La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 358)
Suite de l'épisode N°354 - L'histoire de Thaïs et de son Maître Vénéré
Walter, le Majordome du Château dEvans, vient dinterroger Marie la cuisinière, pour connaître la nature des deux fautes et manquements au règlement que la chienne-esclave Thaïs MDE a commises, et ce que Marie qui a réclamé le droit de pouvoir elle-même punir la soumise défaillante, compte bien lui faire subir. Entre les deux, à quatre pattes, la tête baissée et rentrée dans les épaules, la chienne-esclave attend de savoir ce qui va lui arriver. Elle est troublée car Walter a précisé juste avant quil allait ment noter toutes ces infractions dans un carnet de punitions. Thaïs MDE ne savait pas que telle était la pratique au Château, jusque-là lorsquelle faisait une bêtise involontaire, elle était punie par le Maître Vénéré comme elle le méritait et suivant le châtiment que le Maître décidait eu égard à la faute commise, mais jamais IL ne lui avait demandé de faire la liste des punitions quelle avait récoltées. Par contre, il incombait à lesclave fautive de venir humblement et repentante reconnaître sa faute, implorer Le Maître de consentir à la punir et remercier par la suite le Maître de la punition accordée et exécutée, tout cela avant même dimaginer pouvoir implorer et obtenir le Pardon pour ladite erreur. Thaïs MDE avait toujours reconnu la sagesse des sanctions imposées par Monsieur le Marquis dEvans, qui était avant tout là pour servir de prise de conscience de la défaillance et du fait que par là-même le Châtelain en avait été courroucé à juste titre, espérant que la punition serve de leçon pour que lesclave-soumise ne recommence pas deux fois la même erreur.
Thaïs MDE aurait pu se douter de la rigueur qui règne au Château et de la minutie avec laquelle les esclaves sont surveillés en permanence pour pouvoir cheminer dans la soumission, car elle sait que Monsieur le Marquis dEvans veille toujours, malgré une activité professionnelle prenante, à être tenu informé de tout ce qui se passe, ici chez lui, au Château concernant tant le personnel que les esclaves de Son cheptel.
- Alors la chienne mal dressée, est-ce que tu pourras au moins avoir le courage de raconter tes délits, qui sont loin dêtre des peccadilles, dautant plus que ce nest pas la première fois que tu oublies que les esclaves sont privés de certains droits comme celui de parler avant quon ne les autorise à sexprimer. Eh bien, puisque je te donne la parole pour quelques secondes, fait donc un peu part à Monsieur Walter de tes inqualifiables forfaits.
Lesclave-soumise se trouve physiquement tirée de part en part, entre Marie qui tire vers larrière sur ses cheveux pour lui faire lever la tête et Walter qui tient toujours fortement la chaîne de métal qui lui sert de laisse. Elle se cabre au maximum pour résister aux deux pressions intenses qui sopposent, presque contrainte de se redresser légèrement et de sarcbouter dans une position instable et difficile à maintenir en équilibre. Elle est au fond delle-même offusquée par les propos diffamatoires de la cuisinière qui parle dinqualifiables forfaits au regard de ce quelle a eu le malheur de faire, un premier petit cri de surprise lorsque Marie à commencer à la sodomiser en lui introduisant sans même lalerter un gros poireau dans le cul et aussi, ce qui avait tout lair dun piège tendu, lorsque Marie lui avait demandé de la supplier et de la supplier encore convenablement, pour quelle consente à lautoriser à jouir tandis que la cuisinière pratiquait sur lesclave qui pataugeait dans son « bain de légumes » un godage végétal assez poussé dans ses deux orifices tourmentés en même temps, tandis quelle tenait dune main un énorme concombre et de lautre encore le gros poireau avec lequel Thaïs MDE avait été enculée.
Thaïs MDE se demande comment elle serait traitée dans des circonstances plus graves en premier par le Maître et par ses deux fidèles serviteurs, qui nen restent pas moins des acolytes assez pervers de nature, si elle avait commis une faute plus grave et ce de manière volontaire, refusant dobtempérer à un ordre ou faisant quelque chose de totalement répréhensible par les lois ou règles en vigueur au Château ainsi que par les préceptes élémentaires dune manière de vivre D/s qui font delle une esclave-soumise librement asservie, qui a prêté vu dallégeance au Dominant à qui elle a voué sa vie. Elle ne peut sempêcher de repenser à cet autre esclave en devenir qui le matin même avait osé porter la main sur une de ses surs de soumission, allant même jusquà casser le nez dun autre chien-mâle dun véritable uppercut à main nue.
