Le Pompon (3)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --
En sortant de chez Chantal, je reprends le R.E.R et je descends près de chez Malaurie. Je monte directement la porte souvre. Elle est nue.
Mon chéri tu es là, la manière dont tu mas quitté hier en classe ma fait craindre que tu ne mabandonne. Je suis sur que mes cheveux coupés ton déplu mais je ne pouvais pas aller au collège avec toutes les transformations que tu mavais demandées.
Oui et tu sais ce que cela veut dire ?
Tu vas me punir !
Non, je vais te faire un cadeau.
Pour mon pubis rasé ?
Non, pour la salope que tu es devenue.
Elle me saute au cou et me donne ses lèvres montrant ainsi tout le bien que je lui apporte.
Jouvre la boîte que javais posée sur la commode.
Acceptes-tu dêtre mon esclave ?
Je suis ton esclave chéri.
Acceptes-tu ce collier ?
À sa vue, je la sens se troubler. Va-t-elle accepter !
Elle avance sa tête.
Quil est beau !
Je le fixe en le serrant juste ce quil faut pour ne pas la marquer.
Regarde voilà la laisse que jattacherais à cet anneau grâce au mousqueton et chaque fois tu accepteras tout ce que je te demanderais.
Où les as-tu eu ?
Je lui raconte ma visite chez Maîtresse Chantal. Comment elle fait fortune en infligeant des sévices consentis à des hommes et des femmes qui payent pour être asservie !Je lui attache la laisse.
À quatre pattes !
Elle sexécute.
Tu es ma petite chienne ?
Oui ! Mon amour.
Avance et suce-moi la queue.
Elle ouvre la bouche et en me présente un regard trouble, elle me suce divinement.
Viens que je te prenne !
Je la relève reculé jusqu'à une chaise. Je massieds et lattire sur moi.
Elle comprend ce que jattends delle. Elle avance en écartant les cuisses et présente sa fente à mon vit.
Oh !
Je la soulève et la laisse retomber. Mon pieu la pénètre plus profondément.
Je la soulève, elle retombe.
Tu ne mas jamais aussi bien pris. Jaime cette nouvelle, aaahaah.
Elle vient de minonder les cuisses en prenant une décharge exceptionnelle qui lui embrasse le bas du dos.
Elle baisse un peu la tête et me prend la bouche. Sa langue me sépare les lèvres pour minvestir pleinement la cavité buccale. Elle mentoure le cou de ses bras et men fait un collier.
Je ne veux pas décharger trop vite. Je veux lui prendre les autres parties du corps et ainsi la faire partir un maximum de fois. Je la prends sous les fesses et je la jette directement sur le lit.
Je vais pour la rejoindre lorsque je remarque un petit sèche-linge posé sur le radiateur. Je récupère cinq pinces et je massoie à coté delle.
Elle a atterri sur les fesses les jambes écartées. Je la rejoins et je lui caresse la poitrine. Elle se place sur ses avants bras ce qui lui permet de voir son sexe épilé.
Elle comprend ce que jattends delle. Elle avance en écartant les cuisses et présente sa fente à mon vit. Elle est un peu basse pour y arriver. Je lui prends les hanches et grâce à sa légèreté je la soulève pour la laisser retomber. Jatteins le centre de la cible.
Oh !
Je la soulève et la laisse retomber. Mon pieu la pénètre plus profondément. Je soulève, elle retombe.
Tu ne mas jamais aussi bien pris.
Jaime ce nouveau, aaahaah.
Elle vient de minonder les cuisses en prenant une décharge exceptionnelle qui lui embrasse le bas du dos.
Elle baisse un peu la tête et me prend la bouche. Sa langue me sépare les lèvres pour minvestir pleinement la cavité buccale. Elle mentoure le cou de ses bras et men fait un collier.
Son deuxième sein à son ornement. Elle a encore serré fortement ses lèvres.
Elle me prend la bouche.
Je taime.
Tout bas elle me dit à loreille.
Où veux-tu me mettre les deux autres ?
Ici !Je la saisis ouvre sa vulve et fixe la pince sur ses grandes lèvres.
Elle se mord carrément les lèvres. Elle souffle un grand coup.
Je vais mettre la dernière moi-même.
Elle la prend en main et la place en pendant de sa sur jumelle.
