Contes Coquins De Noël : Le Repas De Noël

Contes de Noel coquins : LE REPAS DE FAMILLE :

Après la nuit que nous avions passés,Violette et moi,nous nous sommes réveillés,la bouche un peu pateuse et les doigts poissés

comme des sucre d’orge par nos sucettes respectives.Il était plus que temps de nous préparer pour le repas de famille :nous devions étre neuf à table,nous deux,notre niéce virginie,mon frére claude et claire

son épouse,nos oncles gays ,vivien et lucien,et en bout de table,les cousines Thérése et Denise.

Nous avons battu tous les records de vitesse familiale pour prendre notre douche commune ,elle orientant la pomme de douche,et moi à ses genoux pour lui savonner au gant de crin les hanches et sa motte rousse.Puis nous avons enfilé elle ,string,chemisier à dentelle au décolleté en pointe jusqu’à la pointe de ses seins bruns,et pour cacher son ventre rond,une jupe noire très courte et serrée à la taille,sans dessous frémissants .

Nue cachée sauf pour mes doigts fureteurs,Violette m’avait choisi pour ses doigts fureteurs,un pantalon fuseau serré comme du latex,

une chemise ouverte sur un torse tristement imberbe,avec deux particularités,celle de ne porter ni « marcel »,ni boxer,et une trouvaille

de violette,de porter des poches trouées pour faciliter les accés. Pour la derniére ligne droite avant les coups de sonnette,je vous passe le plan de table,le choix de la nappe à fleurs,des assiettes dorées,des verres à pied,sans oublier le tour de cuisine pour le choix du menu et

des vins :ENTREE apéritive champagne mexicain et tortillas aux piments,salade mélangée de pinces de homard de Cuba et de farcis au gingembre,cochon de lait sauce basque agrémenté de tranches de poulpes ,fromages au poivre et aux baies,et un énorme vacherin de fruits des tropiques,accompagné de cette merveille catalane que l’on appelle le « vin de chocolat » ;et tout en se léchant les doigts,nous avons batifolé sur le canapé du salon,à se fureter par nos poches percées ,quand le premier coup de sonnette a retenti :

Dans l’ordre,ont défilé :Nos deux oncles,gays comme deux apéritifs très récents au comptoir,qui m’ont embrassé ensemble sur les deux joues ,avant de s’excuser auprés de Violette en l’enlaçant avant de s’exclamer : »Mais tu ne portes pas de bas ? » ;derriére,arrivait essouflées,Claire en minijupe aussi fleurie que la nappe du repas,et

sa fille ,plus virginale que nature avec un chemisier à col claudine,en tulle,et un tutu en corolle de la méme couleur,sans claude qui rangeait la voiture,claire dit : »parquer ».

Et claire aussi a remarqué en se penchant sur sa belle-sœur pour l’embrasser : »Mais toi aussi,tu ne portes rien dessous ! »Violette,en la serrant dans ses bras pour la remercier,a apprécié le « toi aussi »,preuve en mains ;et la pinçant à la taille,a répondu : »Dis donc,tu es potélée comme un bébé ! ».

Les cousines,qui se ressemblent comme deux gouttes d’eau,sont arrivés en pantalons de lin ,en tout cas très aériens pour leurs formes

murissantes,des chemisiers en soie sauvage,et des bouquets de lys

la derniére fois,elles étaient arrivées avec des chrysanthémes.

Enfin,claude très éssouflé,fermait le ban,la clé du retard au bout des doigts.Le reste jusqu’au plan de table est d’une banalité familiale

pour appétits pressés :des rires de gorge ,des soupirs,des airs entendus,

heureusement que les oncles en bout de canapé,à coté de violette,s’oublient à se prendre ,elle et chacun d’eux,par le cou.

Chacun et chacune note que le champagne de Mexico a du « rentre-dedans « comme une téquila,et que c’est vrai,demande Virginie presque les yeux baissés,que le « piment »,ça fait tout drole,et la voilà qui se tortille devant ses tantes qui s’arrétent de parler.Puis je me léve pour aller chercher le plat principal ,que je rapporte,sanglé dans le tablier de soubrette de violette,plissé mais trop court.

