J'Aime Les Pêcheurs (La Suite)
Jaime les pêcheurs, suite.
Je me réveillai en cette fin doctobre. Il était six heures du matin mais jétais prêt à affronter une belle journée pleine de surprise et de sexe.
Petit déjeuner, douche, lavement et jétais fin prêt pour me rendre à ma séance de pêche (ou plutôt de sexe).
Javais décidé de mettre un string rose et un gilet angora rose assorti très féminin. De plus comme il faisait frais javais mis des jambières en laine rose que javais remontées comme des bas. Elles me tenaient bien chaud!
Jarrivai, comme la veille à 8 heures. Je me garai et allai rejoindre laccueil pour payer le propriétaire.
Je savais pertinemment que jaurai dû me rendre directement près de létang mais je voulais lexciter un peu.
Jentrai et une sonnette tinta. Jattendais et Marcel le proprio apparut.
- Bonjour, je voudrais une place pour la journée.
- Tu nest pas en retard ce matin. Cest bien. Tu me paieras quand tu partiras. On se connait bien maintenant.
Je ne sais pas sil me connaissait bien mais effectivement il mavait bien enculé la veille.
- Tu veux un café, Bruno ?
- Oui ce nest pas de refus.
Marcel revint avec la cafetière et deux tasses et nous servit.
La pièce était chaude et la cheminée dispensait une chaleur qui me devenait insupportable.
Marcel sen rendit compte et me dit que je pouvais me mettre à laise.
- Enlèves ton coupe vent, tu vas prendre froid quand tu vas sortir.
Il avait raison et je dézippai mon imper de pêche.
Jétais désormais devant lui, assis à table pour boire le café.
Marcel remarqua tout de suite mon gilet angora rose orné de boutons perlés.
Jattendais sa réaction.
Il ne dit rien mais pris sa tasse et but une gorgée de café. Jen fis de même.
Son café avait davantage le goût deau et de jus de chaussette mais se laissait boire.
Il se leva avec sa tasse et vint sasseoir sur le banc à mes côtés.
- Tu as fait un très bon choix avec ce pull Chéri. Si tu las mis pour me plaire tu as gagné!
Il sapprocha de moi et me roula une pelle. Sa grosse langue allait et venait dans ma bouche.
Elle avait un goût de cendrier froid et de café mais il savait rouler une pelle. Il me caressait les tétons et me déboutonnai mon gilet.
- Tu me fais bander petite pute. Viens gober ma grosse queue, je sens que tu en meures denvie.
Il enleva son pantalon et son slip et son sexe dressé vint se poser sur mes lèvres.
Je laspirai avec envie et décalottai son gland pour pouvoir encore mieux le sucer.
La journée sannonçait bien!
Il me baisait la bouche tout en me traitant de tous les noms doiseaux.
Je léchai ses grosses couilles et lui introduit un doigt dans le cul.
Il sursauta mais banda encore davantage. Il était prêt à jouir et moi à accueillir tout son sperme.
Je poursuivit ma fellation, bien décidé à le faire jouir.
Soudainement il se retira et mordonna denlever mon pantalon.
Jotai mes bottes, mon pantalon et mes chaussettes. Je navais désormais que mon gilet, mon string, et mes bas de laine roses. Pas vraiment la tenue dun pêcheur!
- Eh bien, ma salope, tu as vraiment décidé de mexciter aujourdhui. Je vais te défoncer. Tu mexcites trop.
Il me demanda de mallonger sur la table sur le dos. Il me fit lever les jambes au maximum et posa son engin sur ma rosette. Il cracha sur mon anus puis y entra sans ménagement.
Sa queue était épaisse mais neut aucun mal à me pénétrer.
Il me traitait toujours de salope et y allait franchement. Je crus défaillir un moment.
Comment ce salop de 60 ans pouvait il tenir un tel rythme!
Il sacharnait entre mes reins et il y a bien longtemps que le plaisir avait pris place à la douleur.
Je me faisais mettre comme une pute et jaimais ça.
- Vas-y, baises moi fort, défonce moi le cul Marcel. Je suis à toi!
Ces mots crus eurent pour effet quil me baise encore plus vite et plus fort.
Son corps poussa et je sentis sa queue au plus profond de moi. Il me jouit dans le rectum. Je pouvais sentir son sperme envahir mon anus et jétais bien.
Il ne semblait pas sarrêter et me remplissait de sperme.
