoxe mamuse : pouvoir flirter avec Marion en présence de sa belle-mère.
Sa douce belle-fille qui soffre, impudique et provocante. Son corps se presse contre le mien. Tous mes sens sont en alerte, jai chaud au bas-ventre.
Ma caresse se fait plus pressante. Ma belle oscille, frottant à présent son sexe contre ma main. Ma paume enferme son pubis. Marion hoquette, se cambre, ouvre démesurément la bouche à la recherche du souffle qui lui manque, laissant le plaisir lenvahir peu à peu.
Mes doigts atteignent ses grandes lèvres brûlantes et gonflées par lattente de caresses plus précises. Mes doigts vont et viennent sur elles, puis le long de la fente qui les sépare et que je sens souvrir. Marion cesse de bouger, dans lattente dautres sensations. Sa poitrine se soulève à un rythme de plus en plus rapide.
Un peu gêné par cette situation, mon esprit vagabonde fugacement, une dernière barrière se dresse, faut-il arrêter là ? Marion a dû sentir mon hésitation, car elle appuie encore un peu plus son sexe contre moi et ses mains caressent mes reins, minvitant à continuer. De ses lèvres séchappe un faible murmure inintelligible que je mempresse dinterpréter comme un encouragement.
Timidement elle caresse de ses doigts mon sexe à travers mon pantalon, jugeant mon état. Sous son massage, une décharge électrique me secoue.
Se sentant peut-être redevable du plaisir que je lui offre, elle déboutonne ma braguette et libère mon sexe de son carcan de toile. Lorsque ses doigts leffleurent, une véritable décharge électrique me parcourt. Elle part à la découverte de mon sexe, encore tout endolori de sa précédente cavalcade.
Ses doigts senroulent autour de ma verge, la serrent avec fermeté. Je me cambre violemment ne pouvant retenir un grognement de bien-être. Marion éprouve elle-même du plaisir à mon plaisir, son clitoris se dresse sous mes doigts qui ont repris leur caresse sur son sexe brûlant. Enchantée de ma dureté, elle monte et descend sa main fermée autour de ma bite, en une masturbation douce et caressante.
Elle lâche un instant mon sexe agité de palpitations, pour défaire complètement mon pantalon quelle glisse à mes pieds. Elle reprend ma verge dans sa main pendant que sa jumelle part à la découverte de mes testicules. Ma hampe palpite entre ses doigts, ce qui lui indique au fur et à mesure, le plaisir quelle me fait ressentir. Elle module ses caresses pour me faire vibrer et soupirer le plus possible. Je ne lui cache pas mon plaisir et ne réfrène pas les mouvements de mon sexe et de mon bas-ventre.
Elle halète en rythme, ses jambes sont largement écartées pour mieux soffrir. Profitant de ses yeux clos, mon regard se pose sur la porte de la chambre qui est à présent entrouverte.
Cest linstant que choisit Maryse pour sortir sa tête. Elle me lance un regard affolé, mélange de panique et de déception. Il faut que je trouve une solution pour éloigner Marion, afin de permettre à Maryse de senfuir.
Je lentraîne alors dans la salle de bain. Elle ne proteste pas. Cest presque avec rage que je mincruste contre elle. Son bassin alors commence à sanimer.
- Tu vas bien me baiser ! souffle-t-elle
Cest plus un ordre quune anticipation. Doucement, je la saisis sous les bras et la dépose sur le lavabo.
Elle est comme en extase, les jambes écartelées, la fenêtre de son collant ouverte sur son ventre offert, appelant ma pénétration.
Lun comme lautre nous retenons notre respiration jusquau moment où toute la longueur de mon sexe la pénètre. Nous expirons alors tous les deux avec un gémissement de plaisir et de contentement.
Les jambes repliées, accrochée des deux mains au rebord du lavabo, Marion se met à gémir en rythme, suivant mes assauts qui se font de plus en plus rapides. Je plane, grisé par ce cataplasme de peau de vingt ans. Me sentant partir, je crispe mes deux mains sur sa poitrine nue et dure comme du marbre. Marion pousse un cri aigu et se tord sous moi.
Je la laisse monter vers un orgasme qui se devine grâce au son plus rauque de son souffle, à la crispation de ses mains, au va-et-vient de son ventre, aux palpitations de son vagin. Je continue mon mouvement de va-et-vient sur le même rythme, la regardant prendre son pied, comme sa belle-mère quelques minutes auparavant. Les yeux écarquillés, elle crie son plaisir alors que lorgasme la submerge. Sa jouissance déclenche la mienne, je plante ma bite au plus profond de son ventre et de puissants jets de sperme, brûlants et interminables inondent son ventre.
Nous restons immobiles quelques instants, moi profitant de mon plaisir immense, de ses yeux pleins de bonheur, de son visage épanoui par lorgasme, elle assimilant peu à peu tout le bonheur quelle vient déprouver.
Marion laisse retomber ses jambes. Semblant revenir à elle, elle me sourit.
- Hummmm ce que cétait bon ! sécrit-elle.
Elle menlace dans ses bras, colle ses lèvres aux miennes et me roule le patin le plus tendre et le plus passionné qui soit, si doux et si bon que je sens mon sexe se raidir à nouveau.
Saisissant mon membre à demi dur, elle le caresse doucement, comme pour le remercier de son orgasme.
- Mince je vais être en retard ! sécrit-elle, sengageant dans le salon.
Elle se rhabille.
- Tu pars ? lui dis-je.
- Oui, je dois préparer ma valise. Jai promis à mon père, de partir en week-end avec lui.
Après son départ je massieds sur le divan, la tête lourde, en proie à de fortes sensations
(A SUIVRE
)
Comments:
No comments!
Please sign up or log in to post a comment!