Variation Autour Du Thème De La Table
Suite du récit "La première fois à trois et en public".
Je me réveillai le lendemain matin vers huit heures et me levai presque immédiatement. Mon épouse dormait encore : nous avions passé une grande partie de la nuit à faire lamour, elle était probablement éreintée après les ébats dans la salle du cinéma et la nuit torride que nous avions passée. Une fois habillé, je sortis acheter des victuailles pour le repas de midi ; à neuf heures trente environ j'étais rentré ; je lui offris le petit-déjeuner au lit. Je l'embrassai pour la réveiller ; son abdomen était encore contracté.
Je tenais particulièrement à la gâter : elle m'avait offert la veille au soir un superbe spectacle, que je n'étais par prêt d'oublier ; je voulais savoir si cette soirée avait été pour elle-même excellente : avait-elle apprécié les coïts en public, d'être entièrement nue dans la pénombre ?
Quelques heures plus tard, après notre déjeuner et pendant que nous buvions notre café, elle me confirma qu'elle avait pris beaucoup de plaisir dans le cinéma, au point que sa nudité ne l'avait aucunement gênée ; elle aurait néanmoins préféré que sa robe ne fût pas affublée de préservatifs remplis de sperme frais. Elle me demanda également si elle pouvait choisir des étalons ; comme je ne souhaitais pas quelle sattache, je répondis :
- A condition que ce soit des rencontres éphémères.
- Daccord, approuva-t-elle.
- Si tu en rencontres dans la semaine qui vient, fixe-leur un rendez-vous à la gare dIgny vendredi soir entre vingt-trois heures et minuit.
A la fin de notre discussion, je lui fis cadeau d'une montre, en remerciement des récentes séances de sexes que nous avions vécus.
Et le jeudi soir, elle mexpliqua en souriant :
- Jai donné rendez-vous à deux jeunes superbes étalons demain soir !
Ses yeux pétillaient de plaisir.
Le vendredi soir vers dix-sept heures, je bus trois cafés bien tassés dans un bar proche de chez nous ; puis je rentrai rejoindre ma belle.
Nous devions manger tôt, car la gare dIgny était à deux bonnes heures de notre domicile. Dès notre repas terminé, nous sommes allés dans notre chambre, elle y changea de vêtements. Cela prit un long moment. Je participai à la préparation de mon épouse, sans pour autant lui imposer quoique ce fut. Je laissai libre court à son imagination : cétait elle qui avait choisi ses futurs partenaires. Finalement, vers vingt heures, elle était prête ; elle portait une jupe verte en tissu léger tombant au-dessus des genoux, qui couvraient des bas auto-fixants blancs et une culotte transparente. Un petit haut blanc à bretelles et un bustier très décolleté mettaient en valeur son ventre et sa poitrine généreuse. Enfin, des bottes à talons hauts cachaient ses pieds et ses jambes jusquau haut des mollets. Pour ma part, javais préparé le matin même un petit sac en cuir, en prévision de cette soirée. Nous quittâmes notre domicile vers vingt heures quarante-cinq.
Nous nous sommes susurré des mots doux pendant tout le trajet vers Igny, qui dura deux heures trente ; et vers vingt-trois heures quinze, nous avons rejoint les deux hommes à qui mon épouse avait donné rendez-vous. Ils étaient fort jeunes, pas plus de vingt ans, très probablement moins. Mon épouse les accueillit en les embrassant fougueusement lun après lautre ; cela ne laissait aucun doute quant à ses intentions, elle voulait les consommer.
Nous avons marché sur la partie du Chemin de Saint-Jacques qui permettait de rejoindre Paris en partant dIgny. Les quelques premiers cents mètres empruntaient une ruelle éclairée. Les deux jeunes hommes étaient intimidés, presque timorés. Je demandais à mon épouse dagir pour les dérider ; alors quun réverbère éclairait le trio, elle sapprocha deux et palpa les sexes à travers les pantalons ; les verges ne tardèrent pas à sériger. Comme la ruelle était déserte, elle leur demanda ensuite :
- Retirez-moi un vêtement, celui que vous voulez !
Ils hésitèrent quelques secondes, puis enlevèrent son petit haut que je rangeais dans le sac en cuir.
- Ils nont pas lair bien dégourdis ces deux godelureaux !
Car tout homme normalement constitué aurait été particulièrement entreprenant dans une telle situation ; eux étaient paralysés, les bras ballants le long du corps.
- Cest pour ça que je les ai choisis, répondit-elle ; je vais faire leur éducation sexuelle.
- Tu vas devoir sortir le grand jeu, expliquai-je ; ils partent de très loin !
Jétais curieux de savoir comment elle allait sy prendre. Mais jétais évidemment prêt à laider dans cette mission quelque peu difficile. Elle sapprocha dun des godelureaux, elle lui retira le pantalon et le caleçon ; elle remarqua quil avait déjà éjaculé. Alors quelle accrochait les deux vêtements à un arbuste, elle précisa :
- Apparemment, je te fais de leffet ; jen suis flattée !
Elle nettoya la verge et les testicules à grands coups de langue ; le jeune homme appréciait.