Finalement il retira son bel engin de mon anus et me le présenta à sucer.
Je ne me fis pas prier et avalai toutes les gouttes de sperme qui restaient sur son membre encore dur.
- Jai déjà baisé de sacrées putes mais je dois te dire que tu es la meilleure! Et la journée nest pas finie.
Il se rajusta et membrassa.
Nous avons terminé notre café. Cette séance de baise insolite navait duré quune demi heure mais elle mavait mis en forme et la journée ne pouvait que mieux commencer.
Il était près de neuf heures et je me décidai à aller pêcher. Javais le cul bien ouvert et prêt pour de nombreux assauts.
Alors que jallais me rhabiller Marcel me prit par le bras et mordonna de ne garder que mon gilet, mon string, mes bas de laine et mes bottes.
- Jai réservé létang pour toi et César aujourdhui. Et pour moi aussi. Nous ne serons pas dérangés, je te lassure. Bonne pêche! me dit il en souriant tout en me donnant un baiser et en caressant mes fesses.
Je pris toutes mes affaires et me dirigeai vers ma place de la veille.
Tout était calme.
Jétais bien. Je me trouvais très désirable ainsi vêtu et javais envie de bites.
Je préparai mon matériel pour la pêche et mis mes lignes à leau. Marcel arriva quelques minutes plus tard pour ajouter à létang de belles truites et saumons de fontaine de très belle taille.
- Puisque tu aimes les grosses prises je pense que tu seras satisfait! Bisous.
Il se plaça derrière moi et me claqua les fesses puis membrassa à nouveau.
-Bonne pêche Chéri.
Je lui rendis son baiser puis il tourna les talons.
Je navais pas pour habitude de pêcher quasiment à poil mais cela mexcitait.
Vers 9H30 César nétait toujours pas là.
Jétais un peu déçu. Jaurai bien aimé le sucer mais il avait sans doute autre chose à faire.
Le soleil faisait son apparition et il commençait à faire une bonne température.
Puisque Marcel mavait dit que létang était réservé pour nous je me décidai à enlever mon string. Etant naturiste jaimais bien sentir le vent sur ma queue. Et lendroit si insolite ne faisait que redoubler mon désir.
Je pris quelques poissons, dont certains de plus dun kilo, et continuai à pêcher.
Jétais concentré sur mes cannes à pêche, prêt à déceler le moindre mouvement du scion, lorsque une voix me ramena sur terre.
- Salut Bruno, tu vas bien aujourdhui?
Je me retournai et aperçut César qui venait darriver.
Je le saluai en souriant.
Il vint se placer juste à côté de moi.
- Alors ça mord?
- Oui je nai pas à me plaindre. Cest plutôt une bonne journée.
- Cest ce que Marcel ma dit ! Tu es splendide aujourdhui. Tu pêches à poil?
- Non pas vraiment mais Marcel ma demandé de mettre le minimum de vêtements
et comme il faisait chaud jai décidé denlever mon string rose.
- Avec ton gilet et tes bas en laine, tu me fais bien bander Chéri. Je sens que lon va passer une excellente journée.
Il me donna un fougueux baiser comme si jétais sa femme et parti installer son matériel.
Les touches étaient plus rares et je décidai de mallonger sur lherbe.
César pêchait et faisait mine de ne pas faire attention à moi. Sans doute était il épuisé de la veille.
Je me caressai et fini par me branler activement mais je ne voulais pas jouir.
Jétais là, à regarder mes flotteurs, et à me masturber.
Vers midi César sallongea près de moi.
Mais sa main se dirigea vers mon sexe et il commença à me branler.
Depuis mon arrivée, où je métais fait copieusement enculer, javais vraiment envie de jouir.
Je lui fis comprendre que je voulais quil me suce. Il ne se fit pas prier. Sa langue savait y faire, et explorai toutes les parties de mon pénis.
Elle était si bonne que je ne tardai pas à jouir. César avala toute ma semence et semblait satisfait.
Cétait si bon dêtre ainsi en pleine nature avec une personne qui partage les mêmes goûts.
Il était temps de déjeuner.
Comme la veille nous avions allumé un barbecue et préparé notre poisson.
Cest alors que Marcel arriva pour déjeuner avec nous. Il avait apporté une bouteille de vin, du fromage, et du pain bien frais.
