Qui M'A Prise ?
Mon mari m'a demandé un jour de le retrouver à son travail, le soir. Quand je suis arrivée, les bureaux étaient vides. Il était seul. Il avait précisé que je devais venir avec un chemisier, une jupe assez courte et aucun dessous. Il m'a immédiatement complimenté, puis a quitté le bureau me laissant quelques minutes seule. J'étais assez angoissée dans l'attente de ce qui devait arriver, connaissant ses penchants.
A son retour, il m'a demandé de me mettre debout, les mains posées sur son bureau, passa derrière moi et me noua un bandeau sur les yeux. Il le serra fermement m'interdisant toute lumière. La vision entravée, je sentis tous mes autres sens s'éveiller. J'étais à l'écoute du moindre bruit, à ressentir le moindre souffle d'air ou encore le frôlement ou une odeur familière. Comme je l'interrogeais, il me répondit fermement de me laisser faire, que j'allais être son jouet pour cette soirée.
Ces mots me rassurèrent, j'imaginais qu'il voulait me prendre là, dans le cadre de son travail, et que l'idée que peut-être ses collaborateurs assisteraient à la scène, devrait décupler mon plaisir et le sien.
Il me déposa un chaste baiser sur la nuque et je l'entendis s'éloigner puis sortir de la pièce. Une peur panique s'empara de moi. Je le savais capable de bien des perversions.
A peine quelques minutes après j'entendis la porte s'ouvrir, doucement, silencieusement, mais avec tous mes sens surexcités rien ne m'échappait.
Ce sont d'abord des mains sur mes épaules, puis des doigts qui ouvrent un à un les boutons de mon chemisier, découvrant ma poitrine nue. Je sens son souffle dans mon cou.
Ce n'est pas mon mari !
Ces mains caressent maintenant mes pointes de seins qui vite s'érigent. Je n'ai plus peur, je suis excitée. Je me soumets.
L'homme abandonne ma poitrine, remonte ma jupe, touche mes cuisses, puis, enfin, mes fesses. Il les malaxe sans délicatesse. J'aime ça.
Mais vite je reprends mes esprits.
- Mettez une protection s'il vous plait.
Silence, il pointe son dard. J'esquive. Il me prend aux hanches, m'attire à lui sans me laisser de liberté de mouvement.
- Non ! Je ne prends pas de contraception non plus. Je suis même dans une bonne période de fécondation.
Bien sûr ce n'est pas certain mais je ne veux pas ? Je ne voulais pas !
C'est le moment où je sens qu'il me pénètre d'un coup, bien au fond déclenchant chez moi un spasme de plaisir. Je ne veux plus qu'il s'en aille. Je veux qu'il me baise, qu'il m'e. Je vais déjà jouir en me représentant ses jets de foutre en moi. Je m'entends crier.
Il me pose une main sur la bouche pour me faire taire. Il commence ses va-et-vient dans mon vagin qui me brûle. Je sens que mes muscles vaginaux se crispent sur cette queue pour mieux la sentir se frotter à mes chairs en feu. Mes muqueuses sont au maximum de leur sensibilité. Je vais jouir, je ne peux pas l'attendre. Je sens ses mains sur mes épaules qui rythment ses coups de bite. Elles passent par-devant et s'emparent de mes seins. Il les caresse puis les malaxe.
J'entends soudain la porte s'ouvrir, on entre ! Tant pis je me laisse aller à gémir et à jouir. C'est aussi son moment, il se plante au fond de ma vulve et décharge sa semence en d'interminables spasmes de plaisir. Je jouis, je jouis sans oser le crier.
Tous les deux repus, je sens son sexe se réduire en moi, pour finir par sortir de lui- même. Je reste collée au bureau alors que je l'entends quitter la pièce.
Alors deux mains s'emparent de mes fesses, les écartent et une langue que je pense reconnaître comme être celle de mon mari, s'engage sur ma vulve et récolte le sperme qui vient peut-être de me féconder.
Plusieurs fois j'ai demandé qui il était. Aucune réponse ! Simplement qu'il était de nos relations, que je le croisais souvent, que lui savait mais que je ne saurai jamais qui m'a violé ce soir-là en me donnant tant de plaisir.
Effrontée
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