Fait moi rebander, jai envie de ton petit trou.
Elle plonge sur ma verge, avec ses mains et sa bouche et me remet en pleine forme.
Place-toi en levrette.
Elle suit mon ordre. Les pinces attirées vers le bas pendent et me présentent une vision qui augmente ma turgescence. Je lui empoigne les hanches et la cloue sur ma lance.
Chérie-tu est un vrai taureau. Tu me prends bien au fond de mon anus. Jadore.
Je passe mes mains sous son corps et je sers les pinces, augmentant la pression sur ses mamelons. Au lieu de crier sa douleur la conjugaison de la sodomie et de sa douleur diffusée par les pinces la fait partir dans une jouissance qui nettoie le couvre lit.
Je ne laisse pas retomber son plaisir en lui envoyant de grandes claques sur les fesses. Je lui fais rougir le postérieur.
Oui, Oui, Oui, Oui !
Elle sécroule, ma tige toujours au fond de son séant.
Je lui enlève les pinces. Elle tourne la tête vers moi et me fait un joli sourire avec beaucoup damour.
Mon cur, tu sais ce que jai appris par la bouche de ma mère ?
Non mais jespère que tu vas me le dire.
Tu te rends compte avant de connaître mon père elle a vécu deux ans avec une femme. Cétait deux lesbiennes, jusquà ce quelle rencontre mon père.
Ça te traumatise ?
Non mais je ne peux plus la regarder comme la femme sage quelle a été avec mon père je le crois.
Je la fais venir le long de mon corps pour que je sente sa chaleur. Je la prends dans mon bras et nous nous endormons.
Lorsque je me réveille, il fait nuit. Malaurie ouvre les yeux et me met la main sur le sexe.
Elle na pas eu de plaisir, laisse-moi faire.
Elle prend ma verge en bouche et depuis ce matin où jai beaucoup bandé. Dabord chez Chantal puis ici depuis que je suis arrivé, je me vide par de longs jets de spermes qui inondent sa bouche.
Les yeux dans les yeux elle déglutit pour avaler toute ma semence.
Chéri, dans 2 heures jai réservé une table pour te remercier de tout ce que tu as déjà fait pour moi. As-tu des vêtements plus habillés que ton jean et basket.
Oui, je suis allé au mariage dun cousin à Angoulême, jai ce quil faut à la maison.
Va te changer, je vais moi aussi me faire belle pour que tu sois fière de mavoir à ton bras. Voilà un double de ma clef, tu pourras entrer sans sonner.
Un dernier baisé et je me dépêche de rejoindre le pavillon de mes parents.
Je cours et cest tout essoufflé que jarrive à la maison. Mon père va partir travailler pour sa dernière nuit. Je vais sous la douche et je monte mhabiller.
Ma mère est dans sa chambre. Je lembrasse rapidement.
Tout va bien ?
Impeccable, je viens me changer, elle a réservé une table dans un restaurant.
Tu as fait un cadeau à ton amie ?
Oui, un collier !
Avec 100 francs, tu as acheté du toc !
Non, un collier munit dune laisse.
Elle aime être dominée .
Un peu mais je reste raisonnable.
Très bien, joue avec ses envies dans son strict respect. Bonne soirée mon grand !
Je me change, ensemble blanc jusquaux mocassins et petite veste de cuir blanche. Un vrai top-modèle. Au moment de repartir mon père sapprête à partir.
Chérie, je crois que Christophe va à coté du R.E.R. Dépose-le !
Cinq minutes je suis arrivé.
Bonne nuit pa !
Je grimpe les deux étages. Je lentends chanter, elle est heureuse. Elle est dans son bain et se frotte les jambes quelle a fort belle. Elle ne ma pas vu. Je reste dans lencoignure de porte à la regarder se savonner en chantant.
Elle a un joli brin de voix, elle aurait certainement plu au producteur de Chantal. Elle maperçoit dans la glace ce qui la fait sursauter.
Tu mas fait peur. Que tu es beau ! Jai de la chance davoir un homme comme toi.
Dommage que tu me quittes dans moins de trois mois. Je taurais épousé.
À ce quelle vient de dire, je pense. « Mademoiselle, pas trop vite, jai beaucoup de chatte à honorer avant de penser à la bague »
Elle se rince, elle passe sa main et ses doigts dans sa chatte quelle ouvre pour faire pénétrer le jet au fond de sa minette.