Je m’approche de la maitresse de maison pour respecter les bienséances,mais elle m’enlace d’un bras,pour me dénouer le tablier de l’autre,en disant : »ma petite nouvelle est à croquer comme une cocotte en chemise »..et elle me dégraffe les boutons de ma chemise ,jusqu’au nombril.Et Claire,qui se penche par-dessus ma chaise, : »On peut toucher ? »et,sans attendre,elle triture ce nombril,avec une mine à tenter de descendre plus bas.Je sers toutes et tous,jusqu’à la petite Virginie,qui s’étiolle en bout de table,et qui se sert copieusement,et commence à croquer son crabe aux gingembres,et qui s’arréte pour reprendre sa voix de premiére communiante : »C’est vrai,que le gingembre,ça fait quelque chose.
. ? »et le disant,sa main cachée dessous la nappe,s’en vient vérifier si cette question m’émeut par la poche percée ;j’étouffe un cri de fillette sortant de sa premiére communion ;et je réintégre ma place à coté de ma belle-sœur.

Gingembre et irouléguy aidant,la conversation s’échauffe sur des sujets aussi variés que :les péchés gourmands,de l’expression : »je donne ma langue au chat »,et méme virginie lance une conversation

avec les cousines qui l’encadrent,sur le sens caché de l’expression : »la main de ma sœur dans la culotte d’un zouave.. ».

Et cousine Thérése ,joignant le geste à la parole,qui se penche vers elle,et furetant de sa main libre,qui lui répond : »C’est un peu ça,et ça marche,méme sans culotte. »Et sa sœur,cousine Denise,de se joindre à mes « parties »,ou ce que la nature m’en a doté..de préciser : »un zouave ne serait pas frisé comme ça,à cet endroit,barbichu,peut-étre. »

L’émotion monte à son comble lorsque ma violette,très échauffée,et le haut de son chemisier aussi dégraffé que celui de Claire,tape de son couteau sur la bouteille,pour crier : »Trou mexicain basané pour tout le monde,premiére épreuve :le tour de table par Robert » ;et elle me pousse sous la table en ajoutant : »Tu n’oublies pas de servir tout le monde ; »et me voilà me trainant à genoux ,devant les oncles,qui ont rié si fort qu’ils cachent sous la nappe leur braguette ouverte sur des vits sanglants :deux paires de mains velues me saisissent par les cheveux pour me faire pourlécher la paire de glands,les deux bananes

pour sucer quatre orphelines pour terminer..Et la suite est un chemin

de réves ou de cauchemars :j’arrive à ma belle-sœur,qui s’est dégraffée plus bas que le nombril et que je mors à sa belle motte rousse pour la remercier de son pince-tétons ;puis ma femme chérie,cuisses ouvertes,a droit à son supplément de cunicouça,qu’elle a du préméditer pour se laisser glisser un peu de sa chaise.Les deux cousines,tous jupons mités sur les chevilles,m’attendent avec leurs ongles longs quand j’engoufre ma téte dans leur confessionnal .


Au guichet de leurs charmes respectifs,ma petite niéce hésite un peu entre serrer et désérrer les cuisses,devant son oncle qui la reçoit aujourd’hui cinq sur cinq :je me redresse comme un ogre de contes lubriques pour la soulever un peu pour planter deux doigts puis trois ,dans sa caverne ombreuse et musquée.Elle sera la seule à remercier son oncle et parrain d’un vibrant MERCI.

Je termine mon tour de table en passant derriére la chaise de Robert

qui se tenait déjà les mains sous les fesses,ces choses-là se cachent

dans l’intimité familiale.

C’est ma violette qui sonne la fin de la partie en disant ; »Fin du trou Robert,qui déssert et qui vous prépare comme pousse-café une attraction inédite.. »En me refringuant avant de déservir,je la regarde

un peu inquiet,mais violette me fait un baiser de loin et me dit :

« Tu peux bien leur faire une autre gaterie,après tout à Noél,c’est toi leur cadeau.

(à suivre)


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