Pinky - L'Extravagante Joueuse
Vendredi 24 Juin 2011.
19h. Je travaillais comme un acharné depuis le début de la semaine pour développer mon premier projet important pour la boîte où je bossais. Multitude dinformations à traiter, aucun droit à lerreur, beaucoup de gens à contacter, responsabilités, risques financiers, tout cela contribua à mon état de nervosité. Il faisait 30 degrés ce jour-là, la météo annonçait un weekend torride. Javais besoin de décompresser.
Je sors du travail. Jentre dans la voiture. Jouvre la porte de mon appartement. Je fais couler leau de la douche. Je passe vingt minutes sans penser à rien. Je sors de la douche, rafraîchis.
Je regarde ce film que ma voisine ma conseillé le mois dernier. Enfin je décide de me poser, ne rien faire. Au moins jusquà demain matin.
21h. Je regarde dans le frigo, vide. Malgré la fin du mois qui savère difficile je décide de commander une pizza, jouant sur mon autorisation de découvert. Bien que totalement immergé dans le film je saisis mon téléphone, cherche dans mes contacts enregistrés le nom « Pizza ». Sans décrocher le film du regard jattends que le pizzaiolo réponde.
Biiip
. Biiiip
.
- Allo ? Dit une voix féminine.
- Bonsoir, je voudrais commander une grande pizza qua
-
Hahahahaha ! Je pensais pas que tu me rappellerais un jour ! Quest-ce que tu deviens ?
Je regarde lécran du téléphone qui naffiche pas « Pizza » mais « Pinky ». La boulette. Pinky est une jeune femme de 24 ans totalement délurée et excentrique, plutôt jeune dans sa tête, qui na peur de rien et qui vit dexpériences étranges et spontanées. Un imaginaire débordant et un goût pour le jeu très prononcé. Et lenvie de gagner à chaque fois, coûte que coûte. Lunique fois où jai vu Pinky (son vrai prénom est Irina je crois) cétait lors dune soirée poker avec des gens que je connaissais à peine, rencontrés dans un bar. On avait tous parié un peu dargent, et cest Irina qui a tout raflé, moi en deuxième position, empochant la somme que javais pariée.
- Et toi, Pinky ? Tu navigues toujours daventure en aventure ?
- Je ten veux, tu mavais dis que tu me rappellerais
- Trop de boulot en ce moment. Ce soir jai besoin de décompresser je croyais appeler une pizzeria mais tu vois
- Tu mas appelé ce doit être un acte manqué. Tu veux décompresser mon canard ? Viens chez moi jai deux amies qui doivent passer tas quà venir !
- Non cest super gentil, Pinky, mais là je suis claqué.
- Cest con taurais pu prendre ta revanche au poker. Tu avais lair tellement dégoûté lautre jour quand tu as perdu !
- Ca va nen rajoute pas.
- Comme tu veux, je suis chez moi ce soir, pour une fois que je ne bouge pas cest loccasion pour toi de venir.
- Une autre fois peut-être, promis Pinky !
- Comme tu veux !
La ligne est coupée. Je reste quelques secondes devant mon téléphone, songeant à la conversation. Jhésite. Non, je nhésite pas, je reste chez moi ce soir, comme prévu.
22h. Pinky maccueille, une nuisette en satin violet lui descend jusquà la mi-cuisse. Elle est curieusement coiffée, deux crayons maintiennent sa tignasse blonde en lair, imposant un style à la fois japonisant et ébouriffé, électrique. Son regard in mais farouche pétille.
- Tellement prévisible
se moque-t-elle en minvitant à rentrer.
- Ils ne sont pas arrivés tes amis ?
- Finalement elles ne viennent pas. Je crois quelles préféraient baiser que venir jouer au poker avec nous.
Le studio de quinze mètres carrés est étonnant de bazar. Si ce ne sont pas des culottes qui traînent sur une chaise cest de la vaisselle sale. Un verre par-ci, une fourchette par-là posée à côté de la souris de lordinateur portable. Son canapé-lit à peu près dégagé est placé dans un coin de la pièce, une petite table basse ronde sur laquelle est posée un jeu de cartes et des jetons de poker attendent.
- Est-ce que ça te paraît normal si je te demande ce que cet immense fauteuil en cuir beige fait ici ?
