A La Goire Des Glory-Hole - 2 -
Elle écarte très largement les cuisses, saccroupit à demi, montrant ainsi sa chatte très ouverte face à Freddy. Elle doit donc, par complément, montrer à Gino, ses fesses ouvertes et ses lèvres pendantes
Elle se branle de plus en plus fort et commence à haleter et à souffler. Elle a lâché le papier rose et maintenant se passe le doigt presque frénétiquement sur le clitoris
- '' Je sens que ça vient, que je vais jouir et décharger..., dit-elle ! Avant toute chose, jai besoin dêtre sucée bien à fond, une langue sur le clito et un doigt au fond du con !! Je vais dabord vers toi, dit-elle en savançant vers le côté de Freddy Je respecte lordre ''. Puis en direction de lautre côté, elle ajoute :
- '' Ensuite je te donnerai mon cul et tu verras que tu ne seras pas déçu !''
Ce qui reste exceptionnel, cest que cette femme parle aux mecs quelle ne voit pas
Jamais cela narrive dordinaire. Les belles bourgeoises B.C. B.G. ne disent mot. Elles jouissent fort presque toujours, gémissent souvent, profèrent des mots orduriers pour elles-mêmes parfois, mais jamais ne sadressent directement aux jeunes hommes qui servent leur plaisir
Par contre, celle-ci ne semble pas avoir les mêmes références.
Elle savance vers la cloison de Freddy Se plaque le bas ventre à la paroi, écartant bien lintérieur de ses cuisses de chacune de ses mains. Elle fait ainsi saillir sa motte et en particulier la zone du clito et tout le haut du con
Freddy voit le haut de la chatte ouvert et un très beau clitoris sortir dentre les lèvres. Pour ce quil en a vu, tout à lheure dans un premier temps, il naurait jamais pu penser que la blonde ait un clito aussi fort et aussi développé. Il se dit quil devait être caché. Il avance sa bouche au contact du trou dans la paroi. En haut des lèvres entrouvertes, Freddy sent nettement la protubérance du clito se dresser sur le bord de sa bouche. Saidant dun coup de langue, il laspire délicatement, mais fermement.
La femme dont il ne voit pas les réactions puisquil ne voit pas son visage, commence un lent mouvement tournant de son bassin et de ses hanches. Il ouvre alors davantage la bouche et gardant le clito sur la langue, il aspire les petites lèvres qui glissent entre les siennes
Une saveur un peu âcre, avec une pointe dacidité, lui déferle dans la bouche. Très vite cette saveur lui devint agréable, tant elle était chaude et subtile. Tout en suçant les lèvres, il sent le haut de la vulve danser dans sa bouche. Du bout de sa lèvre supérieure et de la pointe de sa langue, il détaille le clito quil suce et aspire au gré du lent mouvement tournant de la dame. Il ferme les yeux ce qui laide à se faire dans sa tête, une représentation de la taille et de la forme du clito comme sil le voyait. Il est de belle taille, sans doute aussi gros que le bout dun doigt dont il a un peu la forme. Peut-être un peu plus conique, de forme pyramidale plutôt. La pointe devient progressivement très dure, alors que sa base large et importante à la naissance des lèvres, reste souple sous sa langue. Du fait de cette souplesse, il peut faire danser lorgane sur sa langue lenvoyant dun bord sur lautre.
Freddy se dit quavec quelques centimètres de plus, ce clito aurait pu être une bite. Une petite certes, mais une bite, tout aussi érectile et qui bande aussi bien, tant lextrême pointe en est dure et en feu
Le nez de Freddy, frotte sur la collerette de caoutchouc qui recouvre les bords du trou dans la cloison. Cette odeur particulière qui sexhale de cette matière modifie complètement le goût quil éprouve du con de la femme. De temps en autre, Freddy sent quelque chose frotter la pointe de son menton. Il met du temps à comprendre que la jolie garce tout en se faisant sucer le haut de la vulve, réussit en passant une main derrière ses fesses, à se mettre le majeur dans le trou du con et à se branler
Cétait donc le bout dun autre doigt de la blonde que Freddy sent passer sur son menton
Bien quil ne la voie pas, Freddy sent que la blonde au-dessus de lui et de lautre côté de la cloison, séchauffe : il le sent au clito qui se durcit, et aux lèvres qui se gonflent
- '' Ah oui, vas-y, suce-moi bien ! Oui, vas-y, aspire-le bien mon petit clito
Il te plait, hein
! Tu le trouves à ton goût ? Vas-y !.
