Suite Francine (Le Supplice)
Suite Francine et fin ( Le supplice )
Par ce beau dimanche matin, jétais à lextérieur de ma résidence sur ma terrasse, je prenais un café corsé en attendant que ma douce Andréanne daigne se réveiller et venir me rejoindre. Elle a tendance à se lever tard les fins de semaine. Je repasse sa demande dans ma tête et un sourire sillumine dans mon visage. Cette femme élancée me surprendra toujours. Je mimagine sa prochaine demande! Mais je sais quelle nira pas jusque là. Elle apparaît dans le cadre de la porte avec la cafetière, une tasse, vêtue dun peignoir beige ouvert qui montre ses longues jambes et le début de ses petits seins. Elle sapproche, elle me donne un baisé. Elle se verse un café et rempli ma tasse.
Je la regarde et je vois quelle est un peu inconfortable. Je lui demande si elle a bien dormi? Elle me répond « oui par intermitense » Je lui demande ce qui la tracasse » Elle répond : « c.est hier soir ce que je tai demandé » Ah tu veux dire le fouet. Oui me dit-elle. Tu sais ce que je suis alors! Oui mais je voulais en recevoir tu men as donné et jai aimé me dit-elle. Un autre jour, je lui dis : « je suis sur que tu vas me surprendre avec autre chose que le fouet ».
Je peux mattendre à tout. Le lundi nous rentrons chacun à nos emploies. Nous faisons tous les deux un soir chez lune et lautre. Nous nous aimons avec fougue. Nous avons réaménagé le sous sol de ma maison,une partie en salle de souffrances ( notre petit coin à nous) et lautre partie salle de lecture. Il marrive parfois dêtre exigante envers mon corps. Elle sait et cela, elle aime ça. Je crois quelle est devenue comme moi, une femme maso. Je crois quelle na pas de limite à souffrir et à me faire souffrir.
Comme jaime être chez elle et de la voire, de la comprendre vivre ce qui est différent de moi Parfois elle veut avoir des informations sur différentes façons de faire souffrir une personne physiquement et aussi la façon de lappliquer sur moi et sur elle.
Un soir nous regardions différent site et un hasard nous fîmes découvrir des souffrances extrêmes offerte aux dames. Il en avait de toutes sortes dont une qui attira mon attention. Elle quitta les lieux quelques instants et je pris note du dit site me promettant bien de le regarder plus tard.
Ah la curiosité de femmes ah cette curiosité me gagnant je décidai daller voir sur le ou les sites quelle a regardé. Beaucoup de violence physique et sensuelle. Je fus attirer par un site ou il y avait que des femmes clouées et crucifiées. Je me suis dite elle ne veut surement pas aller jusque là me dis je. Je continuai mes recherches pour découvrir quil y avait des endroits qui faisaient cela soit, les donjons, à ma grande surprise.
Un soir que jétais chez elle, je lui demandai si une fin de semaine elle aimerait que nous agrémentions celle-ci par une fantaisie de sexe et brutalité! Une réponse fût dans le positivisme ce qui me surprit un peu.
Je lui posai une question quel genre que tu aimerais et aussi que nous aimerions????. Elle me répondit genre de club libertin avec violence, brutalité etc me dit elle. Je lui dis : « je connais certain club privé et libertin en banlieu mais il faudrait les contacter et surtout trouver comment cela fonctionne et aussi le genre que nous voulons comme souffrance. Nous avons trouvé 4 endroits pas trop loin et pouvoir revenir après et pouvoir aussi se rétablir de nos souffrances et le corps aussi.
Nous communiquons par internet au dit endroit. Nous avons reçu par internet de la documentation visuel et aussi photographyque. Je reste septique quand à ces documents. Nous regardons le visuel qui nous montre ce que la personne subit si elle choisit lun des différents supplices. Nous les regardons tous. Ce que nous remarquons cest que le fouet fait parti intégrante de chacun des supplices.
Suite au visionnement je choisis le fouet extrême et Andréanne choisit quelque chose qui me surprit comprenant le fouet et une marche avec un objet de lancienne romaine. Nous avons envoyé notre réponse au club libertin. Une semaine passe et pas toujours de réponse. Il est vrai que nous somme en période des vacances et je dis à mon amour que cela devrait arriver à lautomne et prévoir nos vacances pour cette période ce que nous fîmes. Un de septembre la réponse tant attendue arriva. Celle-ci comprenait 5 dates tous des samedis en soirée. Nous choisîmes le dernier samedi doctobre et nous avertîmes nos employeurs que nous serions en vacance 2 semaines.