- Une femme avec qui jai couché la semaine dernière vendait tout son grand appartement avant de partir vivre en Californie. Elle me la donné après nos ébats et me la même fait venir ici. Jy passe ma vie dessus ! Tiens, goûte ça.
- Cest quoi ?
- Un cocktail que je viens dinventer, mélanges dalcools, de fruits et de légumes.
Je goûte le breuvage aux couleurs vertes et orange fluo. On définit les règles de la partie de poker. Le vainqueur empoche la somme de vingt euros.
- Non, soyons fous, cinquante euros.
- Cinquante euros pour une petite partie de poker à deux ?
- Cinquante euros. Chacun.
Je recrache instantanément la boisson dans le verre. Je lui explique que la fin du mois savère plus compliquée que prévue.
- Une fois fini mon projet je devrais empocher un nouveau salaire bien plus confortable, mais là je suis vraiment sur la paille.
- Et alors, moi aussi. Cest justement pour ça que je veux parier autant.
- Tu es vraiment aussi sûre de toi que ça ?
- Jaime les défis. Je te croyais plus aventurier que ça.
Jhésite un moment. Je touche ma poche dans laquelle se trouve justement un billet de cinquante euros, réservé pour vivre ces cinq prochains jours en attendant la paye. Je me dis que cinq jours dattente sans un sou, ce nest pas ce que jai connu de pire. Ses yeux sont envoûtants, ils invitent à la tendresse mais aussi à faire des folies. Ses lèvres cachent deux rangées de dents blanches et parfaites, sa nuisette masque deux petits seins ronds et fermes, du moins je les devine nettement. Ses jambes fines et blanches me font venir des images, quelques cordes, des caresses, une fessée, sa langue contre la mienne, ses lèvres intimes que jimagine charnues et appétissantes, frottant des liens qui lexciteraient.
- Allez, deal. Elle pose trois billets formant la somme de cinquante euros sur la table. Prends ta décision.
- Deal.
Je pose mon billet orange au-dessus des siens. Nos verres trinquent, je regarde le liquide alcoolisé couler entre ses lèvres, le regard assuré, presque fourbe. Je finis le verre, baisse la tête pour aider à faire passer le goût fort du cocktail. Mes yeux fixent ses pieds, fins, aux orteils ronds, beaux, dont je vois un potentiel érotique intriguant.
Elle sassoit sur son grand fauteuil en cuir beige, en tailleur, laissant entrevoir une culotte noire, à moins que ce ne soit un string. Jévite de paraître indiscret. Je me pose à côté sur son canapé. Près de nous, la table basse sur laquelle Pinky récupère les jetons. Elle les partage en deux, me donne un tas pendant que je mélange les cartes. Elle coupe le tas et distribue. Un silence lourd simpose. Je découvre mes deux cartes. Un quatre de pique et un cinq de carreau. Je lève les yeux vers elle, neutre, concentrée.
23h. La partie est déjà bien entamée quand Pinky domine nettement la partie. Elle possède au moins les trois-quarts de la valeur des jetons et demeure impassible, stoïque, calme. Impossible de deviner ses émotions, danticiper son jeu. Je finis le deuxième verre de son cocktail détonant.
- Allez cette fois cest toi qui vas succomber. Je mise tout ça
Tu suis ?
- Je sens que ces 100 euros vont bientôt me revenir. Je suis.
Je retourne les dernières cartes. Bien joué ! Un carré de rois. Pinky a lair sûre de son coup. Elle me demande de montrer mes cartes.
- Un carré ! Cette chance quel enfoiré ! Sécrie-t-elle en jetant ses cartes combinant un full.
- Et par ici les jetons ! Oh je te sens frustrée, tu perds pour la première fois de la partie une aussi grosse somme et ça ne te va pas. Ouh je sens que tu vas ténerver ! Dis-je dans le but de lagacer.
- Daccord tu le prends comme ça.
- Haha oui je le prends comme ça. Ne sois pas aussi sûre de toi, Irina.
- Ne mappelle pas Irina !
- Désolé, princesse. Jai envie de rester plus longtemps chez toi en redonnant un peu de suspens tu vois.
- Moi qui croyais que tu étais venu pour me sauter, lance-t-elle.
- Pas vraiment.
- Parce que javais bien envie de te voir nu ce soir
- Tu me séduis, là, tu veux me faire perdre mes moyens.