Disant cela, elle se plaque davantage encore à la paroi, écarte davantage les cuisses et souvre bien le con avec ses mains. Une première vague chaude et un peu âcre de cyprine déferle dans la bouche de Freddy et lui inonde le gosier. Sous la violence et la quantité de liqueur, il en a même un haut le cur. La femme met sa main sur sa motte et tout restant plaquée le plus possible à la paroi, elle se branle le clitoris avec frénésie, ce qui a pour effet daugmenter encore sa décharge. Elle éructe et crie des mots orduriers :
- ''Ah putain, que cest bon ! Ouiiiii !!!... Salooopppe !!
Cest bon !! Jaime décharger comme une folle
Je pisse ma liqueur dans ta belle gueule de maquereau, mon joli
! Je suis une salope, oui, je sais !! Jai trop envie de bites
Il faut que je me retienne tout le temps, ce nest pas normal, hein ! Jaurais dû être une putain ! Oui, cest ça, une putain et décharger sur les mecs du matin au soir !... Jai envie dune bite dans la bouche !... Oh oui, une bite, il faut que je suce
Que je suce !! Jai le con en feu il va falloir quon me baise aussi !! Ah, il y a tellement longtemps que jattends ce moment !...
Par jets successifs, le foutre de la femme continue de couler dans la bouche de Freddy Il en a partout : sur le visage, les yeux, les cheveux, le cou ; sa chemise est arrosée, tant les jets sont forts et intenses.
Puis, brusquement elle se dégage et se retournant elle met sa bouche au niveau du trou où se trouve Freddy et y tend sa langue. En même temps, se mettant en levrette, elle se colle les fesses ouvertes sur le trou de lautre paroi car les cabines sont peu larges et plutôt exigües.
- " Regarde mon trou comme il est beau
Vas-y chéri, prends-moi
Mets-moi ta bite, que je la sente bien dans mon trou de coquine
Oh Oui
Comme ça, chéri, oui
Cest bon !..." Au mouvement du corps de la belle bourgeoise, Freddy comprend que Gin, qui a dû mettre un préservatif, a déjà introduit son membre dans le con de la jolie coquine et a commencé le limage. On entend distinctement la friponne taper ses fesses ouvertes sur la paroi de la cabine. (Photos). Elle demande à Freddy de lui présenter sa bite par le trou :
- " Et toi, donne-moi ta belle bite par le trou
Là comme ça
Oh, le beau morceau !... Donne chéri, donne que je le suce
"
Avec gourmandise elle happe le sexe de Freddy et pompe le gland avec de grands "schloupps "
Le va-et-vient donné par le mouvement de baise en levrette qui se répercute sur les mouvements de sucions de la blonde. Ainsi, alternativement à lavancée de son corps, elle entre le braquemart de Freddy loin dans sa gorge et au recul, elle na plus que le gland dans la bouche dont elle titille le bout à coups de langue experts
Visiblement la belle garce en veut. Et si ce quelle dit est vrai : quelle na pas été baisée depuis des mois, son manque nest pas simulé aussi profite- elle du moment à plein temps
Elle entre bientôt en transes : son corps et notamment ses jambes sont atteints de tremblements, elle pompe plus avidement encore le dard tendu à fond de Freddy Elle amplifie ses mouvements dallers et retours entre les deux cloisons
Freddy sent que la langue tourne plus vite sur son gland en feu et que le pompage de sa bite sintensifie
. Baisée bien à fond dun côté, en suçant une belle queue de lautre, la belle bourge ahane de plus en plus rapidement
(Photo). Encore deux va-et-vient et elle explose, les mains arc-boutées à la paroi, poussant ses fesses sur lautre paroi, alors que Freddy lui lâche son foutre chaud dans la bouche. Elle avale. Et tout en léchant la liqueur blanche et chaude qui séchappe encore du dard de Freddy, entre deux respirations, elle dit :
- " Oh, oui
Super !
