Un Réveil Endiablé
La lumière dans mes yeux est vive, mais ce nest pas ce qui ma réveillé. Non, cest une douleur plus intime qui ma tiré du sommeil. Comme un frottement désagréable entre mes fesses. Oui, décidément, quelque intrus entreprend de se frayer un chemin en moi ! La douleur est toutefois intense, comme si mes parois étaient irritées par je ne sais quoi. Oh, mais le voilà qui ressort maintenant ! Mais pas pour longtemps, il revient, et plus profondément cette fois, et avec encore plus de douleur, ce qui me fait pousser un petit cri plus aigu que je ne laurais voulu ! Mais quest-ce qui se passe ? Et où suis-je donc ? Ah oui, je me souviens, le Saint-Antoine, cet homme plus âgé qui ma rejoint aux chiottes puis ma fait monter dans sa voiture, cet homme que jai
Oh mon Dieu, oui, cest vrai, je lai sucé, je lai même avalé
Puis il ma fessé dans ce stationnement, il ma amené chez lui et je lai sucé à nouveau, oui, jai fait tout ce quil me disait, je lai même supplié de me sodomiser, que dis-je, de menculer, comme cette jeune femme sur la télé qui gémissait « Harder ! Harder ! Fuck me ! Fuck me in the ass ! Oh yeeeaaahhh
» Et justement, ce truc qui sagite en moi, cest encore cet homme qui mencule ! Non, non, son sexe est énorme, ce que je sens nest pas assez gros
Heureusement, cest déjà suffisamment douloureux ! Ah, oui, voilà, ce sont des doigts. Deux ou trois doigts enduits de salive qui fouillent mon intimité sans se presser, comme en visite dans un endroit où lon envisage de sétablir durablement.
Mais alors, nen a-t-il a pas eu assez hier soir ? Visiblement non
Et moi non plus, puisque la douleur fait peu à peu place à un certain plaisir, plaisir physique, certes, mais aussi celui, psychologique, de le sentir investir mon cul sans me demander mon avis, comme sil lui appartenait, comme si je lui appartenais. Et dire que je ne connais même pas encore son nom !
Les yeux encore à demi clos, je savoure ce doigtage matinal de plus en plus agréable.
Ce nest toutefois pas moi qui dirige les opérations. Le propriétaire des doigts qui me fouillaient si copieusement décide en effet de se retirer brusquement de moi, marrachant ainsi un soupir de surprise et de dépit. Intrigué, je me retourne vers lui dans lespoir de découvrir ce qui me vaut le déplaisir de ne plus sentir sa main dans mes entrailles. Je me sens étrangement vide. Cest au contraire avec quelque chose dans les fesses que je devrais me sentir trop plein, mais en si peu de temps, je me suis vraiment habitué à être rempli, que ce soit par des doigts, un plug ou mieux encore par un sexe viril
Ma normalité, maintenant, il semble que ce soit de me faire enculer. Si mon cul est libre, jai limpression quil y a un problème à régler, un vide à combler le plus rapidement possible...
Le spectacle que je découvre en me retournant est magnifique. Je navais pas réalisé hier à quel point cet homme est beau, même sil a plus du double de mon âge. Il est couché sur le dos, le haut du corps relevé, appuyé sur quelques oreillers, sa queue déjà raide pointant majestueusement le plafond, les mains croisées derrière sa tête comme sil profitait du soleil. Dans cette position, il trône littéralement sur le lit, exposant sa virilité indiscutable à ma vue, mettant en valeur son torse découpé, juste assez musclé pour que je puisse en un coup dil faire linventaire de chaque muscle.
Il na pas besoin de dire quoi que ce soit, je sais ce que jai à faire. Lempressement avec lequel je saisis sa queue na négal que mon désir pour elle, que je sens palpiter sous mes doigts comme si elle était douée dune vie propre.
Soudain, une sonnerie de téléphone retentit. Lhomme att alors rapidement lappareil qui se trouve sur la table de nuit et le met en mode haut-parleur :
Allô ?
