La Saga Des Esclaves Au Château Du Marquis D'Evans (Épisode 362)
Suite de l'épisode précédent N°361 - La soirée d'anniversaire du Marquis d'Evans
- Monsieur le Marquis dEvans, je ne sais pas très bien comment je dois faire. Je suis désolée, car Vous mavez parlé pour mexpliquer comment je dois Vous parler et moi, je nai pas fait attention. Je nai pas vraiment lhabitude et je suis là aussi pour apprendre à mieux me comporter et à mieux parler. Je sais la chance que jai davoir pu tomber sur quelquun daussi bien et respectueux que Monsieur le Comte de Bégon qui est si gentil pour moi. Je voudrais sans cesse le remercier pour tout ce quil a fait pour moi, et à la place de ça, je sais que je lui ai fait honte ce soir. Je Vous ai mal répondu tout à lheure, Monsieur le Marquis dEvans. Je comprends que Vous pouvez être en colère contre moi et que je dois être punie pour que je noublie plus jamais de madresser correctement à un Noble ou à un Maître.
néra marque un temps darrêt. Son émotion la submerge et les larmes envahissent ses joues. Jamais elle na été confrontée à une telle situation quelle trouve si étrange, car avant elle navait jamais pris de gants pour sexprimer crûment et sèchement, allant même jusquà utiliser le langage argotique et les gros mots chaque fois quelle se mettait en colère ou se sentait en danger. Et là, elle se trouve en train de larmoyer pour un simple petit « Monsieur le Marquis dEvans » oublié dans une réponse banale, ce qui va lui valoir de surplus une punition pour ce qui reste encore à ses yeux une bêtise de peu dimportance, mais qui la tourmente au plus haut point car elle ignore totalement ce qui va lui être imposée. Entre deux sanglots, elle tente dajouter :
- Monsieur le Marquis dEvans, je dois Vous dire que jai peur, car je ne sais toujours pas quelle est la nature de Votre punition que je vais devoir subir. Et pourtant, vous voulez que je Vous dise que jaccepte sans même savoir ce que jaccepte. Mais je tiens par-dessus tout à ce que Monsieur le Comte de Bégon me garde à son service et à ses pieds.
- néra, es-tu consciente que tu as accepté la punition quil me plaira de timposer sans en connaître la vraie nature au préalable ?
- Oui, Monsieur le Marquis dEvans, jen suis consciente. Monsieur le Comte de Bégon et toutes les personnes que jai entendu parler depuis mon arrivée dans ce Château disent le plus grand bien de Vous et tous Vos esclaves ont lair si heureux dêtre à Vos pieds que je pense que je dois pouvoir Vous faire confiance les yeux fermés, dautant plus que jai aussi confiance en Monsieur le Comte de Bégon qui vous a autorisé à me punir. Jai confiance, mais cela nenlève pas mon appréhension pour autant
- néra, je ne te comprends pas vraiment. Ou tu as confiance, ou tu nas pas assez confiance ? Mais si tu as pleinement confiance, tu ne dois pas avoir peur puisque tu as confiance ! Nest-ce pas ?
- Monsieur le Marquis dEvans, je nai pas Votre intelligence, je ny comprends plus rien
Que voulez-vous de moi ?
- Mais Moi, je ne veux rien de spécial. Tu te trompes, une fois de plus, femelle, cest toi qui veut quelque chose de bien précis, en premier essayer de devenir un jour la soumise attitrée de Monsieur le Comte de Bégon, et juste pour linstant présent, essayer de te faire pardonner pour ta faute dinattention intolérable à Mes yeux et loffense que tu mas faite.
néra se sent perdue, plus elle essaye de comprendre et dargumenter, plus elle a lair de senfoncer et de se trouver dans un labyrinthe sans issue, se heurtant systématiquement au mur qui lui fait face et au Châtelain qui la met en face de ses propres contradictions. Elle marque un long temps darrêt pour savoir ce quelle doit faire et surtout ce quelle doit dire.
- Monsieur le Marquis dEvans, je reconnais que je vous ai mal parlé et que cela Vous a offensé, même si telle nétait pas mon intention. Je reconnais que cela mérite une punition, et je vous supplie de bien vouloir mimposer ce quil Vous plaira, comme il Vous plaira, afin que Monsieur le Comte de Bégon que je respecte beaucoup nait plus honte de la malheureuse effrontée que je suis, quil avait cru pouvoir amener ce soir avec lui parmi tous Vos Invités de marque. Je ne sais sil me pardonnera et fera un jour de moi sa soumise, mais je lui serais toujours reconnaissante de ce quil ma permis de vivre, et ne lui en voudrait jamais sil ne veut plus me garder à ses pieds et à ses côtés, car je sais bien que je ne suis pas bonne à grand-chose, même si javais le désir de devenir meilleure et de ressembler à celle quil avait cru voir en moi.
néra vient de baisser encore plus la tête et elle reste silencieuse, à genoux, presque tremblante. Le Marquis dEvans laisse une bonne minute sécouler avant de sapprocher de la soumise en larmes qui ne bouge plus dun pouce. Il lui att le menton et la redresse un peu.