- Pas du tout ! Se défend-elle. Dailleurs, je te propose un avenant à notre règle. On va transformer cette partie en strip poker. Un vêtement à chaque coup perdu. Un vêtement remis à chaque coup gagné.
- Sachant que tu nen portes quun ou deux tu vas vite te retrouver vulnérable, ma belle, dis-je en lui faisant des yeux faussement doux.
- On parie ?
- Que la partie continue, deal.
- Deal, conclue-t-elle, impatiente dentamer le prochain tour.
Minuit. Pinky et moi terminons notre quatrième verre. De la musique accompagne désormais notre partie qui ne semble pas avoir dissue tant nous sommes concentrés et menons un jeu de même qualité. La soirée est en effervescence, Pinky na quune seul but, me voir nu et dépouillé de mes cinquante euros et nhésite pas à me le rappeler. Moi je rêve de la voir nue, ligotée pour mon plaisir, enfouissant les cent euros au fond de ma poche. Son corps séduisant me paraît inaccessible tant elle défend bien son jeu. Elle possède la meilleure partie de la valeur des jetons, bien que je tente régulièrement des coups risqués qui me font récupérer des jetons. Ses bluffs sont très difficiles à anticiper et visiblement elle narrive pas à comprendre ma façon de jouer. Pinky regarde mes pieds nus, mes jambes cachées par mon jean, et remonte son regard sur ma chemise colorée quelle dit aimer.
- Ca devient interminable, sagace-t-elle. Une heure de jeu plus tard et je nai pas encore vu ton torse !
- Je nai toujours pas vu tes tétons, je te signale.
- Oui mais tu mas fait enlever mon string, salaud.
- Pour ce que jai vu, cest-à-dire rien.
- Il ne manquerait plus que ça. Pas avant que je nai vu ta queue.
- Si ce nest que ça on a quà faire lamour.
- Pas avant que je nai empoché ces cent euros, jeune homme, dit-elle dun air faussement hautain en relevant le menton. Elle esquisse un sourire. Je parie tout ça
. Murmure-t-elle en approchant une grosse pile de jetons.
- Voilà le tournant de la partie, Pinky. Le moment où tu vas retirer ta nuisette ! Je suis ! Je mexclame tout en rapprochant une pile de jetons de la même valeur, puis je montre mes cartes. Regarde cette belle suite, pas mal hein ! Retourne tes cartes maintenant ?
- Couleur, pas ma préférée, mais le trèfle me va pas si mal tout compte fait.
- Non !
- Eh si, mon petit, montre-moi ton torse, réclame Pinky les yeux rivés sur ma chemise.
- Attends la partie nest pas finie.
- Oh mais je suis très patiente pour ce genre dévènement
En attendant pour toi, je remets mon string. Prochaine étape, le pantalon !
00h30.
- Allez, la nuisette !
Pinky subit un retournement de situation inattendu. La voilà obligée de se mettre nue face à moi tandis que jenfile mes chaussures. Assise en tailleur, totalement nue sur son immense fauteuil en cuir beige mexcite. Jai envie de lembrasser partout. Elle na aucun poil sur le pubis, et ses petits seins ronds et fermes sont magnifiques, encore mieux que je les imaginais. Jimagine spontanément ma langue venir lécher les parties intimes de son corps, ses tétons roses, son sexe lisse et doux,
- Et si je te gagne, jempoche les cent euros, du moins cest plutôt bien parti pour, tu restes toute nue, et je te fais lamour ?
Pinky reste interdite, les bras croisés, le regard sévère.
- Il y a quelque chose qui ne me va pas, Pinky, il manque un petit truc
Dis-je en la regardant, le visage rouge, se forçant à maîtriser sa frustration de navoir plus que quelques malheureux jetons pour finir la partie.
- Très bien, tu veux jouer à ça ? Si tu gagnes, je te suce la bite avec un tel acharnement que tu te souviendras de moi encore longtemps. Mais si je gagne
Ah ! Si je gagne
Tu me lèches ma petite chatte et mon cul jusquà orgasme.
- Daccord, mais tu me suceras ligotée comme une soumise.
- Et avec quoi ?
- Tu as des ceintures ?
- Ca marche, mais si je gagne, tu me lècheras, agenouillé à mes pieds, gourmand que tu me sembles être, et ta langue parcourra les moindres parcelles de mes trous. Entendu ?