Elle soccupa ensuite du second godelureau ; à son tour, il se retrouva rapidement en chemise chaussettes et mocassins ; son sexe nu était à la disposition de mon épouse qui entreprit une fellation torride. Elle cessa les succions quelques minutes après léjaculation. Elle se redressa, sinstalla entre les deux jeunes hommes dont elle saisit les verges dans ses poings ; je récupérai les effets masculins pour les ranger dans le sac, et nous reprîmes notre marche.
Nous nous sommes ensuite engagés dans un chemin non carrossable. Alors que nous marchions rapidement vers notre destination, les seins lourds de mon épouse rebondissaient dans son soutien-gorge à chaque pas.
- Que comptes-tu me faire ?
- Je vais te tondre, répondis-je.
- Tu ne vas pas faire ça devant eux, sinsurgea-t-elle
- Réglage à cinq millimètres, précisai-je.
Jactionnai le petit appareil électrique, puis le fis glisser sur son pubis. La tonte de son bas-ventre était simple ; celle du voisinage de ses lèvres était plus délicate, dautant que sa vulve était très sensible aux vibrations. Pendant ce spectacle, les deux jeunes hommes se sont masturbés ; ils se sont vidés alors que javais achevé la tonte.
- Vous plaît-elle davantage ainsi tondue ? leur demandai-je
Les deux godelureaux sapprochèrent pour détailler ce sexe féminin, puis répondirent :
- Les lèvres sont bien dégagées, cest plus excitant !
- Je peux lui raser le voisinage de ses petites lèvres si vous voulez, renchéris-je.
Mon épouse sinsurgeait, mais restait cependant debout sur le pat. Les jeunes hommes acceptèrent ma proposition. Je sortis du sac un rasoir électrique que je frottai contre la peau. Les vibrations excitaient mon épouse qui se mordait la lèvre inférieure. Lorsque jai arrêté le rasoir, une partie de son sexe était imberbe, les deux jeunes hommes ont déposé chacun leur tour un délicat baiser sur ses petites lèvres humides.
Je l'aidai à descendre du pat, elle retira alors les chemises des deux godelureaux. Lun deux lui dégrafa son soutient-gorge, le second le lui retira. Je rangeais tous ces vêtements dans le sac, nous reprîmes notre marche durant laquelle mon épouse jouait avec les verges serrées dans ses poings, alors que les deux jeunes hommes pétrissaient ses seins dorénavant nus et malaxaient ses fesses.
- Pelotez-moi la poitrine !
Ou encore :
- Chatouillez-moi les fesses !
Ils prenaient même certaines initiatives, comme faire glisser leurs mains vers le bas des fesses pour insérer quelques doigts dans le vagin. Evidemment, la pénétration était peu profonde, mais cela faisait un préliminaire quelque peu plaisant pour mon épouse.
Nous arrivâmes au bout de ce petit chemin ; une étroite route forestière longeait le Bois de Verrières. Nous la traversâmes et entrâmes sous les frondaisons où nous attendait une aire de pique-nique. Je dirigeai la petite équipe vers une grande table proche de la route et quun réverbère éclairait. Il était minuit et demi. Jannonçai que nous étions arrivés à destination. Ma belle était surprise ; elle sapprocha de moi et me demanda :
- Tu veux que je me fasse sauter ici, si près de la route ?
Elle mavait posé une question similaire une semaine auparavant dans la salle de cinéma. Je la serrai dans mes bras, couvris sa bouche de petits baisers pour la rassurer, et lui répondis :
- Nous serons plus à laise que la semaine dernière au cinéma, où nous manquions de place ; ici, nous pourrons thonorer tous en même temps.
Et jajoutai en sortant du sac une boîte de préservatifs que je posais sur la table :
- Self service ! Poursuis tes cours déducation sexuelle !
Elle en prit un et se dirigea vers les deux godelureaux ; elle sagenouilla devant lun deux et pratiqua une fellation. Après avoir longuement goûté le pénis, elle le coiffa du préservatif. Elle assit le jeune homme sur un banc dos à la table, puis le chevaucha face à nous. Elle prit soin dencastrer la verge dans son vagin, et demanda au second jeune homme de sinstaller près delle ; elle avait son pénis à hauteur de bouche, elle lengloutit. Ils synchronisèrent leurs mouvements pendant de longues minutes, je rejoignis le trio pour participer aux ébats. Elle disposait de trois verges pour elle seule, une dans son sexe et une dans chaque main. Elle nous fit tourner pendant une bonne demi-heure durant laquelle ses seins et son abdomen sétaient peu à peu durcis ; chacun de nous était alternativement passé dans son sexe et entre ses mains.
Elle grimpa ensuite sur le banc et sassit sur le plateau de la table ; elle se pencha en arrière, saccouda et écarta fortement ses jambes. Elle nous présentait son sexe avec ses petites lèvres légèrement ouvertes entre lesquelles nous devinions sa vulve luisante. Elle expliqua à lun des deux jeunes hommes :
- Lèche-moi la chatte !
Il ne se fit pas prier évidemment. Elle interpella lautre jeune homme :
- Approche tes couilles de ma bouche !