Tu vois avant que tu ne me dépucelles, chaque fois que je me douchais je me faisais jouir simplement au contact de leau.
Fais-le !
Elle reprend le contact de ses doigts avec sa vulve. Je la vois se caresser le clitoris qui répond à sa sollicitation en lui envoyant des ondes qui doivent toucher ses reins car elle fléchit sur les jambes. Son plaisir éclate et le carrelage reçoit les quelques gouttes que sa chatte éjecte.
Je ne sais pas si cest parce que tu me regardais mais cest la première fois que je mouille comme je viens de le faire en jouissant.
Elle se rince avec la douche et sapprête à descendre.
Je prends la serviette quelle avait préparée et je la sèche de haut en bas. Je mattarde sur sa fente qui naura jamais été aussi bien séché. Je ninsiste pas craignant quelle soit obligée de se redoucher !
Elle sinstalle pour se maquiller discrètement. Elle remet son collier, ainsi que quelques bijoux relativement modernes.
Comment ne veux-tu que je mhabile ! Regarde dans mon armoire !
Jouvre la porte et jai du mal à trouver des vêtements qui ne la transforment pas en professeur.
Je trouve un ensemble cuir, composé dune jupe qui lui arrivera à mi-cuisse, veste et bottine noire. Dans les chemisiers un modèle blanc se mariera avec le noir. Un petit sac avec une chaîne dorée fera laffaire.
Je ne peux pas mettre ces vêtements, javais 18 ans lorsque je les portais.
Je mets mon soutien-gorge demi-balconnet avec le string assorti.
Ni slip ni soutien-gorge, je te veux chatte à ma disposition.
Habillée-elle me présente une vision idyllique de la femme. Elle place son chemisier dune façon classique. Je mapproche, je le fais sortir et le noue sous ses seins.
Tu vois, tu nas pas changé depuis tes 18 ans.
Ce nais pas trop osé ?
Je vais être fière dêtre à tes côtés toute la soirée.
Je vais avoir froid, quest-ce que je peux mettre avec cet ensemble ?
Je cherche et je trouve une petite veste en renard couvrant les trois quarts de la partie haute de son corps.
Cest le renard de ma maman. Je lai gardé en souvenir après son décès.
Pauvre chérie, il y a longtemps .
Dix ans, jai eu le temps de faire mon deuil.
Et ton papa ?
Il est décédé six mois après elle, il na pas supporté son départ.
Nous sortons et nous allons prendre le R.E.R jusqu'à la gare de Joinville.
De nombreux hommes se retournent sur la bombe qui maccompagne.
Rapidement nous sommes arrivés et nous remontons la marne en direction des guinguettes. Va-t-on au petit Robinson ? Je ne crois pas quils fassent restaurant.
Non cest chez gégène quelle entre. Avec mes copains gégénés pour nous représentait la guinguette des anciens.
Elle demande la table, quelle a réservée. Nous sommes placés près de la piste de danse. Sur la table contiguë un couple dune trentaine d'années est déjà installé. La femme est canon. Je vais avoir une bombe en face de moi et un canon face à moi sur lautre table.
Nous les saluons et attendons dêtre servi en nous tenant la main et en nous regardant dans les yeux.
À la table voisine, lamour entre ces deux êtres transpire dans leurs regards.
Chez gégène, jétais persuadé quun spectacle type Lido ou moulins rouges égayait le repas. Lorchestre entame une danse que je ne connais pas. Nos voisins se lèvent et investissent la piste de danse.
Tu viens danser, cest une marche ?
À part au petit Rob à côté, je nai jamais dansé. Et encore, je me suis trémoussé au rythme des musiques modernes.
Viens, cest facile, je vais conduire, la marche est la danse la moins risquée pour débuter.
Une fraction de seconde, jai limpression davoir le collier avec la laisse autour du cou. Lorsquelle se lève en me tendant la main, je nai pas le courage de lui faire laffront de lui refuser le plaisir que la danse semble lui apporter.
Je la suis et rapidement le tempo est en moi. À la fin du morceau, jai repris mon rôle de mâle et je la conduis.
Une musique plus rapide commence. Prenant pitié de moi Malaurie retourne vers la table. Je la suis le souple rapide.