Merci de ce foutre chaud, jen avais tellement envie
Et toi mon grand derrière, tu sens que jai déchargé aussi en même temps ? Hein ? Tu las senti ?.
La jolie bourgeoise a en effet beaucoup déchargé, au point quune petite mare sest formée sur le carrelage de la cabine entre ses jambes écartées. Freddy se remet en position : il regarde par le trou du dessus. Il distingue parfaitement au niveau du trou en face sur le bois de la paroi, des traces humides de coulures laissées par la cyprine de la belle bourgeoise. La belle se décolle un peu les fesses de la paroi, elle demanda à Gino :
- " Chéri, passe-moi ton beau sexe dans la fente
Tu veux bien ? Fais-le aller et venir sur toute la longueur, depuis mon cul jusquà en haut de la fente
Vas-y chéri
". (Photo). Sans doute Gino sexécute-t-il, car elle ajoute :
- " Oh, oui !
Comme ça, cest bon
Continue
Cest super ! Continue, oui
De haut en bas
Ah ! Cest trop bon
". Elle sest de nouveau arc-boutée pour bien appliquer ses fesses ouvertes au niveau du trou. De son observatoire, Freddy ne voit que les roulements des hanches de la blonde qui accompagnent les allers et venues du membre de Gino dans la fente chaude et glissante de liqueur de la femme
Elle a encore un autre caprice. Elle semble vouloir profiter à plein de lespace qui lui est donné, demi-incognito, entre ces deux hommes qui sont là pour la servir en quelque sorte. Aussi elle demande à Freddy de lui donner cette fois ses couilles à sucer par le trou de la cloison. Le jeune homme sexécute et passe sa bite encore un peu bandée par le trou dans lequel à la suite, il fait passer les couilles dans ce qui reste douverture. Elle sen saisit avec une main et les aspire dans sa bouche, les palpant de sa langue et les malaxant des ses lèvres. Puis en direction de Gino, elle demande :
- " Et toi, mon joli, ta bite me fait du bien, tu sais
Je voudrais que tu mettes juste le bout de ton vit à peine enfoncé dans le trou de mon con et que là, tu te branles entre mes petites lèvres, juste à lentrée... Oh, oui
Comme ça
Juste là !... Il y a une éternité que jai envie de sentir un homme se branler juste à mon trou de femme
Oh, oui, cest bon... Continue
Et quand tu vas décharger, tu men mettras partout, hein
Sur toute la longueur de la fente
Oui, comme ça
Branle-toi, chéri !... ".
Entre deux paroles, elle continue daspirer et de lécher les couilles de Freddy, En même temps, elle se frotte doucement la vulve ouverte sur le bout de la bite de Gino. Sous leffet de la caresse à son sexe et sans doute aussi à cause du membre de Freddy dont elle frotte la base de son petit nez de femme du monde, la jolie bourgeoise donne de nouveau des signes de la montée de son plaisir
- Vas-y, mon beau, vas-y branle-toi bien
Elle te plaît ma fente ?... Elle te fait envie ? Alors, caresse-la
Oh, oui
Cest bon là, sur les petites lèvres, je sens ton gland à lentrée de ma chatte en feu
Oh, mais dis-donc, tu durcis de nouveau beaucoup, jaime !
Je sens que tu vas cracher mon salaud
Tu vas me décharger sur le bord du con, hein ?... Oh, oui
Je viens moi aussi
Ensemble tu veux
On y va !... On y va !... Oh putain, cest bon ! Je sens ta crème sur mes lèvres et dans lentrée de mon trou
Ohhhhhhh, ouiiiiiiiii
Ouiiiiiiiii
. Je jouis aussi
Cest bon
Oh oui !"
