Le Séjour À Strasbourg De Cathy

Cathy à 48 ans, elle est mariée, a deux grands fils. Elle mesure 160 cm, à une jolie poitrine ronde toujours mise en valeur, une croupe qui attire la main et des jolies jambes galbées. Son visage est fin et ses yeux verts vous font chavirer. Elle s’habille classe, avec chemisier et jupe courte et talons. C’est une jolie femme mure qui sait qu’elle’ ne laisse pas indifférent les hommes et certainement aussi les femmes.

Elle est dans le TGV qui la mène de Lyon à Strasbourg, elle va passer quelques jours chez sa sœur et faire du shopping sur les marchés de noel. Elle est en première, sur un siège seul au bout du wagon, elle s’est couverte de son manteau. Elle est bien, elle a chaud, elle ferme les yeux, elle se souvient de son premier voyage à Venise en train couchette, avec son amoureux du moment. Ils étaient 6 dans le compartiment. Un couple de grands parents (65 ans) avec leurs petits s (2ans et 8 ans). La grand-mère couchait en bas avec le petit, et le papy tout au-dessus avec le grand, et elle sur la couchette du milieu avec son chéri. Elle revoit le regard du vieux qui ne la quittait pas du regard, il attendait qu’elle se déshabille pour se mettre au lit, mais ne lui montra rien, enfila une liquette blanche, se mis sous le drap, et enleva ses sous-vêtements, il n’avait rien vu, il était cramoisi.
Dans la nuit, elle fut réveillée, par quelqu’un qui montait dans sa couchette, en lui bâillonnant la bouche pour ne pas qu’elle crie. Tout de suite son chéri lui dit à l’oreille : c’est moi, n’ai pas peur, j’ai trop envie de toi.
Elle : mais tu es fou il y a plein de monde ici
Il commençait l’embrasser dans le cou, et à déboutonner sa chemise, il avait repoussé le drap, elle sentait son sexe raide contre sa hanche
Dans un sursaut pour éviter un baiser, elle tourna la tête en direction du papy, et dans la pénombre elle le vit en train de les mater. Cette vision, l’excita au plus haut point, elle prit la bouche de son homme, se mis sur le côté face au voyeur, son homme derrière elle, elle écarta les cuisses, guida de sa main la bite tendue et se laissa besogner, tout en se mordant les lèvres pour ne pas gémir trop fort, et en regardant le vieil homme droit dans les yeux.

il devait bander comme un cheval, il avait une vue imprenable sur son corps nu et sur sa chatte qui se faisait limer.
Elle eut une forte jouissance, et se réveilla en sursaut, elle était en sueur sous son manteau, une main passée dans son pantalon, elle venait de se masturber en repensant à cette aventure. Elle osa un doigt sous son string, sa chatte était très humide. Elle remit un peu d’ordre dans ses affaires, elle avait 15 minutes pour reprendre ses esprits avant l’arrivée à Strasbourg.

La semaine se déroula super bien, sa sœur, Sylvie avait pris quelques jours de congés pour être avec elle.
Elle travaille dans un organisme international basé dans la capitale alsacienne, elle a beaucoup d’avantages et il y a souvent des réceptions un matin Sylvie lui dit :
Sylvie : j’ai reçu un mail demain soir il y a une soirée à mon boulot, ça te dirait d’y aller ?
Cathy : pourquoi pas, mais j’ai rien à me mettre
Sylvie : j’ai ce qu’il te faut. De toute façon on y va on boit une coupe et on repart, car après une certaine heure, l’alcool
aidant, les mecs deviennent lourds
Cathy : tu as raison, on y va pas pour trouver un mec on a ce qu’il faut à la maison.
Sylvie : (en rigolant) quoique parfois un petit extra ça ne fait pas de mal
Cathy : (l’air choquée) tu ne fais pas ça quand même
Sylvie : 3 fois en 30 ans, tu l’as jamais fait toi ?
Cathy : si je voyais mon ex au début que nous étions ensembles, mais ça a duré 6 mois, il y même eu des jours ou je baisais
le matin avec Alain, le midi avec mon ex, à 5h avec mon ex et le soir avec Alain j’en avais plein la chatte mais depuis
23 ans maintenant je grignote la même saucisse.
Et elles éclatèrent de rire.