Le souffle, lorsque lon danse, est le plus difficile à acquérir. Regarde, je ne suis pas essoufflé alors que tu ressembles à une locomotive dans une côte. Tu verras mon cur tu y arriveras.
Lentrée nous ais servi agrémenté dun champagne que le serveur nous a conseillé avec le plat. Je ne connais rien en vin, je ne vais pas le contredire.
Cest bien jeune homme cest la première fois que vous dansiez une marche ?
Elle madresse la parole avec ses grands yeux de biche. Pincez-moi que je me réveille. En quelques heures, jai défloré la merveille que jai devant mes yeux mais son pendant en matière de beauté madresse la parole.
Oui, madame, il y a un début à tous, si monsieur me le permet, je vous invite à mapprendre la danse suivante.
Madame, a pour prénom Ophélie et monsieur Samy.
Nous-nous prénommons Malaurie et Christophe.
Une série de tangos prend fin, quelle bêtise davoir voulu faire le coq. À quelle sauce Ophélie cette jolie brune va me manger !
Les danseurs ont repris leurs places.
Les premières mesures commencent. Je ne recule pas, je contourne Samy et présente ma main à ma cavalière. Sa tenue nest pas loin dêtre identique à celle de Malaurie.
Des couples sont déjà sur la piste, je vois la manière dont-ils enlacent leurs partenaires.
Facile, une main dans la main, lautre sur les fesses et roulé jeunesse. Ma main dans sa main na pas lair de la surprendre, mais ma main sur son derrière lui plaquant le pubis sur ma verge létonne.
Tu aimes le slow ?
Quand jai une jolie fille comme toi dans mes bras, jaime nimporte quelle danse que lon veut mapprendre.
Le temps de ces quelques échanges, jai pris le rythme de la musique. Une chose que ma maman ma apprise lors du mariage du cousin, il faut toujours glisser ses pieds pour ne jamais marcher sur ceux de sa partenaire.
Le tempo donné par la musique fait de leffet à ma bite qui commence à manquer de place dans mon pantalon. Ma partenaire ne peut pas ignorer la transformation qu'elle suscite en moi. Sa main libre vient me prendre la nuque et mattire vers elle. Nos regards sont si prêts que je peux voir les paillettes qui brillent dans ses yeux. Jai la certitude quà la minute présente si je désire lui prendre les lèvres qui sont à quelques centimètres des miennes elle ne se refusera pas.
Où est Malaurie, elle nest plus à notre table. En tournant, je laperçois dans les bras de Samy dans une position plus conventionnelle. À la faveur dun mouvement je remarque quelle na pas plaqué son bassin contre celui de son cavalier.
La série de slows se termine Ophélie met quelques secondes à détacher son sexe de mon sexe. Le morceau de musique que lorchestre attaque vient nous sauver.
Elvis est parmi nous et un rocknroll endiablé démarre. Je ne lâche pas sa main et commence à la faire aller et venir. Un moment nous croisons nos partenaires qui dansent eux aussi, jen profite pour récupérer Malaurie qui est enchantée de me rejoindre.
Un peu vanné, je suis content de reconduire ma cavalière pour continuer notre repas. Ophélie me regarde en se passant la langue sur les lèvres.
Très bien Christophe cest le meilleur slow que jai dansé depuis longtemps hormis ceux avec Samy.
Il est doué en toutes choses !
Malaurie vient de parler. Je suis très étonné quelle prononce ce genre de phrase.
Même pour le sexe ?
Surtout pour le sexe !
Elle métonne, elle qui était encore vierge il y a quelques jours.
Champagne ?
Samy vient de faire la proposition.
Oui, mais juste un verre car je ne supporte pas lalcool.
Sous la table, mon pied trouve celui de ma bien-aimée. Elle ne se dérobe pas. Bien au contraire. La nappe qui descend assez basse, me permet de franchir une étape.Jenlève mon mocassin et fais monter mon pied vers sa fente. Dommage que jaie une socquette jaurais voulu sentir sa peau sur mes orteils.
Je lui caresse la vulve. Tout en discutant avec Ophélie elle descend sa main sous la table et avec deux doigts elle écarte son sexe. Aussitôt la pointe de mon pied pénètre sur quelques centimètres. Malaurie a une question à un blanc avant de répondre. Mieux, elle est obligée de se mordre la lèvre pour ne pas faire comprendre à toute la salle le plaisir que mon pied lui procure.
