Retour De Vacances...
MARTINE REVIENT de VACANCES
Je roule depuis deux cent bornes, la mort dans l'âme, c'est le retour des vacs, tristouille à souhait, avec ses angoisses récurrentes, l'avis d'imposition dans la boîte à lettre au milieu de trois tonnes de factures, la reprise du boulot, si je n'ai pas été virée sans le savoir, les retrouvailles faux cul avec les Pintades pour les comparaisons de bronzage, la petite chef qui vous trouvent "en pleine forme", ça tombe bien, y a un tas de merdes en retard gentiment accumulées sur le bureau, et pour finir, La Boss, qui revient d'un pays lointain et merveilleux que vous n'avez vus qu'à la téloche, au prix que ça coûte pour y aller, et qui vous met la pression sur un nouveau projet qui "Urrrge
!"
T'as envie de faire demi-tour, de retourner d'où tu viens pour prolonger le souvenir, pour t'en payer encore une tranche, même si t'as râlée à cause du sable dans la raie, même si tu as pestée contre les "Baises Touristes" qui te vendent rien pour très cher, même si tu n'as pas trouvée le "Prince Charmant", mais seulement un ou deux mecs (Voir trois
ensemble
un soir de cuite
), mais qui n'en voulaient qu'à ton cul et ne descendaient même pas à la cave ou mal, et bin, t'y retournerais bien quand même, pour te vautrer sur la grève les doigts de pieds en éventail en regardant la grande bleu qui bouge, chaude et mouillée
A la sortie d'une pompe à essence (et à fric
), j'aperçois deux nanas en train de faire du stop sur le bas côté, j'ai été auto-stoppeuse avant d'avoir une brouette, j'ai connus les aléas pénibles du voyage "doigt en l'air", surtout ceux où le conducteur qui s'arrêtait, voulait te faire goutter au sien qui était aussi en l'air, mais pas pour les mêmes raisons, je me dis qu'un peu de compagnie me fera du bien, que l'inconnu prolonge l'aventure des Vacs, donc, Solidarité entre Vulvettes, je m'arrête pour les prendre, deux brunettes en petites robes courtes et légères, mignonnes et bien faites, 20 et 22 ans à tout casser
Elles remontent sur Paris en traînant les pieds et leurs sacs à dos, pas trop coincées, elles me disent finir leurs vacances un peu à sec, d'où l'auto-stop, nous nous sentons de suite à l'aise toutes les trois, la discussion va bon train et tous les sujets sont abordés, après la famille et les études, arrivent "les Mecs", les Teufs et le Sexe, au bout d'une centaines de bornes, ça rigole grave dans ma brouette, elles ont l'impudeur verbale des filles de leur âge, sur l'air de "Liberté, tu m'appartiens
", j'en entends des vertes et des "très mures" sur leurs rencontres et expériences pendant les vacs, même des choses que je n'avais pas encore osée faire à leur âge.
Juliette et Marie, (c'est leurs petits noms), avec leurs dix ans de moins que moi, elles me redonnent gout à la vie, elles ont une patate d'enfer et c'est communicatif, Juliette semble un peu plus dévergondée que sa copine Marie, plus discrète, mais qui rie de toutes les âneries de son amie, bien dans leur peau et dans leur tête, elles assument leurs dérapages, elles sont d'une impudeur totale mais naturelle, en les observant à la dérobée, je vois qu'elles se font des bisous et que leurs robes légères ont tendance à remonter haut sur leurs cuisses bronzées et leurs petites culottes, qu'elles ne cherchent pas à cacher, de plus, la transparence du tissus me laisse entrevoir leurs seins mignons sans soutif qui bougent en dessous, un souvenir enfouis me revient subitement en mémoire
Au même âge, j'avais une bonne copine avec qui j'étais partie en camping pour deux semaines, nos premières vacances loin et sans les parents, notre relation avait finie par aller au delà de la simple amitié, cela m'émeut de les sentir si proches l'une de l'autre, je me demande si comme moi, elles ont franchies le pas et je me sent tout à coup très troublée par leur présence, il faut que je me concentre sur la route mais je ne peux plus m'empêcher de les regarder quand elles se prennent les mains ou effleurent la cuisse de l'autre du bout des doigts, j'hume le parfum qu'elles dégagent dans leur chaude amitié complice, je sent poindre une légère humidité sur mon siège.