Pour la réception du Vendredi Sylvie choisit de mettre un tailleur noir, pantalon moulant, veste croisée, avec juste un bustier de soie blanche, pour couvrir son décolleté. Cathy choisit une jupe en cuire noire, courte, un chemisier semi transparent, qui laissait voir le soutien-gorge noir à balconnets, une paire de dim-up et des talons.


Elles arrivèrent, discrètement et s’installèrent dans un coin pour observer tout en buvant une coupe. Cathy surpris bien quelques regards insistants de mâles en quête d’aventure mais rien de plus.
Puis Sylvie fut enlevée par deux amies qui voulaient lui présenter quelqu’un.
Cathy pensa qu’elle allait faire tapisserie, quand un homme d’un certain âge, vint à sa rencontre une coupe à la main
Le Baron : Madame veuillez accepter cette coupe, je ne peux laisser une aussi jolie femme seule et désemparée
Cathy (en prenant la coupe) je suis seule mais pas désemparée, Merci.
Et la conversation s’engagea. Il était Baron, travaillait comme responsable dans cette institution, il était riche et veuf.
Elle femme mariée, venu rendre visite à sa sœur, qui travaillait elle aussi dans l’institution.
Ils parlèrent de tout et de rien, tout en buvant du champagne. Tout à coup le Baron lui proposa de lui faire visiter son bureau, elle hésita un instant puis accepta, en sachant très bien que le vieux monsieur avait une idée derrière la tête.
Cathy : je préviens ma sœur et je vous suis.
Le Baron : je préviens mon chauffeur et je vous accompagne.
Quelques instants plus tard
Le Baron : tout est OK
Cathy : oui tout est OK sauf que ma sœur doit partir
Le Baron : ce n’est pas grave je vous raccompagnerai, j’ai mon chauffeur qui est là .
Cathy tourna la tête dans la direction indiquée et découvrit, une charmante jeune femme d’une trentaine d’année, habillée comme un chauffeur mais avec une jupe très courte qui ne cachait rien de ses jolies jambes, qui lui faisait un petit signe de la main.
Rassurée, elle dit à sa sœur toujours au tel qu’elle pouvait partir que tout allait bien, que quelqu’un la raccompagnerait.

Et elle emboita le pas de son chevalier servant direction les ascenseurs. Quand ils montèrent dans la cabine elle fut surprise mais rassurée de voir que le chauffeur les avait suivi, elle pensa le vieux n’osera pas me faire des propositions malhonnêtes, devant la petite.

Arrivée dans le bureau, très spacieux, meublé sobrement d’un canapé d’angle, et d’un grand bureau en bois, sur lequel trônait un ordinateur. Le fond de la pièce n’était qu’une baie vitrée qui dominait la ville.
Cathy demanda si elle pouvait aller se rafraichir, quand elle sortit elle alla retrouver le Baron qui contemplait la vue, Ema (le chauffeur) avait à son tour été se rafraîchir.

Tout à coup elle sentit la main du baron sur ses épaules,
Le Baron la vue est magnifique tout en la regardant
Elle se dégagea doucement en disant vous êtes un flatteur.
Il se rapprocha et lui mis la main sur les fesses, elle recula une nouvelle foi, mais se heurta au coin de la vitre. Le Baron se colla contre elle, la plaqua contre la baie vitrée, elle sentait le froid de la vitre sur sa joue, le corps de l’homme s’écarta un peu, elle pensa qu’il abandonnait, elle arrêta de débattre. Soudainement il passa ses mains devant elle, lui attrapant les seins, la souleva et fit demi-tour et la coucha sur le bureau, lui maintenant les mains au-dessus de la tête avec sa main gauche, il déboutonnait le chemisier et caressait ses seins. Il essayait de l’embrasser, mais elle détournait la tête, et ses lèvres se posaient dans son cou, il lui mordillait l’oreille en lui disant :
Le Baron : ne faites pas l’ laissez- vous aller , ça va être bon
Les baisers dans le cou, les caresses sur les seins, commençaient à faire effet et Cathy chavirait doucement, elle allait poser es lèvres sur celles du Baron, quand elle sursauta on lui caressait les cuisses. L’homme vit sa surprise et lui dit de ne pas avoir peur, que c’était son chauffeur qui venait participer à la fête
Cathy ; mais je ne suis pas gouine je ne veux ……….
La bouche de son amant venait de se poser fermement sur la sienne, il venait de faire sauter le soutien-gorge, il tordait ses pointes des seins
Ema lui caressait le sexe à travers sa culotte, puis passa un doigt sous le fin tissu, Cathy se sentit pénétrer d’un coup, ses dernières résistances lâchèrent, elle ouvrit la bouche sa langue alla à la rencontre de celle du Baron, leur salive se mélangeaient,
Elle n’avait fait aucune difficulté, quand Ema lui avait enlevé sa culotte et maintenant lui léchait la chatte qui mouillait de plus en plus, elle sentait la langue qui montait et descendait le long de ses lèvres, elle la pénétrait ressortait, lui léchait le clitoris, repartait, c’était très bon, elle écartait les cuisses un maximum.