Jai pensé à tous sauf au final quelle me réserve, plusieurs jets inondent ma socquette et viennent maculer le parquet. Demain léquipe de nettoyage va se poser des questions sur les gorets qui ont soupé à cette table et qui ont renversé leur verre.
Cétait bon Malaurie !
On en redemanderait !
Vous êtes comme Ophélie vous démarrer à la moindre sollicitation ?
Ophélie ! Explique à ton homme dans quel état Christophe ta mise en dansant le slow tout à lheure.
Regardant son mari dans les yeux.
Il ma tellement frotté que me petite cramouille était toute trempée.
Javais envie quil me baise au milieu de la piste de danse.
Christophe, tu as envie delle ?
Malaurie est propriétaire de ma bitte ce soir, cest elle qui décide.
Alors tu veux mon collier ?
Non et attention jai ta laisse dans la poche de ma veste.
À quoi cela te sert-il ?
Lorsque je lui attache sa laisse elle accepte tout ce que je désire, elle accepte dêtre mon esclave.
Malaurie tu me le prête et tu donnes la laisse à Samy ?
Mon amie me demande lautorisation que je donne bien volontiers.
Elle le détache et se lève pour le mettre au cou de notre amie.
Je passe discrètement la laisse à Samy qui la place dans sa poche.
Nous finissons notre repas. Après des slows que je danse avec Malaurie qui sincruste littéralement en moi, Samy nous propose daller finir la nuit ailleurs.
Samy à sa Mercedes garé près du restaurant. Je monte à larrière avec Malaurie. Dès quils sont installés, il sort la laisse et la fixe à lanneau du collier.
Chérie, à partir de maintenant tu es mon esclave.
Oui mon cur ! Que dois-je faire ?
Attends un peu, je te le dirais.
Nous démarrons et remontons vers le bois de Vincennes nous passons devant le champ de courses et remontons vers le château de Vincennes.
À hauteur du Parc floral, Samy engage sa voiture dans la contre-allée. Il la place afin dêtre en retrait et tout voir sans être vue.
Ophélie, va faire la pute comme jaime que tu le fasses, ne revient pas avant davoir gagné 2000 francs.
2000, au moins 20 pipes ! 500 la baise si tu as la chance 4 clients et cest fait.
Au moment de descendre Samy lui enlève la laisse.
Cinq minutes une voiture descend la contre-allée et sarrête près de notre amie.
Elle monte, la voiture démarre. Après 10 minutes la voiture revient.
100 francs, le temps quelle a passé est trop court pour une baise.
2 minutes, voiture, elle monte, 10 minutes retour
200 francs encore 18 clients !
Malaurie, tu ne veux pas aller laider. À deux vous irez plus vite pour me ramener les 2000 francs.
Coller contre moi, elle est toute tremblante, mais semble fascinée.
Jaurais trop peur. Tu regrettes que je ny aille pas ?
Tu nas pas ta laisse, je ne peux rien timposer.
Ophélie fait encore deux clients elle est rendue à 400 francs.
Elle va y passer la nuit.
Relevant la tête et me regardant dans les yeux avec son regard que jaime bien car il est celui de sa soumission.
Tu veux que jy aille, je ne peux pas laisser notre amie toute seule !
Elle ouvre la portière et descend, elle rejoint sa copine, elle se parle et Ophélie lembrasse.
Une voiture sarrête un homme descend et monte à larrière avec Malaurie. Ophélie monte à côté du chauffeur. La voiture repart. Au bout de dix minutes le temps commencé à me paraître long. Une minute après elles sont de retour.
Elles attendent peu et Malaurie est choisie et monte. Ophélie lui parle et discrètement met un objet dans son sac.
La voiture démarre.
Ouf ! Il a été rapide 8 minutes et elle est là.
Un peu dattente deux voitures arrivent.
Dans la première Ophélie monté. Elle part.
Malaurie reste seule, elle regarde dans notre direction nous faisant voir son anxiété.
Une voiture, elle monte et repart.
Douze, minutes et elle nest pas là.
Ophélie arrive.
Quatorze minutes toujours rien. La peur me prend.
