Alizée

Elle avait décidé de lui envoyer des photos d'elle - ou plutôt de son corps. Elle avait eu quelques échanges avec cet inconnu sur internet et elle avait pris cette décision par défi, pour le provoquer, mais également parce que ça l'excitait, elle.

On lui avait justement offert un bel appareil photo quelques mois auparavant, et elle s'était renseignée sur les bases de la photo : exposition, cadrage, traitement d'image,... C'était donc aussi une manière de pratiquer ce qui était en passe de devenir un hobby, tout en cédant à un désir d'exhibition profondément ancré...

Elle avait donc attendu le départ de son mari pour la journée, avait pris son petit déjeuner au lit tout en feuilletant un magazine et en pensant à la scéance de photo qu'elle allait réaliser. Cela l'excitait. Elle posa son plateau sur le lit, s'allongea, remonta sa nuisette au-dessus de ses seins menus, écarta les cuisses, et commença à se caresser les seins, l'intérieur des cuisses, avant de placer une main sur sa chatte. Elle mouillait abondemment. Elle commença à caresser son clitoris doucement, avant de se branler plus franchement. Elle pensait à des clichés d'elle nue, dans des positions provocatrices sans être pornographiques. Elle avait envie de se montrer, de provoquer avec ses belles jambes, son joli cul, ses petits seins. Ses pensées glissèrent bien sûr petit à petit vers des scènes plus hard, et elle ne tarda pas à jouir en longs spasmes...

Elle se coucha sur le côté, serra les cuisses autour sa main posée sur son sexe et s'assoupi quelques instants, sombrant dans des rêves érotiques...

Une heure plus tard, elle émergea lentement, se leva, retira sa nuisette avant de se glisser sous la douche. Elle ne pût s'empêcher de jouer à nouveaux avec ses seins, juste un instant, sans pour autant avoir envie de se masturber. Elle se sécha et vint se placer, nue et encore un peu humide, devant sa garde robe. Elle choisit bien sûr une tenue sexy, mais tout en conservant une certaine élégance : elle opta pour une robe noire sobre mais plutôt courte, un ensemble de sous vêtements noirs (sans dentelles) complété d'un porte jarretelle.

Après s'être séché les cheveux, elle s'habilla lentement et mis des chaussures à talons qui lui faisaient des jambes vertigineuses bien que la jolie brune soit plutôt petite. Elle vint se placer devant le miroir. Son style latin se mariait parfaitement avec sa tenue, elle etait sexy et avait terriblement envie de le montrer.

Elle sorti l'appareil et son pied qu'elle vint placer à un angle de la pièce. Elle régla divers paramètres pour correspondre à l'éclairage de la pièce. Un beau soleil froid d'hiver inondait la pièce.

Elle fixait l'objectif avec un regard lubrique, comme s'il s'agissait de l'objet de ses désirs, elle avait envie de jouer l'allumeuse, d'exciter un sexe d'homme. Elle régla l'appareil pour qu'il prenne des clichés à intervalles réguliers. Et vint s'asseoir sur le bord du lit. Elle croisa les jambes et adopta une pose détendue et un rien mutine. Un premier déclic. Elle se tourna légèrement de profil avant de remonter un peu sa robe sur ses cuisses pour faire apparaître son porte jarretelles. Un second déclic. Elle se leva, sa robe toujours légèrement remontée, droite sur ses talons, cambrée, mettant en valeur ses jambes, sa taille, ses fesses. Un troisième déclic. Elle remonta encore un peu plus sa robe et vint se placer à quatre pattes sur le lit, de profil. Un quatrième déclic. Elle fit glisser le haut de sa robe pour dévoiler son soutien gorge. Un cinquième déclic. Elle retira son soutien gorge avec un léger frisson, offrant sa poitrine au regard de l'appareil. Un sixième déclic. Elle retira complètement sa robe. Septième déclic.  Elle arrêta l'appareil.

Elle mouillait. Elle se déshabilla complètement. Elle glissa un doigt dans sa chatte humide, l'espace d'un instant. Elle remit l'appareil en marche, se plaça face à l'appareil, à genou sur le lit, très cambrée, les mains sur ses cuisses légèrement écartées. On devinait à peine sa toison. Huitième déclic. Elle pris la même pose, de dos cette fois, offrant un cliché à se damner : le regard partait de sa chevelure noire courant sur ses épaules, suivait naturellement la courbe de son dos, de sa chute de reins, avant de venir admirer son très joli cul.
..Neuvième et dernier déclic. 

Alizée passa ensuite une heure, nue devant son ordinateur, à ajuster les clichés, à les recadrer pour ne pas dévoiler son visage. Elle rassembla les photos dans un email, avant de taper l'adresse de l'inconnu. 

Fébrile et excitée, elle cliqua sur le bouton envoyer.

Comments:

No comments!

Please sign up or log in to post a comment!