Plan Direct

J’ai toujours été attiré par les hommes plus âgés, celui-là m’intéressait et la conversation que nous avions eue me laissait augurer de bonnes choses.
Je sonnais donc à l’interphone, il m’indiqua l’étage et me voici devant la porte qui s’ouvre aussitôt. Un peu plus grand que moi, un peu bedonnant mais un bon sourire, j’entrais donc en le saluant.
Il me conduisit dans le salon meublé de manière conventionnelle, un fauteuil, un canapé, une table basse et une télévision. Pas de quoi être effrayé par les lieux. Nous avons discuté un peu, il m’offrit un verre puis est venu le moment de passer aux choses sérieuses. Je lui demandais de m’indiquer la salle de bain car je souhaite une hygiène parfaite. J’entrais, ne fermant pas la porte mais la laissant simplement poussée, et fis une toilette intime en me demandant s’il allait en profiter pour jeter un œil. S’il l’a fait, je n’ai rien remarqué et je suis donc retourné au salon habillé, car je savais qu’il aimait voir un homme s’effeuiller devant lui.
Lentement j’ai retiré un à un mes vêtements devant lui, le spectacle semblait lui plaire car je voyais la basse de son pantalon devenir de plus en plus évidente. Il m’a fait tourner sur moi-même, ne perdant aucun détail de mon anatomie. Il s’est levé, a retiré son t-shirt, fait glisser son pantalon et son slip pour dégager un membre de bonne taille.
Il m’a demandé de me mettre à genoux sur le fauteuil, la poitrine contre le dossier et les cuisses écartées de manière à présenter mes fesses ouvertes. Il a posé ses mains sur ma croupe, caressant les globes, passant la main entre mes cuisses pour flatter mes couilles et s’attarder quelques instants sur ma verge. Ses doigts se promenaient partout, s’aventurant dans le sillon ouvert, massant doucement mon anus, ce qui me fit pousser un petit gémissement. Il restait de plus en plus longtemps à cet endroit, pressant légèrement pour, d’un coup, en foncer une phalange ce qui me fit tressaillir.

Mon trou s’habitua à cette présence et il commença de petits mouvements de plus en plus amples à mesure que la lubrification naturelle le permettait. Il ressortit son doigt d’un coup, me faisant sursauter.
Il s’est éloigné, a pris du gel et est revenu continuer le travail amorcé. Cette fois il poussa d’un coup son doigt enduit, les mouvements étaient plus amples, plus profonds. Il le ressortit pour entrer de nouveau mes avec deux doigts et continuer à me fouiller. Ce jeu dura un bon moment, mes gémissements lui prouvant que je trouvais cette activité agréable. Lorsqu’il considéra que l’entrée était bien préparée, il s’éloigna de nouveau, enfila un préservatif et revint vers moi. Il se positionna derrière, ses cuisses entre les miennes et présenta son membre à l’entrée. Il me saisit aux hanches et poussa, le gland passa mais le reste avait un peu de mal. Qu’importe, il ressortit complètement, remit trois doigts en moi puis se remit en position. Cette fois il entra complètement, les poils de son pubis touchent mes fesses de manière agréable. Il s’est mis à me besogner consciencieusement, en longs mouvements assez lents puis il s’amusa à ressortir et à rentrer d’un coup, ce qui me faisait haleter. Au bout de longues minutes il arrêta son mouvement, ressortit et, après m’avoir donné une claque sur les fesses, me dit « On change de position ! ».
Il posa une serviette sur le canapé, me fit me coucher sur le dos, les fesses sur l’accoudoir, relevant ainsi mon bassin. Il se positionna de l’autre côté, mit mes jambes sur ses épaules afin de libérer complètement l’accès et me pénétra. Mon anus dilaté et encore plus ouvert dans cette position l’accueillit en entier. Il m’a limé pendant longtemps, poussant des petits grognements et d’un coup se raidit et poussa un cri : il avait joui.
Il s’est retiré, m’a laissé souffler dans cette position particulièrement osée, rondelle grande ouverte puis je suis passé à la salle de bain pour une rapide toilette. C’était encore une belle expérience, sans doute à renouveler.