Le repas était presque prêt et nous allions nous mettre à table lorsque César nous dit quil navait pas jouit ce matin et quil avait envie dun bon cul de salope avant de manger. Je sentis que ça allait être ma fête!
Il me prit par les hanches, déboutonna mon gilet, me caressa les fesses et me mit sa queue dans lanus sans ménagement.
Mmmm jadorais ça, il me pilonnait comme une chienne en chaleur et était très excité. Marcel nétait pas en reste et mavait mis sa queue dans la bouche.
Ils me traitaient de salope et de dépravée et me baisaient avec avidité.
Ils jouirent en même temps. Mon cul était ouvert. Marcel navait pas débandé et il se posta derrière moi.
Il neut pas de mal à me pénétrer. Sa queue épaisse était trop bonne!
Il jouit une seconde fois puis membrassa.
Je nen pouvais plus mais jen voulais encore.
- Décidément tu es une sacrée chienne! me dirent- ils.
Jétais fier de les avoir fait jouir.
Nous primes place à table et avons déjeuné tranquillement.
De temps en temps mes deux compères se faisaient sucer et me traitaient de pute pour mon plus grand plaisir.
A la fin du repas Marcel sabsenta. Nous nétions plus que César et moi.
César bandait encore et me fit signe de le sucer, ce dont je ne me fis pas prier.
Je lui demandai si je pouvais le prendre.
Je ne savais pas comment il allait réagir et sil serait daccord.
Il baissa son pantalon et sortit un tube de gel. Il sen enduit copieusement la rosette et me fit signe quil était prêt.
Je lui ouvrai bien les fesses et mon gland se posa sur son cul. Il faisait lui même des va et vient et son anus souvrait lentement. Au moment où il était prêt je poussai un grand coup et mes couilles vinrent heurter ses fesses.
Je le défonçai et il ne cessait de gémir et dy aller encore plus fort.
Il serra son anus ce qui eu pour effet de me faire décharger au plus profond de lui.
Il jouit en même temps que moi.
- On peut dire que tu es aussi une sacrée salope César! Tu aimes la queue.
- Oui jai toujours aimé ça. Tu mas bien baisé.
Il se retourna, me prit dans ses bras et me roula un patin pour me remercier.
Marcel revint une heure plus tard accompagné de trois hommes. Ils étaient tous les trois âgés, légèrement bedonnant, mais dune allure joviale.
Pour ma part jétais toujours vêtu uniquement de mon gilet angora rose et des mes bas en laine de même couleur.
Je les saluai. Ils nétaient pas ment très beaux mais javais encore envie de queues.
En revanche ils étaient entreprenants. Ils se présentèrent et me roulèrent une pelle tout en me caressant.
Je sentais leur sexe gonflé au travers de leur pantalon.
Marcel avait apporté de la « goutte » et me faisait boire le plus possible.
Jétais un peu éméché je dois avouer. Cest alors que tout se passa très vite.
Je voyais un peu des étoiles et mes cinq compères étaient totalement nus autour de moi.
Leurs mains me caressaient, leurs bouches membrassaient et leurs sexes étaient tendus comme des arcs.
Ils me prirent chacun leur tour. Javais à chaque fois une queue dans la bouche, une dans la main et une dans le cul.
Je ne savais plus où jétais.
Mais pourtant cétait si bon. Sentir tous ces corps dhommes matures me prendre chacun leur tour me plaisait énormément. Jétais leur proie consentante.
Ils me défonçaient et se faisaient plaisir et jouirent tous les cinq dans mon anus et dans ma bouche.
Ils me traitaient de salope, de pute, de trou à bite. Ils mhumiliaient et jaimais ça.
Certains, plus endurants, me prirent à plusieurs reprises et jouirent maintes fois.
Jen voulais encore plus! Ils mavaient défoncé la rosette mais je nétais pas encore satisfait.
Cest alors quun autre homme fit son apparition.
Je sus par la suite que Marcel lavait appelé.
Il était plutôt maigre mais musclé.
Il sortit sa bite de son pantalon. Jamais je navais vu une telle bite pour un tel gabarit.
Il me demanda de le sucer puis rapidement se posta sur mon postérieur pour menculer.
Sa queue était énorme mais jen avait envie.
Il la planta dun coup brutal dans mon cul. La douleur fut si forte que je crus mévanouir.
Puis ses mouvements furent plus doux et mon anus shabitua à son énorme membre.