A cet instant, elle se sent injustement mise sur la sellette et jugée par Marie avec une dureté quelle pressent qui ressort bien plus du caractère de cette vicieuse femme qui examine tous les moyens pour profiter des esclaves du cheptel qui ne peuvent jamais chercher à se plaindre. Elle se dit quil serait bien quil y ait une totale équité dexigences et de traitement, ainsi quune juste proportionnalité de punitions entre les esclaves, et en même temps, elle se rend compte que cela est presque impossible, car ce serait ne pas tenir compte de leurs propres capacités, de leurs progressions dans la servitude aux pieds du Maître. Alors, elle repense à ce proverbe qui dit « Qui aime bien, châtie bien » essayant de se réconforter en se disant que si lon exige beaucoup delle, cest dune part que le Maître estime quelle en a la capacité et dautre part quIL a formé de grandes attentes sur sa nouvelle recrue dont IL est devenu sur un plan professionnel, à la fois lassocié mais aussi le Patron. Cest donc de bonnes grâces quelle accepte après une réflexion qui na duré que quelques secondes de se plier à tout ce qui va être exigée delle par Marie, et ensuite par Walter qui a en réserve une ancienne punition, sans compter quil ne manquera pas de lui faire payer le retard de 4 minutes à un moment ou à un autre.
- Vas-y ! La chienne désobéissante et indisciplinée, nous daignons técouter ! Tâche au moins que ton acte de contrition ressemble à quelque chose si tu veux pouvoir mériter mon absolution, ce qui ne sera pas sans deux punitions conséquente, crois le bien, mais il ny a pas que la correction qui compte, je dois aussi ressentir la profondeur de ta sincère repentance et ton acceptation pleine et entière du châtiment qui te sera infligé suivant mon bon plaisir, et ce avec laval de Monsieur Walter ici présent.
Thaïs MDE toute penaude et ressentant lémotion qui la gagne, car elle ne sait pas encore ce que Marie a concocté avec toute la perversité quelle lui connaît déjà que trop bien, mets ses deux mains jointes en prière, pensant que cest la position quil convient dadopter à ce moment-là et ajoute dune voix toute tremblotante :
- Monsieur Walter, Madame Marie, je viens ici vous confesser mes fautes, mes deux fautes commises pendant le temps où javais été remise par vos soins entre les mains de Madame Marie. Je connais depuis mon arrivée la règle de base qui simposent aux esclaves du cheptel qui nont le droit de pouvoir parler que lorsquils y sont autorisés explicitement et lorsquils doivent répondre à une question qui leur a été posée. Le reste du temps, ils sont tenus de se taire sous peine dencourir le courroux de celui qui a la charge de les surveiller. Je reconnais bien platement, et sans en disconvenir, que je nai pas respecté cette règle par deux fois. La première en osant pousser un cri sans raison alors que jétais dans la baignoire et la deuxième lorsque jai eu limpudence dinterpeller Madame Marie en lui disant à voix haute « Madame Marie, je vous en supplie, je vous en supplie » car je nétais même pas capable de supporter sans rien dire et de contrôler la montée du plaisir et la jouissance qui ne mavait pas été accordée.
Lesclave-soumise a choisi volontairement docculter le reste de ce qui sest passé et en particulier le fait que cest Madame Marie, elle-même, qui lui avait demandé de la supplier encore et encore. Elle se dit que cela aurait pu faire leffet inverse et bien loin de la dédouaner de sa faute risquait de la voir doubler pour impertinence et pire si Marie avait nié les faits. Elle pense aussi que la cuisinière devrait pouvoir apprécier le geste de Thaïs MDE qui ne la met pas en porte-à-faux vis-à-vis du Majordome, mais cest connaître bien mal Marie que de penser quelle en fera cas, alors quelle trouve cela on ne peut plus normal de la part dune esclave qui doit accepter de subir sans se plaindre. Le seul point sur lequel Thaïs MDE ne sest pas trompé, cest davoir bien compris que linverse et le moindre propos accusateur de Thaïs MDE aurait dailleurs déclenché chez Marie les foudres de guerre qui aurait bien entendu profité de laubaine pour la traiter de menteuse et de calomnieuse et avoir une opportunité de la punir encore plus. Walter qui a entendu les propos de la chienne-esclave, agenouillée en position de suppliante, interrompt Thaïs MDE dune voix tonitruante qui montre sa colère et son agacement de devoir une fois de plus soccuper de cette nouvelle recrue récalcitrante.