Ouf ! Elle arrive.
Ophélie lembrasse.
Elle est à peine descendue, quune voiture arrive.
À quelques mètres des filles, un gyrophare sallume. Ce sont des flics.
Ils tentent dembarquer les filles.
Samy prestement saute de notre voiture et arrive vers le groupe une carte en main. Les policiers discutent. Lun deux arrête la sirène et le gyrophare.
Samy note quelque chose sur un calepin. Les deux agents remontent et leur voiture passe devant moi.
Rapidement Malaurie est dans mes bras. Elle frissonne. Nos deux amies montent et notre voiture repart.
Chérie jai eu la peur de ma vie, mais se sentir comme un objet chaque fois quun client vous choisit mest fait mouiller. On a des sueurs froides à la tête et la chatte te brûle.
Elle me tend ses lèvres qui ont sucé trois bites. Je nhésite pas et lui faire entrer ma langue. Ma main descend vers sa fente qui est trempée.
Jai envie que tu me baises.
Je détache mon pantalon et fais sortir ma verge. Je ne men rendais même pas compte mais je bande comme jamais. Mon sexe me fait mal. Malaurie mavale jusquau fond de sa gorge. Elle ne ma jamais enfoncé aussi profondément. Je sens que je passe sa glotte et descends au plus bas. Ma verge très importante a disparu entièrement.
Elle me recrache et reprend son souffle.
Je vais te prendre mon cur. Laisse-moi mallonger.
Dans cet espace restreint la manuvre est périlleuse. Lenvie de la saillir est si forte que je me retrouve en position pour quelle sempale sur mon vit.
Je nai pas le temps de faire un mouvement quelle hurle sa jouissance. Plusieurs jets minondent ainsi que la banquette en cuir. La salope, je nai pas fait un mouvement que je lui remplis le ventre. Nous nous embrassons comme jamais nous ne lavons fait depuis que je la connais.
Repus, nous sombrons dans le néant.
Les amoureux, on est arrivé !
Jémerge, Malaurie aussi. Samy attend louverture de la porte du garage et entre. Il gare la Mercedes à un emplacement qui doit être le sien.
Samy, Malaurie est une femme fontaine et en jouissant, elle a inondé ta banquette !
Je vais nettoyer, je vous rejoins.
Ils nous font descendre et nous font prendre un ascenseur qui nous monte au dernier étage. Nous arrivons sur le palier où une seule porte soffre à nous. Ophélie ouvre et nous fait enter. Je dois soutenir ma compagne, ses jambes ayant du mal à la soutenir.
Christophe, aide-moi à lemporter dans la salle de bain, je vais lui donner un bain.
Jentant leau couler lorsque jarrive avec Malaurie. La pièce est assez grande et est principalement composée dune baignoire dangle aussi volumineuse que celle dans lappartement de Chantal.
Ophélie maide à dénuder ma gazelle. Nous laidons à franchir le bord sans tomber. Le bien-être qui se lie sur son visage me montre le plaisir quelle prend dans ce bain chaud.
Ophélie prestement enlève toutes et se présente nue devant moi. Une merveille de seins haut perchés sur son tors avec des mamelons dau moins deux centimètres.
Je viens de prendre ma compagne, mais la vue de cette beauté me fait remplir de nouveau mon pantalon. Elle aussi enjambe la baignoire me laissant voir une chatte avec une toison brune tellement fournie quelle me cache ses grandes lèvres.
Elle rejoint Malaurie qui vient se blottir dans ses bras. Elle lève la tête et regarde son amie avec les yeux quelle me fait lorsquelle veut me montrer quelle maime.
Je les laisse car jentends Samy entrer.
Elle se baigne ?
Oui !
Un whisky ?
Non un coca si tu as ?
Il ouvre un petit frigo placé dans le bar qui est formé par trois demi-tonneaux.
Asseyons-nous !
Le salon, salle à manger, cuisine où je me trouve à une surface telle que lon pourrait y faire entrer des centaines de personnes sans les serrer.
Je peux te poser une question ?
Si je peux répondre !
Tu es flic .
Samy éclate de rire.
Non je suis chef dentreprise.
Alors pourquoi cette carte de police ?