Bon matin, mon amour, dit une voix de femme.
Bonjour ma chérie, ça va bien ?
Oui, oui, les s sont en train de lire dans leur chambre, cest la première fois depuis quon est partis de la maison quils sont à la fois réveillés et calmes
.
Quel culot il a ! Sans doute prend-t-il un certain plaisir de tromper son épouse alors même quil converse le plus banalement possible avec elle qui ne sait rien ni de ses penchants ni du fait quen ce moment même son sexe se fait lécher, aspirer, pomper par un jeunot quil a dégotté la veille dans un bar et qui depuis est accro à sa queue. Du moins, cest ce que je croyais jusquà ce quaprès quelques minutes de babillage jentende sa femme lui demander :
Belles photos que tu mas envoyées. Tu as donc trouvé quelquun hier soir, finalement ? Il a eu lair de déguster !
À ce moment, stupéfait, je cesse tout mouvement, pétrifié par la surprise. Mais lhomme ne lentend pas de cette oreille et appuie fermement sur ma tête pour que je reprenne mon ouvrage.
Oui, un beau petit gars, début vingtaine, mince, presque imberbe, yeux bleus clairs, un petit cul de rêve. Souple et serré. Cétait sa première fois, mais il apprend vite.
Pour vrai, un petit puceau ? En plein comme tu les aimes, tu devais être content ! Et son fameux petit cul, jimagine que tu le lui as bien défoncé, hein ?
Crois-moi, il va sen souvenir toute sa vie.
Oui, jimagine ! Tu peux être un peu brusque parfois
Et avec la grosseur de ta queue, en plus
En général, ça na pas lair de te déplaire !
Cest vrai, cest vrai. Et comme je te connais, ça na pas dû tellement lui déplaire non plus. Il encore là ?
Oui, il est en train de me sucer. Tu sais comment jaime les gâteries au réveil
Sacré pervers, va ! Montre-le-moi, veux-tu ?
Lhomme tourne alors son téléphone intelligent vers moi qui, malgré ma surprise dentendre ce dialogue surréel, nai pas cessé de moccuper de son sexe dur comme du bois. Je jette toutefois un coup dil à lécran de lappareil pour constater que sa femme est un peu plus jeune que lui : elle ne doit pas avoir plus de quarante-ans, des cheveux bruns ou brun-roux ramenés derrière la tête, des pommettes saillantes de chaque côté dun petit nez retroussé; elle est assez jolie, très jolie même pour une femme de son âge.
Au lieu de me paralyser comme cela aurait eût été normal, de me savoir ainsi observé par lépouse de lhomme que je suis en train de pomper décuple mon excitation et me motive à me donner plus à fond.
Comment tu le trouves ?
Cest vrai quil est pas mal, ce que jen vois en tout cas, dit-elle à son mari. Moi aussi, il maurait sans doute tapé dans lil avec ses traits fins. Presque féminins, hein ? Ouh là, de le voir te sucer, ça me fait mouiller, tu nas pas idée ! Jai hâte à ce soir pour voir sil te reste de lénergie ! Et toi, ajoute-t-elle en sadressant à moi dun ton soudain plus dur dont je peine à croire quil provient de cette femme au visage si délicat, mets-y plus de salive pour que ça coulisse mieux. Tu ne fais que le branler en lui suçotant le gland comme un puceau, tu penses quil aime ça ? Ce nest pas comme ça quon suce une bite Enlève tes mains de là et plante-toi sa queue dans la gorge. Je veux que tu tétouffes sur sa bite.
Interloqué, je regarde lhomme qui, dun signe de tête, me fait comprendre de faire ce que sa femme mordonne.
Cest mieux, beaucoup mieux. Là, tu pompes comme une bonne salope. Tu vois, avec plus de salive, tu arrives à en prendre davantage, presque autant que moi, même. Dis-moi, comment tu la trouves la queue de mon mari ? me demande-t-elle ensuite, la bouche entrouverte, sa langue courant sur ses lèvres, signe quelle est peut-être en train de se caresser.