- Et cela te rend fière et arrogante de me raconter cela dans la plus grande outrecuidance ! Sale petite effrontée indigne de conserver une place entre ses murs ! Que veux-tu que je fasse de quelquun qui a laudace de venir hautaine et méprisante me déblatérer ses exploits ?
Thaïs MDE est désemparée face à ce quelle entend, elle est dans une position qui est loin de ressembler à ce que décrit le Majordome. Les larmes démotion commencent à lui venir aux yeux et à couler sur ses joues. Ses propos mesurés navaient rien darrogant ou du moins le croit-elle ainsi, et cest avec des regrets sincères quelle a avoué ses fautes humblement et sûrement pas avec le plus microscopique grain de fierté. Elle hésite un temps avant de reprendre, carrément désarçonnée dans sa lancée par lintervention du Majordome, mais elle se décide malgré tout à aller au bout de sa démarche, comme elle laurait fait en présence de Monsieur le Marquis dEvans, bien décidée à implorer la punition quelle sait être méritée, car elle reconnaît que lordre était très clair dès le départ et quelle y failli plusieurs fois de suite par manque dattention et de concentration, même si cest plus facile à dire quà faire, lorsque pendant des années dans la vie de tous les jours on a été éduqué pour fonctionner autrement, nétant pas muette de naissance et encore moins timide pour sexprimer.
- Monsieur Walter, Madame Marie, je reconnais humblement mes fautes, les offenses faites à Madame Marie par là même, qui constituent des manquements à la règle et à mes devoirs desclave-soumise de Monsieur le Marquis dEvans. Je viens vous implorer de bien vouloir daigner me châtier pour mes méfaits comme il se doit, pour pouvoir me permettre dexpier mes fautes et à terme, si Madame Marie y consent, une fois le châtiment enduré dans la plus totale obéissance et soumission, pouvoir venir implorer son pardon pour mes écarts de conduite inacceptables. Consciente de ma défaillance qui offense le Maître Vénéré en tout premier lieu, je suis résignée à accepter la sanction quil plaira à Madame Marie de minfliger et ce quelle quen soit la teneur, la remerciant par avance du temps quelle passera à maider à me corriger et à progresser pour devenir une meilleure soumise au service de Monsieur le Marquis dEvans
Dune voix lourde, Walter qui est bien décidé à profiter de chaque mot de lesclave-soumise pour enfoncer un peu plus le clou ajoute :
- Comme tu y vas ! Grossière impudente ! « Une meilleure soumise » !.... laisse-moi rire doucement, encore faudrait-il que tu sois déjà une soumise débutante au sens premier du terme, avant de vouloir devenir une meilleure « quoi que ce soit ». On ne ta jamais appris quon gravit les échelons un à un et en commençant par le premier au ras du sol. En ce qui te concerne, tu nas même pas encore grimpé sur la première marche. Seule ton audace éhontée te fait croire le contraire par vanité et parce que tu es encore pleine de lorgueil de ta vie davant. Ici, en ce Château, tu nes rien, tu nes plus rien, quune misérable chienne qui ne deviendra vraiment une esclave-soumise digne de ce nom quavec de la patience, de lendurance et beaucoup defforts pour te corriger de tes vilaines manières et apprendre à servir le Maître en devenant Sa propriété, Sa chose, une parmi tant dautres largement plus satisfaisantes que toi, en tout cas celle sur qui IL a tous les droits, parce que cest toi-même qui a désiré quil en soit ainsi. Alors, tant pis pour toi, si tu as un peu de mal à comprendre facilement ce qui relève de ta condition de base ! Tu es là avant tout pour être commandée, dressée, réprimandée et châtiée si nécessaire. Et dis-toi bien quici ce nest pas un club de vacances où tu peux te la couler douce,
.. ah, ah, ah
(ajoute t-il dun air satisfait et pervers)
et si la vérité ne te plait pas, la grille du Château est ouverte en permanence de lintérieur, tu peux sortir et partir quand tu le souhaites. Ici ce nest pas une prison, Monsieur le Marquis na jamais qui que ce soit à faire quoi que ce soit, et donc si un jour tu te décidais à partir, il est utile de te rappeler que revenir aux pieds du Maître est impensable et donc impossible. Donc si tu veux partir, bon vent ! Monsieur le Marquis dEvans na que faire des recrues de mauvaise qualité qui ne font aucun effort pour respecter les ordres impératifs en tout temps et en tous lieux
(A suivre
)
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