Nous aimons vivre des situations dangereuses, Ophélie et moi. Nous faisons monter notre adrénaline au maximum. Il faut avoir des portes de sortie comme tu las vu tout à lheure. Jai appris cela depuis que jai créé ma boîte qui travaille pour la défense nationale.
Tu es industriel ?
Oui jai une société ou je suis actionnaire principal non loin dici.
Lorsque lon voit notre pavillon et ce que je vois de ton appartement tu dois gagner un max. de fric ?
Je ne me plains pas malgré tout ce que je donne en impôts.
Il faut bien que lÉtat ait de largent pour acheter tes armes !
Tu as raison mais il est bien Français de toujours se plaindre.
Tu ne mas toujours pas expliqué pour la carte ?
Il la sort de sa poche et me la montre. Jai dans les mains une carte barrée bleu, blanc et rouge.
En gros « POLICE NATIONALE » en petit en dessous. « Carte de donateur aux orphelins de la police » Suivi des renseignements sur le titulaire de la carte.
Et cest ce que tu leur as montré ?
Oui, mais la carte ne suffit pas, il faut comprendre deux choses. Lendroit était peu éclairé simplement avec le gyrophare et ne leur permettait pas de distinguer ce quil était écrit dessus. Les simples traits aux trois couleurs leur ont sauté aux yeux.
La deuxième chose quil faut faire et que mon métier ma appris est la fermeté dans mes paroles.
Que leur as tu dis ?
En arrivant près deux sur un ton ferme, je leur ai dit « POLICE » en leur montrant la carte. « Arrêter votre sirène et ces lumières qui nous font remarquer »
« Mes deux collèges sont avec moi sur une interception dun dangereux terroriste. Un de nos indique, nous la signalé quil vient souvent dans cette allée près de dame de petites vertus »
Sa venue était prévue ce soir.
Nous étions à deux doigts de le cerner ce soir. Donnez-moi vos numéros de police, je vais faire un joli rapport qui va vous envoyer au fin fond de la France.
Excusez-nous monsieur, dames !
Ils sont montés dans leur voiture et se sont dépêchés de disparaître. En ce moment, ils ne doivent plus vivre se demandant où ils vont atterrir.
Tu es gonflé et sil ne tavait pas cru ?
Ils nous auraient conduit au poste où nous aurions passé la nuit et au matin mon avocat nous aurait fait libérer avec les appuis que nous connaissons. Nous navions aucun risque que celui de ne pas pouvoir baiser ces deux jolies femmes que je vois arriver près de nous !
Ophélie tenant Malaurie par la taille couverte dun peignoir nous rejoint. Ma petite maîtresse vient sagenouiller devant moi et pose sa tête sur mes genoux.
Mon cur Ophélie ma mangé la chatte, elle ma sucé le clitos et ma fait beaucoup jouir. Tu te rends compte, moi qui viens de perdre mon hymen que tu mas pris il y a peu, je suis devenue une pute et maintenant une gouine. Le plus drôle cest que je serais enchanté de recommencer quand tu le voudras !
Ophélie, as-tu pris ta douche avec Malaurie ?
Non nous avons pris un bain.
Cela je lai vu, je te parlais dune autre douche.
Tu veux dire les jets que jai reçus de sa chatte et que jai adoré avaler.
Les mêmes que jai nettoyés dans la voiture.
Malaurie, va te faire pardonner du travail que tu lui as donné en allant lui sucer la queue.
Elle se déplace à quatre pattes en laissant tomber son peignoir. Jai le temps dadmirer le petit derrière fripon et la pastille brune que jaime défoncer.
Voyant cela, Ophélie se met nue et vient se mettre à quatre pattes son cul plus charnu tourné vers moi. Elle le secoue en tournant sa tête me provoquant à venir la saillir comme le ferait une petite chienne en chaleur excitant son mâle.
Je ne résiste pas, je me mets moi aussi nu et me place à hauteur du séant de la belle, je lui enfourne la chatte. Depuis la piste de danse où je laurais bien violé devant tout le public et les musiciens, la prendre maintenant devant son mari décuple mon plaisir.
Malaurie a bien sucé la queue de Samy qui bande au maximum. Elle se retourne et écarte ses jambes pour se placer de chaque côté du mâle quelle convoite.
Elle lui saisit la verge dune main et la présente à sa rosette. Dun coup elle se baisse et sempale sur le pieu qui lui est présenté.
