La Cérémonie

-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

Les bras et les jambes écartées, les poignets menottés fermement à la croix de saint André, Daphné était complètement nue. Elle pouvait sentir sur son ventre la rugosité du bois de cet objet, et le métal froid qui enserrait ses poignets délicats.
Elle était troublée, non seulement par la dose massive d’alcool et de drogue qu’elle avait dans son sang, mais également par l’attitude de son Maître. Les questions tournoyaient dans son esprit, elle ne savait plus quoi penser.
En effet celui-ci lui avait paru, depuis un certain temps, disant et froid. Il ne l’avait plus possédée depuis une semaine et elle n’avait dû vider plusieurs hommes à la chaine qu’une seule fois, la laissant toujours dans un état de manque et de frustration. Elle avait besoin d’une queue, grosse, large et épaisse, sentant fortement le mâle et la remplissant entièrement. Mais cette cérémonie, si particulière pour elle, allait enfin arriver, elle serait marquée et son avenir tout tracé aux pieds de son seigneur et maître, c’était imminent et rien ni personne ne pourrait l’empêcher.
La vue de Daphné de dos, offerte et attachée sur la croix, sans possibilité d’échappatoire, avait pour effet, sur Thierry, une certaine fierté. Il l’avait vendue et son futur maître était en chemin. Il reculait cet instant d’abandon de sa chose par pure sadisme. Il avait réussi non seulement à asservir cette jeune fille, mais également à lui faire aimer la douleur dans l’abandon. Elle était devenue l’objet sexuel, l’esclave volontaire d’un obsédé, d’un pervers vicieux et malsain. Pour faciliter la transition de maître à maître, rien de tel qu’une séance de fouet et un marquage au fer rouge, devant témoins évidemment.
Le fouet commença à claquer et Daphné senti une douleur dans son dos, « hannn » fit-elle en grimaçant. « Sens-tu comme cette douleur t’ est bénéfique trainée ? Tu vas servir de défouloir et je te promets que tu y prendras beaucoup de plaisir », puis le fouet s’abattit une seconde fois dans le dos de Daphnée, « Aaah » cria-t-elle.