- Deal !
Pinky a lair tellement sûre delle, même nue comme une nymphe, face à moi qui fantasme sur elle depuis le début de la soirée. Lalcool a dû nous aider un peu à atteindre une telle situation. Je lui fais part de mon intérêt pour les femmes ligotées. Elle me répond sans surprise que cest réciproque mais quelle na jamais encore attaché un homme car loccasion ne sétait pas encore présentée. La jeune femme prétend avoir pratiqué plusieurs fois avec des femmes. Pinky me confie avoir un faible pour mon visage quelle trouve sexy.
- Cest pour ça que jai hâte de le voir me lécher de partout ! Sourit-elle en montrant toutes ses dents. Double paire.
- Simple paire.
- Je reprends ces quelques jetons, et tu enlèves ces chaussures sil te plaît.
Je mexécute. On redistribue les cartes, on prend connaissance de notre jeu.
- Allez ça suffit, tapis.
- Quoi ?
- Je mise tout ce quil me reste.
- Si tu perds ce coup-là tu vas devenir mon esclave, tu acceptes ton tragique destin ?
Au lieu de me répondre, Pinky se lève, déambule dans lappartement dévorée par mon regard, récupère des ceintures, foulards et les pose près delle sur le fauteuil. Elle se met à genoux sur ce dernier, elle trépigne dimpatience
- Je suis prête.
On découvre nos cartes. Je tire une première carte, une deuxième, la troisième et suis déçu de voir quelle gagne le coup car elle a une paire de dix contre une paire de neuf pour moi
- Non !
01h00. Nous voilà revenus à égalité. Il ne me reste plus que mon caleçon avant dêtre entièrement nu. Pinky ne prête plus attention à ses vêtements et a décidé de rester dévêtue jusquà la fin de la partie. Elle nest concentrée que sur sa victoire.
- Pour te rendre mon esclave dun soir. Jen suis déjà toute mouillée ! Allez encore un autre coup, je distribue.
- Tapis.
- Oh ! Tu mises tout ce que tu as ? Sexclame-t-elle avec une étonnante stupeur.
- Oui, je compte
Jai exactement la moitié de la valeur des jetons. Si tu me suis, cest celui qui gagne le coup qui remporte la partie.
-
Tapis ! Lance-t-elle sans hésiter.
- Jai déjà une paire.
- Pareil.
- Voici les premières cartes
Ah ça te fait une double paire
Je vais retourner la dernière carte, si cest un huit, tu as un full et tu gagnes, si cest un roi, jai un brelan et cest moi qui gagne.
Je retourne lentement la carte, laissant prolonger le suspens qui devient insoutenable. Mon cur bat, Pinky se penche pour mieux voir la carte que je retourne. Cell-ci affiche
un huit.
- JAI GAGNE ! Hurle-t-elle dans lappartement en levant le bras. Je tai gagné une fois de plus ! Cest moi la meilleure ! Houhou !!!
Je réalise durement ma défaite, mes yeux vérifiant bien que la victoire est sienne. Je me sens humilié, vaincu en une seconde, la sensation davoir tout perdu. Pinky se lève et att un câble éthernet inutilisé qui traîne près de son ordinateur. Elle me prend les poignets et me les met dans le dos. Je me laisse faire comme un soldat qui se rend. Pinky serre terriblement fort, me laissant échapper un petit gémissement de douleur. La belle est aux anges, crie à nouveau sa joie quand elle se dirige vers un placard où elle att de la ficelle à rôti. Elle se place devant moi.
- A genou, esclave.
Terriblement agacé, je peine à exécuter ce quelle demande. Jincline la tête. Pinky me prend délicatement par le cou et me force à descendre du canapé pour me mettre à genoux, le nez écrasé sur un de ses magnifiques pieds.
- Ne bouge pas.
Elle me contourne et profite de mon visage plaqué au sol et de mes fesses relevées pour baisser mon caleçon, saisir mes testicules, les enrouler dans la ficelle quelle serre également fort. Pinky déroule environ un mètre de ficelle blanche. Elle mexplique que cest pour mieux me tenir par les couilles. Elle retourne sassoir sur son immense fauteuil, se met sur le dos et soulève ses jambes.
- Viens me lécher maintenant !
- Où ça ?
- Commence par mon anus, avec le plat de la langue.
