Leslie Ph12
Leslie PH12 Petites histoire courtes
Sandrine à Paris
Il faisait nuit depuis bien longtemps, une nuit sans lune où la noirceur de la nuit enveloppe les derniers badauds, il faisait chaud place du Tertre, en cette mi-juin, et les derniers passant étaient habillés légèrement.
Les portraitistes installés, ne faisaient plus de racolage pour dessiner un visage, ils commençaient à replier leur matériel après une chaude journée accablante.
Sandrine, perdue dans ses pensées déambulait, se laissant guider par son instinct et sa soif de découvrir Paris. Cette jeune fille de dix-huit ans, toute menue au visage in, les cheveux dun blond lumineux est rehaussé par des yeux bleus lumineux. Petite avec son mètre soixante, une taille fine et une petite poitrine juvénile.
Elle a tout dun petit canon en mal daventure
Alors quelle commence à redescendre vers les grands boulevards, elle sent derrière elle une présence et sarrêtant pour se retourner, découvre un homme qui la contemple, les yeux brillants de désir.
Il se rapproche delle et elle découvre un homme dune quarantaine dannées,, viril et très beau.
- Perdue ? demande lhomme.
- Non, réponds-t-elle machinalement.
- Seule dans la nuit noire, tu nas pas peur ?
- Peur de quoi ?
- De moi !
Elle rigole, alors lhomme sapproche, le contact se fait et aussitôt un des mains de lhomme glisse sur le devant de la jupe, parcourt son ventre plat, caresse la cuisse gauche et remonte sous sa jupe, atteignant laine dénudée que le string ne couvre pas.
Sandrine halète et elle entend lhomme lui demander :
- Je te plais ?
- Oui
- Tas envie ?
- Oui ! Dit-elle dans un souffle.
La main de lhomme se décale pour se poser sur son pubis tandis quil se penche pour poser ses lèvres sur ses lèvres roses.
Elle crispe frénétiquement ses cuisses lune contre lautre comme dans un dernier sursaut de pudeur pendant que leurs bouches se soudent définitivement.
- Ohhh, tu me rends folle ! Dit-elle doucement.
Cet aveu est pour lui un signal, il la retourne et ses mains retroussent sa jupe sur ses reins, caressent de nouveau son ventre plat et se faufilent sous lélastique du string pour arriver au contact de sa vulve imberbe.
Les doigts inquisiteurs trouvent bien vite la brèche et la pénètrent, index et majeur immédiatement englués dans un flot de cyprine et visitent lantre offert sans vergogne, la faisant gémir puis crier.
Lhomme jubile en découvrant quelle est vaginale et mouille comme une folle et encore plus lorsque son index remonte et trouve son clitoris, provoquant une ruade sauvage de Sandrine.
Puis lhomme sadresse à Sandrine :
- Toi, tes en mal damour et tu dois être une chaude ! Cest rare de voir une jeune femme mouiller comme ça !
Cest le moment que lhomme choisit pour faire glisser le string le long de ses hanches, elle tente de le repousser, haletante en disant :
- Non, pas ici, quelquun peut venir.
Il rit doucement.
- La ruelle est déserte et à cette heure nous ne serons pas dérangés !
Elle sent contre son postérieur, maintenant dénudé, le relief imposant de la virilité tendue. Il déboutonne son jean pour laisser son membre libre, au milieu de la ruelle, car il ne porte rien sous son pantalon et sa virilité érigée vient se caler contre les fesses de Sandrine.
Elle écrase ses fesses contre la virilité de celui qui va devenir son amant, quun doigt arrive au contact du clitoris, faisant se cambrer encore plus contre le membre qui sinsinue entre ses globes
- Tu aimes ?
- Oui jaime ! Oui
Le majeur quitte un instant le clitoris maintenant décapuchonné, pour pénétrer, accompagné de lindex, dans son vagin et les doigts, immédiatement, entreprennent une visite des lieux, senfonçant aussi loin que possible, lhomme jubile en constatant que lintimité visitée est accueillant, complètement humide, mais relativement serré.
Lautre main senfonce dans le profond sillon et arrive au cratère le plus secret et là encore, cest le majeur qui agit en éclaireur et parvient à lorée de lanneau froncé. Elle se cabre, tentant déchapper à la caresse comme pour prouver une certaine pudeur.
- Tu nas jamais été sodomisée ?
- Si, mais
- Tu naimes pas ?
- Si, mais tes trop gros
- Pas de risque je suis très doux, tu aimeras et je sens que tu en as envie
- Mais
Pas le temps de finir sa phrase, elle sent le gland contre lentrée de son vagin et sans quelle fasse quoi que ce soit le membre raide sintroduit en elle jusquà la garde. Elle pousse un cri de démente se sentant largement distendue, se retirant un bref instant il revient aussitôt à la charge, pour replonger en elle, la faisant feuler et gémir de plaisir.