Elle commençait à se tortiller sur la croix, tentant de trouver désespérément une position adéquate pour ne pas trop souffrir. Comment en était-elle arrivée là se disait-elle… De simple étudiante, certe un peu honteuse de sa virginité, à la mise en esclavage consenti, il y a tout un monde, et quel bonheur d’être soumise, plus de responsabilités, d’organisation, de faux-semblants, de masques à porter, elle s’était trouvée dans cette fille obéissante et docile.
Elle entendait le bruit des bottes de son maître, il s’approchait d’elle, mais un autre coup de fouet retenti, plus fort, plus brutal, elle hurla de douleur alors qu’un autre coup s’abattit encore sur son dos marqué de stries rouges « aaaahhh », j’ai mal !! cria-t-elle. Thierry s’approchait d’elle, elle pouvait sentir son parfum si boisé, si « male »… il lui susurra dans son oreille droite « celui qui te fouette est ton nouveau maître, tu es à lui chienne ». Puis il recula, le fouet claqua de nouveau, elle était choquée, en état second, son cœur se serra dans sa poitrine et elle senti des larmes de chagrin apparaitre dans ses yeux, elle pleurait car son Thierry l’abandonnait, les coups de fouet lui faisaient mal, elle voulait s’échapper, crier son horreur…
Djalil cessa les coups de fouet et s’approcha de sa nouvelle esclave, il savait ce qu’il lui restait à faire pour la soumettre. Il cracha dans sa main et tartina l’anus de la jolie Daphné avec sa salive, « mmm » marmonna t’elle, commençant à mouiller sa chatte. Son sexe, épais et tendu, sorti de sous sa djellaba, et la lui colla directement dans les fesses. Le calibre épais du prince saoudien lui déchira son fondement et la douleur du fouet lui paraissait légère face à cet écartèlement d’anus. Elle ne savait pas à quoi il ressemblait physiquement, mais la douleur parlait pour lui, des mots, probablement en langue arabe lui vinrent aux oreilles, il lui parlait en arabe, elle ne comprenait pas mais cela semblait être des insultes, elle se sentait complètement remplie, comblée et possédée… Elle serrait les dents car il la ramonait de plus en plus rapidement. Elle sentait les mains de cette homme parcourir son corps, ses seins, ses fesses, lui claquant les joues et la tirant par ses longs cheveux blonds… il s’activait comme un taureau et lui caressait également son minou, elle était en extase…
Le mélange de douleur et de plaisir la submergait, cela faisait longtemps qu’elle n’avait pas ressenti une plaisir aussi fort… Elle était à lui donc, ainsi soit-il se disait-elle…
Elle senti son nouveau maitre se vider dans ses fesses et sortir d’elle, non sans avoir fini d’égoutter son membre jusqu’à la dernière goutte dans son fondement. Puis les coups de fouet reprirent de plus belle, « hannnn, ahhhh…. », elle en reçu quinze en tout… quelle douleur dans le dos, mais quel bonheur d’asservissement….
Thierry était en extase. Il avait à ses pieds sa nouvelle esclave, la jeune Gisèle précédemment dressée et formatée, qui ne quittait pas des yeux la scène qui s’offrait devant elle, à savoir une jolie blonde complètement asservie et soumise, sévèrement enculée par un maghrébin devant un public averti.
Elle venait de prendre de la drogue et, à genou aux pieds de son maître, elle n’arrivait pas à enlever son regard de la scène. C’est à peine si elle entendit son maître lui parler, elle reprit immédiatement ses esprits immédiatement quand il la pris par les cheveux, et la forçat à avaler son sexe lourd et veiné, sentant fortement l’urine et la transpiration. « mmmffff » dit-elle… N’oublies pas à qui tu appartiens esclave, alors salive bien et applique toi, grouilles… Lui dit Thierry d’un ton sec.
Daphné était fourbue, la douleur à l’anus la tiraillait et celle, plus diffuse, sur son dos, la maintenait bien éveillée. Un grand silence, pesant et lourd de conséquence se faisait sentir. Quelqu’un lui présenta une fiole qui sentait une sorte d’alcool, on dirait du poppers se disait-elle. Elle sniffa et tout de suite la tête lui tourna…. Elle ne pu s’empêcher d’esquisser un sourire, l’ivresse avait du bon parfois…
Une clarté habilla la salle sombre, le fer était rouge et sortait de la cheminée, porté par une femme, probablement une esclave du seigneur Djallil, une très belle brune, des formes plantureuses, un collier en fer autour du coup, vêtue d’une étoffe en soie légère, transparente, laissant entrevoir des dessous raffinés mais provoquants.
Tendant le fer ardent, rouge et brûlant à son maître, elle se recula docilement, avec déférence et crainte, en baissant les yeux docilement.
Djallil tenait fermement le fer et appliqua, sans ménagement, le fer sur la peau laiteuse de Daphné. Un hurlement de douleur, long et plaintif monta brusquement dans la salle. L’intense brûlure sur la fesse droite de la jeune fille laissait échapper une odeur de cochon grillé. L’arabe retira le fer qui laissait place à une marque de peau brulée. L’esclave maghrébine pris rapidement place derrière Daphné afin de lui appliquer un onguent et apaiser ses souffrances. La pauvre jeune fille s’était évanouie de douleur. Au même moment, Thierry avait joui dans la bouche de la jeune Gisèle et s’était même octroyé le plaisir de lui asséner une bonne gifle alors que celle-ci tardait à avaler sa semence. L’obligeant ainsi à laper le sol, à 4 pattes, et de bien lui rappeler la position humiliante qu’elle tenait.