Japproche mon visage à un centimètre de son cul qui mest offert. Dans sa main elle tient lextrémité de la ficelle sur laquelle elle tire. Mes testicules sont amenées brutalement vers elle. Mon nez senfonce partiellement dans son intimité. Je sors la langue et la plaque sur les bords de son petit trou.
- Oh !! Oui ! Vas-y, vas-y !
Comme un petit chien je lèche son trou strié, doux et odorant. Elle fait jouer son muscle qui se détend, se contracte, se détend à nouveau. Un peu de liquide intime coule depuis ses lèvres et vient se déposer lentement sur mon nez. Pinky manifeste beaucoup de plaisir, elle joue avec la ficelle, ce qui me provoque des petites douleurs inconfortables. Finalement je ne sais pas si ça mexcite plus que ce que je croyais.
- Oh
. Cest bon ! Maintenant ma chatte, baise-la avec ta langue.
- Hmmm
Je remonte légèrement, le bout de la langue parcourant lanus, le périnée, sensible, faisant frissonner la belle blonde. Je déguste sensuellement ses lèvres charnues, comme je les imaginais. Jenfonce ma langue dans son orifice, je la ressors, elle gémit de plaisir. Elle tire fortement sur la ficelle.
- Aïe !
- Oh oui continue mon chien-chien ! Maintenant les pieds. Lèche mes pieds.
Pinky me présente ses pieds contre mon visage, les orteils en éventail. Je les renifle, je lèche la plante des pieds, sensible, elle sourit, puis rigole, me dit que ça lui chatouille. Je continue, excité par une érection.
- Ca te plaît de lécher mes pieds, hein. Ca te plaît de me lécher tout court. Continue.
Je la chatouille avec le plat de ma langue qui longe le pied du talon au bout des orteils. Jen prends un que je suce, puis un euxième, je lui lèche entre les orteils, cest bon, elle prend du plaisir en fermant les yeux. Elle se masturbe, caresse son clitoris. Elle entrouvre sa bouche, concentrée sur son plaisir, et moi qui narrête pas de lécher sans économie de geste ou de salive. Totalement soumis. Soudain elle me donne un coup de pied sur la tempe.
- Alterne, change de pied !
Je me déplace, lèche son autre membre, courbé, élégant, propre. Elle cambre son pied et remue ses orteils ronds.
- Reviens sur mon cul !
Elle moblige à accomplir sa demande en tirant sur la ficelle
Ca fait mal ! Je reviens sur son intimité humide. Je continue de frotter ma langue sur toute la surface de son anus, Pinky accélère sa masturbation, et libère un hurlement soudain.
- AHHHH !!!! OHHHHHH
.. OUIIII !!!!
Le hurlement est accompagné de violentes crispations de ses jambes et dune coulée de liquide intime sur ma langue, dans ma bouche. Javale, gourmand de ce nectar qui mexcite encore davantage. Mon érection est intense, mais je ne peux rien faire. Pinky relâche ses jambes et pose les pieds par terre. Ma tête est coincée entre ses cuisses. Elle me regarde et me dit.
- Tu vas passer la nuit avec moi.
02h00. Mes talons sont collés contre mes cuisses, maintenus par une ceinture pour chaque jambe. La ficelle qui tient prisonnières mes testicules comprimées, rondes, gonflées, violacées, est attachée à un pied du canapé déplié. Je suis contraint de rester sur le matelas, là où Pinky allonge ses jambes. Jai pour mission de lendormir en lui léchant anus, sexe et pieds. Il fait très chaud. Caché sous la couette, placé aux pieds de Pinky, je suis ligoté par les poignets, à genoux, les testicules comprimées. Allongée, lumières éteintes, la gagnante de la soirée essaie de sendormir. Je me mors volontairement la langue pour lui faire retrouver un peu de salive. Je lèche depuis un long moment déjà son sexe trempé par lexcitation. Pinky semble impossible à rassasier, pour elle la victoire est totale. Elle a gagné cinquante euros, et un esclave qui sera à elle jusquau lendemain.
Bien plus tard dans la nuit, alors que lenvie de dormir menvahit depuis au moins une heure, Pinky mordonne de moccuper de ses pieds pour lamuser. Je tente de mévader un peu, bien que partagé entre excitation et . Sans le vouloir, des images mes viennent, des fantasmes, de nouveaux fantasmes.
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