La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 357)

Suite de l'épisode N°348 - Mary au château -

Walter resté à l’écart, n'était pas pour autant indifférent à la scène. Il s’était simplement placé derrière la soumise pour mieux apprécier le spectacle que lui offrait sa croupe, ses fesses magnifiquement fermes et sa chatte soigneusement épilée et exhibée, légèrement brillante par la cyprine qui commençait à couler. Marie s'aperçut de l'excitation non feinte de son ami, et en voyant la bosse qui se formait dans son pantalon, sur un air coquin elle s'adressa à lui :

- Walter, je te vois hypnotiser devant cette petite femelle en chaleur. Sa superbe croupe ne te laisse pas indifférent, n'est-ce pas ?

Le Majordome répondit à sa complice :

- J'ai déjà eu le loisir de goûter à son petit cul accueillant en la sodomisant sauvagement dans la forêt avant d'arriver au Château. Mais comment peut-on ne pas rester insensible face à cette ronde et ferme croupe de chienne qui ne demande qu'à se faire remplir ses orifices… Une chatte pareillement exhibée ça ne se refuse pas…

- Et bien qu'attends-tu pour te soulager, pendant que cette petite chienne continue son travail. Et dépêchons-nous car il faut que nous la préparions pour la présenter convenablement et selon les consignes, pour le dîner à Monsieur Le Marquis et le mari de cette chienne… J'ai le temps, le dîner est prêt. Au moment où je vous ai entendus, du moins cette chienne qui n'a pas su se taire, j'allais au sous-sol punir un soumis qui ne m'a pas satisfait. (En caressant Mary). Mais cette nouvelle femelle qui montre toute sa dévotion, mérite plus mon attention que la petite larve qui m'attend dans son cachot. Il aura ainsi le temps de méditer sur ses fautes.

Walter, comme à un à qui ses parents ont donné une autorisation, ne se le fait pas dire deux fois. Il défit la ceinture de son pantalon, puis baissa celui-ci ainsi que son boxer d'où il sortit son membre de belle taille et déjà bien dur et tendu.

Il se plaça derrière Mary, et sans préambule, il la pénétra aisément dans la grotte accueillante, humide et chaude de la belle. Surprise, elle arrêta net sa besogne, mais vite elle reprit par un claquement de cravache sur l'une des fesses de la chienne, en lui disant sur un ton sec et directif. :

- Je ne t'ai pas ordonné de cesser....continue ton oeuvre avec la même ardeur si tu ne veux pas sentir ton derrière rougir trop vite. Il en aura l'occasion après puisque Walter a l'intention de te donner une petite punition à tes cris incontrôlés

Tout en pilonnant à cadence rapide la belle Mary, qui s'appliqua tant bien que mal à lécher l'une et l'autre botte de la cuisinière, ponctués par des gémissements de plaisirs, le Majordome répondit à son amie avec qui il aime tant partager ses idées perverses :

- Oui, Marie, j'ai l'intention de faire comprendre deux choses à cette femelle en chaleur, cela passera par deux punitions. La première, qu'elle va vite connaître pour n'avoir pas su maîtriser ses cris. Et puisque tu es là, ma chère amie, ton aide me facilitera la tâche. Quant à la deuxième, elle sera pour plus tard dans la salle de soin, pour lui apprendre la politesse et à dire "bonsoir Monsieur Walter" lors des présentations à Beaujeu.

Même concentrée sur son devoir, malgré sa langue qui commençait à être endolorie à force de lécher, Mary ne perdit pas une miette des propos de Walter. Ah enfin ! Elle savait la raison de son insatisfaction qu'il faisait part à Monsieur le Marquis d'Evans, où il avait fait planer le mystère quand le Noble avait dit à son Majordome (et qui était comme Marie, son bras droit pour l'aider à veiller sur tout le cheptel d'esclaves consentants et vivants sous ce toit) qu'il avait carte blanche. En se ré mémorisant le moment où elle arriva avec Le Maître Vénéré devant la Rolls Royce, elle reconnaît d'avoir manqué de politesse, en ne disant pas bonsoir au Majordome, comme si elle entrait dans un magasin.
Et elle pense, à ce moment, à ses parents qui la réprimandait quand elle n'était encore qu'une , pour son manque d'éducation. Mais, d'un autre côté, connaissant son côté pervers, Mary soupçonna le Majordome d'avoir choisi cette raison histoire de la tourmenter. Même si elle avait adressé un "Bonsoir", elle est certaine qu'il aurait trouvé un autre argument comme d'avoir parlé sans autorisation par exemple. Bref, quelque soit la raison, elle sait qu'une punition n'est pas un plaisir, et qu'elle est un peu inquiète. Elle attend les moments où Walter décidera d'exécuter les siennes. Elles a conscience, même si elles sont plus ou moins justifiées, qu'elles peuvent être nécessaires pour lui permettre de ne pas renouveler ses erreurs et l'aider à avancer et à progresser dans sa soumission qu'elle a librement choisi et ainsi servir humblement Le Maître, Le Marquis d'Evans qui a accepté de la prendre sous son joug.