Je ladore, Madame, jamais je nen avais vu une aussi grosse
Dis plutôt que tu nen avais jamais dautre que la tienne auparavant ! Enfin, continue à le sucer et avale bien tout son jus, je ne veux pas encore avoir à frotter les draps parce quils sont tous tachés
Puis, elle dit à son mari :
Excuse-moi, je lui ai dis de te boire, mais si tu as envie de lui éclater le cul à nouveau, ne te gêne pas, bien sûr.
Ne tinquiète pas, javais compris. Mais je nai pas encore décidé. Pour linstant, jaime bien le voir se démener pour en prendre le plus possible en lui. Tu las bien motivé !
Jespère bien ! Je veux que mon chéri reçoive le meilleur traitement possible. Bon, je vais devoir te laisser, les s font du bruit dans leur chambre, je vais aller voir sils nont rien brisé. Tu menverras dautres photos de ta nouvelle salope, dis ?
Tout ce que tu veux, chérie. Vous serez à la maison vers quelle heure, les s et toi ?
Probablement vers 18h, ça te va ?
Cest parfait, je préparerai le souper. À ce soir. Je taime.
Je taime aussi, fourre-le bien de ma part, mais essaie de ne pas trop labîmer tout de même.
Je ny manquerai pas, tu peux en être sûre.
Cétait ma femme, Claire, me dit lhomme en raccrochant. Comme tu dois lavoir compris, je tai menti hier soir. Mon épouse est parfaitement au courant de mes envies et cela ne la dérange en rien. Au contraire, ça lexcite, même. Cependant, excepté elle, et quelques gars dans ton genre, cest vrai que personne nest au courant. Alors, la discrétion est tout de même de mise.
Cétait assez bizarre comme situation, Monsieur, je ne mattendais pas à ça
Suce ma queue. Ça ne me dérange pas quon parle, mais je ne veux pas avoir à te dire de me sucer à chaque fois que tu as fini ta phrase. Il faut que ça soit un automatisme. Des gars et des filles comme toi, je peux en trouver partout. Je sors ma queue, et ils accourent. Si tu veux que je te garde, tu dois me prouver quau fond de toi tu es complètement dévoué à mon plaisir, tu dois te démarquer.
Quant à la relation que jai avec ma femme, elle na rien de bizarre. Je peux coucher avec qui je veux en autant quelle le sache, elle peut coucher avec qui elle veut en autant que je le sache. Nous nous faisons confiance et nous nous disons tout. Vraiment tout, et en détail.
Eh ben
Et
vous couchez souvent avec des hommes ?
Des hommes ? Jamais. Des gars comme toi qui se croyaient hétéros ou qui veulent essayer autre chose, oui, ça arrive. Des filles assez jeunes qui ont besoin de se faire prendre en main, oui, aussi. Dans tous les cas, je leur montre ce que cest de servir un vrai homme, je les rends tous et toutes accros à ma bite. Dailleurs, nest-ce pas ce que tu commences à être, accro ?
En train denfoncer moi-même son sexe hors normes dans ma bouche, des larmes sur les joues, je me voyais mal répondre par la négative. Entre deux plongées, jai donc dit la vérité, en esquissant un sourire mi-gêné mi-coquin :
Je pense que oui, Monsieur
Cest bien, cest bien. Tu me fais un peu penser à ma secrétaire, Sophie. À peine plus vieille que toi. Au début, elle était toute timide et prude avec ses chandails de laine informes et ses lunettes en fond de bouteille. Mais ça na pas pris grand-chose pour quelle devienne ensuite une bonne soumise toujours en manque de foutre qui adore sexhiber en lingerie, faire des gorges profondes et se faire prendre brutalement. Elle a ça au fond delle. Comme toi, jespère. Elle fait tout ce que je dis sans aucune exception et elle ne le regrette jamais. Au contraire.