- Calme-toi, femelle néra, cest fini
Sèche tes larmes
la punition que javais prévu de timposer était juste pour cette première fois de tobliger à réfléchir sur le sens de ta faute et sur la nécessité dune sanction quand une faute a été commise pour éviter en tout premier lieu que cela se reproduise. Il était donc dans mon intention de tobliger à accepter toi-même, librement et volontairement, de te soumettre en confiance à Ma volonté et à ce que Je déciderai de timposer. Sache que ce nest pas un exercice facile et que tu las fait avec beaucoup plus dhumilité que je limaginais connaissant ton peu dexpérience.
Sur ces entrefaites, Walter le Majordome arrive.
- Ah, Walter, Vous tombez bien. Pourriez-vous mindiquer ce quil est advenu de Nelly MDE depuis que Vous lavez envoyé à linfirmerie après sa petite fatale démonstration au moment de lapéritif.
- Monsieur le Marquis, cette sale chienne incapable de tenir debout un plateau à la main est en train de terminer sa soirée à la plonge sous les ordres de Madame Marie qui la affectée comme tous les esclaves qui avaient été punis récemment aux tâches les plus ardues qui doivent bien être accomplies en coulisse pour que cette somptueuse fête puisse être encore plus fastueuse.
- Vous dispenserez ce soir Nelly MDE de poursuivre sa tâche en cuisine, mais précisez-lui bien que ce nest que partie remise. Je la remets pour le reste de la nuit, entre les mains de Mon très cher Ami, Monsieur le Comte de Bégon qui a réclamé sa présence. Prévenez Nelly MDE de tout ce que cela implique, car je tiens à ce quelle fasse honneur à mes Initiales et donne toute satisfaction à Monsieur le Comte si elle ne veut pas risquer de se voir répudier sur le champ tout simplement. Une maladresse pour la soirée est bien plus que suffisante. Je vous laisse aller la quérir et merci aussi de veiller à ce quelle se présente ici dans un état de propreté suffisante, surtout si elle a passé le restant de la soirée à récurer les casseroles à pleines mains.
Le Châtelain se retourne vers Son vieil ami.
- Voilà votre petit souhait bientôt exhaussé, Cher Comte. Jespère que le petit cul de Mon esclave-soumise Nelly MDE sera un écrin tentant pour Votre queue quand elle la fera se redresser. Je ne vais pas tarder à vous quitter car jai encore dautres Invités à saluer avant la fin de la nuit.
- Je vous remercie, Cher Marquis dEvans, pour Votre grande sagesse et la lucidité de Votre analyse, alors que je ne Vous ai presque rien révélé de ma petite néra que jai pris autant sous ma protection que sous mon joug.
. (puis sadressant à néra)
.
- néra, il convient maintenant que tu remercies Monsieur le Marquis dEvans pour tout le temps quIL ta consacré, pour Son enseignement, pour la sagesse et judicieuse punition quIL ta imposée. Ne parle pas, dépose juste un baiser sur Ses pieds.
La soumise en devenir sexécute de bonne grâce, trop heureuse de voir tout ceci se terminer aussi facilement mais aussi ayant compris le message riche en enseignement que le Maître des lieux lui a fait assimiler et cest avec un baiser déposé sur les chaussures de cuir du Marquis dEvans, quelle exprime sa reconnaissance.
- Avant de Vous laisser, Cher Comte, il y a une chose qui me titille depuis le début. Quand je me suis approché, Votre petite néra avait en mains deux bougies quelle tenait presque à bout de bras, assez tremblotante, tandis quelle les faisait fondre sur le dos de ma chienne-esclave N°4, qui de son côté ne devait pas trouver bien désagréable le traitement réchauffant que Vous lui avez imposé, sachant que fort heureusement, elle na toujours pas bougé dun pouce depuis que nous conversons.
- Cher Marquis dEvans, Vous avez un il de lynx pour observer la nature humaine avec perspicacité. néra a été brulé dans son enfance par de lhuile de friture, elle craint donc toujours de sapprocher du feu. Jai voulu linitier à ces jeux de bougie, mais cela la terrifie. Jai donc eu lidée de la laisser ce soir, elle-même faire fondre la bougie sur le dos de Votre esclave pour quelle se rende compte toute seule que ces jeux sont sans danger, que la cire en coulant dune bougie reste chaude en rentrant au contact de la peau, mais quelle ne brûle pas et que les sensations pour la soumise peuvent savérer très agréables surtout sur les zones érogènes les plus sensibles. Mais, je ne suis pas sûr de lui avoir encore permis de dépasser son vieux traumatisme.