- Midi
! Il est temps de faire une pose
leur dis-je en apercevant le panneau d'une aire de repos.
- Ho ouiii
une pose pipi
disent-elles de concert
Comme j'ai aussi une envie pressante ainsi qu'un petit creux, ça tombe bien, j'ai prévu de quoi manger dans ma glacière, il y en a assez pour trois, je les invite à pique-niquer, elles sont toutes contentes, elles ont faim et n'ont rien prévues, elles n'osaient pas me le dire, bien élevées qu'elles sont les petites puces, je me gare à l'ombre car le soleil cogne encore dur en cette fin d'Août, je cherche alentour, un endroit paisible à l'écart de la foule des vacanciers bruyants, les petites nanas filent aux toilettes en courant mais reviennent de suite en grognant;
- Ben qu'est-ce qui ce passe
? Ya des vieux cochons obsédés
? Demandais-je en plaisantant.
- Non
C'est trop crade et ça pue
et puis il y a trop de monde
nous, on va faire pipi ailleurs
- Bon ben moi aussi alors
Cherchons vite un petit coin tranquille
dis-je en gigotant du postérieur car ça presse.
Après un rapide coup d'il autour de nous, nous apercevons derrière les haies de limitation de l'aire de repos, une prairie en jachère bordée d'ombrages, cela nous convient à merveille, nous prenons nos affaires et filons discrètement nous installer, les filles jettent leurs sacs au sol, filent sous les arbres et sont les première à baisser culotte en se mettant accroupies dos à dos pour évacuer leurs mictions, je dirais même fesses à fesses car elles se frottent l'une à l'autre, mon envie de faire pipi me brule mais je n'ose pas faire comme elles, surtout devant elles, je commence à m'éloigner, cherchant un peu d'intimité plus loin
- Vous pouvez rester avec nous Martine
ça ne nous gênes pas
me dis Juliette.
- On est toutes faites pareilles
rajoute Marie moqueuse
Ne tenant plus, je cède à l'invitation, trousse ma jupe et baisse ma culotte humide en m'accroupissant devant elles, les deux copines poussent un gros soupir quand le jet doré commence à fuser de leur entre-jambes.
- Wouhaaa
! C'est trop bon de pisser
dit Juliette
Je me soulage avec bonheur, depuis le temps que je me retiens, une vraie libération, un gros jet bruyant frappe le sol et m'éclabousse les sandales, je n'ose pas trop les regarder faire mais c'est pas l'envie qui me manque, j'entends le chuintement de leurs mictions entre leurs lèvres et cela m'excite au plus haut point, j'ai eu des jeux de pipi avec ma bonne copine dans le temps et la vision de ces deux petites fentes dégoulinantes me met dans état proche de la chienne en chaleurs, je voudrais être en dessous et me faire arroser, boire à la source de leurs jeunes vulves que je suppose odorantes, mes pensées sont confuses, mélange de honte, pour mes envies lubriques et de désirs longtemps refoulés, l'amour entre femmes, ma dernière aventure saphique remonte à loin et la Démone des plaisirs Lesbiens me titille le ventre, c'est elle, certainement, qui vient de créer une brise légère qui me caresse agréablement l'entre-jambe.