Je nen doute pas un instant, Monsieur.
Certaines personnes ont besoin dêtre dominées, dêtre dressées pour vraiment sépanouir, dit-il en guidant désormais ma tête sur sa queue, pour que jen prenne encore davantage. Comme un chien nest rien sans son maître; il nest quune nuisance, un parasite. Tu sais ce que jaime chez un chien ? Si tu toccupes bien de lui, si tu le nourris et le caresses tout en étant toujours ferme avec lui, en retour jamais il ne te décevra; il fera littéralement tout pour toi. Cest ça que jaime chez un chien : le dévouement. Tu comprends ?
Jétais absolument incapable de répondre; il me bloquait la tête de ses deux mains et donnait de rapides coups de bassin pour enfoncer son sexe raide en moi. Je ne pouvais quéructer dépais filets de salive.
Sinon, pour en revenir à ta question, la dernière fois avec un gars, ça remonte à presque six mois. Un petit blond rencontré sur internet. Il disait quil avait envie dune bonne queue dans son cul de minet, quil en avait marre de ses jouets de silicone. Je lui ai dit que jallais lui montrer ce quune vraie bite est capable de faire. Mais quand il est arrivé, jai compris quil sétait foutu de ma gueule. Il faisait au moins dix ans de plus tôt que sur sa photo et il était un peu bedonnant.
Quest-ce que vous avez fait, alors ?
Je lui ai permis de me sucer dans le garage pas question quil entre dans ma maison et jai défoncé sa gueule de menteur avant de juter partout sur son visage. Le pire, cest quil a presque eu lair daimer ça sur le coup. Puis, je lui ai dit de foutre le camp. Il est reparti tout triste comme un con, la face toute croûtée.
Je naurais pas vraiment voulu être à sa place
Et ça ne tarrivera pas si tu continues à faire ce que je te dis. Lui, il avait mérité son sort. Tout ça pour dire que ça a un peu refroidi mes désirs. Et que maintenant je me méfie dinternet ! Tourne-toi maintenant, ajoute-t-il en me repoussant sans délicatesse. Couche-toi sur le ventre au milieu du lit, un oreiller sous les fesses.
Oui, Monsieur, ronronné-je en obéissant prestement.
Lui se lève et ouvre le rideau à moitié transparent de la fenêtre donnant sur limmense cour arrière où un jardin soigneusement entretenu borde une jolie piscine. Au fond du terrain débute la forêt qui sétend sans doute sur plusieurs kilomètres.
Pendant que je contemple cette vue qui contraste fortement avec celle que jai de mon appartement détudiant dans un coin relativement miteux du centre-ville, je ne réalise pas que lhomme est revenu derrière moi. Jai à peine le temps de sentir le matelas senfoncer sous son poids que son gland pointe contre ma rondelle.
Je tavertis, tu vas avoir un peu mal au début.
Aussitôt dit, il me perce le cul dun coup, comme on embrocherait un poulet. Je ne peux que pousser un cri de surprise et surtout de douleur et essayer de défaire de son emprise, mais il me maintient fermement contre le lit. Mon cul se serre frénétiquement autour de lénorme colonne de chair plantée en moi et qui me brûle atrocement. Jai limpression quon vient de menfoncer une borne dincendie dans les fesses tellement je me sens écarté, brisé
Je sais que ton cul est encore sensible dhier, mais je na pas le choix de te prendre comme ça. Il faut quil se souvienne de moi. Je ne tai pas seulement dépucelé hier, ce nétait pas quune baise dun soir. À partir de maintenant, je veux que tout ton corps ton cul autant que ton esprit sache que je te possède, que tu es à moi. Calme-toi, détends tout ton corps, montre-moi que tu peux faire un bon soumis. Relâche ton cul toi-même sinon je vais être obligé de te le casser et ce sera encore plus douloureux. Allez, calme-toi
Une bonne salope accepte que son maître la prenne comme il le souhaite. Et nest-ce pas ce que tu veux être pour moi, une bonne salope ?