Comme dans un nuage elle sentit que le baron se levait, Ema la pris par la main l’attira à elle, l’embrassa goulument tout en la déshabillant entièrement, elle la mena jusqu’au canapé, ou elle s’allongea sur elle, elle sentait le corps nu et chaud de cette femme sur le sien, sa langue dans sa bouche ses mains sur ses seins. C’était une première mais c’était bon.
Le baron apparu tout à coup entièrement nu, tenant dans la main son sexe large est court en érection. Délicatement il fit asseoir Cathy les jambes bien ouvertes, elle crut qu’il allait la pénétrer, mais il demanda au chauffeur de la lécher, et il présenta sa bite à sa bouche, elle laissa entrer le sexe chaud, elle recommençait à avoir du plaisir la langue d’Ema posée sur son sexe était merveilleuse. Le Baron était de plus en plus actif avec sa bouche il respirait de plus en plus fort
Le baron : je vais bientôt jouir, ta bouche est merveilleuse, Cathy essaya de se retirer mais il lui prit la tête entre les mains pour la maintenir et il jouit à grands jais dans sa gorge, elle sentait le liquide chaud couler le long de ses lèvres, il la lâcha se retira, elle dit :
Vous êtes un salauuuuuuuuuuuuuuuu………………….. Mais un orgasme fulgurant la traversa elle jouit, je jouiuuuuuuuuuuuuuuuuuuuu c’est trop bon, elle ferma les yeux et sombra dans une demi torpeur, après quelques instants elle sentit une langue qui lui nettoyait le menton et les lèvres, qui cherchait sa langue, c’était doux c’était Ema. Le vieux les regardait avec un sourire aux lèvres. Ema se leva et vint s’adosser au bureau à côte de l’homme, qui délicatement commença à lui caresser le sexe
Le baron : vous étiez belles toutes les deux, Cathy vous devriez rendre à Ema ce qu’elle vous a donné.
Cathy : je reconnais c’était délicieux, mais je le répète je ne suis pas gouine
Toujours le sourire aux lèvres le Baron s’approcha la main par la main et l’emmena vers Ema.
Il guida la main de Cathy sur le corps du chauffeur, le cou, les seins, le ventre, les cuisses, le sexe.
Cathy ne bougeait plus, elle avait deux sentiments, le d’égout et l’envie de prendre ce corps jeune et soyeux.
Ema passa une main sur sa nuque et attira son visage vers le sien, leurs bouches se touchèrent. Immédiatement leurs langues se trouvèrent, leurs lèvres étaient chaudes et semblaient inséparables. Leurs mains, exploraient doucement leurs corps.
Ema délicatement se sépara de Cathy pour s’allonger sur le bureau, les jambes pendantes, mais bien écartées
Ema : donnes moi du plaisir avec ta bouche
Cathy : (un peu affolée toujours entre l’envie et la répugnance même si elle aimait caresser la jeune femme) mais je ne ‘ai jamais fait, je ne sais pas comment faire
Ema : (en poussant doucement sa tête) t’inquiète pas ça vient naturellement, aller fait le
Cathy en soupirant descendit en couvrant de baisers, le jeune corps, arrivé au pubis, elle hésita, déposa des baisers sur les cuisses, puis revint vers le sexe, qui sentait la femme en chaleur, elle voyait la vulve briller de plaisir naissant. Alors délicatement elle posa sa bouche sur les lèvres offertes, elle appuya fort, sentit le sexe s’ouvrir, elle approcha sa langue, qui gouta à la mouille du chauffeur, qui commençait à gémir. Cathy s’enhardit, elle fit descendre sa langue le long du sexe, s’arrêta sur l’anus qu’elle força doucement, Ema ondulait du bassin comme si elle, voulait se faire pénétrer plus profond.
Elle remonta en léchant et vint titiller le clitoris qui tout gonflé de plaisir n’attendait que ça. D’abord elle le lécha, comme une chatte nettoie ses petits, voyant Ema soupirer et gémir de plus ne plus fort, elle accéléra le mouvement, en lui donnant des petits coups de langues très rapides.
La jeune femme, se tordait sur le bureau, elle appuyait sur la tête de Cathy et avait resserré les cuisses, elle gémissait
Ema : oui ma chérie vas-y ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii gouines moi, lèches moi, fais-moi du bien, tu es bonne ouiiiiiiiiiiiiiii
Cathy se dégage a un peu, passa sa main et sans décoller sa bouche, pénétra le vagin trempé d’un coup, avec deux doigts. sa maitresse fut prise d’un orgasme fulgurant, Cathy cru étouffée tant elle serra les cuisses et elle dû avaler presque toute la mouille de cette femme fontaine.
Ce fut Le Baron qui l’air très satisfait vint les relever, les fit asseoir sur le canapé en leur offrant une coupe de champagne.
Apres quelques minutes, Cathy demanda à être raccompagnée. Le Baron est proposa et envoya Ema faire de beaux rêves.
Ils prirent place dans un gros 4X4, il conduisait doucement, sans parler, à travers les rues de Strasbourg désertes, elle somnolait, ses évènements l’avaient épuisés, elle avait hâte de prendre une douche et de se coucher.
Tout à coup elle sentit une main remonter le long de sa cuisse, pour venir lui caresser le sexe
Cathy : Baron ce n’est pas raisonnable
Le Baron ; j’ai encore envie de vous, j’ai envie de remplir votre sexe
Cathy : vous avez déjà rempli ma bouche, ça ne vous suffit pas.
Le Baron : non j’ai envie de plus
Cathy : et on fait ça ou ? Dans la voiture, au bord du trottoir comme une pute avec un client ?
Le Baron : oui pourquoi pas ? la voiture est bien chauffée, les vitres sont teintées, les portières bouclées on ne risque rien .
Il s’arrêta, elle le regardait, se demandant ce qu’il allait faire. Electriquement il fit reculer son siège, elle sentit le dossier basculer vers l’arrière. Dans le même temps, il enjambait la console centrale et se retrouvait, à genoux entre les jambes de sa passagère. Sans lui laisser le temps de réagir, il plongea la tête sous la jupe, et lui bouffa la chatte avec force