Comme j'ai remonté ma jupe en me baissant pour pisser, ma chatte est exposée aux regards des filles qui ne se gênent pas pour m'observer dans cette posture indécente, je m'aperçois qu'elles ont une main entre les cuisses et qu'elles se tripotent en pissant, Juliette a même l'impudeur de se tourner vers moi en écartant largement les cuisses pour me montrer que je ne rêve pas, Marie rigole de cette provocation et se met à caresser l'entre-fesses de sa copine, celle-ci s'astique la motte de plus belle, ses doigts ruissellent de pipi
Marie me fait un signe de la main, le Majeur en l'air, elle le suce, l'enduit de salive et je comprends qu'elle le rentre dans l'anus de Juliette qui se met à miauler sous la caresse digitale, les petites garces sont en train de me mettre le feu aux sens, je ne résiste pas et les imites en envoyant une main sur mon sexe dégoulinant, mes doigts caressent ma vulve gluante sous le chaud jet de liquide, les filles me fixent du regard en continuant leurs attouchement impudiques, Juliette imite son amie en lui entrant aussi un doigt dans les fesses, la vision de cette masturbation commune me transcende, plus rien n'existe autour de nous, les dernières barrières de ma pudeur s'effondrent, mon index glisse vers ma petite porte qui l'accueille en s'entrouvrant, moi aussi j'aime ça
Les filles ont finies de pisser et se doigtent les orifices sans retenue, tout en me regardant me caresser, elles se pincent mutuellement la pointe des seins, la situation est d'un érotisme fou, l'amour à la campagne, les fesses au raz de l'herbe, le ciel bleu au dessus de nous, les petits oiseaux qui chantent, tout cela donne à notre pipi-masturbatoire un côté bucolique, haletantes, nous avons chacune un petit orgasme étranglé, pas la peine d'attirer des spectateurs, je sort un mouchoir papier pour m'essuyer, les Vulvettes remettent leurs culottes sans le faire, de vraies petites cochonnes, ça doit être parfumé la dessous, me dis-je
Je me relève, remonte ma culotte, la motte toujours en feu, Juliette et Marie viennent contre moi en me tendant leurs lèvres, je les embrasse, nos langues chaudes se caressent et s'enroulent, un baisé fougueux, elles me fouillent, je les fouille, nos salives se mélangent dans une communion douce et sensuelle, les mains se promènent sur les formes, sur les leurs, sur les miennes, le désir est toujours là, j'ai envie d'elles, de leurs corps, mais aussi de leurs caresses sur le mien, je craque:
- Je veux bien vous essuyer la minette
si vous voulez
?
- Avec la bouche ? me demandent-elles à l'unisson.
- Bien sur
! Dis-je sans me dégonfler. - Vous êtes des petites cochonnes dites donc
- Oui
on aime bien être cochonnes de temps en temps
dit Marie.
- Heuuu
Bon
D'accord
Mais mangeons d'abord un morceau
on verra ça après
pour le dessert.
- Ouiii
Pour le dessert
disent-elles avec une bouche gourmande.
J'installe le piquenique dans l'herbe, nous mangeons avec appétit, les émois nous ont creusés, nous discutons en même temps, de notre bissexualité, de notre différence d'âge, ça ne les dérange pas, comme elles disent en rigolant, elles aiment bien se taper une "Vieille" de temps en temps, ou un "Vieux", elles sont vicieuses à souhait et savent que les personnes mûres sont plus cochonnes que les "jeunots" avec qui elles baisouillent, plus on en parle, plus j'ai envie de me laisser aller à tous mes fantasmes et de subir les leurs, je n'ai pas eu de relations sexuelles avec des filles depuis longtemps mais maintenant que je sais que j'ai avec moi deux petites coches pleines d'envies, j'en mouille de faire la chienne avec elles, j'ai un petit jet d'émotion dans ma culotte.
Nous avons fini de manger et je fume une cigarette en les regardant, elles sont belles et désirables, elles sont tout le temps en recherche de câlins et de plaisir, insatiables, j'ai étendue une couverture sur l'herbe pour le repas, nous rangeons les restes pour pouvoir nous étaler à notre aise, les mains glissent furtivement sur les corps, l'excitation est là, elles sont belles, jeunes, brunes à la peau bronzée et aux cheveux longs, je déguste l'instant, la chance que j'ai de les avoir trouvées sur ma route du retour, Juliette vient à genoux m'embrasser sur la bouche, elle me caresse la poitrine, évalue la taille et le poids de mes seins, elle passe une main entre mes cuisses pour me toucher la culotte, elle me masse le pubis, descend sur mon sexe pour me branler un peu puis porte ses doigts à son nez
- Hummm
tu sens bon
tu sens bon la femme et la mouille de femelle en rut
on va se donner du plaisir toutes les trois
bouffe moi la chatte
tu me l'as promis
!