Oui
oui, Monsieur mais
parviens-je à dire en pleurnichant mais en mefforçant tout de même de me détendre pour espérer que la douleur sestompe.
Pas de « mais » avec moi. À chaque fois que je vais tenculer, dit-il en commençant maintenant à aller et à venir en moi, tu vas souffrir un peu le temps de thabi à ma bite. Cest le prix à payer quand on veut être ma salope. Quand tu ne souffriras plus du tout, ça voudra dire que ton cul est devenu trop large et que tu ne me conviendras plus. Tu as bien compris ?
Oui, Monsieur
Ton tour maintenant. Parle-moi de toi, ça va te faire oublier la douleur.
Quest-ce que vous voulez, ouf, savoir, Monsieur ?
Tu as une copine ? La fille avec qui tu parlais au bar ?
Mylène ? Non, non
Ouh
Enfin, pas pour linstant en tout cas
Je, je suis un peu timide avec les filles
Pas quavec les filles ! Cest justement pour ça que je tai choisi. Tu aurais dû voir ton visage quand je tai mis la main aux fesses dans les toilettes du bar, je croyais que tu allais tévanouir !
Ce nest pas passé loin, en effet
Alors, cette Mylène, tu vas la revoir ?
Je ne sais pas
Je suis parti vite hier soir et puis
Ahhhh ! Je ne sais plus trop, après cette nuit
Au-dessus de moi, son corps est presque parallèle au mien, ses bras puissants sont bien tendus de chaque côté de mon corps frêle, seul son bassin oscille avec le rythme dun métronome. Son large sexe entre et sort de moi de plus en plus rapidement tout en sassurant de me pénétrer toujours aussi profondément que possible. À chaque plongée en moi, ses couilles finissent par venir sécraser contre mes fesses, sattardant un instant comme pour sassurer que je sens bien quil prend définitivement possession de moi, ce qui me fait pousser sans que je le veuille de petits gémissements dextase. Oui, désormais, cest bel et bien de lextase que je ressens. De le sentir ainsi complètement en moi me remplit de bonheur, de fierté, je voudrais que ce moment dure encore des heures, pour quil me pilonne encore et encore dans la lumière blanche du matin.
Je repense alors aux quelques filles avec qui jai couché ou presque, à ma gêne lorsque venait le temps de poser le premier geste, à ma maladresse tandis quelles semblaient espérer que mes gestes soient sûrs, et je comprends alors que ma vraie place est plutôt ici, dans ce lit, soumis à cet homme qui, lui, ne me laisse pas le loisir dêtre gêné ou maladroit, qui me dirige et me prend selon son propre désir, ce mâle alpha qui ma révélé à moi-même ce que je suis au fond de moi, mais que jignorais ou refoulais jusquà hier, jusquà ce matin : un soumis. Mon rôle, je le sens à chaque fois que ses grosses couilles claquent maintenant violemment contre mes petites fesses blanches et que sa bite détalon écarte mon cul qui devient de plus en plus une chatte, cest dobéir et de satisfaire, cest dencaisser de puissants coups de boutoir avec un plaisir non-dissimulé dans le seul espoir dêtre ensuite récompensé par la jouissance de mon mâle. Oui, voilà maintenant ce que je suis et ce que je dois faire.
Moi, je sais. Tu ne la reverras plus.
Mais, je
Pas de « mais », cest la dernière fois que je le dis, dit-il dun ton soudain sec en senfonçant complètement en moi et en mécrasant de tout son poids contre le matelas. Tu la sens bien ma queue dans ton cul ?
Oui, oui, Monsieur, je la sens, ouf, vraiment bien
Eh bien, si tu veux la sentir une autre fois après aujourdhui, tu dois te réserver pour elle, tu dois te réserver pour moi. Ma salope, je la veux toujours disponible, toujours excitée, tu comprends ?
Euh
Oui, Monsieur, je comprends.