Une semaine avant notre choix de date nous sommes invitées à nous rendre au dit endroit et nous avons visité les lieux. Nous avons rencontré les dites personnes ainsi que le personnel médical qui prendra soins de nous durant 2 jours avant que nous retournerions chez nous. Les personnes nous dirent darriver en soirée vers 21hrs et de les demander à notre arrivée.
A notre chemin de retour, nous avons révisé ce quelle nous avait dite et les mesures prisent pour ce que nous avions choisit. Il était permis darrêter tout cela 2 jours avant le but ultime. Nous retournons toutes les deux au travail à chaque jour. Arriva la dite journée et nous étions toutes les 2 fébriles. Nous préparâmes chacune notre petite valise pour nos 2 jours en période disolement pour penser nos plaies.
Nos quittâmes ma résidence pour le dit lieu. Nous sommes arrivées à lheure dite. Il y avait déjà beaucoup de monde qui était présent et qui se préparaient a leur soirée de plaisir. Les gens savaient quil s y avaient un spécial ce soir dans la place. Nous fûmes invitées à suivre les hôtes.
Une fois le tout conforme, nous fûmes dirigées dans une salle ou les préparatifs furent commencés. Une mise a nue et étendue sur une table, Il nous lubrifie chacune avec une huile spéciale qui empêchera les lacérations de notre dos mais qui vas accen la souffrance. Il faut le laisser entrer dans notre peau durant 2 heures. Donc le tout devrait débuter vers 1hrs du matin. Le supplice de ma complice sera plus long. Et le mien sera devant ma complice si elle nest pas évanouie.
Nous voilà que des gens nous revêtissent dune robe de crin. Ils prennent biens soins que celle-ci colle à notre peau en ly faisant bien adhérer. Ils nous attachent nos mains et nous mettent un masque afin de ne pas être reconnue. Le tout bien installé, nous apparaissons dans la grande salle où il y a plein de gens qui sont soit nues ou vêtues. Deux personnes se présentent devant nous. Une des personnes dit à haute voix ce que nous devons subir. Pour moi cest la flagellation et ma complice se sera la crucifixion romaine. Se fut la stupéfaction dans la salle.
Entre en scène trois personnes vêtues en romain de lépoque. Deux semparèrent d Andréanne et la dévêtirent. Ils la mirent et lattachèrent a une colonne et la flagella. Elle criait de douleur. Son dos était rouge mais pas de marque. Ils lui remirent sa robe de crin et lui mirent une couronne dépines sur la tête. Le sang fit son apparition sur le front de mon amante et complice. Je voyais son visage qui indiquait la souffrance. Ils lamenèrent près de sa croix et ils lui mirent sur son épaule dessayer de faire des pas. Elle fit quelque pas et elle tomba, essaya de se relever mais fut incapable.
Ils la dévêtirent et la couchèrent sur la croix. Pour empêcher de casser les os de la main, un médecin spécialiste lui pris la min et lui enfonça selon ses radiographies un pique qui traversa sa main et une fois la main traversée il planta un clou dans lorifice, et fit de même pour lautre main ainsi que les pieds.
Moi je suis amené devant elle et mise a nue, attachée les bras en croix et fut flagellé cent coups de fouet avec un intervalle de 10 seconde entre chacun, Ils me détachèrent et je meffondrai sur le sol. Les gens recouchèrent la croix et libérèrent ma complice de sa croix et la soulevèrent dans leur bras et lamenèrent auprès du médecin qui lexamina et prodigât les premiers soins pour ses mains et ses pieds et moi de même suite à ma flagellation. Tel que convenue nous restâmes là 2 jours et les soins appropriés.
Nous sommes entrées chez moi et nous avons pensé nos plaies. Moi se fut moins long que ma complice. Moi il fallait appliquer une crème sur mon dos que le médecin chinois mavait donnée et à Andréanne 2 crème, une cicatrisante et la 2 ième aussi pour son dos. Nous pûmes retourner à notre travail après 2 semaines.
Deux semaines après mon retour a mon travail, Josée une femme de quarante ans son âge me posa des questions sur mon orientation et je lui avouas que jétais en relation avec une femme et que je lai toujours été et que plusieurs amies le savent, et que elle, elle se doutait de mon orientation. Elle mavoua que dernièrement, quelle avait assisté avec son amie, et un groupe de personne a une réunion de sadomaso et quelle avait bien aimée et que elle et son amie le pratiquait. Elle mavoua nous avoir reconnues. Je lui répondis. « Bienvenue dans le club « Souvent nous nous réunissons toutes les quatre pour des scéances.
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