Courses De Noël
Chaque année la même séquence de stress : les cadeaux de Noël.
Je my prends toujours au dernier moment, mon travail étant particulièrement chargé en fin dannée. Mais parfois, il y a des compensations
Lundi dernier, jai réussi à méchapper du bureau pas trop tard pour aller mengouffrer dans un grand magasin bondé, à la recherche de la bonne idée.
Je déambulais, regardant chaque rayon, jetant des coups dil alentour pour me repérer.
Devant moi, une femme assez forte avançait, son postérieur imposant se dandinant de droite à gauche sur ses petites jambes. Cela faisait un effet un peu comique mais en même temps, jimaginais ces fesses nues se faisant trousser. Et jai eu une petite érection.
Limaginaire émoustillé, je regardais les femmes dans le magasin, et je me prenais au jeu de les imaginer nues, cherchant à croiser leur regard. Mais la plupart nétaient intéressées que par leur quête de cadeau, pas par un mâle !
Jusquà ce que mon regard croise celui dune femme dune cinquantaine dannées. Elle était à quelques rayons du mien. Le premier échange a été fugace, mais une forme dintensité sy dessinait. Nous nous sommes perdus de vue, puis après une dizaine de minutes, toujours dassez loin, nous nous sommes repérés. Nouveau regard, nouvelle braise à moitié éteinte. Nous nous sommes souris.
Continuant mes pérégrinations, je suis monté à létage, au rayon habillement. Je cherchais un pull pour un ami de ma corpulence, touchant les textiles, regardant les étiquettes. Jen trouvais un et décidais daller lessayer. Il mallait bien, je décidais de le prendre. En sortant de la cabine dessayage, je tombe nez à nez avec ma belle inconnue.
- Bonjour, je trouve ce pull sympa, je me demandais sil irait pour mon mari, me dit-elle avec un sourire
- Bonjour, oui, il me va bien, et je le trouve très agréable au toucher. Vous pourrez caresser votre mari avec plaisir répondis-je bêtement, sans doute déçu dapprendre quelle était mariée.
- Vous croyez ? Il faut que je men rende compte avant non ? Vous ne voulez pas le réessayer ?
Là, jétais un peu bluffé et je ne pus que bredouiller un « oui, si vous voulez ».
Je rentrais dans la cabine, assez grande, et refermais le rideau pour passer le pull, la laissant à lextérieur.
A peine avais-je fini de le mettre que le rideau sest écarté, que linconnue sest glissée dans la cabine, refermant le rideau avec soin.
- Pour caresser avec plaisir, autant être un peu tranquille non ?
Elle sest approchée, a commencé à toucher les manches, remontant vers mes épaules, puis sa main est descendue vers mon ventre.
- Cest vrai quil est doux, cela donne envie de le caresser encore, a-t-elle lancé en me fixant.
Je métais un peu ressaisi, et linvitait à continuer.
- Tournez-vous, que je voie le dos.
Je me tournais
Elle passa sa main dans mon dos, sur mes omoplates, puis descendant jusquau fesses.
Je commençais à mériger un peu sous cette caresse.
Elle se plaqua soudain derrière moi, passa ses bras devant, menserrant de lun, pendant que lautre se dirigeait vers ma braguette.
- Mmmm, on dirait que le plaisir est partagé.
Elle me caressait le sexe, vite devenu tout dur, à travers le pantalon. Je ne pouvais bouger. Je sentais ses seins écrasés sur mon dos.
Experte, elle a bientôt fait sortir ma queue et ma branlé lentement. Je gémissais.
- Je vois, je vois, un pull très érotique en effet, me dit-elle en me posant des baisers dans le cou. Tu mas excitée au premier regard, Monsieur linconnu, maintenant je te veux.
Toujours dos à elle, jai réussi à glisser ma main sous sa jupe et à atteindre sa culotte. Rapidement, jai touché sa fente, passé un doigt sous lélastique et maladroitement vu la position, lui ai introduit un doigt dans sa chatte déjà mouillée.
- Madame, je vois que vous ne mentez pas, vous êtes dégoulinante. Mautorisez-vous à mabreuver à votre source ?
Elle ma fait retourner, ma agenouillé, a posé un de ses pieds sur la petite banquette de la cabine, écartant ses jambes.
- Bouffe-moi la chatte, suce-moi la moule.
Je ne me suis pas fait prier, me lançant à lassaut de ses chairs offertes, écartant ses lèvres pour laper au plus profond, dardant dans son con, ma langue sinsinuant, puis léchant son clitoris qui se gonflait à vue dil.
Jai lancé un bras vers sa poitrine, lui pressant les seins sous son chemisier. Elle a gémit.
- Oooo, cest bon, Monsieur, très bon, je suis bien contente de faire mes courses aujourdhui ! Continuez, mon ami, engloutissez-ce bouton qui est bien trop rarement à la fête ainsi.
Sous le compliment, je mappliquais, et approchant ma deuxième main, je lui enfonçais deux doigts dans sa grotte humide, faisant un crochet pour atteindre ce point sensible à lorée du vagin.
- Mmm, cochon, tu sens que jaime ça ! Attends, je massois, viens continuer.
Une fois sur la banquette, elle a enlevé sa culotte, a écarté les jambes, moffrant une vue sur sa pilosité naturelle sur laquelle je me suis à nouveau jeté de la bouche et des doigts. Son suc était un peu sucré, me donnant soif encore de la boire. Elle a ouvert son corsage, libérant des seins de belle taille que jai malaxé autant que je pouvais.
Soudain, jai senti son corps se raidir. Elle a porté une main à sa bouche pour que son cri ne sorte pas de la cabine, puis sest détendue. Aussitôt, elle sest relevée, sest mise dos à moi, les mains posées sur la banquette, moffrant son cul.
- Prends-moi, là, je veux ta queue.
A peine le temps denfiler une capote qui, par bonheur, était dans ma poche, que je pointais mon gland. Je pris un peu de son jus abondant puis fis coulisser mon pieu sur sa raie.
- Ne me fais pas languir, enfile-moi comme un soudard.
- Bien Madame !
Jécartais ses fesses, et pénétrais dun coup au fond de la matrice. Mon chibre était au chaud, bien au fond de cette femme inespérée. Je la besognais fortement, lui tenant les hanches.
Je ne suis pas un surhomme. Une telle situation, autant dexcitation impromptue ont eu raison de ma capacité à me retenir. Au bout de 5 minutes, quand je lai entendue gémir sa jouissance, jai éjaculé sur son cul.
Comme si de rien nétait, elle a rabattu sa jupe, épongeant mon sperme, sest retournée, ma souri et ma dit : Oui décidément, je crois que je vais le prendre, ce pull !
On a éclaté de rire.
Avant que jaie pu me rhabiller complètement, elle était sortie de la cabine.
Je me suis dépêché de la suivre, mais je lai juste aperçue qui filait vers lescalator. Au moment où elle allait disparaître, elle sest tournée vers moi, ma envoyé un baiser de la main avec un grand sourire.
Elle avait un pull dans la main, attrapé au vol sans doute.
Et mon pull, je me le suis gardé, pour moi.
Cela a été mon plus beau cadeau.
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