Besoins D'Une Cougar
Jai la bouche amère en me réveillant. Jai fais un rêve qui me laisse mouillée. Jétais dans les mains dun homme qui me baisait. Jimaginais finir de jouir. Hélas, javais le sexe isolé sinon ma main dessus. Jai trainé cette sensation toute la journée. Jen envie de me faire mettre. Jai envie dune queue. Depuis quil ma quitté pour une autre, pas plus belle ni sexy que moi, je reste dans mon isolement. En plus les s ont quittés le nid familial.
Je décide daller faire un tour au sexe shop du coin. Tant pis pour le quen-dira-t-on.
Vêtue comme un fantôme avec un vieil imper gris déformé, je passe pour ce que je ne suis pas, une fille des rues.
Je ne sais même pas ce que je viens chercher. Alors je farfouille, je passe dun rayon à lautre. Jhésite à acheter un godemiché. Je ne me vois pas me baiser seule avec ce genre doutil. Cest en sortant du magasin que je butte sur un homme assez jeune, pour moi en tout cas. Un éblouissement me saisi. Il est beau ce type, il doit être bien monté, il doit bien baiser !!!!
Il entre dans le magasin, je ly suis. Il cherche parmi les revues pornos. Je le regarde quand il commence à bander, oh, à peine, mais moi je sais quil ne lui en faut pas beaucoup pour bander comme un âne. Et puis jai envie de le voir. Tant pis sil me rejette, je passe derrière lui, je tends la main et hop sur sa bite. Je me trompais, il ne bandait pas. Maintenant je le sens commencer à grossir. Je masse la queue dans son pantalon.
Il se retourne, je ne le lâche pas. Il comprend mon besoin ou le sien venu grâce à moi. Sans se préoccuper du lieu, il membrasse. Ma langue et la sienne jouent un court instant. Je prends sa taille, je le guide vers la sortie.
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Nous sommes chez moi. Il y fait chaud, bonne excuse pour me mettre à laise. Mon soutien gorge en dentelle me sert au moins à me montrer. Il me prend dans ses bras. Je suis consciente que sil membrasse ce nest que pour me baiser comme il veut, quil pourra me faire ce quil désire.
Jai la main pleine de sa bite. Je le masturbe à peine. Le gland est chaud, très chaud. Jai envie de le lécher, le sucer un peu le faire jouir dans la bouche pour avoir en moi, encore au moins une fois le goût de sperme.
Il passe ses mains sur les fesses. Pour me coller à lui. Sa queue est contre le ventre. Je la sens bien là. Instinctivement je bouge mon ventre contre lui. Sa pine roule, cest excitant. Je me sens comme la première fois quand mon chéri de lépoque voulait me baiser. Je me refuser à lui par principe. A lépoque les filles refusaient toujours. Je le faisais exprès alors quau fond de moi je le voulais. Ses mains pressent mes fesses, quand je me laissais faire.
Il cherche à passer entre les globes. Je crois savoir ce quil veut : me caresser le cul. Si ça peut lui faire plaisir, moi je suis daccord. Il entre vers le cul, jécarte les fesses, il sapproche dangereusement de lendroit. Il me tarde quil y arrive. Il pense peut-être que je suis dévergondée. Il a raison et alors ? Son doigt arrive, il me caresse lanus. Sil veut entrer quil le fasse, je nai rien contre. Il me branle le cul, je sens son autre main sur la chatte. Des doigts fouillent mon intimité. Le salop, il me branle aussi la moule. Il va me faire jouir trop vite.
Je pars debout juste appuyée contre lui. Jai même lâché sa queue. Je la reprends pour le masturber à fond. Je pense quil ne pourra pas me la mettre si je le fais jouir. Jarrête ce que je fais.
Il me pousse lentement vers le divan de la salle à manger. Jy tombe assise, les jambes ouvertes exprès. Il reste debout devant moi. Je vois sa queue raide, ses couilles relevées. Mon Dieu, quil me baise
Jai à nouveau sa bite dans la main. Je la serre fort à lui faire mal. Et là, jai envie de lavoir dans la bouche. Le gland est tendant, je vais le mordre un peu avant
.Avant quil mempêche de le sucer. Il est à genoux en adoration devant mon abricot. Aves ses mains il écarte les cuisses. Je lui montre sans pudeur toute ma chatte. Sa tête sinstalle entre mes cuisses. Je la sens monter, arriver vers lentrejambes. Son souffle chaud me fait vibrer. Sa langue est posée sur le clitoris quil a su trouver de suite. Il me lèche longuement sans se presser. Et moi je lève mes cuisses, je les passe sur ses épaules. Je suis toute à lui ainsi mise. Il me fait jouir trois ou quatre fois de suite. Il y a longtemps que je nai pas joui ainsi.
Il se relève, je vois sa queue droite, avec ses petits mouvements de bas en haut. Elle est belle cette pine quil va me planter dans le ventre. Il sassoit à mes cotés, me caresse les seins, membrasse. Jai encore la bite dans la main, je ne men lasse pas. Je fais de légers va-et-vient. Sa grosseur me convient parfaitement. Il est normal, pas très gros ni trop faible. Je la veux vite.
Il me fait lever pour me mettre sur ses genoux. Sa main revient sur labricot. Il me branle encore. Je le veux lui, pas seulement sa main. Je jouis encore une foie, je ne sais plus combien de fois jai joui. Il me change de place, je suis sur lui, les jambes autour des siennes. Javance contre lui.
Enfin je sens sa queue sur le con. Je me glisse le plus possible vers la queue. Elle est là, contre moi. Je pousse encore un peu et enfin il entre. Jouvre ma chatte ou plutôt elle souvre sans difficulté tellement elle est mouillée. Cest bon je me penche en arrière pour quelle soit plus pleine. Il ne me tient que les fesses et la hanches.
Il nattend pas mon plaisir, il me change de position jai mon cul vers sa bite. Il veut lenculer. Tant mieux, il y a longtemps que je nai pas eu de pine à cet endroit. Pour être plus à laise jarrive à écarter les fesses avec mes mains. Je le sens approcher, je le sens entrer doucement sur la pointe des pieds. Il me fait à peine mal quand il pénètre. Mon anus est totalement dilaté. Il peut me baiser le cul tant quil lui plait. Si je reste immobile au début, je fais aller et venir mon cul vers sa queue. Il passe sa main sur le clitoris. Il me branle alors que normalement cest moi qui le fais quand je suis enculée. Je préfère quand je me le fais, je remplace sa main par la mienne. Le plaisir monte, monte sans cesse. Cest bon de se faire mettre par le petit trou.
Nous jouissons pratiquement ensemble. Il sort de mon cul. Jai encore envie de lui. Je me relève, me mets à genoux devant lui, lui prend la queue dans la bouche. Mes lèvres forment une prison où il débande doucement. Son reste de sperme évade sur la langue. Un drôle de gout, celui de mon cul sans doute. Je déguste tout. Je le veux encore. Cest promis, demain il vient me baiser encore, je lai bien fait jouir.
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