Il me besogna pendant une vingtaine de minutes . Puis je le sentis jouir dans mon cul.
Mmm cétait si bon! Jamais je ne métais senti aussi chienne quà ce moment.
Mais là jétais rassasié!
Plein de sperme coulait de mon anus et ma bouche avait un goût acre.
Je décidai quil fallait que jarrête pour aujourdhui.
Je leur expliquai et leur dit que jallais retourner pêcher quelques heures.
Ils ny voyaient pas dinconvénient et me laissèrent tranquille.
Finalement javais trouvé une bonne bande de copains!
Pendant que je me reposais auprès de létang et surveillai mes cannes je pus constater que mes compères avaient bien dautres idées en tête.
Ils étaient tous à poil et continuaient de se faire prendre chacun leur tour sans rechigner.
Cétait une véritable orgie en plein air.
Visiblement ils se connaissaient bien et rien ne pouvait les arrêter.
Au bout dun moment César reprit place à mes côtés pour pêcher. Les autres sétaient calmés et se faisaient bronzer au soleil.
- Ce sont de vraies machines, ils narrêtent pas de bander, me dit il.
- Tu tes bien fait baiser alors?
- Oui, en fait on adore baiser et se faire baiser, cest pour ça que lon est amis.
Et comme aujourdhui létang est à nous on en profite.
Jallais continuer la discussion lorsque lune de mes cannes se courba pour mindiquer une touche.
Je me levai, laissai partir un peu de fil, puis décidai de ferrer le poisson.
Cétait une belle pièce et je narrivai pas à le sortir de leau. Il sautait et se débattait mais ne voulait pas se laisser maitriser.
Arrivé près de la berge, alors que jétais certain de lavoir suffisamment épuisé il donna un gros coup de queue et cassa la ligne.
Jétais dégoûté.
Je me dis quil était temps de rentrer chez moi.
Je rangeai mes affaires et allai voir Marcel qui dormait à moitié.
Je lui tapai sur lépaule et lui demandai combien je lui devais pour cette journée de pêche.
- Tu ne me dois rien Chéri. Tu as bien travaillé. Tu veux vraiment partir tout de suite?
- Oui ça ne mords plus.
- Ca te dirait de faire partie de notre cercle damis?
- Oui bien évidemment, vous êtes tous très sympas et respectueux.
- Jen ai parlé avec mes collègues et ils sont tous daccord pour taccepter parmi nous.
Ainsi tu pourras venir pêcher gratuitement quand tu le voudras. Il faudra juste que tu toccupes de nous quand lun de nous sera présent. Ca te convient?
- Oui pas de souci.
- Alors suces moi un peu avant que tu ne partes stp.
Je pris son sexe dans ma main puis dans ma bouche. Jaimais vraiment sa grosse bite. Tous les autres étaient sympas mais Marcel était mon préféré. Il savait y faire et bandait bien.
Il me défonçait la gorge puis me demanda de mempaler sur sa queue face à lui.
Sa bite entra sans difficulté et il ferma les yeux. Il ne bougeait plus mais les mouvements de mon bassin le faisait entrer plus profondément à chaque fois. Les collègues sétaient réveillés et nous regardaient baiser. Ils se suçaient et senculaient chacun leur tour.
Marcel, lui, conservait une bonne cadence et me baisait fortement. Il me fit mettre à quatre pattes.
Il avait envie de me prendre en levrette. Il releva mon gilet et menfila dun coup sec.
Mon dieu, que sa queue était bonne!
Je sentais ses couilles claquer sur mes fesses et jétais soumis.
Cétait un pro de la sodomie. Malgré son sexe énorme il ne me faisait pas mal.
Il me jouit dans lanus pendant deux bonnes minutes puis me tapa sur les fesses.
- Merci Chéri, tu es une bonne pute. Nous tintégrons désormais dans notre club.
Tu as largement passé le test. Saches maintenant que si tu souhaites te faire prendre ou bien prendre le cul dun collègue tu le pourras sans souci. Tu es des nôtres.
Je le remerciai. Je pris mes affaires et ne décidai même pas de me rhabiller pour rentrer chez moi.
Quelle journée! Je métais fait de nouveaux amis, et nous partagions tous la même vision de la vie.
Je dis au revoir à tous mes collègues. Chacun prit le soin de me caresser et de membrasser. Leur langue me faisait encore bander. Mais je savais quil était temps que je rentre chez moi.
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