Cathy : (en écartant les cuisses) vous voulez me sauter comme une pute alors ne perdont pas notre temps
Il soupira, se releva, ne défaisant son pantalon sortit sa bite tendue, elle avait écarté sa culotte il n’avait plus qu’à se planter dans ce sexe offert.
Il la pénétra brutalement, chercha sa bouche, qu’elle se refusait à lui donner, en bougeant dans tous les sens et en se débâtant.
Il lui tenait les bras au-dessus de la tête et il la limait avec force. Tout à coup il la sentit se détendre et gémir doucement, il lui lâcha les mains, qu’elle appliqua fortement sur ses fesses
Cathy : ouiiiiiii vas-y défonce moi fort, vas au fond de ma chatte
Le Baron : (en s’activant de plus ne plus fort) oui tu aimes ça salope ? te faire défoncer dans une voiture comme une pute ?
Cathy : ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii, j’adore, vas-y vas-y limes moi fort fort ouiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiiii
Elle releva et écarta un maximum ses cuisses pour le sentir au plus profond de son ventre, leurs bouches se soudèrent, leurs langues et leurs salives se mélangèrent et dans un dernier sursaut, il jouit en elle, elle sentit son orgasme venir en même temps qu’il répandait son sperme sur les parois humides et chaudes de sa vulve dilatée par le plaisir.
Ils restèrent sans bouger quelques instant, puis sortant de sa torpeur elle le poussa, sentit le sexe ramollit sortir de son ventre et leurs plaisir couler sur ses fesses.
Cathy : bon vous me ramenez maintenant, vous êtes un beau cochon, mais je dois dire que j’ai bien aimé
Le Baron : Merci, quand à vous, vous faites la timide au début, mais une fois partie vous êtes une sacrée bombasse chaude

En arrivant elle le remercia d’un chaste baiser en lui disant : Au fait c’est quoi votre petit nom M Le Baron ?
Le Baron : ça personne ne le sait jolie dame.

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