Nos deux femelles commencent à chanter. Les paroles sont relativement les mêmes.
Oh ! Ah ! Oui ! Je jouis ! Il me défonce bien ! Continu ! Elle est grosse !
Pour finir toutes les deux senflamment.
« Remplis-moi la vulve pour lune » et « remplis-moi le cul pour lautre »
Nous ne nous privons pas de les combler et cest à notre tour démettre des sons significatifs du plaisir quelle nous donne.
Je tombe sur la moquette où Ophélie me rejoint. Le sommeil nous trouve dans cette position.
Au matin, la lumière du plafonnier qui na pas été éteint me réveille.
Ophélie, la main sur mon sexe quelle doit tenir au chaud dort profondément. Je me dégage et vais aux toilettes. Malaurie dort dans les bras de Samy toujours à cheval sur lui. Lui-même allongé dans la profondeur de son fauteuil.
Le jour pénètre par les grandes baies vitrées. Je mapproche pour voir où ils habitent. Surprise, je connais bien limmeuble où ils demeurent. Il surplombe la marne à Saint-Maur. Nous sommes justes face à la petite rue qui conduit à celle où mes parents ont leur petit pavillon.
Tous les dimanches lorsque je cours, je passe devant. Je me suis toujours demandé qui pouvais soffrir de tels appartements dans ces immeubles entièrement en pierre de taille. Du bruit, je me retourne. Samy essaye de ce dégagé et narrive qua réveillé ma belle. Le bruit que nous faisons réveille Ophélie.
Venez, on va prendre un bain ! Je vais démarrer leau. Samy va démarrer le café nos amis en ont certainement bien besoin.
Nous-nous retrouvons tous les quatre dans la baignoire. Je frotte le dos, les seins et surtout la chatte de Malaurie. Elle apprécie le traitement aussi je marrête avant que le niveau de la baignoire monte. Samy pratique de même sur Ophélie.
Samy saisi le pommeau de douche et nous rince un à un. Nous sortons et cest Ophélie qui prend le relais pour nous essuyer. Lodeur du café nous réunit sur la table de la salle à manger. Nos ôte, en un éclair, ont tapissé la table de divers choses appétissantes.
Malaurie a apporté son sac, elle sort une poignée de billets.
Quest-ce que je fais de tout cela ?
La grande se lève et apporte une poignée de billets chèrement gagnée.
Si jai bien compté, vous avez gagné 900 francs avant que vous soyez dérangées !
Je réunis les coupures et les comptes. 500, 600, 700, 800, 900 francs.
Tient-il me reste un billet ?
Timidement.
Cest à moi.
Cent francs la sucette tu en as sucé pour 400 francs.
Dune voix plus timide encore.
Oui mais il y en a un que mont donné 200 francs
Comme cela pour ta jolie frimousse ?
Non pour que javale ! Il ma donné mes 100 francs avant que je le suce comme Ophélie ma demandé de faire la première fois quand nous étions toutes les deux dans la voiture des clients. Lorsquil a déchargé au lieu douvrir la portière et de tout cracher, il ma dit « Cent de plus si tu avales tout »
Jai tendu la main, il ma payé et jai avalé. Je me suis dit, que cétait un client de moins à trouver pour Ophélie ou moi.
Donc vous me rapportez la moitié de ce que vous maviez promis !
Nous éclatons tous de rire et nous nous habillons, Ophélie remet son collier à Malaurie et me rend la laisse.
Samy doit aller à son entreprise et sa femme a rendez-vous avec une amie pour déjeuner.
Cela ne me dit pas de ce que lon fait de ces 1000 francs .
Garde lès pour aller au restaurant avec Christophe. Cela compensera la grande peur que tu as eue.
Samy se propose de nous raccompagner. Je décline car je dois traverser et aller changer mes affaires chez mes parents.
Si tu vas vers la mairie de Champigny jaccepte que tu memmènes, je dois préparer des cours pour demain.
Si Christophe est daccord aucun problème, je monte vers Pontault-combault.
Je quitte nos amis, non sans embrasser tendrement mes deux femmes. Elles me rendent mon baiser bien sur plus appuyé de Malaurie.
Soit sage !
Je prends la direction du Pont du Petit Parc pour traverser et retrouver la maison de mes parents.
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