Pour l'instant, la belle brune soumise se concentre sur le plaisir qui va crescendo, en se faisant baiser de manière bestiale par Walter. S'il continuait ainsi encore longtemps, elle n'allait pas tarder à jouir. Elle faisait tout pour freiner cette pulsion, d'autant plus qu'elle n'en avait pas eu l'autorisation. Elle sentait le membre du Majordome grossir et durcir dans sa chatte mouillée. S'il continuait ainsi, c'est lui qui n'allait pas tarder à jouir en elle. Mais il finit par se retirer en lui disant :

- Ce n'est pas le moment que tu jouisses, chienne, tu ne le mérites pas encore. Mais je vais toutefois t'offrir ma semence que tu porteras sur ton dos et que tu transporteras sans en faire tomber la moindre goutte jusqu'à la salle de soins. Je ne pense pas que Monsieur Le Marquis serait ravi que tu joues au Petit Poucet en laissant trainer des gouttes de sperme et qui salirait les luxueux et épais tapis et moquettes que tu vas fouler sur ton passage, à quatre pattes.

Tout en parlant, Walter se masturba et se vida assez rapidement en de longs râles de mâle en rut jouisant sur la soumise qui frissonna de plaisirs quand elle senti le sperme tiède et visqueux couler sur son dos et s'ajouter aux salissures de chocolat et de cire.
Mary veilla à bien rester le dos cambré pour ne pas laisser le liquide s'écouler pour obéir au mieux aux ordres de Monsieur Walter. Le Majordome prit la laisse des mains de Marie la Cuisinière, et se mettant face à la belle brune, tira sur celle-ci afin que la soumise s'agenouille et lui dit :

- Maintenant, nettoie ma queue correctement femelle.

Mary s'exécuta immédiatement. Elle essaya de ne pas trop bouger pour ne pas faire tomber ne serait-ce une goutte de sperme. Heureusement, il commençait à sécher et ne le sentait couler que sur ses reins. Elle lécha le membre encore gonflé et mouillé de ses sécrétions sucrées et celles plus âcres de Walter. Elle se sentait tellement chienne, tellement à sa place d'être humiliée ainsi. Puis, Walter se retira promptement en laissant la soumise sur sa faim et qui resta en position d'attente, à genoux et tête baissée

- Stop, suffit, nous avons encore du pain sur la planche petite chienne en chaleur, s’exclama le Majordome.

En se rhabillant, il ajouta en s'adressant à l'esclave :

- Voici ta première punition pour avoir crié sans raison valable. (Se tournant vers Marie la cuisinière avec un petit sourire complice) Et toi, ma chère, tu vas m'aider puisque tu veux m'assister pour nettoyer et préparer cette petite cochonne comme cela a été convenu avec Monsieur Le Marquis.

Ensuite, il lui demanda sa cravache avant de s'adresser à nouveau à Mary :

- Ouvre grand tes ouïes chienne-soumise. Nous allons nous rendre tous les trois dans la salle de soins qui se trouve au premier étage, à l'opposé de la petite salle-à-manger où t'attendent Le Maître, Monsieur le Marquis mais aussi ton mari. Tu suivras Marie qui te guidera en laisse, à son rythme et bien sûr à quatre pattes, cela va de soi, ce qui sera ton mode de déplacement principal et naturel dans ta condition d'esclave pendant tes séjours, ici, dans ce château ancestral, et tant que tu n'as pas reçu d'ordres contraires.
Pendant ce temps, je m'occuperai de faire rougir ton joli fessier par quelques coups de cravache. Ce n'est toutefois qu'un euphémisme, car le nombre reste indéterminé et sera en fonction de la cadence que Madame Marie imposera, mais aussi à celle que tu avanceras. Pendant tout le déplacement, je compterai les coups moi-même car je ne veux pas entendre un seul cri, un seule gémissement sortir de ta bouche. Pour t'aider, tu vas serrer entre tes dents la cravache de Marie. A chaque fois que tu la feras tombée, je doublerai le nombre de coup que tu as reçus avant, une fois que nous arriverons devant la salle de soins. A l'issue de cette punition, pas besoin de te préciser qu'il faudra que tu me remercie de t'apprendre à te comporter correctement...As-tu bien compris, petite chienne ?
Et Mary, sans se poser de question, mais sentant son bas-ventre s'humidifier, répondit avec humilité :
- Oui, Monsieur Walter.

(A suivre...)

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