Elle tire ainsi une nouvelle bordée. Freddy ne voit hélas pas grand-chose, mais il devine que la décharge de la belle mature a inondé la verge et le pubis de Gino. Puis, comme si elle était devenue insatiable elle demande :
- " Enfonce-toi maintenant complètement dans mon trou, mon joli et baise-moi bien à fond pour me finir et me rentrer le reste de ton foutre
. Entre en moi
Vas-y ! Ah, merci
cest bon
Cest bon !!..."
Elle nen peut plus et cette nouvelle pénétration vient lachever. Après une courte pause dans cette position en levrette, où soit dit en passant elle se trouve depuis une bonne dizaine de minutes, elle lâche les couilles et le sexe de Freddy ; elle se désenconne de la bite de Gino qui devait commencer à ramollir et se laissa tomber assise sur la cuvette des W.C., fourbue, mais heureuse, le visage avec les restes de sperme de Freddy ; les cuisses et les fesses encore dégoulinantes de sperme de Gino, mêlé de cyprine. Elle en profite pour saccroupir au-dessus de la cuvette des toilettes et pisse longuement. (Photo).
Elle reste ainsi un instant à contempler sa fente ouverte où la petite houppe fauve présente des poils collés par les diverses sécrétions. Puis elle porte son regard vers les trous des parois, de chaque côté. Dans lun le vit de Freddy, maintenant bien redressé est de nouveau au garde à vous du côté de la femme. De lautre, elle ne peut distinguer quun il jeune qui lobserve. Elle fait de la main une caresse furtive au membre dressé de Freddy, puis sadressant à lautre paroi, elle dit :
- " Merci, mes amis, cétait vraiment été extra ! Vous mavait donné du plaisir comme il y a longtemps que je nen ai pas eu, moi qui en suis privé
Il faut que nous nous arrêtions là
Les meilleures choses une fin !
Allez, à une autre fois peut-être... "
Freddy se rajuste rapidement. Il jette un dernier regard par le trou den haut. Son il surplombe la femme assise ; il voit par le dessus sa belle poitrine qui palpite encore doucement, lintérieur de ses cuisses, ses genoux. Il voit quelque chose bouger par le trou de la paroi den face. Sans doute Gino se rajuste-il aussi. Et il sort.
Il revient à son travail et reprend son service. La petite serveuse nest pas dupe et lui adresse un petit clin dil et un sourire complice. Gino remonte à son tour et fait à Freddy un petit signe entendu
Ce nest que bien plus tard, en tout cas plus dun quart dheure après que la jolie bourgeoise est remontée du soussol. Très sûre delle. Elle avait remis sa robe légère encore très humide et froissée. Avait-elle remis ses dessous sans doute encore trempés, cétait difficile de le savoir. Freddy en bon observateur remarque, pour lui-même, que lempreinte du slip brésilien orange ne se voit plus, en tout cas, pas comme à son arrivée, lorsquelle était trempée de pluie. Il aurait parié quelle ne la pas remis sur elle
La femme blonde sarrête au comptoir, demande à la serveuse un thé bien chaud, quelle boit très vite. Elle règle sa consommation, puis sans attendre sa monnaie et sans un regard aux garçons, elle sort de la brasserie, avec sa fière allure fine et dégagée, altière, toujours aussi belle et pimpante
Les deux jeunes hommes la regardent sortir et échangent un regard complice, sachant quils ont rendu service à une très jolie femme et très sexy malgré sa cinquantaine
Dautant quils leur reste un gros billet en poche !
Et ça, il ny a rien de tel pour vous égayer une journée de printemps, même quand lon nest quun garçon de café !
P. S : Je tiens à disposition une version plus longue et plus fouillé sur le phénomène des '' Glory-hole '' et la part secrète, quil prend dans notre société moderne.
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