Il grimpa sur le plateau de la table, puis sagenouilla pour présenter ses testicules au visage de mon épouse. Elle les gobait. Quant à moi, je me suis intégralement dévêtu, je rejoignis une fois encore le trio pour cette fois pétrir les seins de mon épouse qui poussait de légers gémissements de plaisir. Une fois encore, elle nous fit tourner, afin que chacun de nous pût lui lécher la vulve, présenter ses testicules et malaxer sa poitrine. Nous avions constaté quà plusieurs reprises, son corps avait été parcouru de spasmes orgasmiques.
Je compris à ce moment que moi seul pouvais compléter léducation sexuelle des deux godelureaux : ils devaient dorénavant apprendre à devenir des mâles dominants ; aucune femme, aussi douée soit-elle, ne peut enseigner une telle matière. Je pris mon épouse par la main, laidait à se lever. Sur mon indication, elle sapprocha du bord de la table, sinstalla dans le sens de la largeur et calla ses pieds aux angles du plateau ; elle faisait face à la route à peine distante de dix mètres.
Je demandai à lun des deux jeunes hommes denfiler son sexe dans un préservatif neuf. Il grimpa ensuite sur le plateau et pénétra le vagin de mon épouse par derrière ; le second jeune homme se présenta devant elle, bouche à hauteur du sexe, puis pratiqua un cunnilingus. Quant à moi, je moccupais de sa poitrine et guidais les jeunes élèves :
- Vide-toi le plus tard possible, conseillai-je celui qui la pénétrait.
Ou encore :
- Ne te contente pas uniquement de la lécher, expliquai-je au second. Aspire donc ses petites lèvres, bouffe-lui la vulve !
Les leçons portaient leurs fruits : je remarquai que la base des seins de mon épouse sétait décollée de sa poitrine, preuve que son plaisir était de plus en plus intense. Lorsque le jeune homme planté dans le vagin eut éjaculé, je le fis passer sur le côté de la table afin quil malaxât les seins. Quant à moi, je commençais mon cunnilingus. Le dernier enfila un préservatif avant de pénétrer le vagin de mon épouse qui neût que très peu de répit pour reprendre son souffle.
Ma position de lécheur ne me permettait plus de prodiguer des conseils aux jeunes élèves. Mais ils avaient apparemment appris bien vite, car la respiration de ma belle devenait très saccadée et de plus en plus bruyante. Pour que le cunnilingus eût plus deffets, je posai mes mains sur ses fesses afin que la pression de mes lèvres, de ma langue et de mes dents fût plus forte. Nos efforts nétaient pas vains : des sécrétions vaginales inondèrent ma bouche.
Le second jeune homme mit du temps à éjaculer ; nous pûmes alors effec la dernière rotation : ce fut à mon tour de la pénétrer. Les deux jeunes hommes prenaient leurs places respectives, lun lui léchait la vulve et lautre lui palpait les seins.
Afin dintensifier ma pénétration, je posai les paumes de mes mains sur son ventre, entre le nombril et la toison tondue. Son abdomen sétait énormément durci, je pouvais sentir les spasmes qui parcouraient son corps, elle avait des orgasmes à répétition. Puis ses mains se sont mises à battre lair ambiant à vide, elle ne contrôlait plus ses mouvements. Ses gémissements sont devenus des petits râles rauques. Elle nous dit :
- Je vais jouir !
Les trois hommes que nous étions intensifiâmes nos efforts ; quelques minutes plus tard, elle répéta à voix plus élevée :
- Je vais jouir !
Et quelques instants plus tard, elle criait une nouvelle fois :
- Je vais jouir !
Ses jambes se dérobèrent, elle chuta lourdement, ses fesses atterrirent sur le plateau de la table. Sa respiration était profonde, elle reprenait son souffle. Je demandai aux deux godelureaux denfiler un préservatif. Je relevai mon épouse pour la faire asseoir sur la table, les muscles qui commandaient les mouvements de ses jambes ne répondaient plus très bien. Lun des deux jeunes hommes sallongea dos sur la table.
Nous aidâmes ma belle à sinstaller sur lui face vers le ciel. Le jeune homme enfonça sa verge dans le vagin. Le second sinstalla sur elle afin de lui faire vivre une double pénétration.
Elle était prise en sandwich sur une table de pique-nique entre deux hommes qui synchronisaient leurs mouvements ; la situation était quelque peu cocasse. Mon épouse nétait absolument plus maîtresse de ses mouvements : elle nétait plus quorgasmes à répétition. Jai participé également à plusieurs doubles pénétrations.
Nous avons cessé nos ébats lorsque le soleil était déjà bien luisant : il était cinq heures trente environ. Ma belle a mis une grosse demi-heure à reprendre ses esprits. Nous nous sommes rhabillés, et avons rejoint la gare. Nous avons attendu le train environ un quart dheure ; avant dy grimper, mon épouse a longuement embrassé ses deux jeunes amants dune nuit.
Pendant le trajet du retour, nous avons eu des mots damour alors que nous étions enlacés lun à lautre ; elle ma longuement remercié pour cette folle nuit damour dont nous nous souviendrons longtemps lun et lautre.
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