- Et bien Cher Comte de Bégon, nous allons voir sans tarder ce quil en est.
Le Châtelain att le menton de néra qui est toujours restée face contre terre après avoir baiser les chaussures du Maître des Lieux.
- néra, Mets-toi debout ! Tu nous as bien dit que tu avais confiance en nous, je veux dire que tu avais confiance en Monsieur le Comte de Bégon, et aussi en Moi, personnellement. Je me trompe ?
- Non, Monsieur le Marquis dEvans, cest bien ce que jai dit.
- Alors tu vas devoir nous le prouver sur le champ. Et je suis même certain que tu vas trouver beaucoup de plaisirs à ce qui va têtre imposé dans un cadre particulièrement D/s. Commence par ouvrir les jambes le plus largement possible et ensuite par fermer les yeux. Je vais te bander les yeux pour que tu naies pas le réflexe de vouloir les ouvrir avant que ce soit Moi ou Monsieur le Comte qui ôte ton bandeau.
Le Maître des Lieux att sans tarder sur une desserte à côté, un bandeau noir opaque, deux bougies et de quoi les allumer. IL passe la cravache sur lentrecuisse déjà très excité de la femelle qui ne tarde pas à ronronner de plaisirs lorsquIL sapproche de sa caverne humide ou lorsquIL fait pénétrer plus allégrement la cravache dans la raie des fesses à la recherche dune plus étroite intimité. IL revient ensuite pour sattarder sur les tétons quIL frôle de la cravache, mais quIL prend aussi en mains pour les pincer et les titiller afin de les faire darder. Approchant alors la bougie quIL vient dallumer, IL laisse tomber dassez haut pour quelle refroidisse une première goutte sur la partie haute du ventre entre les deux seins. néra laisse échapper un petit cri de surprise mais trouvant du plaisir à la sensation inconnue, elle incline juste la tête en ouvrant la bouche signe dune vraie attitude lascive qui redemande encore du plaisir. Le Marquis dEvans laisse alors perler en goutte à goutte les deux bougies sur le corps de la soumise en devenir, se rapprochant de plus en plus du mamelon plus sensible quIL finit par recouvrir entièrement de bougie fondue. néra a fini par comprendre lorigine et la nature des sensations chaudes quelle éprouvait dans un vrai goutte à goutte enivrant et excitant. Elle ronronne de plus en plus fort, laissant la vague des plaisirs lemporter dans un autre monde dextase.
Le Marquis dEvans satisfait dune part de Son uvre artistique sur le corps de celle dont la peau est maintenant recouverte de plusieurs gouttes ou trainées de cire refroidie et dautre part du fait quIL a pu repousser les limites de cette jeune apprentie soumise prometteuse, adresse un grand sourire complice à Son vieil ami de toujours.
-Très cher Comte, jai bien le sentiment que je vous laisse désormais une adepte, regardez-là se tordre de désirs
Elle est déjà toute chaude pour la nuit, sil vous reste encore un peu dénergie après Mon esclave Nelly MDE que mon Majordome ne devrait pas tarder à Vous ramener. Je suis vraiment obligé de Vous laisser, la nuit savance à grands pas. Jai eu grand plaisir à converser avec vous et à pouvoir moccuper de votre petite protégée. Mais nhésitez pas à rester ferme et exigeant dans Votre Domination, elle aura besoin de solides barrières pour avancer et prendre confiance en elle.
Le Châtelain se retire tandis quIL croise Walter qui traîne carrément lesclave Nelly MDE fautive, en la tirant par loreille la forçant à se tenir demie courbée, nayant pas voulu la prendre par la laisse qui pend à son cou. Arrivée à la hauteur du Châtelain, le Majordome marque un temps darrêt laissant à lesclave la possibilité de se prosterner à terre devant Le Maître qui précise de sa voix Dominante et directive.
- Tâche de donner toute satisfaction à Monsieur le Comte de Bégon qui a réclamé ta présence. Débrouille-toi comme tu veux, use de tes charmes, de ton expérience et de ta bouche suave autant quil sera nécessaire, mais assure-toi de le faire bander pour quil puisse tenculer comme il le désire et quil se vide dans ton cul de vilaine chienne maladroite. Je veux quil puisse emporter avec lui de bons souvenirs de cette soirée D/s dans Mon Château.
Sans plus un mot pour celle qui vient de comprendre quelle a trouvé là le moyen de rentrer en grâce auprès du Maître Vénéré et de réparer sa maladresse du début de soirée, le Marquis dEvans séloigne et salue cette fois Master Tarvo qui est venu accompagné de son compagnon homosexuel dans la vie qui est aussi son soumis « thyr », qui a été obligé de venir féminisé pour la soirée
(A suivre
.)
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