Sandrine arrive tout de même à balbutier :
- Ohhh
ohhh, doucement, ohhh que tu es gros, doucement
En effet, elle sent que le membre qui la pénètre doit faire le double en épaisseur de ceux qui ont eu loccasion de visiter son intimité, mais bien vite cest elle qui se cambre davantage et vient au-devant de lhomme qui la pilonne.
Lhomme, survolté par le fait de baiser cette jolie inconnue et le spectacle offert de cette superbe croupe au petit anneau brun plissé qui nattend que son membre, comprime la taille de ses deux mains puissantes, tel un centaure, il envahit la jeune femme alors quelle laisse échapper des gémissements de bonheur.
Lhomme est au bord de lexplosion, il prend dans une main les cheveux de Sandrine et les tire en arrière pour la cambrer davantage, elle ne peut et ne songe dailleurs pas à sarracher du membre qui linverti et lorsquelle sent les crispations du membre en elle, des mots damour sortent de ses lèvres faisant accélérer derrière elle, son pourfendeur qui accélère ses va-et-vient
Mais lhomme soucieux de ne pas jouir de suite, réussit à calmer son ardeur, ses gestes deviennent plus doux et, toujours enfoncé dans le ventre chaud de Sandrine, il caresse la croupe en caressant les bords de son anus offert.
Elle enfouit son visage dans ses bras posés contre le mur et se cambre encore plus, à la demande de lhomme, qui sort de son ventre ruisselant, son membre trépigne et se redresse maintenant libérer et se pose sur lillet froncé de Sandrine.
Lhomme perçoit les dénégations de la jeune fille, presque étouffées par les gémissements quelle émet, se muant en une supplique de plaisir qui samplifie quand le gland de son amant caresse lorée de son anus, il apprivoise le sanctuaire soit disant interdit et force le passage sous un hurlement de démence.
Sandrine ne peut que gémir en disant :
- Non, non, pas par-là !
Mais les mouvements ondulatoires de son bassin en disent long sur son trouble à être ainsi explorée, son amant se redresse, la verge épaisse déjà légèrement engagée dans le cratère brun de Sandrine, les plis défroncés de lendroit prouvent à quel point elle est distendue et malgré elle, elle accentue encore plus sa cambrure, offrant impudiquement au regard de lhomme le spectacle affolant de son intimité investit.
Lanneau ayant à peine résisté, ce nest quune formalité pour quil ninvestisse complètement létroit boyau de Sandrine, qui sanglote partagée entre douleur et plaisir.
Lhomme éructe :
- Ohhh, petite enculée, comme tu me serre bien !
- Doucement, cest si gros, ne peux que dire Sandrine.
En un instant la cause est entendue et le rectum de Sandrine accueille le gros membre de lhomme, le cul de Sandrine vient de se rendre, de souvrir à la verge hors norme de cet inconnu, une verge massive qui entame maintenant un mouvement de conquête, affirmant sa présence, se créant un passage dans létroitesse de son boyau.
Sandrine, se donne, elle se fait sodomiser en gloussant tendrement
Lhomme trouve la bonne cadence, il va-et-vient entre ses reins, sa main droite passe sous le ventre de la jeune femme, caressant, cherchant dans les replis de la vulve, trouvant le clitoris décapuchonné et lastique, la faisant se cabrer et sempaler davantage.
Cest elle maintenant qui lance son postérieur contre le pieu qui la perfore, se faisant défoncer comme une petite vicieuse et après de longues minutes jouit en hurlant, perd léquilibre, mais lhomme la retient dans ses bras et délivre un torrent de lave brûlante dans son conduit élargi.
Restant engagé dans le rectum de Sandrine, il la maintient contre lui, embrassant tendrement la nuque de Sandrine, il caresse sa poitrine et agace son clito, la faisant onduler conte lui. Il nen faut pas plus pour quil retrouve sa vigueur et reprendre la sodomie.
Sandrine hurle à nouveau, tant lassaut est rude, le membre en elle parait encore plus gros dans ses chairs endolories, il la pilonne plus rapidement que la première fois en lui murmurant des insanités à loreille :
- Tu aimes ça, hein, salope ? Tu aimes te faire enculer
- Oui, jaime ton gros membre qui me défonce !
- Taime ça le cul ?
- Oui jaime ça une bite dans mon cul, ohhh chéri
Sandrine connaît un nouvel orgasme, juste au moment où son amant jouit en elle à nouveau.
Lhomme lui caresse la croupe en se retirant et lui demande !
- Alors, tu as aimé ?
- Jai adorée
Il lui caresse encore le postérieur, insinuant son index dans son illet. Elle lui dit quelle a un peu mal, alors il ninsiste pas.
En un clin dil, il est rhabillé et prend congé, la laissant le cul nu dans la ruelle, le string aux chevilles et son anus qui laisse échapper la jouissance de son amant sur ses cuisses dénudées
A suivre
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