Elodie
Elodie, mon assistante en ingénierie, rencontre quelques problème technique dans la finition dun château deau. Construit en hauteur, à 200 mètres dun village, tout à bien marché, mise à part des prises de bec avec lentrepreneur qui narrive pas à comprendre quune femme lui donne des ordres et des conseils. Nous allons ensemble, avec mon assistante pour mettre au point la collaboration. Ce nest pas la première fois que nous avons ce genre dhistoires avec lui et cette assistante. Je plaints quand même cette pauvre Eugénie: tout marche bien sauf avec se sagouin.
Je ne sais pour quelle raison, lentrepreneur nest pas là. Nous entrons dans le château deau pour lattendre. Nous allons vérifier des bricoles. Le temps passe: Eugénie me propose de monter dans la cuve par elle-même. Elle passe devant moi pour monter à léchelle. Malgré le peu de lumière je remarque quelle ne porte rien sous elle. Jai une grande vue sur sa fente, vue dautant plus excitante avec les mouvements des jambes. Elle na pas du sapercevoir quelle me montre tout son entrejambe. Je vois donc tout depuis ses pieds jusquà sa taille. Je ne me prive pas de me rincer lil. Arrivée en haut, elle enjambe le muret pour prendre léchelle descendante vers la cuve en elle-même. Cette fois je vois ces cuisses.
Elle saperçoit quelle a les cuisses nues offertes à ma vue. Pour ne pas perdre la face, elle me dit
- Ne vous gênez pas, regardez.
- Pourquoi je me gênerais de voir de belles choses.
- Ne vous moquez pas de moi.
- Je ne le ferai jamais: vous avez de belles jambes, je peux et le voir, le constater et le dire. En plus je peux vous dire que vous navez rien dessous qui cache lautre trésor.
Je ne sais trop pourquoi elle veut redescendre tout en bas. La honte sans doute. Je la suis et je suis étonné de la voir lever sa robe, pour que je vois tout son ventre, défaire les boutons du haut pour me montrer sa poitrine.
- Tenez voyez tout.
- Et si maintenant je vous dit que jai envie de vous ?
- Ca ne métonnerai pas je vois bien que vous bandez.
En plus il sintéresse à la grosseur de mon sexe. Cest vrai je bande, la faute à qui ? Cest vrai que la voir presque nue de donne envie delle.
Elle fait tomber sa robe, la pose délicatement sur le sol, va fermer la prote du bâtiment et revient vers moi. Elle ne doit pas avoir peur de mon envie. A moins que
.. Elodie sapproche de moi comme le ferai un chat avec une souris. Elle semble se tapir, puis me sauter dessus. Je me trouve avec sa bouche sur la mienne:
- Enfin je peux embrasser et mamuser avec mon boss.
- Drôle damusements.
Sa bouche revient sur la mienne, sa langue vient à la rencontre de la mienne. Quel baiser, mes aïeux. Elle frotte son ventre contre ma bite pour me faire du bien: ce nest pas suffisant: elle défait la braguette, cherche un peu pour sortir ma bite. Il me semble quelle est fière delle. Elle a mis la bite dehors simplement pur la voir.
- Tu as un beau morceau, il me plait.
Je suis normal, ni gros ni petit, tout simplement ordinaire.
- Elle me donne envie de lavoir dans mon ventre tu sais là où ça fait du bien au femme.
Pour éviter de ma part toute méprise elle la prend en main, pour la baisser vers son bas ventre. Jaurai tout aussi bien pu la faire tourner pour la lui mettre entre les fesses. Elle défait les boutons de chemises, lenlève, fait tomber à la fois mon pantalon et mon boxer. Nous sommes nus bien serrés. Ma bite sur son ventre est toujours bien coincée entre nos corps.
Je la fait tourner: cette fois ma pine va se loger entre ses fesses: elle la caresse ainsi, pendant que mes deux mains vont sur sa poitrine. Je trouve une paire de mamelles dures à souhait, dure et souple à la fois. Je caresse surtout les tétons. Elle nest plus un chat, elle est devenue une chatte que lon caresse: il me semble quelle miaule. Je passe une main sur son ventre: elle continue son bruit.
Elle jouit, se baisse pour que la bite soit sur et dans son vagin. En somme je la baise sans réellement lavoir voulu. Je laurai fais plus tard. Jentre dans un tube très mouillé dans lequel je glisse avec ma bite. Elle me donne des coups de fesses contre mon ventre: elle se régale avec mon sexe emboité dans le sien. Si elle continu je vais jouir. Elle continue malgré ma prière darrêter, au contraire il me semble quelle aille de plus en plus vite. Je jouis en éjaculant je crois une dosse de sperme plus forte que les autres fois. Je la sens jouir, juste au même moment que moi.
Quand je sors de sa moule, elle se retourne pour me prendre dans la bouche. Elle nettoie consciencieusement toute ma queue.
- Je la veut encore, cette fois tu mencules.
- Je ne peux pas, je débande.
- Ten fais pas pour ça tu bandera dans deux minutes.
Elle me reprend dans la bouche, caresse les couilles et masse mon cul. Je bande à nouveau. Je ne peux plus reculer: Elle se met en levrette sur sa robe, se mouille comme il faut lanus, et
- Viens me la mettre au cul. Jaime me faire mettre par là.
- Tu ne veux pas que je te branle pendant que je te la met.
- Non, je préfère me branler pendant que tu me la mets.
Et en plus elle aime se branler. Je me met derrière elle: elle prend ma bite la pose sur lanus et me dit:
- Encules moi maintenant.
Jentre très facilement dans ce cul qui me semble-t-il souvre seul quand je passe.
- Vas-y, nai pas peur, mets moi là à fond. Encules moi.
- Je tencule, tu aimes bien te faire mettre par le cul, tu la fait souvent ?
- A chaque fois que je baise, souvent, au moins une fois par semaine.
- Avec qui ?
- Curieux, avec ceux que je lève.
Nous bavardons presque comme dans un salon: jai ma queue dans son cul, cest normal. Jignorai que javais une assistante aussi portée sur le sexe. Son cul se ferme quand elle jouit. Je ne peux pas tenir plus de deux de ses orgasmes. Cette fois cest terminé.
Il nous faut rentrer. Dans la voiture, je passe mes mains sur ses cuisses, je monte vers son bouton pour la branler. Elle me laisse la faire jouir encore.
Elle me demande darrêter au bord de la route: elle me sort encore la bite, la prend dans la bouche et me lèche le gland avec ardeur. Ses lèvres lentourent pour servir de con. Je sens le fond de sa gorge quand jéclate dans sa bouche. Elle me garde en elle jusquà mon dernier soubresaut. Quand nous repartons, il reste une petite goutte de ma semence sur le bord de ses lèvres: sa langue a vite fait de la faire disparaitre.
Il nous arrivent souvent de faire des conférences à deux dans mon bureau. Quand nous finissons, elle pèse quelques grammes de plus et moi la même chose, en moins, le poids du sperme que je lui ai donné
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