Clémence
Jai de la chance: je retrouve après 15 ans, Clémence, la fille que jaimais en terminale. Nous étions amoureux lun de lautre, je pense elle plus que moi. Dailleurs cest elle cest donnée à moi à cette époque. Cétait un mois à peu près avant la fin des cours. Je men souviens comme si cétait hier:
Nous étions avec la bande de copains dans un bistrot pour fêter un anniversaire quand, entre deux baisers elle me demande de la dépuceler. Je nétais plus vierge depuis un moment. Je lui demandais depuis longtemps de faire lamour avec moi. Elle refusait toujours, même si larrivais à la caresser entre les cuisses souvent en la faisant jouir. Elle me suçait quand jen avais envie. Nous navions quun seul point de désaccord, baiser.
Aujourdhui, leffet de lalcool peut être ou simplement une preuve damour, elle me désire. Je ne demande pas mieux. Se pose quand même la question de savoir où nous pourrions aller. Chez elle, pas possible: ces parents sont là, chez moi oui, à condition dattendre le soir vers 23 heures: ma chambre est séparée de lappartement, seulement jai peur du bruit.
Nous sommes donc chez moi, je suis assis sur le lit, lui tient la taille, caresse les fesses. Elle se laisse faire. Je me lève pour la prendre dans mes bras: elle saperçoit vite que je bande. Elle se retient pour ne pas mettre sa main sur ma bite, alors que pour un simple touche pipi elle ne se gêne pas. Elle attend que je joue mon rôle de mâle. Je la déshabille en amoureux: jembrasse tout ce que je découvre. Quand elle est nue jen profite pour la serrer contre moi. Elle sens contre son ventre ma queue bien bandée.
- Tu en as envie ?
- Bien sur, tu sais que je te veux depuis toujours.
- Moi aussi,
- Alors pourquoi tu refusais ?
- Javais peur.
- Peur de quoi ?
- Que tu me fasse mal;
- Je vais te faire un peu mal quand jentrerai dans ton ventre!!
- Je sais, mais maintenant, je risque de partir pour longtemps.
- Partir ? Où ?
- Ca dépend des mutations de mon père.
Je vais profiter de son départ pour la baiser Clémence. Je me déshabille rapidement. Elle ne regarde que ma bite bien droite. Elle ne peux sempêcher de la toucher et de me branler. Je suis obligé de larrêter. Elle mécoute en partie, elle sassoit sur le lit, juste à la hauteur de ma bite, me prend dans la bouche pour commencer une fellation.
Jarrive à éviter quelle aille trop loin. Je la pousse sur le lit, les jambes pendantes pour que je puisse les écarter et mettre ma tête entre ses cuisses. Cest la première fois que je vais la lécher. Elle ma souvent dit quelle se masturbait, je sais que je la faisais jouir en la branlant. Ma langue dans sa chatte se démène pour aller vers les endroits les plus secrets à commencer par le clitoris. Dès que le bout de ma langue est dessus elle commence à gémir. Je complète mon léchage par un doigtage pas tout à fait complet. Je lui met seulement un seul doigt. Je complète mes caresses par un doigts sur son anus. Jen fais le tour avant de forcer un peu pour le mettre dans son cul. Une fois quil y est, elle ne dit pas non.
Je la fait jouir deux fois avant de lallonger sur le lit: delle-même elle est couchée les jambes ouvertes. Je vais sur elle. Je suis surpris de sentir sa main venir chercher ma queue pour la guider dans son ventre. Je pose ma bouche sur la sienne pour le baiser que je qualifierais de nuptial. Nos langues commencent le ballet de lamour. Je reste sur elle, juste à lentrée de sa chatte. A dire vrai jai peur de la dépuceler. Cest elle qui insiste
- Baises moi maintenant.
- Attends un peu.
- Non. Elle donne un coup de rein et je me trouve la bite au fond de sa chatte. Elle pousse un léger cri.
- Tu as mal ?
- Jai eu mal un peu quand ta bite est entrée. Maintenant je nai plus mal, au contraire. Je sens même le plaisir qui arrive.
Nous nous taisons pour déguster ce que nous faisons.
- Encules moi.
- Maintenant, je ne peux pas, jai débandé;
Ce nest pas grave, je vais te faire bander comme ma apprit une copine.
Elle prend ma bite dans la bouche, aspire sur le gland, passe une main dessous pour caresser mes couilles et lautre va derrière. Elle cherche mon cul,; y entre la moitié au moins dun doigt quelle fait aller et venir lentement. Le résultat est que je bande à nouveau.
Cette fois elle se mouille lanus avec sa cyprine, prend ma bite et la met sur son anus. Je nai pas besoin de son aide. Jentre très lentement dans son cul qui cède sous la pression de mon gland. Je narrête que quand il est passé après son sphincter. Elle me dit quelle a mal et quelle veut continuer jusquà ce quelle jouisse du cul. Je sais que je prend mon plaisir dans son conduit resserré. Enfin elle me dit jouir: cest vrais je le sens autour de ma pine. Elle jouit tellement que je jouit dans son ventre.
Nous arrêtions là et elle part quelques jours plus tard.
Je passe donc 15 ans sans revoir Clémence. Entre temps je le suis marié, sans . Mais Clémence, cet amour de jeunesse na jamais quitté mon cur. Elle a changé bien sur, par contre elle nest pas mariée. Notre rencontre est fortuite: elle est haut fonctionnaire à la préfecture. Jai appris son arrivée par la presse. Elle revisite sa ville dorigine. Et nous nous croisons. Nous nous reconnaissons bien sur. Nous allons dans le même café où elle ma demandé de la dépuceler.
Nous ne résistons pas à nous embrasser comme avant. Je ne peux mempêcher de lui mettre une main sur un genoux. Jai enclenché le processus; nous savons que nous allons être amants. Elle avoue avoir eu plusieurs amants, ne pouvant vive comme une recluse: aucun ne lui a donné envie de se marier.
Nous prenons rendez vous pour laprès midi même dans un de ces hôtels en bordure des villes.
Elle se couche aussitôt, me prend par la bite pour me mener, comme la première fois sur son sexe. Je nattends pas je la pénètre rapidement. Je retrouve cette impression de plénitude que javais eu en la dépucelant. Nos sexes sentendent parfaitement bien. Je la sens jouir deux ou trois fois quand elle me fait sortir de sa chatte pour se retourner, prendre ma bite dans la bouche et me donner sa chatte à lécher.
Je trouve son gout meilleur encore que la première fois. Javale son clitoris, le doigte profondément. Je pousse même la familiarité à lui entre deux doigts dans le cul. Elle me le rend bien. Tellement bien que nous jouissons encore ensemble.
Jai quand même peur dun chose: que ce ne soit quun seule fois que nous baisions, comme ça, sur un coup de tête de sa part. Quand nous nous séparons Clémence tient à ce que nous nous voyons une fois par semaine au moins. Elle a trop besoin de ma bite quelle na pas eu depuis 15 ans. Et en plus nnoçus navons pas eu le temps de faire une sodomie.
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