Alors, dit-il en reprenant son ton normal et ses amples va-et-vient par la même occasion, ça veut dire pas de sexe sans ma permission, et pas de branlettes non plus.
Euh, daccord, Monsieur, répondé-je, intérieurement désespéré, moi qui ai pour habitude de me masturber plus dune fois par jour.
Comment un simple sexe planté dans mon fondement peut-il me faire accepter de telles choses ? Bien sûr, cest plus quagréable de le sentir se démener en moi, mais cet homme veut littéralement contrôler ma vie et je le laisse faire sans rouspéter !
Parfait. Je savais que je pouvais compter sur toi, me murmure-t-il à loreille en plaquant son corps en sueur contre le mien. Tu vas voir, avec moi, tu vas vraiment découvrir ta vraie nature.
Pendant encore une dizaine de minutes, il ma pris ainsi, mécrasant durement contre le matelas apparemment sans se soucier de moi, comme si je nétais quun objet procurateur de plaisir. Je respirais difficilement, en partie parce quil appuyait sur ma tête, en partie à cause du plaisir intense qui saisissait mon corps. À chaque fois que son gland touchait le fond de mon cul, je me sentais mourir un petit peu, mais quest-ce que cétait agréable ! Il me malmenait brutalement, distendait mon anus probablement pour toujours, prenait possession de mon corps comme si je lui appartenais et pourtant jamais je ne métais senti aussi bien. Je navais à penser à rien dautre quà nos plaisirs qui se conjuguaient si parfaitement. Je nai pas joui cette fois, je ne sais même pas si jai bandé, mais, maintenant que ma bouche est pâteuse de sa semence que je viens davaler, que mon cul sensible demeure béant même sil est vide depuis plusieurs minutes, je peux dire que jai apprécié chaque seconde de ce réveil, même celles où jai souffert, car je savais que cétait pour lui plaire que je souffrais, et que tout ce qui mimportait, cétait de lui plaire. Dailleurs, cest avec un réel plaisir et sans le moindre dégoût que jai fini par emboucher la bite qui sortait de mon cul pour déguster le précieux nectar de lhomme qui était devenu mon Maître. Il a tout filmé avec son téléphone. Selon ses consignes, je lattendais au pied du lit, à genoux, mains dans le dos et langue tirée, probablement lair implorant. Il sest approché de moi, son sexe massif et luisant à la main; je lui ai presque sauté dessus tellement il était beau, tellement javais envie de goûter une nouvelle fois sa semence, mais il ma repoussé gentiment comme on le fait avec un chien trop excité.
Quest-ce quon dit ?
Sil vous plaît, Monsieur
Mieux que ça !
Sil vous plaît, Monsieur, est-ce que je peux boire votre semence ?
Pour que tu y aies droit, je dois avoir la preuve de ta soumission. Regarde le téléphone et répète après moi : Je suis la petite salope personnelle de Maître Marc, que je dois en toute circonstance appeler « Monsieur », et je dois répondre à chacune de ses demandes. Désormais, ma bouche et ma chatte lui appartiennent.
Jai hésité un seul instant, juste assez longtemps pour contempler le magnifique sexe que lhomme branlait devant moi et me convaincre de la chance que javais. Alors, jai regardé lil du téléphone :
Je suis la petite salope personnelle de Maître Marc, que je dois en toute circonstance appeler « Monsieur », et je dois répondre à chacune de ses demandes. Désormais, ma bouche et ma chatte lui appartiennent.
Ça alors, tu es vraiment prêt à nimporte quoi pour avoir ta ration de jus. Allez, approche ta bouche maintenant.
Il sest déversé entre mes lèvres en cinq grosses giclées, maintenant fermement ma tête en place pour que je néchappe aucune goutte. Une fois vidé, il a filmé en gros plan ma bouche remplie à ras bord de sperme et ma dit dun ton que jai senti affectueux :
Bois.
Ce que jai fait, avec grand plaisir. En à peine douze heures, javais découvert qui jétais vraiment. Désormais, je vivrais pour de tels moments.
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