C'est tombé comme un ordre, une branleuse de vingt ans me dit de lui bouffer la chatte et je vais le faire, je vais le faire parce que j'en ai envie depuis que je les ai vues sur le bord de la route à faire du stop, inconsciemment, ma libido m'a ordonnée de les prendre en stop, pour avoir une aventure avec des filles, désir refoulé depuis si longtemps, l'épisode masturbatoire n'a fait qu'augmenter mes envies de tout leur faire et de me laisser tout faire par elles, Juliette frotte mes parties intimes avec le fond de ma culotte, elle récolte tous les parfums, tous les mouillements et finie par me la retirer pour la donner à Marie qui la porte à son nez, la humant avec délectation
Puis elle passe une main dans la sienne et commence à se masturber, sa bouche et sa langue lèche maintenant le tissus, j'enlève celle de Juliette et la renifle également, elle sent fort, je regarde l'entre-jambe, c'est une culotte de deux jours au moins au vu des traces qui la macule, une sale des fesses mais je m'en fout, je veux de la raie, de l'anus, de la chatte et tout ce qui va avec, je m'allonge et l'invite à poser ses fesses sur mon visage pour un soixante neuf odorant et furieux, elle me présente son derrière que j'écarte, le parfum de sa raie de négligée m'enivre immédiatement, elle se cambre et sa vulve de pisseuse entourée de poils brun vient se poser sur ma bouche, elle sent bon, comme j''aime, mélange de pipi et de mouille, ma langue lèche tout, dans tout les recoins, j'aspire son bouton turgescent, elle frotte sa chatte sur ma bouche, et son anus odorant sur mon nez, sa rondelle s'ouvre petit à petit, Juliette pousse, je raidis ma langue et la rentre dans son sphincter gouteux
- Ouiii
! Comme-çaaa
Lave-moi les fesses avec ta bouche
me demande-t-elle.
De son côté, Marie se masturbe toujours la motte en nous regardant nous gouiner, elle s'est enfoncée le goulot de la bouteille de vin du repas dans l'anus et accroupie dessus, se le rentre profondément par de petits vas et viens, elle s'est mise deux doigts dans le vagin et se le tripote dans un bruit de clapot, Juliette me mange la moule en me doigtant l'anus, elle me relève les jambes pour avoir un accès buccale à ma petite porte, quelle bouffeuse de cul, une vraie gourmande, je m'ouvre encore, elle me branle d'une main et m'enfonce deux doigts de l'autre dans le fondement
nous jouissons ensemble comme des chiennes en chaleurs, je me mets à lui pisser au visage de plaisir, elle me boit bouche grande ouverte, à côté de nous j'entends les râles de Marie qui prend son pied avec la bouteille dans le cul, je jette un il vers elle, la bouteille est rentrée au maximum dans son illet, elle se triture la vulve sauvagement, son orgasme est à la mesure de ce qu'elle a dans l'anus, elle aussi se met à pisser, un instant, l'angoisse d'être regardées m'effleure, augmentant ma jouissance, tant pis, le plaisir pris est plus important, il efface toutes notions de danger.
Nous redescendons sur terre après un bon moment de passage à vide, de laisser-aller intégral, vulves, fesses et nichons à l'air, nous remettons nos culottes sur nos intimités poisseuses pour reprendre la route, en arrivant sur Paris, j'invite les deux nymphettes à rester chez moi quelques temps, elles acceptent, pour mon plus grand bonheur, je n'ai pas encore goutté à Marie et nous n'avons pas encore tout fait toutes les trois
FIN
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